Étymologie

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(Verbe 1) Dénominal de cote.
(Verbe 2) Du moyen français cote (« barre de bois servant à bloquer une porte »), lui-même du latin accubitare (« accouder »). [1]

Verbe 1

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coter \kɔ.te\ transitif 1er groupe (voir la conjugaison)

  1. Marquer suivant l’ordre des lettres ou des nombres, numéroter.
    • Coter des pièces. - Les notaires ont coté et paraphé ces pièces. - Coter un registre par première et dernière. - Coter à la marge.
  2. (En particulier) Marquer le numéro d’un chapitre, d’un article, d’un verset, etc.
  3. Indiquer par un nombre la hauteur, le niveau, la mesure dans un plan, sur une carte, etc.
  4. Indiquer le prix, le taux de quelque chose.
    • Coter le prix d’une marchandise, le cours des effets publics, de la rente. - Coter la rente, le change, etc. - La rente a été cotée à tant.
  5. (Éducation) (Belgique) Apprécier par un chiffre la valeur d’un travail fait par un élève ou la conduite de cet élève.
    • Le professeur l’a bien coté.
  6. (Par extension) (Familier) Placer quelqu’un ou quelque chose au rang qui lui convient d’après son mérite.
    • Il est bien coté dans son administration.

Variantes orthographiques

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  • cotter ; Note : forme environ dix fois moins fréquente que coter.

Dérivés

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Vocabulaire apparenté par le sens

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Traductions

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Verbe 2

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coter \kɔ.te\ transitif 1er groupe (voir la conjugaison)

  1. (Nord et Est de la France) (Savoie) Verrouiller en parlant d'une porte.

Prononciation

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Homophones

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Anagrammes

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Références

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