Correspondance de Voltaire/Mars-1756-Oct-1757
Apparence
Janvier 1755 à Février 1756
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◄ | Mars 1756 — Octobre 1757
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► | Novembre 1757 à Décembre 1758 |
1756
3129.
Du duc de La Vallière, 1er mars 1756. — « J’ai reçu, mon cher Voltaire, le sermon. »
Long. et Wag.
3130.
M. Bertrand. Aux Délices, 7 mars. — « En arrivant, mon cher et humain philosophe. »
Mag. univ.
3131.
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices, 9 mars. — « Le Tout est bien recevrait. »
B. et F.
3132.
Tronchin, de Lyon. Délices, 10 mars. — « .... Songez que cette berline. »
Rev. suisse.
3133.
M. Dupont. Délices, 10 mars. — « Le séjour de Colmar n’a point été triste. »
B.
3134.
Thieriot. Délices, 12 mars. — « Il faut que l’âge ait dépravé mon goût. »
B.
3135.
M. de Fontaine. Monrion, 17 mars. — « Je savais, il y a longtemps. »
B.
3136.
M. Bertrand. Délices, 18 mars. — « On est quelquefois bien honteux. »
Mag. univ.
3137.
M. Bertrand. Délices, 18 mars. — « Je reçois dans le moment. ».
Mag. univ.
3138.
De Colini à M. Dupont. Monrion, 20 mars. — « Je ne m’attendais pas. »
Lett. in. 1821
3139.
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices, 22 mars. — « Voici une petite aventure. »
B. et F.
3140.
Le comte d’Argental. Délices, 22 mars. — « Vous avez raison. »
B.
3141.
Mlle Pictet. — « Quand vos yeux séduisent les cœurs.
B.
3142.
Le duc de Richelieu. Délices, 28 mars. — « Si je n’avais pas une nièce. »
B.
3143.
M. Bertrand. Délices, 30 mars. « Vous direz que je suis un étourdi. »
B.
3144.
MM. Cramer frères.
— « Je ne peux que vous remercier. »
B.
3145.
Le comte d’Argental. Délices, 1er avril 1756. — « Je reçois votre lettre. »
B.
3146.
M. Blanchet. Délices, 3 avril. — « Recevez mes très-sincères remerciements. »
B.
3147.
L’abbé de Condillac. — « Vous serez peut-être étonné. »
B.
3148.
M. Bertrand. Délices, 6 avril. — « Me voilà toujours cloué. »
Cl. Perr.
3149.
Cideville. Délices, 12 avril. — « J’ai tant fait de vers. »
B.
3150.
Thieriot. Délices, 12 avril. — « Je dicte ma lettre. »
B.
3151.
La comtesse de Lutzelbourg. Délices, 12 avril. — « J’ai déchiffré votre lettre. »
B.
3152.
Le président de Ruffey. Délices, 12 avril. — « En revenant à mon petit ermitage. »
Th. F.
3153.
M. Dupont. Délices, 16 avril. — « Le Suisse Voltaire envoie. »
B.
3154.
De M. Dupont. — « J’ai reçu vos deux sermons. »
Lett. in. 1821
3155.
Le duc d’Uzès. Délices, 16 avril. — « Vous voyez, monsieur le duc. »
B.
3156.
Le duc de Richelieu. Délices, 16 avril. — « C’est un trait digne de mon héros. »
B.
3157.
Mme de Fontaine. Délices, 16 avril. — « Les Délices sont un hôpital. »
B.
3158.
Tronchin, médecin. Délices, 18 avril. — « Depuis que vous m’avez quitté. »
B.
3159.
Bordes. Délices, avril. — « Soyez bien sûr que votre lettre. »
B.
3160.
Du duc de La Vallière. 22 avril. — « Je vais répondre avec le plus grand plaisir. »
Long. et Wag.
3161.
Pâris-Duverney. Délices, 26 avril. — « Il y a un mois que je devais. »
B.
3162.
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices, 26 avril. — « Je me doutais bien de quel avis. »
B. et F.
3163.
De Stanislas, roi de Pologne. 27 avril. — « J’ai reçu avec un plaisir sensible. »
B.
3164.
Le duc de Richelieu. Délices, avril. — « Prenez Port-Mahon. »
B.
3165.
Thieriot. Délices, 30 avril. — « Je viens de lire la gazette. »
B.
3166.
Le comte d’Argental. Délices, 3 mai 1756. — « Thieriot me mande. »
B.
3167.
Le duc de Richelieu. Délices, 3 mai. — « Mon héros, recevez mon petit compliment. »
B.
3168.
