66572d05c9d0f - Énoncé - Sujet de Révision 4

Télécharger au format pdf ou txt
Télécharger au format pdf ou txt
Vous êtes sur la page 1sur 12

Classe : BAC Sciences

Exam : Sujet de révision N°4

S
o Chimie :

I) L'eau oxygénée H2O2 réagit avec les ions iodures I- selon l’équation bilan lente et totale suivante:
H2O2 + 2 I– + 2 H3O+ → I2 + 4 H2O
À la date 𝐭 = 𝟎𝐬, on mélange à une température T:
• Un volume 𝐕𝟏 = 𝟏𝟎𝟎 𝐦𝐋 d'une solution S1 d'iodure de potassium KI de concentration
molaire C1.
• Un volume 𝐕𝟐 = 𝟖𝟎 𝐦𝐋 d’une solution S2 d'eau oxygénée H2O2 de concentration molaire
C2.
• Un volume 𝐕𝟑 = 𝟐𝟎 𝐦𝐋 d'acide sulfurique H2SO4 (l’acide sulfurique est en excès).
A différents instants on prélève un volume 𝐕𝐩 = 𝟏𝟎 𝐦𝐋 du mélange, on le refroidit par l’eau glacée
puis on le dose par une solution de thiosulfate de sodium Na2S203.
Les résultats du dosage ont permis de tracer la
courbe représentant l’évolution de la concen-
tration de H2O2 au cours du temps (figure 1).
1)
a) Dresser le tableau d’avancement
volumique du système chimique.
b) Déterminer la concentration C2 de
la solution d’eau oxygénée.
c) Montrer que I- est le réactif limitant.
d) Déduire la valeur de la concentration C1.
2)
a) Définir temps de demi-réaction t1/2.
b) Montrer que le temps de demi-réaction t1/2 correspond à :
𝟏
[H2O2] = ([H2O2]i + [H2O2]f) et déterminer graphiquement sa valeur.
𝟐

[H2O2]i représente la concentration initiale de l’eau oxygéné dans le mélange et [H2O2]f


représente la concentration finale de l’eau oxygéné dans le mélange.
3)
a) Définir vitesse volumique instantanée d’une réaction chimique.
b) Déterminer la vitesse volumique de la réaction à l’instant de date 𝐭 𝟏 = 𝟏𝟎 𝐦𝐢𝐧.
c) Comment évolue la vitesse de la réaction au cours du temps ? Justifier votre réponse.
d) Déterminer l’instant t2 pour lequel la vitesse volumique moyenne de la réaction entre les
instants 𝐭 𝟎 = 𝟎 et t2 est égale à la vitesse volumique de la réaction à 𝐭 𝟏 = 𝟏𝟎 𝐦𝐢𝐧.
4) On reprend l’expérience précédente en modifiant uniquement la concentration des ions io-
dures qui devient C’1 = 2C1.
Tracer qualitativement l’allure de la courbe représentant l’évolution de la concentration de
H2O2 au cours du temps, en précisant les valeurs remarquables. Justifier.
II) On réalise l’oxydation des ions iodures I– par l’eau oxygénée H2O2 dans trois conditions expéri-
mentales différentes indiquées dans le tableau suivant :
Expérience 1 2 3
[𝐇𝟐 𝐎𝟐 ]𝟎 C2 2C2 C2
[𝐈 − ]𝟎 C1 C1 C1
Température °C 20 40 20
Présence d’ions 𝐅𝐞𝟐+ Oui Oui Non

