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Le [[monument aux morts]] de Plésidy porte les noms de 90 soldats et marins originaires de la commune [[mort pour la France|morts pour la France]] pendant la [[Première Guerre mondiale]]<ref name=":a">http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=3239</ref>. |
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Le monument aux morts de Plésidy porte les noms de 21 personnes mortes pour la France pendant la [[Seconde Guerre mondiale]]. Parmi elles Francis Le Blanc<ref>Francis Le Blanc, né le {{date|9 février 1905}} à [[Saint-Bihy]], mort le {{date|4 mars 1940}} lors du naufrage du cargo charbonnier S.N.A. 1 par abordage avec le cargo anglais Thosrton</ref>, [[quartier-maître]] canonnier, fut décoré de la [[Médaille militaire]] et de la [[Croix de guerre 1939-1945|Croix de guerre]]<ref name=":a" />. |
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Le maquis de Plésidy-Saint-Connan<ref>http://memoiredeguerre.pagesperso-orange.fr/lib-gp/pages/guing10.htm</ref> est formé en {{date-|juin 1944}}, avec le concours du [[Opération Jedburgh|groupe Jedburgh]] ''[[Liste des équipes Jedburgh|Frederick]]'', après la défaite des [[maquis de Saint-Marcel|maquisards de Saint-Marcel]], et dépasse rapidement 120 hommes (plus de 300 hommes le {{date|27 juillet 1944}}). Attaqué par les Allemands ce jour-là, les maquisards, commandés par le sous-lieutenant Jean Robert (un membre des [[Spécial Air Service|SAS]] parachuté le {{date|6 juin 1944}} à [[Duault]]), résistèrent (13 résistants furent tués), notamment dans le bois de Coat-Mallouen, tenant deux heures avant l'arrivée des renforts allemands, avant de se replier en forêt de Duault, et les Allemands renoncèrent à les poursuivre<ref>Claude Geslin, Patrick Gourlay, Jean-Jacques Monnier, René Le Coadic et Michel Denis, "Histoire d'un siècle Bretagne 1901-2000, Skol Vreizh, 2010, [{{ISBN|978-2915-62362-8}}]</ref>. Par la suite, les maquisards libérèrent [[Guingamp]] le {{date|7 août 1944}} avec l'appui des chars américains<ref>{{lien web |titre=Maquis de Coat-Mallouen |url=http://www.memoiresdeguerre.com/2016/07/maquis-de-coat-mallouen.html |site=memoiresdeguerre.com |périodique=Mémoires de Guerre |date=23-07-2016 |consulté le=11-09-2020}}.</ref>. |
Le maquis de Plésidy-Saint-Connan<ref>http://memoiredeguerre.pagesperso-orange.fr/lib-gp/pages/guing10.htm</ref> est formé en {{date-|juin 1944}}, avec le concours du [[Opération Jedburgh|groupe Jedburgh]] ''[[Liste des équipes Jedburgh|Frederick]]'', après la défaite des [[maquis de Saint-Marcel|maquisards de Saint-Marcel]], et dépasse rapidement 120 hommes (plus de 300 hommes le {{date|27 juillet 1944}}). Attaqué par les Allemands ce jour-là, les maquisards, commandés par le sous-lieutenant Jean Robert (un membre des [[Spécial Air Service|SAS]] parachuté le {{date|6 juin 1944}} à [[Duault]]), résistèrent (13 résistants furent tués), notamment dans le bois de Coat-Mallouen, tenant deux heures avant l'arrivée des renforts allemands, avant de se replier en forêt de Duault, et les Allemands renoncèrent à les poursuivre<ref>Claude Geslin, Patrick Gourlay, Jean-Jacques Monnier, René Le Coadic et Michel Denis, "Histoire d'un siècle Bretagne 1901-2000, Skol Vreizh, 2010, [{{ISBN|978-2915-62362-8}}]</ref>. Par la suite, les maquisards libérèrent [[Guingamp]] le {{date|7 août 1944}} avec l'appui des chars américains<ref>{{lien web |titre=Maquis de Coat-Mallouen |url=http://www.memoiresdeguerre.com/2016/07/maquis-de-coat-mallouen.html |site=memoiresdeguerre.com |périodique=Mémoires de Guerre |date=23-07-2016 |consulté le=11-09-2020}}.</ref>. |