La marquise du Deffant. Délices, 5 mai. — « Je suis rempli d’étonnement. »
B.
3169.
Thieriot. Délices, 8 mai. — « Votre lettre du 27 avril. »
C. et F.
3170.
De Charles-Théodore, électeur palatin. 8 mai. — » Je vous suis bien obligé. »
B.
3171.
Colini. Monrion, jeudi au soir, 13 mai. — « Je vous suis obligé de toutes vos attentions. »
B.
3172.
Colini. Monrion, 15 mai. — « La bise nous a retenus. »
B.
3173.
Colini. Berne, 18 mai. — « Si vous nous envoyez quelques lettres adressées aux Délices. »
B.
3174.
Colini. Berne, 23 mai. « Il faut que Loup fasse venir. »
B.
3175.
M. Bertrand. Monrion, 26 mai. « Notre hôte du Faucon. »
Mag. univ.
3176.
Thieriot. Monrion, 27 mai. « Je crois que le braiement. »
B.
3177.
Tronchin, de Lyon. Monrion, 27 mai.-« Nous espérons apprendre. »
C. et F.
3178.
De Colini à Pierre Rousseau. Délices, 4 juin 1756. « M. de Voltaire ne peut avoir. »
Inéd.
3179.
Le comte d’Argental. Délices, 4 juin. — « Je vous ai envoyé. ».
B.
3180.
Thieriot. Délices, 4 juin. « Je reviens dans mon ermitage. »
B.
3181.
M. de Brenles. Délices, 9 juin. « Je m’intéresse plus à vous. »
B.
3182.
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices, 10 juin. — « Que ma personne n’est-elle. »
B. et F.
3183.
Louis Eugène, prince de Wurtemberg. Délices, 14 juin. « Un Suisse, un solitaire. »
B.
3184.
Le duc de Richelieu. Délices, 14 juin. « J’ai quelque orgueil. »
B.
3185.
M. de Brenles. Délices, 15 juin. « On dit le colonel Constant mort.»
B.
3186.
Le comte d’Argental. Délices, 15 juin. — « Nos amours sont furieusement traversées. »
B.
3187.
Thieriot. Délices, 16 juin. — « Je ne suis pas étonné. »
B.
3188.
M. Dupont. Délices, 20 juin. « Je vous avais envoyé. »
B.
3189.
Mlle ***. Délices, 20 juin. « Je ne suis qu’un vieux malade. »
B.
3190.
Thieriot. Délices, 26 juin. « Vous ne savez ce que vous dites. »
C. et F.
3191.
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices, 26 juin. « Il y a donc des malheurs aussi. »
B. et F.
3192.
Le comte d’Argental. Délices, 28 juin. « J’ai fait venir les frères Cramer. »
B.
3193.
La comtesse de Lutzelbourg. Délices, 2 juillet 1756. — « Vos lettres sont bien aimables. »
B.
3194.
Le comte d’Argental. Délices, 2 juillet. — « Avez-vous reçu enfin, »
B.
3195.
Le duc de Richelieu. Délices, 5 juillet. (A vous seul.) « Pardonnez à mes importunités. »
B.
3196.
M. Dupont. Délices, 6 juillet. « Il est vrai que l’homme en question. »
B.
3197.
Le duc de Richelieu. Délices, juillet. « Mon héros, je vais aussi brûler. »
B.
3198.
Le comte Algarotti. Délices, 7 juillet. — « Ho ricevuto colla più viva gratitudine. »
B.
3199.
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices. 12 juillet. « Mon attachement, ma sensibilité. »
B. et F.
3200.
Le comte d’Argental. Délices, 16 juillet. « On voit bien que vous ne m’écrivez pas. »
B.
3201.
Le duc de Richelieu. Délices, 16 juillet. — « Mon héros et celui de la France. »
B.
3202.
Le président de Ruffey. Délices, 21 juillet. « Je ne suis qu’un petit prophète. »
Th. F.
3203.
Thieriot. Délices, 21 juillet. « Le succès fait la renommée. »
B.
3204.
L’abbé de Voisenon. Délices, 24 juillet. — « Vraiment, notre grand aumônier. »
B.
3205.
Desmahis. Délices, 24 juillet. — « Mon cher élève, qui valez mieux que moi. »
B.
3206.
Tronchin, de Lyon. Délices, 24 juillet. — « On est transporte à Vienne. »
C. et F.
3207.
Le duc de Richelieu. Délices, 24 juillet. — « Dieu me préserve d’importuner, »
C. et F.
3208.
M. de Ramsault le père. 24 juillet. — « Je vais obéir à vos ordres. »
C. et F.
3209.
