partager
Palî
Sepepartager \paʁ.ta.ʒe\
- kângbi, fângbi
- Souvent deux familles prennent une ferme indivise, et les bénéfices sont partagés proportionnellement au nombre d’enfants et aux services qu’ils rendent. — (Eugène Bonnemère, Histoire des paysans, depuis la fin du moyen âge jusqu’à nos jours : 1200-1850 , Paris : F. Chamerot, 1856, volume 2, page 447)
- kângbi
- La cour d’appel partagea alors les dommages, selon les principes de la faute commune, constatant que la victime s’était imprudemment aventurée sur un boulevard passager, sans prendre les précautions nécessaires. — (Orville Frenette, L’incidence du décès de la victime d’un délit ou d’un quasi-délit sur l’action en indemnité , Librairie de l’Université d'Ottawa, 1961, lêmbëtï 85)
- Il partage sa vie, son temps entre ses occupations professionnelles et ses devoirs de famille.
- (Wapolïpa) Sa tendresse se partage également entre tous ses enfants.
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï