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La seconde Tombe du Guerrier de Sesto Calende La seconda tomba di guerriero | ||
Casque en bronze laminé du guerrier de Sesto Callende, exposé au Musée Archéologique de la Villa Mirabello, à Varèse, dans la province de Lombardie. | ||
Localisation | ||
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Pays | Italie | |
Lombardie | Lombardie | |
Varèse | Varèse | |
Coordonnées | 8° 38′ 00″ nord, 45° 44′ 00″ est | |
Altitude | 345 m | |
Superficie | 0 ha | |
Géolocalisation sur la carte : Italie
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Histoire | ||
Époque | Hallstatt moyen/Golasecca II A; courant du VIIe siècle av. J.-C. | |
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La seconde Tombe du Guerrier de Sesto Callende La seconda tomba di guerriero del Sesto Callende | ||
Casque en bronze laminé du guerrier de Sesto Callende, exposé au Musée Archéologique de la Villa Mirabello, à Varèse, dans la province de Lombardie. | ||
Localisation | ||
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Pays | Italie | |
Lombardie | Lombardie | |
District de Varèse | District de Varèse | |
Coordonnées | 45° 44′ 00″ nord, 8° 38′ 00″ est | |
Altitude | 345 m | |
Géolocalisation sur la carte : Italie
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Histoire | ||
Époque | Hallstatt moyen/Golasecca II A; courant du VIIe siècle av. J.-C. | |
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Il s'agit d'une sépulture sous tumulus découverte en 1928, sur le site de l'Asilo Basseti au sein de la ville de Sesto Callende, dans la province de Lombardie. Le riche mobilier funéraire extrait de la fosse, dont notamment un char à deux roues, indique que la sépulture est de type tombe à char et de surcroît une tombe princière. Ce dépôt funéraire est assigné aux environ de la fin du VIIe siècle av. J.-C. et appartient à l'aire chronologique et géographique de la civilisation nord-italienne de Golasecca[1].
Localisation et topographie de la sépulture
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Topographie de la sépulture
[modifier | modifier le code]La tombe consiste en un volumineux tumulus pierreux circulaire recouvrant une fosse creusée dans une terre riche et meuble de type argileuse[2],[3]. La cavité funéraire affecte une forme rectangulaire de 3,5 mètres de long et 1,5 mètres de large, pour une profondeur de 60 centimètres environ[2].
La sépulture est orientée selon un axe Nord-Ouest/Sud-Est. À sa découverte, la scène mortuaire de la fosse présentait une disposition classique, en ce sens que la totalité de la vaissellerie du viatique était concentrée sur la partie nord-ouest de la cavité, l'urne à incinération au centre, tandis que les éléments du char s'en octroyaient la moitié inférieure. Le charriot miniature et également les pièces d'armement offensif et défensif se plaçaient, quant à ces derniers, sur la frange orientale de la fosse[2].
Découverte et fouilles archéologiques
[modifier | modifier le code]Ultérieurement à la découverte accidentelle d'une première tombe à char aristocratique à inhumation[4]au sein du quartier de La Castiona dans la zone urbaine de Sesto Callende, des fouilles sont entreprisent sous l'égide de l'archéologue italien Piero Massati à la fin du mois de novembre 1928, sur une aire d'environ 40 mètres de rayon. Le dépôt funéraire est mis au jour dès le début du mois de décembre 1928, au lieu-dit de l'Asilo Basseti, à quelques dizaines de mètres à peine du premier gisement mortuaire[5],[1][6].
Le 8 décembre, le groupe d'archéologue mené par Piero Massati extrait les pièces d'un char incorporé dans la fosse mortuaire[7].
Postérieurement à l'excavation du mobilier funéraire, en 1929 des analyses métallurgiques et radiométriques et une identification de chaque fait archéologique constituant ce dernier, effectuées par le scientifique Alda Levi. Puis, au cours de l'année 1930, Ettore Ghizlanzonni encadré de l'équipe du laboratoire archéologique éponyme, réalisent les reconstitution de nombreux éléments ajourés, dont notamment un remarquable char guerrier et/ou d'apparat. L'ensemble de l'exploration archéologique est rendue publique en 1944 par l'institut de recherche Ghizlanzonni[5].
Contexte historique et culturel
[modifier | modifier le code]Histoire du site princier de Sesto Callende
[modifier | modifier le code]- Mise en perspective chrono-culturelle du site princier de Sesto Calende
Tableau récapitulatif des différents systèmes de datation en Europe au cours de la période celtique dite de Hallstatt d'après l'ouvrage collectif, La culture de Golasecca[8] ; selon l'article "Golasecca : Les Celtes du nord de l'Italie", rédigé par Brigitte Postel et issu du périodique mensuel Archéologia ( numéro 476 ) [9] ; l'ouvrage de Venceslas Kruta : Les Celtes, histoire et dictionnaire : des origines à la romanisation et au christianisme[10],[11],[12] ; l'ouvrage "Celtes : Trésors d'une civilisation disparue", sous la direction de Daniele Vitali[13]; l'ouvrage Art de la celtique. Du VIIe siècle av. J.-C. au VIIIe siècle ap. J.-C. : Des origines au livre de Kells de Ruth et Vincent Megaw[14],[15] ; également d'après l'ouvrage de Patrick Brun : Princes et princesses de la Celtique : Le premier Âge du Fer ( -850 - -450 av. J.-C. ) [16] ,[17],[18] ; et enfin, selon le recueil collectif et universitaire L'Europe Celtique à l'Âge du Fer VIIIe - Ier siècles[19] :
Le contexte géoculturel : vue d'ensemble
[modifier | modifier le code]- Carte des principaux archéologiques mis au jour appartenant à la Culture de Golasecca en Lombardie, d'après l'ouvrage collectif, La culture de Golasecca[20],[21],[22],[23],[24] et selon l'ouvrage de compte-rendu de colloque au Collège de France Les Celtes d'Italie, de Daniele Vitali[25],[26],[27],[28] :
Les deux grands pôles golasecciens sont représentés par les symboles : étoile à 4 branches rouge. La sépulture se localise au sud du lac de Côme et la région à proximité de Castelletto Sopra Ticino, sur les rives du Tessin. Ces deux principaux centres proto-urbains de la civilisation de Golasecca s'étant imposés au rang européen des flux commerciaux et géopolitiques au cours du VIIIe siècle av. J.-C. et VIIe siècle av. J.-C., pour le premier, et à partir du milieu du VIIe siècle av. J.-C., pour le second[20],[21],[29],[30]. Ces centres d'importance sont attribués respectivement aux moitiés orientales et occidentale l'aire d'extension de la culture de Golasecca, soit Golasecca type 1 et Golasecca type 2,[20],[21],[29],[30].
Le mobilier funéraire de la sépulture
[modifier | modifier le code]Le Char
[modifier | modifier le code]De l'imposant artéfact mis au jour, seuls quelques éléments mis au jour subsistaient, dont essentiellement les composants métalliques. Cependant, la reconstitution extrèmement étudiée de celui-ci nous permet d'obtenir une vue d'ensemble suffisamment éclairée de l'objet[1]. Il s'agit d'un char à deux roues, de type course et/ou detype guerrier constitué de bois, de bronze, et de fer[1],[31].
La caisse du char
[modifier | modifier le code]La caisse du véhicule est munie de garde-corps latéraux. Il dispose également de ridelles aux extrémités arrondies et agrémentées de motifs ornementaux aux formes spiralées[1],[31].
Les roues
[modifier | modifier le code]La paire de roues est pourvue d'un cerclage de fer[32] mesurant environ 75 centimètres de diamètre et dotée d'une largeur de 2,4 centimètres[31]. Les roues sont également constituées de huit rayons très probablement en bois[33],[34],[31].
Les moyeux
[modifier | modifier le code]Les moyeux, de fabrication artisanale typiquement étrusque[1],[34]possèdent une longueur d'approximativement 13 centimètres. Ces derniers se présentent sous l'aspect d'un tuyau épousant une forme hyperbolée sur leur axe médian. En outre, ils sont ouvragés en bronze laminé[31],[34].
Le harnachement
[modifier | modifier le code]Les éléments d'harnachements incorporés dans la tombe du guerrier sont ouvragés en bronze patiné. Leur excellent état de conservation, ainsi que leur nombre, permettent de visualiser clairement l'ensemble de l'équiment équestre. Ces indices archéologiques démontrent que le char possédait une capacité d'attelage de deux équidés[1],[35]. Les mors affectent une forme de croissant[1],[35].