Pâris-Duverney. Délices, 20 juillet. — « Votre lettre augmente la joie. »
B.
3210.
De d’Alembert. 28 juillet. — « Puisque la montagne ne veut pas venir. »
B.
3211.
À un académicien de Lyon. — « Vous avez bien raison. »
Biblioph. belge.
3212.
D’Alembert. Délices, 2 août 1756. — « Si j’avais quelque vingt. »
B.
3213.
Lekain. Délices, 4 août. — « Tout ce qui est aux Délices. »
C. et F.
3214.
Le comte d’Argental. Délices, 4 août. — « Je suis bien malingre. »
B.
3215.
Le duc de Richelieu. Délices, 4 août. — « Il me semble que toutes les lettres. »
B.
3216.
Le comte d’Argental. 7 août. — « Voici le Botoniate achevé. »
B.
3217.
Thieriot. Aux Délices, 9 août. — « Je ne sais ce que c’est. »
B.
3218.
Le comte de Tressan. Délices, 18 août. — « Vous êtes donc comme messieurs vos parents. »
B.
3219.
De J.-J. Rousseau. Le 18 août. — « Vos deux derniers poëmes. »
B.
3220.
Pierre Rousseau. Délices, 20 août. — « Il se passera plus de trois mois. »
Inéd.
3221.
Thieriot. Délices, 20 août. — « Pourquoi donc cet honnête homme.»
C. et F.
3222.
Tronchin, de Lyon. Délices, 21 août. — « On m’écrit de Paris. »
Rev. suisse.
3223.
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices, 23 août. — « L’optimisme et le Tout est bien.»
B. et F.
3224.
La comtesse de Lutzelbourg. Délices, 23 août. — « Dites-moi donc, madame, vous qui êtes. »
B.
3225.
Palissot. Délices, 27 août. — « Tout malade que je suis. »
B.
3226.
Le duc de Richelieu. Délices, 27 août. — « Vraiment, je suis un plaisant homme »
C. et F.
3227.
Le docteur Tronchin. — « Les dévotes sont toujours. »
C. et F. (Suppl.)
3228.
M. Bertrand. Délices, 3 septembre 1756. — « Mon cher philosophe, les Délices sont devenues. »
Cl. Perr.
3229.
Le comte d’Argental. Délices, 6 septembre. — « Vous n’avez point encore répondu. »
B.
3230.
Le duc de Richelieu. Délices, septembre. — « Je ne conçois pas trop. »
B.
3231.
Thieriot. Délices, 10 septembre. — « Je vous assure que Tronchin. »
B.
3232.
Le président de Ruffey. Délices, 12 septembre. — « J’écris quand je peux. »
Th. F.
3233.
J.-J. Rousseau. Délices, 12 septembre. — « Mon cher philosophe, nous pouvons. »
B.
3234.
La comtesse de Lutzelbourg. Délices, 13 septembre. — « Priez bien Dieu. »
B.
3235.
Le comte d’Argental, Délices, 13 septembre. — « Vous vous êtes tiré d’affaire, »
B.
3236.
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices, 14 septembre. — « Voilà une de ces occasions. »
C. et F.
3237.
Thieriot. Délices, 17 septembre. — « Tout le monde fait des sottises. »
C. et F.
3238.
M. Pictet, professeur. — « J’ai lu ce morceau du jésuite Castel. »
B.
3239.
Le comte d’Argental. Délices, 20 septembre. — « Après des Chinoises, vous voulez. »
B.
3240.
Le comte d’Argental. Délices. 1er octobre 1756. — « Tout mon temps se partage. »
B.
3241.
Le maréchal de Richelieu. Délices, 6 octobre. — « Je ne vous écris pas si souvent. »
B.
3242.
La comtesse de Lutzelbourg. Délices, 6 octobre. — « Si je ne me mourais pas. »
B.
3243.
D’Alembert. Délices, 9 octobre. — « Nous avons été sur le point. »
B.
3244.
Le duc de Richelieu. Délices, 10 octobre. — « Souvenez-vous, mon héros. »
B.
3245.
Pour M. et Mme de Montpéroux, et pour eux seuls. — « Sous même toit. »
G. et F. (Suppl.)
3246.
Tronchin, de Lyon. Délices, 14 octobre. — « Quand le dernier des Autrichiens. »
C. et F. (Suppl.)
3247.
Thieriot. Délices, 14 octobre. — « Si Mme de La Popelinière n’est pas guérie. »
B.
3248.
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices, 22 octobre. — « Il ne reste à moi, pauvre perclus. »
B. et F.
3249.