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{{Citation bloc|Le sous-lieutenant Jean Robert avait mis en place une organisation militaire avec réveil à 6 heures, lever des couleurs, sport et instruction militaire. Les exercices de tir se faisaient, le matin, dans les caves du château (une grande maison bourgeoise près de l'[[abbaye Notre-Dame de Coatmalouen|abbaye de Coat-Mallaouen]]). (...) Les maquisards [étaient] des groupes de copains de Guingamp et des environs. (...) Le plus jeune n'avait pas 17 ans, le plus âgé un peu plus de 20. Les [[scout]]s dormaient sous tente, les autres sous des cabanes faites de bruyère et de branchages.<ref>Journal "[[Le Télégramme de Brest et de l'Ouest]]", numéro du 25 juillet 2019, https://www.letelegramme.fr/bretagne/cotes-d-armor-les-75-ans-du-maquis-de-coat-mallouen-25-07-2019-12346717.php</ref>}} |
{{Citation bloc|Le sous-lieutenant Jean Robert avait mis en place une organisation militaire avec réveil à 6 heures, lever des couleurs, sport et instruction militaire. Les exercices de tir se faisaient, le matin, dans les caves du château (une grande maison bourgeoise près de l'[[abbaye Notre-Dame de Coatmalouen|abbaye de Coat-Mallaouen]]). (...) Les maquisards [étaient] des groupes de copains de Guingamp et des environs. (...) Le plus jeune n'avait pas 17 ans, le plus âgé un peu plus de 20. Les [[scout]]s dormaient sous tente, les autres sous des cabanes faites de bruyère et de branchages.<ref>Journal "[[Le Télégramme de Brest et de l'Ouest]]", numéro du 25 juillet 2019, https://www.letelegramme.fr/bretagne/cotes-d-armor-les-75-ans-du-maquis-de-coat-mallouen-25-07-2019-12346717.php</ref>}} |
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== Politique et administration == |
== Politique et administration == |
Version du 9 février 2021 à 07:41
Plésidy | |||||
Le menhir de Cailouan. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bretagne | ||||
Département | Côtes-d'Armor | ||||
Arrondissement | Guingamp | ||||
Intercommunalité | Guingamp-Paimpol Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Guy Gautier 2020-2026 |
||||
Code postal | 22720 | ||||
Code commune | 22189 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Plésidien, Plésidienne | ||||
Population municipale |
563 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 22 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 26′ 54″ nord, 3° 07′ 14″ ouest | ||||
Altitude | 120 m Min. 95 m Max. 268 m |
||||
Superficie | 25,79 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Callac | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
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Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Côtes-d'Armor
Géolocalisation sur la carte : Bretagne (région administrative)
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Plésidy [plezidi] est une commune française située dans le département des Côtes-d'Armor en région Bretagne.
Géographie
Plésidy se trouve à une dizaine de kilomètres au sud de Guingamp, sous-préfecture des Côtes-d’Armor.
Hameaux
La commune de Plésidy comporte 27 hameaux :
- Cailouan, Croaselen, Claudrain, Garlouet, Garsmeur, Goas Caradec, Guernognon, Kerbouret Huelan, Kerbouret Izélan, Kerbanel, Kerdanet, Kerfinit, Kerhars, Kerhenry, Kerlan, Kersière, Kervenou, Kervoisiou, Kernon, Lanlez, La Villeneuve, Guern an Mern, le Moulin du Roz, le Medic, Lavancel, Lan Manguy, Lanleze, Pors Chevance, Rumenet, Ruemorvan, Saint-Alors, Saint-Yvonnec, Trévelost, Trolan, Trinité.
Communes limitrophes
Saint-Adrien | Saint-Péver | Saint-Péver | ||
Bourbriac | N | Saint-Fiacre, Senven-Léhart | ||
O Plésidy E | ||||
S | ||||
Magoar | Kerpert, Saint-Connan | Saint-Connan |
Urbanisme
Typologie
Selon la terminologie définie par l'Insee et le zonage publié en 2020, Plésidy est une commune rurale, car elle n'appartient à aucune unité urbaine[Note 1],[1],[2]. La commune est en outre hors attraction des villes[3],[4].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes parochia de Plesidy en 1284, ecclesia de Plesidy vers 1330, Ploezidi en 1371, parochia de Plesidi entre les dous bois en 1378, Plesidy entre les deux bois en 1428 et en 1506 (c'est-à-dire ceux d'Avaugour et de Léhart)[5], paroisse de Plezidy Lehart en 1477, Plesidy Kerpezre en 1581[6].
Plijidi en breton[7].
Plésidy vient du breton ploe (paroisse) et de Seidi[6], nom conservé dans les légendes galloises (père de Kadyrieith vivant à la cour du roi Arthur)[5].
Histoire
Préhistoire et Antiquité gallo-romaine
L'actuelle commune est traversée d'une voie gallo-romaine qui passe du nord du département jusqu'à Vorguim. L'occupation des lieux remonte à la préhistoire (au moins au Neolithique), celle-ci possède de nombreux menhirs et tumulus.
Sur le site de Castel Kerandroat, une enceinte fortifiée gallo-romaine a été mise au jour en 1864. Son occupation s'est probablement poursuivie durant le Haut Moyen Âge[8].
Moyen Âge
Le château d'Avaugour se dressait sur un éperon dominant le cours du Trieux à l'extrémité occidentale de Plésidy, dans l'actuelle commune de Saint-Péver.
Le XXe siècle
La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Plésidy porte les noms de 90 soldats et marins originaires de la commune morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale[9].
La Seconde Guerre mondiale
Le monument aux morts de Plésidy porte les noms de 21 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale. Parmi elles Francis Le Blanc[10], quartier-maître canonnier, fut décoré de la Médaille militaire et de la Croix de guerre[9].
Le maquis de Plésidy-Saint-Connan[11] est formé en , avec le concours du groupe Jedburgh Frederick, après la défaite des maquisards de Saint-Marcel, et dépasse rapidement 120 hommes (plus de 300 hommes le ). Attaqué par les Allemands ce jour-là, les maquisards, commandés par le sous-lieutenant Jean Robert (un membre des SAS parachuté le à Duault), résistèrent (13 résistants furent tués), notamment dans le bois de Coat-Mallouen, tenant deux heures avant l'arrivée des renforts allemands, avant de se replier en forêt de Duault, et les Allemands renoncèrent à les poursuivre[12]. Par la suite, les maquisards libérèrent Guingamp le avec l'appui des chars américains[13].
« Le sous-lieutenant Jean Robert avait mis en place une organisation militaire avec réveil à 6 heures, lever des couleurs, sport et instruction militaire. Les exercices de tir se faisaient, le matin, dans les caves du château (une grande maison bourgeoise près de l'abbaye de Coat-Mallaouen). (...) Les maquisards [étaient] des groupes de copains de Guingamp et des environs. (...) Le plus jeune n'avait pas 17 ans, le plus âgé un peu plus de 20. Les scouts dormaient sous tente, les autres sous des cabanes faites de bruyère et de branchages.[14] »
Un "Musée de la résistance en Argoat" a ouvert en 2012 à Saint-Connan afin de rappeler les actions de ce maquis[15].
L'après Seconde Guerre mondiale
Un soldat originaire de Plésidy, F. Cocguen, est mort pendant la Guerre d'Indochine[9].
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[17].
En 2021, la commune comptait 563 habitants[Note 2], en évolution de −8,01 % par rapport à 2015 (Côtes-d'Armor : +1,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Langue bretonne
Le nom de la commune en breton est Plijidi.