On peut remarquer que ce type de currus orientalisant, est essentiellement attesté au sein de dépôts funéraires aristocratiques assignés au VIIe siècle av. J.-C., dans les régions du Picénium[36] et de l'Étrurie padanne[37],[1].
Les céramiques
[modifier | modifier le code]-
guttus de type ornitomorphe, retrouvé in situ de la tombe B/1928; période GIIA, actuellement exposé au Musée Archéologique de la Villa Mirabello, Varèse, Lombardie.
-
Céramiques découvertes dans la tombe du guerrier de Sesto Callende, dite tombe B/1928. On remarque notamment au centre de la photo, une coupe en poterie noire de type bucchero, de provenance Padano-Étrusque. Ces artéfacts potiers sont datés de la fin du VIIe siècle av. J.-C. et sont exposés au Musée Archéologique de Milan, en Lombardie.
- Un guttus : l'un des pièces les plus remarquables du corpus vaissellier en céramique. Celle-ci affecte un aspect de type ornitomorphe. Il pourrait s'agir plus précisément d'une forme de canard. Son canal étroit de seulement 1 millimètre de diamètre permet d'obtenir un processus de goutte-goutte. Il est vraisemblable que cet artéfact était employé dans le but de verser et de contenir des liquides précieux et/ou onéreux tels que du vin ou une esssence parfumée[38],[39];
- khyatoi en poterie fine noire monochrome, récipient de provenance étrusque utilisés pour verser ou mélanger du vin[39]Erreur de référence : Balise fermante </ref>
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, afin de faciliter la prise manuelle de l'objet. Ces artéfacts récipiendaires auraient pour origine la moyenne vallée du Danube, dans une région s'étalant entre l'actuelle Hongrie orientale et la Roumanie occidentale[1],[40],[1],[41]. Ces types de situles, indexées au IXe siècle av. J.-C. - VIIe siècle av. J.-C., seraient probablement des ouvrages artisanaux de peuples dont le faciès archéologique appartient à la culture dites à champs d'urnes[41];
- on relève aussi la présence de situles de type stamnoïde, plus petites celles-ci, également manufacturées en bronze et munies d'un bec-verseur. On objecte qu'elles ont été fabriquées au sein d'ateliers italiques[39].
- un troisième type de situle, produite à Bologne : celle-ci consiste en une sorte de vase à rebords incurvés. Elle est munie, par ailleurs, poignées amovibles[39].
- un verre à boisson forgé en bronze coulé à ventre globulaire ou sphérique[39].
- une ciste à cordons[39];
- une seconde ciste, de faciès archéologique non-déterminé et dont on a répertorié uniquement des fragments[1];
- un couvercle de situle façonné à partir de feuille de bronze et richement ornementé de représentations orientalistes : on a attesté que ce dernier provenait du plus ancien atelier de forge du site protohistorique d'Este, en Vénétie[42].
Un char miniaturisé, probablement destiné à une utilisation dans un contexte religieux , est l'une des pièces maîtresses du riche mobilier funéraire de la sépulture[43],[1].
Cet artéfact de type religieux affiche une base de forme rectangulaire avec une longueur de 27 centimètres, pour une largeur de 18,5 centimètres[43]. Le chariot processionnel est forgé en bronze laminé, se pourvoit de quatre roues d'environ 10 centimètres de diamètre. Il supporte, incorporée en son centre, une large coupe, sorte de bassin cultuel, également manufacturée en bronze laminé dont le diamètre est de 27,5 centimètres[43].
Les pièces d'armement
[modifier | modifier le code]Armement défensif
[modifier | modifier le code]= Le casque
[modifier | modifier le code]La partie supérieure du casque consiste en une sorte de calotte hémisphérique affichant un diamètre de 24 centimètres et une hauteur maximale de 14,5 centimètres[44]. Le haut du casque se décompose en trois plaques de tôle incurvées assemblées par le biais de douze rivets à tête plate. La plaque médiane, strictement rectangulaire, adopte une forme de demi-cercle de 38 centimètres de long, pour une largeur de 16 centimètres. Les deux autres feuilles métalliques de la coquille, également infléchis par technique de martelage encadrent plaque médiane. Le produit fini affiche une indubitable uniformité[44]. Une feuille coulée au bronze est apposée sur la partie centrale du fronton calottaire. Elle est ornementée de figures entrelacées et spiralées telles des feuilles de palmiers ou encore un cheval stylisé. Celle-ci semble assurer non seulement une fonction héraldique, mais en outre, joue un rôle de maintient supplémentaire de l'ensemble[44].
La partie inférieure, quant à elle, affecte un aspect de base en forme de 3/4 de disque, d'une hateur de 1,7 millimètres et large de 5,5 centimètres. Les deux éléments du casque viennent se fixer l'un à l'autre au moyen de trente rivets à tête semi-globulaire[44].
Par ailleurs, deux fragments bronzifères en forme de sphinx ailés, semblent appartenir à l'artéfact défensif : il s'agit de deux broches de bronze coulé faisant office de supports à un crête de matière organique. Cette dernière serait très probablement composée de crin de cheval[44].
Les cnémides
[modifier | modifier le code]Les cnémides, ou jambières réalisées en de feuille de bronze. Elles sont de type anatomiques, ces dernières épousant de manière idoîne les formes du genou et du mollet[1],[39],[45].
L'armement offensif
[modifier | modifier le code]L'épée
[modifier | modifier le code]Il s'agit d'un poignard à antennes biconvexe de type Neuenegg. La lame forgée en fer, possède une longueur d'environ 42 centimètres. Celle-ci vient se prolonger en tronçon directement au cœur de la garde puis de la poignée du glaive[43].
Le profil très caractéristique de la dextre de l'arme blanche, lui confère cette dénomination de poignard à antennes. Factuellement, cette dernière est agrémentée d'une extrémité pourvue de deux tiges incurvées en demi-cercle. Chacune d'entre elles se termine par une boule. L'ensemble de la poignée rappelle une apparence insectiforme[43],[39].
La poignée et la garde de l'épée sont ouvragées au moyen d'un ruban de bronze obtenu par fusion, lui offrant un aspect serpentiforme. Celui-ci est enroulé en spirale autour du tronçon de la lame dont les boucles possède un diamètre variant entre 13 et 24 millimètres, conférant à l'ensemble de l'épé une prise en main, une maniabilité et un équilibre de haute qualité[43]. Les deux tiges insectiformes sont en revanche façonnées en bronze laminé[43],[39]. Par ailleurs, le mobilier funéraire co d'autres lames d'épée en fer ont été repertoriées au sein du mobilier funéraire[43].
Les pointes de lance
[modifier | modifier le code]Outre le poignard à antennes, on a également mis au jour de nombreuses pointes de lance manufacturées par l'obtention de fer fusionné[44],[1]. Ces fers sont indexés à la fin du VIIe siècle av. J.-C.. Par ailleurs, on a déterminé que ces derniers seraient de faciès archéologique nord-hallstattien[46],[39],[44].
Le défunt
[modifier | modifier le code]Origine et statut social
[modifier | modifier le code]Sa parenté
[modifier | modifier le code]Première tombe du guerrier, possiblement son père. La famille sous un même tumulus?
Interpretation du viatique funéraire
[modifier | modifier le code]Époque et datation
[modifier | modifier le code]Origine
[modifier | modifier le code]La question de l'urne cinéraire
[modifier | modifier le code]Probablement la ciste à cordons
Relations entre le site de Sesto Callende et d'autres territoires
[modifier | modifier le code]Mise en perspective géographique [N 1]
[modifier | modifier le code]- Carte des principaux sites princiersdu Hallstatt final et laténiens A de type tombe à char et ayant des relations commerciales et politiques avec le territoire golaseccien et les trois principaux pôles exportateurs de cette époque[N 2], réalisée d'après l'ouvrage Golasecca : Du commerce et des hommes à l'Âge du Fer, sous la direction de Veronica Cicolani et Christine Lorre[47],[48],[49] ; selon l'article "Golasecca : Les Celtes du nord de l'Italie", rédigé par Brigitte Postel et issu du périodique mensuel Archéologia ( numéro 476 ) [9] ; l'ouvrage "Celtes : Trésors d'une civilisation disparue", sous la direction de Daniele Vitali[50],[51] ; l'ouvrage de Ruth et Vincent Megaw "L'Art de la Celtique. Du VIIe siècle av. J.-C. au VIIIe siècle ap. J.-C. : Des origines au livre de Kells[52],[53],[54],[55],[56],[57],[58],[59] :
Légendes :
- Les deux principaux pôles golasecciens et Milan/Mediolanum sont symbolisés par les points rouges ;
- Les principaux sites celtes sont représentés par les triangles rouges ;
- Les 3 pôles exportateurs outre-celtiques[N 3] sont symbolisés par les points de couleur ocre/jaune.
