Communiqués de presse

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L’antisémitisme persiste dans l’UE, affectant les Juifs à la fois en ligne et hors ligne. Les inquiétudes concernant la sécurité et les fréquentes expériences de harcèlement forcent de nombreuses personnes à dissimuler leur identité juive. Ces indications alarmantes proviennent de la dernière enquête menée par l’Agence des droits fondamentaux de l’Union européenne (FRA). L’Union européenne (UE) et certains de ses États membres ont mis en place des mesures et des plans d’action pour s’attaquer à l’antisémitisme. Les pays de l’UE doivent s’appuyer sur ces efforts pour faire en sorte que les Juifs puissent vivre dans la dignité, à l’abri de la haine et de la peur. Cela est particulièrement important compte tenu de l’impact du conflit en cours au Moyen-Orient sur les communautés juives en Europe.
Les droits fondamentaux des citoyens sont menacés dans toute l’Europe. Selon le rapport sur les droits fondamentaux 2024 de la FRA, l’augmentation des niveaux de pauvreté, les menaces persistantes contre la démocratie, la généralisation du racisme et les défis liés à la migration expliquent ce constat. Ces menaces montrent à quel point il est nécessaire d’assurer une protection forte et durable des droits fondamentaux dans l’ensemble de l’UE, en particulier pour les personnes en situation de vulnérabilité. Le rapport propose des pistes pour que les décideurs politiques et la société civile œuvrent de concert à contrer la menace que constitue l’exclusion sociale et à créer les conditions d’une société plus équitable et plus juste pour tous.
Selon le dernier rapport de l’Agence des droits fondamentaux de l’Union européenne (FRA), de nombreux pays de l’UE ont facilité le vote des personnes handicapées dans le cadre d’élections. Mais certains groupes se heurtent encore à des obstacles considérables lorsqu’il s’agit de voter et de se présenter aux élections. Le rapport passe en revue les meilleures pratiques et propose des orientations pour veiller à ce que les personnes handicapées aient voix au chapitre en période électorale.
En Europe, un nombre croissant de personnes LGBTIQ choisissent désormais de vivre ouvertement leur identité . En même temps, elles sont davantage confrontées à la violence, au harcèlement et à l’intimidation qu’auparavant. Cette tendance est particulièrement préoccupante pour les jeunes personnes LGBTIQ, qui se retrouvent dans une situation de vulnérabilité accrue. Telles sont quelques-unes des conclusions de la dernière enquête de l’Agence des droits fondamentaux de l’Union européenne (FRA), basée sur les réponses de plus de 100 000 personnes LGBTIQ dans toute l’Europe.
Commentaires racistes, contrôles plus fréquents, voire violences, voilà comment les personnes d’origines ethniques différentes vivent le maintien de l’ordre en Europe. Pour autant, du fait du manque de données au niveau national, il est difficile d’évaluer pleinement l’ampleur du problème et d’élaborer des réponses efficaces. Telle est la conclusion du premier rapport à l’échelle de l’UE sur le racisme au sein des services de police rédigé par l’Agence des droits fondamentaux de l’Union européenne (FRA). L’Agence invite les États membres de l’UE à recueillir systématiquement des données sur les fautes commises au sein des services de maintien de l’ordre, à rendre les signalements plus sûrs et l’enregistrement des incidents plus efficace, ainsi qu’à accroître la diversité au sein des forces de police.
Les criminels qui cherchent à fuir vers d’autres pays peuvent être traduits en justice grâce au mandat d’arrêt européen. Toutefois, selon le dernier rapport de l’Agence des droits fondamentaux de l’Union européenne (FRA), la garantie du respect de leurs droits se heurte à des défis pratiques. Le rapport identifie les moyens de s’assurer que les personnes sont traitées équitablement, qu’elles sont informées des procédures et qu’elles les comprennent, et qu’elles bénéficient d’une assistance juridique.
Les commentaires injurieux, le harcèlement et l’incitation à la violence passent facilement à travers les mailles des outils de modération des contenus des plateformes en ligne, selon un nouveau rapport de l’Agence des droits fondamentaux de l’Union européenne (FRA). Celui-ci montre que la plupart des discours de haine en ligne ciblent les femmes, mais que les personnes d’ascendance africaine, les Roms et les Juifs sont également touchés. Le manque d’accès aux données des plateformes et la mauvaise compréhension de ce qui constitue un discours de haine entravent les efforts visant à lutter contre la haine en ligne. La FRA appelle à davantage de transparence et d’orientations afin de garantir à tous un espace en ligne plus sûr.
Près de la moitié des personnes d’ascendance africaine dans l’UE sont confrontées au racisme et à la discrimination dans leur vie quotidienne, un chiffre en augmentation depuis 2016. Le harcèlement raciste et le profilage ethnique sont également fréquents, particulièrement chez les jeunes, selon une nouvelle enquête de l’Agence des droits fondamentaux de l’Union européenne (FRA). La FRA appelle les pays de l’UE à prendre des mesures urgentes pour lutter contre la discrimination et le harcèlement à caractère raciste afin de garantir que tout le monde soit traité de manière égale et avec dignité.
européenne
L’ampleur des déplacements résultant de l’agression de la Russie contre l’Ukraine est immense. Sur les 4 millions de personnes déplacées bénéficiant d’une protection temporaire dans l’Union européenne, 1,3 million sont des enfants. Le dernier bulletin de l’Agence des droits fondamentaux de l’UE (FRA) sur l’Ukraine examine l’impact de la guerre sur les droits fondamentaux de ces enfants, les problèmes pratiques qu’ils rencontrent et les solutions possibles pour servir leur intérêt supérieur. Il met en lumière des situations précises dans lesquelles les besoins des enfants ne sont pas satisfaits, ni leurs droits pleinement respectés, protégés ou mis en œuvre.
Il peut être plus facile d’obtenir des prestations sociales ou de trouver des informations grâce aux services publics en ligne. Cependant, il arrive parfois que les personnes âgées ne possèdent pas les compétences numériques nécessaires pour les utiliser, ce qui peut éventuellement les empêcher d’exercer leurs droits fondamentaux. Elles peuvent ainsi être désavantagées et risquer d’être exclues de nos sociétés numérisées. Tel est l’avertissement lancé par l’Agence des droits fondamentaux de l’Union européenne (FRA) dans un rapport. Les pays de l’UE doivent garantir un accès universel aux services publics. Les personnes âgées devraient être en mesure de choisir la manière d’y accéder et recevoir de l’aide pour acquérir des compétences numériques.