Le seul collège de la commune est un collège Diwan. Il a été créé en 1995[réf. souhaitée]. Il comptait 236 collégiens à la rentrée 2019. Il comporte trois grands bâtiments, dont deux utilisés comme dortoirs, et des préfabriqués.
Lieux et monuments
La commune compte cinq monuments historiques :
- Manoir de Toulgonec, ou Toul-an-Gollet, XVIe siècle, classé[20], visitable d'avril à septembre.
- Menhir de Cailouan ou Caëlonan, classé[21].
- Chapelle Saint-Yves, inscrit[22].
- Fontaine du calvaire, inscrit[23].
- Croix du XVIe siècle, inscrit[24].
Par ailleurs :
- Menhir de Toul-du
- Chapelle Saint-Alor[25], qui est dédiée à saint Alor, ancien évêque de Quimper.
- Collège Diwan du Trégor (Skolaj Diwan Bro-Dreger[26]), créé en 1995, 201 élèves en 2010[27].
- Hameau de Kerlan : vestiges du manoir du Fresne de Kerlan et de sa chapelle (XIIe siècle).
- Église Saint-Pierre.
Personnalités liées à la commune
- Famille Le Bahezre, seigneurie de Lanlay en Plesidy.
- Olivier du Fresne seigneur de Kerlan en Plesidy, constructeur du manoir de Goasfroment (XVIIe siècle) en Plouezec.
- Colonel Roland François du Fresne de Kerlan, originaire de Plesidy,officier de la Légion d'Honneur, commandant le 85e Régiment d'infanterie(1851-1854), Campagnes d'Afrique et d'Orient.
- Colonel Théophile Marie Brébant né à Plésidy en 1889, commandeur de la Légion dHonneur.
- Emmanuel Le Peillet, né à Plésidy en 1928, poète.
Notes et références
Notes
- Une commune rurale est une commune n'appartenant pas à une unité urbaine. Les autres communes sont dites urbaines.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
- « Base des unités urbaines 2020 », sur https://www.insee.fr/, (consulté le )
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur https://www.insee.fr/, (consulté le )
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur https://www.insee.fr/, (consulté le )
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc, Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur https://www.insee.fr/, (consulté le )
- Bernard TANGUY : Dictionnaire des noms de communes, trèves et paroisses des Côtes-d'Armor. 1992.
- infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Plesidy »
- Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis »
- Martial Monteil, « Les agglomérations de la province de Lyonnaise Troisième (Bretagne et Pays de la Loire) : entre abandon, perduration et nouvelles créations (iiie-vie s. apr. J.-C.) », CReAAH - Centre de Recherche en Archéologie, Archéosciences, Histoire, , p. 15,37 (ISSN 2109-9588, lire en ligne)
- http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=3239
- Francis Le Blanc, né le à Saint-Bihy, mort le lors du naufrage du cargo charbonnier S.N.A. 1 par abordage avec le cargo anglais Thosrton
- http://memoiredeguerre.pagesperso-orange.fr/lib-gp/pages/guing10.htm
- Claude Geslin, Patrick Gourlay, Jean-Jacques Monnier, René Le Coadic et Michel Denis, "Histoire d'un siècle Bretagne 1901-2000, Skol Vreizh, 2010, [ (ISBN 978-2915-62362-8)]
- « Maquis de Coat-Mallouen », sur memoiresdeguerre.com, Mémoires de Guerre, (consulté le ).
- Journal "Le Télégramme de Brest et de l'Ouest", numéro du 25 juillet 2019, https://www.letelegramme.fr/bretagne/cotes-d-armor-les-75-ans-du-maquis-de-coat-mallouen-25-07-2019-12346717.php
- « Stage Peinture à l'huile et clair-obscur animé par », sur L'Étang Neuf - Art - Musée - Pêche (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Notice no PA00089421, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no PA00089422, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no PA00089419, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no PA00089418, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no PA00089420, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- http://fr.topic-topos.com/chapelle-saint-alor-plesidy
- Site officiel du collège.
- Collège Diwan. Réflexion sur le projet d'extension, Le Télégramme, 30 novembre 2010.