Les autre découvertes du site de Sesto Callende
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- Édouard Chavannes, « Notice sur la vie et les travaux de M. Alexandre Bertrand », Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, vol. 48, no 2, , p. 245 à 273 (lire en ligne, consulté le )
- Philippe Berger, « Éloge funèbre de M. Alexandre Bertrand, membre de l'Académie », Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres (46e année), Académie des inscriptions et belles-lettres, vol. 46, no 6, , p. 735 à 738 (lire en ligne, consulté le )
- Christophe Batardy, Olivier Buchsenschultz et Françoise Dumazy, « Le Berry antique : Atlas 2000 », Revue archéologique du Centre de la France, Fédération pour l'édition de la Revue archéologique du Centre de la France, vol. 21 (supplément de la revue archéologique du Centre de la France), , p. 192. Lire en ligne: [15].
- Aimé Bocquet, « Les dates dendrochronologiques alpines au bronze final et la chronologie typologique italiques », Bulletin de la société préhistorique française, Société préhistorique française, vol. 86, nos 10-12, , p. 334-339 ; Lire en ligne [16]
- Patrick Brun, Princes et princesses de la Celtique : Le premier âge du fer en Europe (-850 - -450 av J.C. ), Paris, Errance, coll. « Héspérides », , 217 p. (ISBN 9782903442460)
- Olivier Buchsenschultz (dir.), L'Europe celtique à l'âge du Fer : (VIIIe-Ier siècles av. J.-C.), Paris XIVe, puf( Presses Universitaires de France ), coll. « Nouvelle Clio », , 496 p. (ISBN 978-2-13-057756-0, ISSN 0768-2379)
- Raymond Chevallier, « La romanisation de la celtique du Pô. : Essai d'histoire provinciale. », Bibliothèque de l' École française d'Athènes et de Rome, École française de Rome, vol. 249, no 1, (DOI 10.3406/befar.1983.1214, lire en ligne, consulté le )
- Barry Cunlife, « Histoire des Celtes : De l'âge du bronze aux migrations », L'Archéologue / Archéologie Nouvelle, no 103, , p. 11-13 (ISSN 1255-5932)
- Virgine Defente, Les celtes en Italie du Nord : Piémont oriental, Lombardie, Vénétie du VIe siècle au IIIe siècle av. J.-C, École française de Rome, , 188 p. (lire en ligne)
- Xavier Delmarre, Dictionnaire de la langue gauloise : Une approche linguistique du vieux celtique continental, Paris, Érrance, coll. « Hésperides », , 440 p. (ISBN 2-87772-237-6).
- Bastien Dupuis, David Josset, Émilie Millet et Céline Villennave, « Récentes découvertes : La tombe princière du Ve siècle avant notre ère de Lavau ZAC du Moutot (Aube) », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 112, no 2, , p. 271 à 274 (lire en ligne, consulté le )
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- Dominique Garcia, LA CELTIQUE MÉDITERRANÉENNE : Habitats et sociétés en Languedoc et en Provence;VIIIe-IIe siècles av. J.-C., éditions Errance, , 247 p. (ISBN 978-2-87772-562-0)
- José Gomez de Soto, Pierre-Yves Milcent, Jean-Philippe Baigl et al., « La France du Centre aux Pyrénées (Aquitaine, Centre, Limousin, Midi-Pyrénées, Poitou-Charentes) : Cultes et sanctuaires en France à l'âge du Fer », Gallia, Gallia, vol. 3, t. 60, no 1, , p. 107 à 138 (DOI 10.3406/galia.2003.3145) lire en ligne [17].