Le graphe de la figure 2 représente la variation de [I-] au cours du temps pour les trois conditions
expérimentales.
1) Quel est le rôle joué par les ions Fe2+ au ni-
veau de la cinétique de la réaction ?
2) Préciser les facteurs cinétiques mis en jeu.
3) Attribuer, en justifiant, chaque courbe à
l’expérience correspondante. Justifier.
On réalise la pile électrochimique (P) de symbole : Fe| Fe 2+(C2) || Cd2+(C1) | Cd
• Le compartiment de droite est constitué d'une lame de Cd plongeant dans un volume
V1 d'une solution de 𝐂𝐝𝐒𝐎𝟒 de concentration C1.
• Le compartiment de gauche est constitué d'une lame de Fe plongeant dans un
volume V2 d'une solution de 𝐅𝐞𝐒𝐎𝟒 de concentration C2=2C1. Le potentiel normal
du couple Fe 2+/ Fe est -0,44 V.
• La valeur de la fem initiale Ei de la pile est Ei= 0,031 V
1)
a) Écrire l’équation de la réaction chimique associée à cette pile.
b) Déterminer la valeur de la fem standard de la pile et montrer que le potentiel
standard du couple Cd2+/Cd est de valeur E0(Cd2+/Cd)=-0,4V.
c) Donner le schéma annoté d’une pile électrochimique (Px) qui permet la mesure du
potentiel standard d’électrode E0 (Cd2+/Cd) du couple Cd2+/Cd.
d) Comparer les pouvoirs oxydants des couples Fe2+/ Fe et Cd 2+/Cd
e) Dire s’il se produit une réaction lorsqu’on on plonge une lame de fer dans une
solution de Cd2+.
2) La pile (P) alimente un circuit électrique :
a) Ecrire l'équation de la transformation électrochimique qui s'effectue à chacune de
ses deux électrodes.
b) En déduire alors l'équation de la réaction spontanée qui se produit dans la pile
lorsqu'elle débite.
c) Calculer la valeur de la constante d'équilibre K relative à la réaction associée à la
pile.
d) A l’équilibre dynamique la concentration des ions Cd2+ est
[𝐂𝐝𝟐+ ]𝐞𝐪 = 𝟑, 𝟑𝟑𝟓. 𝟏𝟎−𝟐 𝐦𝐨𝐥. 𝐋−𝟏 .
En déduire alors la concentration [Fe2+]eq des ions Fe 2+ à l’état d’équilibre
3)
a) Dresser le tableau descriptif de l’évolution relative à l’avancement molaire, x,
système.
b) A l’équilibre dynamique l’avancement final de la réaction est
𝐱 𝐟 = 𝟑𝟑, 𝟐. 𝟏𝟎−𝟑 𝐦𝐨𝐥.
Calculer les volumes V1 et V2 des deux solutions On donne 𝐂𝟏 = 𝟎, 𝟐𝐦𝐨𝐥. 𝑳−𝟏 .
4) Lorsque la pile ne débite plus, on désire ramener la fem de la pile à la valeur
𝐄’ = −𝟎, 𝟎𝟐𝐕.
Pour atteindre cet objectif, on réalise l’une des opérations suivantes :
• On introduit dans la solution de Fe2+, sans changement de volume et de
température, la soude NaOH à l’état solide.
• On introduit dans la solution de Fe2+, sans changement de volume et de
température, le sulfate de fer FeSO4 à l’état solide.
• On introduit dans la solution de Cd2+, sans changement de volume et de
température, le sulfate de cadmium CdSO4 à l’état solide.
Préciser parmi les opérations ci-dessus celle(s) qui permet (ou permettent) d’atteindre
cet objectif ? Justifier la réponse
o Physique :

On réalise le circuit ci- contre. Il comprend :

• Un générateur pouvant être soit un générateur de courant G1 qui débite un courant


d’intensité I constante ou un générateur de tension idéal G2 qui
impose une tension constante E ;
• Un condensateur de capacité C ;
• Un interrupteur K ;
• Deux résistors de résistances R1= 3kΩ et R2 ;
• Un oscilloscope à mémoire.

On réalise les deux expériences suivantes :

Expérience 1 :

1) Le condensateur étant déchargé, à l’instant 𝐭 = 𝟎, on ferme K et on enregistre à l’aide


de l’oscilloscope à mémoire les tensions 𝐮𝐆 (𝐭) et 𝐮𝐑𝟏 (𝐭) représentées sur la figure 1.
a) Montrer que le générateur utilisé est G1.
Déterminer la valeur de I.
b) Justifier théoriquement l’allure de 𝐮𝐆 (𝐭).
c) Déterminer les valeurs de C et de R2.

Figure 1
Expérience 2 :

Pour retrouver les valeurs de C et R2, on ouvre K, on décharge rapidement le condensateur et


on remplace G1 par le générateur G2. A l’instant 𝐭 = 𝟎, on ferme K et on enregistre de nou-
veau les tensions 𝐮𝐆 (𝐭) et 𝐮𝐑𝟏 (𝐭) représentées sur la figure 2.
1) Représenter les connexions nécessaires à l’oscilloscope.
𝐑𝟏 + 𝐑𝟐
2) Montrer que 𝐄 = 𝐮𝐂 + 𝐮𝑹𝟏 .
𝐑𝟏

3) En exploitant les chronogrammes, déterminer la valeur de R2.


4) Etablir l’équation différentielle relative à 𝐮𝐑𝟏 (𝐭).
5) La solution de cette équation différentielle est de la forme 𝐮𝐑𝟏 (𝐭) = 𝐀𝐞−𝛂𝐭 .
Déterminer les expressions de A et de 𝛂, en fonction des données de l’énoncé.
6) Déterminer C.
7) Déterminer les expressions de 𝐮𝐂 (𝐭) et 𝐮𝐑𝟐 (𝐭).
Les représenter sur la figure 2.

Figure 2
Le pendule élastique de la figure 1 est constitué d'un solide (S) de masse 𝐦 et de centre d’inertie
G, attaché à l’une des extrémités d’un ressort (R) à spires non jointives, d’axe horizontal, de masse
négligeable et de raideur 𝐤. L’autre extrémité du ressort est fixée à un support immobile.
A l’équilibre, le centre d’inertie G de (S) coïncide avec l’origine O du repère (O, 𝐢⃗) de l’axe x’x.
On désigne par 𝐱(𝐭) l’abscisse du point G à un instant 𝐭 donné, dans le repère (O, 𝐢⃗) et par 𝐯(𝐭) la
valeur de sa vitesse à cet instant.
On prendra l’énergie potentielle de pesanteur nulle (𝐄𝐩𝐩 = 𝟎) au niveau du plan horizontal passant
par le centre d’inertie G du solide (S).

Figure 1
On utilise ce pendule, pour réaliser les trois expériences suivantes :
Expérience 1
On écarte le solide (S) de sa position d’équilibre jusqu’à un point 𝐌𝟎 d’abscisse 𝐱 𝟎 et on le lâche
à l’instant 𝐭 𝟎 = 𝟎, sans vitesse initiale. Le solide (S) se met à osciller de part et d’autre du point O.
A un instant 𝐭 > 𝟎, le système {(S) + (R)} est représenté sur la figure 1. Le vecteur 𝐯⃗⃗ indique le
sens du mouvement à cet instant.
A l’aide d’un dispositif d’enregistrement approprié, on obtient la courbe de la figure 2 représentant
l’évolution temporelle de l’élongation 𝐱(𝐭).
(Δ) étant la tangente à la courbe 𝐱 = 𝐟(𝐭) à l’instant 𝐭 𝟐 .

