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Doctrine Johnson

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Lyndon Johnson, président des États-Unis.

La doctrine Johnson, énoncée par le président des États-Unis Lyndon B. Johnson peu après l'occupation de la République dominicaine par les États-Unis en 1965, estime que la survenue d'une révolution à l'Ouest (et notamment en Amérique latine) n'est plus une affaire diplomatique locale lorsqu'elle a « pour objet l'établissement d'une dictature communiste »[1],[2].

Notes et références

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  1. (en) Stephen G. Rabe, « The Johnson (Eisenhower?) Doctrine for Latin America », Diplomatic History, vol. 9, no 1,‎ , p. 95–100 (ISSN 0145-2096 et 1467-7709, DOI 10.1111/j.1467-7709.1985.tb00524.x, lire en ligne, consulté le )
  2. (en) Stephen G. Rabe, « The Johnson Doctrine », Presidential Studies Quarterly, vol. 36, no 1,‎ , p. 48–58 (ISSN 0360-4918 et 1741-5705, DOI 10.1111/j.1741-5705.2006.00286.x, lire en ligne, consulté le )

Liens externes

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