Tronchin, de Lyon. Délices. 25 octobre. — « Vous savez qu’on prétend. »
C. et F. (Suppl.)
3250.
La comtesse de Lutzelbourg. Délices, 25 octobre. — « J’ai toujours mon rhumatisme. »
B.
3251.
Tronchin, de Lyon. Délices, 30 octobre. — « Ce qu’on dit du désastre. »
C. et F. (Suppl.)
3252.
Le duc de Richelieu. Délices, 1er novembre 1756. — « Je n’ai point eu de cesse. »
B.
3253.
Le comte d’Argental. Délices, 1er novembre. — « Il y a longtemps que je ne vous ai parlé. »
B.
3254.
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices, 2 novembre. — « Votre Altesse sérénissime daigne m’envoyer. »
B. et F.
3255.
Tronchin, de Lyon. Délices, 6 novembre. — « Les Anglais enchériront le sucre. »
C. et F. (Suppl.)
3256.
La comtesse de Lutzelbourg. Délices, 9 novembre. — « Eh bien, madame, est-il vrai ? »
B.
3257.
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices, 9 novembre. — « Madame, madame, madame, la pièce. »
B. et F.
3258.
Thieriot. Délices, 10 novembre. — « La vie est un songe. »
B.
3259.
D’Alembert. — « Aux Délices, où nous voudrions bien vous tenir, 13 novembre. »
B.
3260.
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices, 14 novembre. — « J’eus hier l’honneur d’écrire. »
B. et F.
3261.
Lekain. Délices, 20 novembre. — « Vôtre souvenir m’est bien agréable. »
B.
3262.
La comtesse de Lutzelbourg. Délices, 23 novembre. — « Ah ! madame, je ne compte pas. »
B.
3263.
Thieriot. Délices, 28 novembre. — « Je suis persuadé. »
B.
3264.
Le comte d’Argental. Délices, 28 novembre. — « Comment voulez-vous ? »
B.
3265.
P. Rousseau, à Liège. Délices, 28 novembre. — « J’ai vu dans votre journal de novembre. »
B.
3266.
D’Alembert, 29 novembre. — « J’envoie, mon cher maître, au bureau. »
B.
3267.
Palissot, 30 novembre. — « Votre lettre est venue. »
B.
3268.
Le duc de Richelieu. Délices, 8 décembre 1756. — « Je vous souhaite de bonnes et belles années. »
B.
3269.
M. de Cheneviéres. — « Grand merci, mon cher confrère. »
B.
3270.
De d’Alembert, 13 décembre. — « Vous avez, mon cher et illustre maître. »
B.
3271.
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices, 14 décembre. — « Le jeune gentilhomme anglais. »
B. et F.
3272.
Thieriot, 19 décembre. — « On m’a enfin envoyé, »
B.
3273.
Le duc de Richelieu. Délices. 20 décembre. — « Je suis honteux d’importuner. »
B.
3274.
Le comte d’Argental. Délices. 20 décembre. — « J’ai vu cette infâmie. »
B.
3275.
D’Alembert. Aux Délices, où l’on vous regrette, 22 décembre. — « Mon cher maître, mon aimable philosophe. »
B.
3276.
P. Rousseau. — « Parmi les nouvelles affligeantes. »
B.
3277.
Du duc de Richelieu. — « Je suis très-touché. »
B.
3278.
La comtesse de Lutzelbourg. Délices. 27 décembre. — « Je ne conçois rien. »
B.
3279.
D’Alembert, 28 décembre. — « Je vous renvoie histoire. »
B.
3280.
Mme du Boccage. Délices, 30 décembre. — « Comment faites-vous ? »
B.
1757
3281.
Le conseiller Tronchin. 2 janvier 1757. — « Voici la lettre que je reçois. »
C. et F. (Suppl.)
3282.
L’amiral Byng. — » Quoique je vous sois presque inconnu. »
B.
3283.
Le duc de Richelieu. Délices, 3 janvier. — « L’humanité et moi. »
B.
3284.
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices, 4 janvier. — « Votre Altesse sérénissime a peut-être reçu. »
B. et F.
3285.
Du comte d’Argenson, 6 janvier. — « Hier au soir. »
B. et F.
3286.
Pierre Rousseau. Lausanne, 7 janvier. — « J’ai reçu la lettre non datée. »
Inéd.
3287.
De Charles-Théodore, électeur palatin. 12 janvier. — « Je vous suis très-obligé. »
B.
3288.
Thieriot. À Monrion, 13 janvier. — « Eh bien ! vous courez donc de belle en belle. »
B.