Figure 2
1) Montrer que lors de son mouvement, le solide (S) est soumis à des forces de frottement.
2) Les forces des frottements sont équivalents à une force 𝐟⃗ = −𝐡𝐯⃗⃗, où 𝐡 est une constante
positive et 𝐯⃗⃗ est le vecteur vitesse instantanée du point G .
a) Représenter sur la Figure 1 les forces exercées sur le solide (S).
b) Montrer que l’équation différentielle régissant les oscillations de (G) s’écrit :
𝐝𝟐 𝐱(𝐭) 𝐝𝐱(𝐭)
𝐦 𝟐
+𝐡 + 𝐤𝐱(𝐭) = 𝟎
𝐝𝐭 𝐝𝐭
3)
a) Exprimer l’énergie mécanique E du système {(S)+(R)} en fonction de k, x , m et v.
b) Montrer que l’énergie mécanique E du système {(S)+(R)} diminue au cours du temps.
Déduire la cause de cette diminution.
4) A l’instant 𝐭 𝟎 = 𝟎, le système {(S)+(R)} acquiert une énergie mécanique 𝐄𝟎 = 𝟐𝟓. 𝟏𝟎−𝟑 𝐉.
On assimile la pseudo-période 𝐓 à la période propre 𝐓𝟎 des oscillations.
En exploitant la courbe de la Figure 2 :
a) Déterminer les valeurs de 𝐱 𝟎 et 𝐓.
b) Déduire les valeurs de 𝐤 et 𝐦.
5) On note 𝐱 𝟎 et 𝐱 𝟏 , les valeurs des élongations respectivement aux instants 𝐭 𝟎 = 𝟎 et 𝐭 𝟏 = 𝐓.
𝐡
𝐱
On admet que pour des oscillations faiblement amorties : 𝐱𝟏 = 𝐞−(𝟐𝐦)𝐓 .
𝟎

Déterminer la valeur de coefficient de frottement 𝐡.


6) Soient 𝐄𝟎 et 𝐄𝟐 les valeurs des énergies mécaniques du système {(S)+(R)} respectivement
aux instants 𝐭 𝟎 = 𝟎 et 𝐭 𝟐 .
a) Déterminer la valeur de 𝐄𝟐 .
b) Déterminer l’énergie dissipée 𝐄𝐝 par le système {(S)+(R)} entre les instants 𝐭 𝟎 = 𝟎 et
𝐭𝟐.
Expérience 2
Dans le but de retrouver les valeurs de 𝐤, 𝐦 et 𝐡, un excitateur transmet au système {(S) + (R)}
une force excitatrice 𝐅⃗ = 𝐅𝐦 𝐬𝐢𝐧(𝟐𝛑𝐍𝐭)𝐢⃗ ; d’amplitude 𝐅𝐦 constante et de fréquence 𝐍 réglable.
A un instant t, l’élongation du centre d’inertie G de (S) s’écrit : 𝐱(𝐭) = 𝐗 𝐦 𝐬𝐢𝐧(𝟐𝛑𝐍𝐭 + 𝛗𝐱 ) ; où
𝐗 𝐦 et 𝛗𝐱 représentent respectivement son amplitude et sa phase initiale.
Le solide (S) est toujours soumis à des forces des frottements de type visqueux équivalents à une
force 𝐟⃗ = −𝐡𝐯⃗⃗.
Un système approprié, permet de suivre, simultanément, l’évolution temporelle de la force excita-
trice 𝐅(𝐭) et de l’élongation 𝐱(𝐭). Lorsque la fréquence de l’excitateur est ajustée à une valeur 𝐍 =
𝐍𝟏 , on obtient les courbes (𝓒𝟏 ) et (𝓒𝟐 ) de la Figure 3.

Figure 3
1)
a) Justifier que la courbe (𝓒𝟏 ) correspond à 𝐱(𝐭).
b) Déterminer graphiquement :
b1) Les valeurs de 𝐗 𝐦 , 𝐅𝐦 et 𝐍𝟏 ;
b2) La valeur de déphasage 𝛗𝐱 − 𝛗𝐅 .
2) On rappelle que pour un circuit RLC série alimenté par une tension excitatrice :
𝐮(𝐭) = 𝐔𝐦 𝐬𝐢𝐧(𝟐𝛑𝐍𝐭), d’amplitude 𝐔𝐦 constante et de fréquence 𝐍 réglable, l’évolution
de la charge instantanée 𝐪(𝐭) du condensateur est régie par l’équation différentielle sui-
vante :
𝐪(𝐭) 𝐝𝐪(𝐭) 𝐝𝟐 𝐪(𝐭)
+𝐑 +𝐋 = 𝐮(𝐭).
𝐂 𝐝𝐭 𝐝𝐭 𝟐

