Montchamp (Cantal)
Montchamp | |||||
L(église Saint-Jean-Baptiste. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Cantal | ||||
Arrondissement | Saint-Flour | ||||
Intercommunalité | Saint-Flour Communauté | ||||
Maire Mandat |
Jean-Paul Resche 2020-2026 |
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Code postal | 15100 | ||||
Code commune | 15130 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
146 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 9,2 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 04′ 17″ nord, 3° 12′ 12″ est | ||||
Altitude | Min. 946 m Max. 1 174 m |
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Superficie | 15,9 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Saint-Flour (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Flour-1 | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Cantal
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Montchamp est une commune française, située dans le département du Cantal en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Montchamp est située à 12 km de Saint-Flour, à 8 km de la sortie 27 de l'A75, à 1 h de Clermont-Ferrand. Sa situation entre Margeride et Planèze lui offre des paysages uniques.
Elle compte trois hameaux : Sistrières, Loudières et le Bourg. Ruynes-en-Margeride se trouve à peu près à 10 km.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Elle est parcourue par la rivière Arcueil.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Nord-est du Massif Central » et « Sud-est du Massif Central »[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 7,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 823 mm, avec 10,1 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Saint-Flour à 9 km à vol d'oiseau[3], est de 8,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 800,3 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Montchamp est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Flour, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 36 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[8],[9].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (58 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (42 %), prairies (39,2 %), zones agricoles hétérogènes (16,8 %), terres arables (2 %)[10]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 87, alors qu'il était de 88 en 2013 et de 81 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 65,5 % étaient des résidences principales, 13,8 % des résidences secondaires et 20,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 95,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 4,6 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Montchamp en 2018 en comparaison avec celle du Cantal et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (13,8 %) inférieure à celle du département (20,4 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 78,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (79,4 % en 2013), contre 70,4 % pour le Cantal et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Montchamp[I 2] | Cantal[I 5] | France entière[I 6] |
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Résidences principales (en %) | 65,5 | 67,7 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 13,8 | 20,4 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 20,7 | 11,9 | 8,2 |
Toponymie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Les Templiers et les Hospitaliers
[modifier | modifier le code]Montchamp est une ancienne commanderie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem attestée depuis le XIIIe siècle[11]. L'église Saint-Jean-Baptiste, ancienne chapelle de la commanderie, porte leur blason. Le commandeur et seigneur de Montchamp percevait le cens et des rentes sur 40 alleux, ténements et autres bourgs répartis sur vingt-et-une paroisses alentour[12] auxquels s'ajoutent les membres et annexes de la commanderie :
- Membre de Loubizargues : il s'étendait sur Loubizargues, Laveissenet et Pignoux y compris le four banal de Loubizargues, le moulin de l'Eschaldat sur l'Ander et l'église paroissiale de Laveissenet. Le commandeur levait la dîme de Laveissenet, du Peuch de Ché et du Peuch de Cheylanes et percevait de nombreuses rentes annuelles[13] ;
- Membre de La Garde-Roussillon : aujourd'hui, Lagarde, commune de Lieutadès. C'est une ancienne maison de l'ordre du Temple dévolue aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem. Ce membre comprenait le château et seigneurie de La Garde, la paroisse de Jabrun et un certain nombre de cens[14] ;
- Membre de Chauliac[15] (« commanderie de Chassaing ») : commune de Le Broc (Puy-de-Dôme). Il se composait d'un château avec chapelle et d'un domaine. Les dîmes étaient partagées avec l'abbaye de La Chaise-Dieu plus un certain nombre de rentes et uniquement la justice moyenne[16] ;
- Membre de Charbonnier : aujourd'hui Charbonnier-les-Mines (Puy-de-Dôme). Château, église paroissiale, four et moulin banal, un domaine, un bateau sur l'Allier, des dîmes, des rentes et des droits de justice[17] ;
- Membre de Brioude (Haute-Loire) : maison[19], vignes et bois, dîme sur la paroisse de Saint-Just et sur le vin produit à Paulhac ainsi que des rentes[20] ;
- Membre de Langeac (Haute-Loire) : chapelle devenue la chapelle des Pénitents, maison, cuverie, jardins, vignes, prés et terres avec des dîmes et des cens[21] ;
- Membre de Saint-Jean de Badelle : aujourd'hui Badel, commune de Mazoires dans le Puy-de-Dôme. Chapelle, terres, dîmes et rentes[22] ;
- Membre de La Rivière l'Évêque : sur le Couze d'Ardes, commune d'Ardes. Chapelle, maison, écuries, jardins, vignes, champs, prés et bois avec la dîme de La Rivière et des rentes[23].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].
En 2021, la commune comptait 146 habitants[Note 2], en évolution de +8,15 % par rapport à 2015 (Cantal : −1,36 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Montchamp accueille un musée du Patrimoine à la place de l'ancienne école. En 2006, un local de chasse a été inauguré.
Les sommets du massif de la Margeride sur la commune :
- Croux del Bos 1109 m
- Suc du Roi 1108 m
- Tronchère 1103 m ...
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes du Cantal
- Grand prieuré et langue d'Auvergne de l'ordre de Saint-Jean de Jérusaleem
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Hippolyte Bouffet, « Les Templiers et les Hospitaliers en Haute Auvergne », Revue de haute Auvergne, , p. 112-120, lire en ligne sur Gallica
Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- La commune de Montchamp
- Montchamp sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Montchamp » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Montchamp - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Montchamp - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Cantal » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Montchamp et Saint-Flour », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Flour », sur la commune de Saint-Flour - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Flour », sur la commune de Saint-Flour - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Flour », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Bouffet 1914, p. 112Frère Bertrand de Lespinasse, commandeur de Montchamp en 1273 en tant que témoin d'un échange entre le grand prieur d'Auvergne et l'abbé du Monastier.
- Bouffet 1914, p. 114Loudiers, La Salesse, Paulhac, Chaude-Oreille (paroisse de Paulhac) ; Bouzentès (paroisse de Villedieu ; Lavergne, Gros, Sieujac (paroisse de Neuvéglise) ; au Bès, Sistrières et Montchamp (paroisse de Montchamp) ; Mont Redon et La Bastide (paroisse de Lastic) ; Belvezet, La Chaumette (Lachau?), La Plantade, Villeneuve et Valiergues (paroisse de Tiviers) ; Le Rial (paroisse de Védrines-Saint-Loup) ; La Besseyre (paroisse de Chastel ; Pierrefitte et Anglard (paroisse de Talizat) ; Fraissinoux (paroisse de Lorcières) ; Termengros, Planchebrune, Montagnac (paroisse de Mentières) ; Clavieres, Salecrus et La Védrine (paroisse de Coren) ; Les Maisons de Vabres, Le Vialard (paroisse de Vabres) ; Le Bouchet (paroisse de Rageade) ; Orceyrolles (paroisse d'Anglards) ; Salus (paroisse de Ruynes) ; La Rousseyre (paroisse de Saint-Poncy) ; Touls (paroisse de Coltines) ; Pagros (paroisse d'Andelat) ; Auriac (paroisse de Faverolles ; Védrines et Surgit (paroisse de Alleuze).
- Pour le membre de Loubizargues, le commandeur percevait des rentes à Viallevielle, Valuéjols, aux Jarrioux, Brageac, Maniargues, Nouvialle, Lescure, Frippès, Galuse, Chambeyrac, Chaylannes, Toursou, La garde, Molède, Laveissenet, Saint-Loup, Laborie, La Chapelle-d'Alagnon, Œillet, Ussel, Clavières, Pignoux, Murat, Saint-Maurice et Narnhac (Bouffet 1914, p. 115-116).
- Pour le membre de La Garde-Roussillon, des cens sur Buffières et Monteils ; Lacombe, Auliac, Auladet, Le Bousquet, Sanivalo, La Moulette, La Gravière et Le Tilet ; Buffierettes, Gureyres, Montgros, Moussy, Gudet, Verdier, Lermet, Mazes, Chaneyret, Richardet, La Borie et Lanzardie ; Costeyret, Pounonvals, Les Escures Hautes et Basses ; Les Plos, La Veydrine, Riousalat et Arjallet avec justice haute, moyenne et basse (Bouffet 1914, p. 116-117).
- Laurent d'Agostino, « Une commanderie des Hospitaliers de Saint-Jean-de Jérusalem en Auvergne : Chauliac. », dans Châteaux du Moyen Âge, de l'étude à la valorisation : Auvergne, Velay et autres exemples régionaux : actes du colloque du Puy-en-Velay, 3-5 juin 2004, , 226 p. (ISBN 978-2-9516-5810-3, présentation en ligne)
- La commanderie de Chassaing existait avant 1315, en témoigne un terrier de cette année-là. Rattachée à Sainte-Anne-La-Bastide en 1373, à priori commanderie principale en 1375 puis dépendante de Celles en 1379 (d'Agostino 2008, p. 15). Pour le membre de Chauliac (Chauliat), des rentes sur les villages suivants : Bergonne, Meilhaud, Grinchal, Le Breuil, de Villeneuve, Saudonier, Antoingt, Le Montel, Le Broc, Le Pont, Gignat, Velonzat, Chalus et Saint-Germain-Lembron (Bouffet 1914, p. 117-118).
- Pour le membre de Charbonnier, des rentes à Charbonnier, au terroir de La Prade et de Tuelles sise paroisse de Sainte-Florine, à Ravel, Nagerat, Doudouse, Prugeyradour, Moriat, Beaulieu, Solignac et Scoularoux (Bouffet 1914, p. 118-119).
- Pierre Cubizolles, Le diocèse du Puy-en-Velay des origines à nos jours, Éditions CREER, , 525 p. (ISBN 978-2-8481-9030-3, présentation en ligne), p. 177
- Elle se situait place Saint-Jean au sud de la basilique. Il s'agit d'un bien provenant des Templiers appelée la maison Sainte-Bonnette (1277) / maison du Temple ou Hôpital de Brioude (1317) qui dépendait avant la dévolution des biens de l'ordre du Temple de la commanderie du Chambon à quelques kilomètres au nord sur la commune de Cohade[18].
- Pour le membre de Brioude, le commandeur percevait des rentes à Brioude, Vieille-Brioude, Paulhac, Saint-Just, La Penide, Saint-Geniex, Longevialle, Chalus, Eschalagnat, Montinège, Trémoulèdes, Rouen, Elotanier, Les Bories, Les Carrières, Crosmarie, Les Bertiers, Brenac et Védrines-Saint-Loup (Bouffet 1914, p. 119).
- La liste des cens perçus n'est pas communiquée par H. Bouffet 1914
- Dîmes sur Le Luguet et cens sur Ardes, Mazoires, Allanche & Pradiers, au Quartier Lafon, à l'Hôpital de Maillargues, au moulin Chauvel … (Bouffet 1914, p. 120).
- Membre acquis en 1240 par échange. Fut d'abord réuni avec Chauliac, Saint-Anne la Bastide et Saint-Jean de Badelle sous l'autorité d'un seul commandeur (1374/75) puis devient membre de Montchamp. Pour le membre de La Rivière L'Évêque, les rentes étaient perçues à Ardes, Mazoires, La Rivière, Saint-Germain-Lembron, Beauregard (Champeix?), Aulnat [sic] [plutôt Augnat?], etc. (Bouffet 1914, p. 120).
- « Journal officiel de la République française. Lois et décrets », sur Gallica, (consulté le ).
- Liste des maires du Cantal sur le site de la préfecture (consulté le 27 octobre 2014).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.