3289.
M. Vernes, à Genève. Monrion, 13 janvier. — « C’est une chose bien honorable. »
B.
3290.
Le conseiller Tronchin. Monrion, 15 janvier. — « Je suis bien sensible. »
C. et F. (Suppl.)
3291.
La margrave de Baireuth. Monrion, janvier 1757. — « Madame, souffrez que je vous réitère. »
Rev. fr.
3292.
Cideville. Monrion, 16 janvier. — « Nous vous sommes très-obligés. »
B.
3293.
D’Alembert. Monrion, 16 janvier. — « Je vous envoie l’article Imagination. »
B.
3294.
Mme de Fontaine. Monrion, 16 janvier. — « Ceci est pour ma nièce. »
B.
3295.
M. Pictet, professeur en droit. Monrion, 16 janvier. — « Les Délices ne sont plus Délices. »
B.
3296.
Le comte d’Argental. Monrion, 20 janvier. — « Je sens tout le prix. »
B.
3297.
La comtesse de Lutzelbourg. Monrion, 20 janvier. — « J’ai eu cinquante relations. »
B.
3298.
De d’Alembert. 23 janvier. — « La Religion vengée est l’ouvrage. »
B.
3299.
La duchesse de Saxe-Gotha. Monrion, 28 janvier. — « J’ai l’honneur d’envoyer à Votre Altesse sérénissime »
B. et F.
3300.
Le duc d’Uzès. Monrion, 28 janvier. — « J’ai reçu, monsieur le duc. »
B.
3301.
Du comte d’Argenson. 30 janvier. — « Pierre Damiens est interrogé. »
B. et F.
3302.
De Mme Denis à Lekain. Février 1757. — « Votre lettre m’a fait un plaisir extrême. »
Mém. Lek.
3303.
Le duc de Richelieu. Monrion, 4 février 1757. — « Je ne sais si mon héros. »
B.
3304.
D’Alembert. Monrion, 4 février. — « Je vous envoie Idole. »
B.
3305.
Lekain. Monrion, 4 février. — « Ma recommandation, la recommandation d’un Suisse. »
C. et F.
3306.
Le conseiller Tronchin. Monrion, 5 février. — « Il me paraît assez sûr. »
C. et F.
3307.
Le président de Ruffey. Monrion, 6 février. — « Il y a quelques jours. »
Th. F.
3308.
Le comte d’Argental. Monrion, 6 février. — « Moi, aller à Pétersbourg. »
B.
3309.
Tronchin, de Lyon. Monrion, 6 février. — « Celui qui a écrit. »
C. et F. (Suppl.)
3310.
La duchesse de Saxe-Gotha. Monrion, 8 février. — « Voici les dernières nouvelles. »
B. et F.
3311.
Vernes, à Genève. Monrion, février. — « Je crois qu’on ne jouera. »
B.
3312.
La margrave de Baireuth. Monrion, 8 février. — « Je crois que la suite des nouvelles. »
B.
3313.
Cideville. Monrion, 9 février. — « Je souhaite que le fatras. »
B.
3314.
La comtesse de Lutzelbourg. Monrion, 9 février. — « Est-il vrai ce qu’on m’écrit. »
B.
3315.
Le duc de Richelieu. 13 février. — « Le fragment de votre lettre. »
B.
3316.
Lévesque de Burigny. Monrion, 14 février. — « L’esprit dans lequel j’ai écrit. »
B.
3317.
Palissot. Monrion, 16 février. — « Ce que vous me mandez. »
B.
3318.
Mme de Fontaine. Monrion. 19 février. — « Qu’est-ce que c’est donc. »
B.
3319.
Le duc de Richelieu. 19 février. — « Oui, sans doute, mon héros. »
B.
3320.
Tronchin, de Lyon. Monrion, 19 février. — » J’attends avec impatience »
C. et F. (Suppl.)
3321.
M. de Chenevières. Monrion, 19 février. — « Il y a huit jours que Mme Denis. »
C. et F.
3322.
Pictet, professeur en droit. Monrion, 22 février. — « Mon très-cher voisin, la volonté de Dieu soit faite ! »
B.
3323.
Pierre Rousseau. Monrion, 24 février. — « C’est pour la quatrième fois.»
B.
3324.
D’Alembert. Février. — « Voici une paperasse. »
B.
3325.
Diderot. Monrion, 28 février. — « L’ouvrage que vous m’avez envoyé. »
C. et F.
3326.
Le comte de Bestucheff. Monrion, février. — « J’ai reçu une lettre. »
B.
3327.