La solution de cette équation différentielle est : 𝐪(𝐭) = 𝐐𝐦 𝐬𝐢𝐧(𝟐𝛑𝐍𝐭 + 𝛗𝐪 ) ; où 𝐐𝐦 et 𝛗𝐪


représentent respectivement l’amplitude et la phase initiale de 𝐪(𝐭).
Pour réaliser la construction de Fresnel, on associe à chacune des fonctions de l’équation
différentielle un vecteur de Fresnel comme suit :
𝐪(𝐭) 𝐐𝐦
⃗⃗⃗⃗⃗𝟏 [
→𝐮 , 𝛗𝐪 ] ;
𝐂 𝐂

𝐝𝟐 𝐪(𝐭)
𝐋 ⃗⃗⃗⃗⃗𝟐 [𝟒𝛑𝟐 𝐍 𝟐 𝐋𝐐𝐦 , 𝛗𝐪 + 𝛑]
→𝐮 ;
𝐝𝐭𝟐
𝐝𝐪(𝐭) 𝛑
𝐑 ⃗⃗⃗⃗⃗𝟑 [𝟐𝛑𝐍𝐑𝐐𝐦 , 𝛗𝐪 + 𝟐]
→𝐮
𝐝𝐭

𝐮(𝐭) → 𝐰
⃗⃗⃗ [𝐔𝐦 , 𝛗𝐮 = 𝟎] ;
avec : 𝐰
⃗⃗⃗ = 𝐮
⃗⃗⃗⃗⃗𝟏 + 𝐮
⃗⃗⃗⃗⃗𝟐 + 𝐮
⃗⃗⃗⃗⃗𝟑
a) Par recours à l’analogie formelle électrique - mécanique, établir l’équation différentielle
régissant l’évolution de 𝐱(𝐭).
b) La figure 4 représente la construction de Fresnel inachevée relative à l’équation
différentielle en 𝐱(𝐭) pour 𝐍 = 𝐍𝟏 .
On associe les vecteurs :
• ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ à la fonction 𝐤. 𝐱(𝐭) ;
𝐎𝐀
𝐝 𝐱(𝐭) 𝟐
• ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐀𝐁 à la fonction : 𝐦 𝐝𝐭 𝟐 ;

• ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ à la fonction : 𝐡 𝐝𝐱(𝐭) ;


𝐁𝐂 𝐝𝐭

• ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐎𝐂 à la fonction : 𝐅(𝐭).
b1) En respectant l’échelle donnée, compléter la construction de Fresnel de la fi-
gure 4 en représentant les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐀𝐁 et ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐎𝐂 , ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐁𝐂.
b2) Déterminer les valeurs de 𝐤, 𝐦 et 𝐡.

Figure 4
Expérience 3
Un système approprié, permet de suivre, simultanément, l’évolution temporelle de la force excita-
trice 𝐅(𝐭) et de la force de frottement 𝐟(𝐭) = −𝐡𝐯 . Lorsque la fréquence de l’excitateur est ajustée
à une valeur 𝐍 = 𝐍𝟐 , on obtient les courbes de la figure 5.

Figure 5
1) Déterminer la valeur de déphasage 𝛗𝐟 − 𝛗𝐅 .
Déduire la valeur de déphasage 𝛗𝐯 − 𝛗𝐅 .
2) Par recours à l’analogie formelle électrique mécanique :
a) Montrer que le système {(S) + (R)} est le siège d’un phénomène physique particulier
dont on précisera le nom. Déduire la valeur de la fréquence 𝐍𝟐 .
b) Déterminer, dans ces conditions, l’amplitude 𝐕𝐦 et la phase initiale 𝛗𝐯 de la vitesse
instantanée 𝐯(𝐭) du centre d’inertie G de (S).
Déduire les valeurs de 𝐗 𝐦 et 𝛗𝐱 .

Vous aimerez peut-être aussi