Thieriot. Monrion, 3 mars 1757. — « Je n’entends point parler de vous. »
B.
3328.
Le comte d’Argental. Monrion, 3 mars. — « On peut mal servir. »
B.
3329.
La duchesse de Saxe-Gotha. Monrion, 5 mars. — « Quoi ! Votre Altesse sérénissime a la bonté de s’excuser. »
B. et F.
3330.
La margrave de Baireuth. Monrion, 5 mars. — « Que Vôtre Altesse royale daigne me conserver ses bontés. »
Rev. fr.
3331.
M. de Brenles. Ce dimanche. — « On prétend que M. votre beau-frère. »
B.
3332.
Mme de Fontaine. Monrion, 6 mars. — « Le bonhomme Lusignan dit les choses. »
B.
3333.
La comtesse de Lutzelbourg. Monrion, 8 mars. — « J’ai été malade. »
B.
3334.
M. Dupont, avocat. Monrion, 10 mars. — « Les Cramer ont dû vous envoyer. »
B.
3335.
M. de Brenles. Jeudi, 10 mars. — « Sæpe, premente deo. »
B.
3336.
Le marquis de Thibouville. Monrion. 20 mars. — « Je ne sais, mon cher confrère. »
B.
3337.
Lévesque de Burigny. Monrion, 20 mars. — « On ne se douterait pas. »
B.
3338.
Palissot. Monrion. — « Votre dernière lettre est remplie de goût. »
B.
3339.
Saurin. — « J’entre dans vos peines. »
B.
3340.
Thieriot. Monrion. 26 mars. — « De tous les éloges dont vous comblez. »
B.
3341.
La duchesse de Saxe-Gotha. 25 mars. — « Je pourrais bien avoir oublié. »
B. et F.
3342.
Pictet, professeur en droit. Monrion, 27 mars. — « Vous voilà donc, mon très-cher voisin. »
B.
3343.
Moncrif. Monrion, 27 mars. — « Mon cher confrère, j’ai été enchanté. »
B.
3344.
De d’Alembert. — « J’ai reçu et lu l’article Liturgie »
B.
3345.
Pâris-Duverney. 27 mars. — « Je prends d’ordinaire. »
C. et F.
3346.
Le duc de Richelieu. 6 avril 1757. — « Vous savez, il y a du temps. »
B.
3347.
La comtesse de Lutzelbourg. Près de Lausanne, 6 avril. — « Quand je sais quelque chose. »
B.
3348.
Tronchin, de Lyon. Monrion, 7 avril. — « Il paraît que la nation. »
C. et F.
3349.
Tronchin, de Lyon. Monrion, 8 avril. — « Vingt conseillers du parlement. »
C. et F. (Suppl.)
3350.
Tronchin, de Lyon. Délices, 13 avril. — « Je vois qu’il faut vivre douze ans. »
C et F. (Suppl.)
3351.
Le duc de Richelieu. Délices, 20 avril. — « Mon héros, il y a longtemps. »
B.
3352.
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices, 21 avril. — « La bonté de votre cœur. »
B. et F.
3353.
Le marquis de Thibouville. Délices, 8 mai 1757. — « Votre roman, mon cher Catilina. »
B.
3354.
Lévesque de Burigny. Délices, 10 mai. — « Je ne puis trop vous remercier. »
B.
3355.
Le marquis de Florian. Mai. — « Mon cher surintendant des chars de Cyrus. »
B.
3356.
Cideville Délices, 18 mai. — « J’ai admiré la bonté. »
B.
3357.
Thieriot, chez la comtesse de Montmorency, rue Vivienne. Délices, mai. — « Vous noterez, s’il vous plait. »
C. et F.
3358.
Darget. Délices, 20 mai. — « On gâte ses yeux. »
B.
3359.
D’Alembert. Délices, 24 mai. — « Voici, mon cher et illustre philosophe. »
B.
3360.
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices, 24 mai. — « Je suis presque aussi malade. »
B. et F.
3361.
Le duc de Richelieu. Monrion, 20 mai. — « Feu l’amiral Byng vous assure de ses respects. »
B.
3362.
Tronchin, de Lyon. Monrion, 29 mai. — « Je vois que je ne serai instruit. »
C. et F. (Suppl.)
3363.
Mme de Fontaine. Délices, 31 mai. — « Je vous dirai d’abord. »
B.
3364.
Thieriot. Monrion, 2 juin 1757. — « Je reçois votre très-agréable lettre du 25. »
B.
3365.
Tronchin, de Lyon. Délices, 4 juin. — « Je ne suis pas fâché. »
Rev. suisse.
3366.
Le duc de Richelieu. Délices, 4 juin. — « Ma conscience m’oblige. »
B.
3367.
La comtesse de Lutzelbourg. Délices, 4 juin. — « Que Dieu protège Marie. »
B.
3368.
Dom Fangé, à Senones. Délices, 14 juin. — « J’admire la force du tempérament. »
B.
3369.
Le duc de Richelieu. Délices, 18 juin. — « Il est bien vrai. »
B.
3370.
Mme de Fontaine. Juin. — « Votre idée, ma chère nièce. »
B.
3371.
Jean Schouvaiow, chambellan de l’impératrice de Russie, à Moscou. Délices, 24 juin. — « J’ai reçu les cartes. »
B.
3372.
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices, 24 juin, par Lyon et Strasbourg, chemin un peu long. — « Ce sont les lettres. »
B. et F.
3373.
Le comte d’Argental. Délices, 25 juin. — « Je serais bien homme à courir. »
B.
3374.
Le duc de Richelieu. Délices, 2 juillet 1757. — « Qui ! moi, que je me donne. »
B.
3375.
Tronchin, de Lyon. 6 juillet. — « Corneille comparait Montauron à Auguste. »
Rev. suisse.
3376.
D’Alembert, 6 juillet. — « Voici encore ce que mon prêtre. »
B.
3377.
D’Alembert. Délices, 8 juillet. — « Voilà encore de l’érudition orientale. »
B.
3378.
Le marquis de Courtivron. Délices, 12 juillet. — « Vous savez qu’il faut pardonner. »
B.
3379.
Cideville. Délices, 15 juillet. — « J’ai l’air bien paresseux. »
B.
3380.
Mme de Fontaine. Délices, 18 juillet. — « Mille amitiés à vous. »
B.
3381.
Le duc de Richelieu. Délices, 19 juillet. — « C’est à vous à juger. »
B.
3382.
De d’Alembert. 21 juillet. — « J’ai reçu, il y a déjà. »
B.
3383.
D’Alembert. Délices, 23 juillet. — « Voici encore de la besogne. »
B.
3384.
Le marquis d’Adhémar. — « Il n’est chère que de vilain. »
B.
3385.
Colini. Délices, 29 juillet. — « Je vous remercie des bonnes nouvelles. »
B.
3386.
D’Alembert. Juillet. — « Et toujours mon prêtre. »
B.
3387.
Tronchin, de Lyon. Délices, 29 juillet. — « J’ai une grâce à vous demander. »
C. et F. (Suppl.)
3388.
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices, 30 juillet. — « Les lettres vont toujours. »
B. et F.
3389.
La comtesse d’Argental. Délices, 1er août 1757. — « J’aurais bien voulu. »
B.
3390.
La comtesse de Lutzelbourg. Délices, 6 août. — « Vous avez eu la consolation. »
B.
3391.
Jean Schouvaiow. Délices, 7 août. — « Avant d’avoir reçu. »
B.
3392.
Tronchin, de Lyon. Délices, 8 août. — « Je serais bien mortifié. »
C. et F. (Sup.)
3393.
Jean Schouvaiow. Délices, 11 août. — « Celle-ci est pour informer Votre Excellence. »
B.
3394.
La margrave de Baireuth. Délices, août. — « Mon cœur est touché. »
Rev. fr.
3395.
Palissot. Délices, 15 août. — « Je hasarde ce petit mot. »
B.
3396.
De Charles-Théodore, électeur palatin, 15 août. — « Ce n’est que la quantité d’affaires. »
B.
3397.
De la margrave de Baireuth. 19 août. — « On ne connaît ses amis. »
B.
3398.
Le comte d’Argental. Délices, 19 août. — « Je commence par vous dire. »
B.
3399.
Le duc de Richelieu. Délices, 21 août. — « C’est en tremblant que je vous écris. »
B.
3400.
L’abbé d’Olivet. Délices, 22 août. — « Un Cramer, mon cher maître. »
B.
3401.
À M ***. Délices, 23 août. — « Je vous renvoie ci-joint mon testament. »
H. B.
3402.
Le duc de Richelieu. (À vous seul.) — « Vous avez vu et vous avez fait. »
B.
3403.
Mme de Fontaine. Délices, 27 août. — « Je vous avoue que je suis fâché. »
B.
3404.
La margrave de Baireuth. Délices, 29 août. — « J’ai été touché jusqu’aux larmes. »
Rev. fr.
3405.
D’Alembert. Au Chêne, 29 août. — « Me voici, mon cher et illustre philosophe, à Lausanne. »
B.
3406.
M. de Brenles. Au Chêne, 1er septembre 1757. — « Mais, mon cher embaucheur. »
B.
3407.
Tronchin, de Lyon. Lausanne, 1er septembre. — « On me mande de l’armée de Bohême. »
Rev. suisse.
3408.
Le conseiller Tronchin. Au Chêne, 2 septembre. — « Je vous dirai que dans une lettre. »
C. et F. (Suppl.)
3409.
M. Bertrand. Lausanne, 4 septembre (part, le 6). — « Plus la robe dont vous me parlez. »
B.
3410.
M. Bertrand. Au Chêne, à Lausanne, 9 septembre. — « Mon cher théologien, mon cher philosophe. »
B.
3411.
Thieriot. Aux Délices. — « Je suis vir desideriorum. »
B.
3412.
Le duc de Richelieu. — « Si j’étais moins vieux. »
C. et F.
3413.
Le comte d’Argental. Délices, 12 septembre. — « Moi, qui n’ai point pris les eaux. »
B.
3414.
La comtesse de Lutzelbourg. Délices, 12 septembre. — « Voilà de grandes révolutions. »
B.
3415.
Thieriot. Délices, 12 septembre. — « J’ai reçu un gros paquet. »
B.
3416.
De la margrave de Baireuth. 12 septembre. — « Votre lettre m’a sensiblement touchée. »
B.
3417.
Tronchin, de Lyon. Délices, 13 septembre. — « On dit qu’on parle à la Haye. »
C. et F. (Suppl.)
3418.
M. de Champbonin, premier commis dans les bureaux des fortifications. Délices, 15 septembre. — « J’avais recommandé expressément qu’on vous envoyât. »
B.
3419.
M. Bertrand. Délices, 21 septembre. — « Je vous écris en sortant. »
B.
3420.
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices, 22 septembre. — « Deux ou trois années du meilleur des mondes possibles. »
B. et F.
3421.
Tronchin, de Lyon. Délices, 27 septembre. — » Vous pourriez bien me faire un plaisir. »
C. et F. (Suppl.)
3422.
M. de La Michodière, intendant d’Auvergne. — « C’est à Breslau, à Londres. »
B.
3423.
Le comte d’Argental. Délices, 1er octobre 1757. — « Je ne vous ai point encore parlé. »
B.
3424.
Thieriot. Aux Délices, 1er octobre. — « Vraiment, je n’ai point eu cette lettre. »
B.
3425.
Frédéric II, roi de Prusse. Octobre. — « Sire, ne vous effrayez pas. »
B.
3426.
Frédéric II, roi de Prusse. Octobre. — « Votre Épitre d’Erfurt est pleine. »
B.
3427.
Darget. Délices, 5 octobre. — « Bénis soient les Russes. »
B.
3428.
Le comte d’Argental. Délices, 5 octobre. — « Voilà qui est plaisant. »
B.
3429.
De la margrave de Baireuth. 8 octobre. — « Vos lettres me sont toutes bien parvenues. »
B.
3430.
De Frédéric II, roi de Prusse. 9 octobre. — « Je suis homme, il suffit. »
B.
3431.
De la margrave de Baireuth. 10 octobre. — « Accablée par les maux. »
B.
3432.
M. Bertrand. Délices, 16 octobre. — « Votre paquet doit être. »
C. et F. (Suppl.)
3433.
Vernes. Lausanne, 18 octobre. — « Je vous remercie de la belle catéchèse. »
C. et F.
3434.
Tronchin, de Lyon. Lausanne, 20 octobre. — « Votre amitié et votre probité. »
C. et F. (Suppl.) B.
Billet séparé.
3435.
Bertrand. Lausanne, 21 octobre. — « Il y a force méchants. »
B.
3436.
De Tronchin, de Lyon. 24 octobre. — « J’ai reçu avant-hier. »
C. et F. (Suppl.)
Note en réponse dictée par M. le cardinal de Tencin à M. Tronchin.
3437.
De Charles Théodore, électeur palatin. 25 octobre. — « J’ai reçu avec bien de la reconnaissance l’importante nouvelle. »
B.
3438.
Thieriot. Au Chêne, 26 octobre. — « Je vous envoie la réponse. »
B.
3439.
M. Vernes. Au Chêne, 20 octobre. — « Je regrette sensiblement. »
C. et F.
3440.
Tronchin, de Lyon. Lausanne, 27 octobre. — « Je suis très-flatté que mes rêves. »
C. et F. (Suppl.)
3441.
Palissot. Au Chêne, 29 octobre. — « La mort de ce pauvre petit Patu. »
B.