- Jean-Marc Irollo, Histoire des Étrusques : L'antique civilisation Toscane VIIIe - Ier siècle av. J.-C., vol. 313, Paris VIIe, Perrin Éditions, coll. « Tempus », , 212 p. (ISBN 978-2-262-02837-4).
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- Luana Kruta-Poppi, « Protohistoire italique », École pratique des hautes études1995. p. 29, vol. 4e section, sciences historiques et philologiques, no Livret 9 ( Rapports sur les conférences de l'année 1993-1994 ), , p. 29 (lire en ligne, consulté le )
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- Ruth Megaw et Vincent Megaw, Art de la celtique. Du VIIe siècle av. J.-C. au VIIIe siècle : Des origines au livre de Kells., Errance, coll. « Hespérides », , 276 p. (ISBN 2-87772-305-4)
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- Sabatino Moscati, Les Italiques : L'Art au temps des Étrusques, L'Aventurine, , 302 p. (ISBN 2841900088)
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- (it) Chiara Tarditi, Angelo Eugenio Fossati, Raphaele Carlo De Marinis, Stephania Casini et Piera Melli, Dalla Grecia all'Europaatti della giornata di studi ( Brescia, Università cattolica, 3 marzo 2006 ) : la circolazione di beni di lusso e di modelli culturali nel VI e V secolo a.C :, Brescia, Vita e Pensiero, , 176 p. (ISBN 978-88-3431494-4, lire en ligne).
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- Daniele Vitali, Les Celtes d'Italie : Leçon inaugurale prononcée le jeudi 14 décembre 2006 par Daniele Vitali, professeur. Leçon inaugurale numéro 189., vol. 189, Paris, Collège de France / Fayard, coll. « Leçons inaugurales du Collège de France », , 81 p. (ISBN 978-2-213-63289-6)
- Daniele Vitali, Les Celtes : Trésors d'une civilisation ancienne, White Star, , 207 p. (ISBN 978-88-6112-467-7)
- Jean-Jacques Hatt, « Les invasions celtiques en Italie du nord : Leur chronologie », Bulletin de la Société préhistorique de France, vol. tome 57, no no 5-6, , p. 362-372 (lire en ligne, consulté le )
- Corbella, Roberto: Celti : itinerari storici e turistici tra Lombardia, Piemonte, Svizzera, Macchione, Varese c2000; 119 p., ill.; 20 cm; (ISBN 88-8340-030-5 et 978-88-8340-030-8)
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- Grassi, Maria Teresa: I Celti in Italia, 2nd ed., (series: Biblioteca di Archeologia) (Longanesi, Milan) 1991 154 p., 32 c. di tav., ill. ; 21 cm; (ISBN 88-304-1012-8)
- (it) Venceslas Kruta (trad. L. Poppi Kruta), « I celti e il Mediterraneo », Encyclopédie de la Méditerranée, Editoriale Jaca Book, vol. 28, , p. 78 (ISBN 978-8-816-43628-2)
- (it) Venceslas Kruta, La grande storia dei celti : La nascita, l'affermazione e la decadenza, Newton Compton, , 512 p. (ISBN 978-8-882-89851-9)
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Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]Références
[modifier | modifier le code]-
Christine Lorre (dir.) et Veronica Cicolani, Golasecca (VIIIe siècle av. J.-C. - Ve siècle av. J.-C. : Du commerce et des hommes à l'Âge du fer, Rmnn (Réunion des musées nationaux de France), coll. « Rmn ALBUMS HORS-SÉRIE », , 192 p. (ISBN 978-2-7118-5675-6) Erreur de référence : Balise
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- (it) Raffaele Carlo De Marinis, « Sesto Calende, la seconda tomba di guerriero », dans Italian Iron Age Archéology and Early Iron Age, Milan, éditions Universitaires et académiques de Milan, , 46 pages, pages 164 et 165 ; Lire en ligne [1]
- * Michela Ruffa, « Structures de couverture et de signalisation des sépultures protohistoriques du Midi de la gaule et des régions périphériques. : La nécropole de Dorbie Superiore (Novara, Italie) et les couvertures des sépultures dans l'aire occidentale de la culture de Golasecca. », Documents d'Archéologie Méridionale, Documents d'Archéologie Méridionale, vol. 17, , page 66 (DOI 10.3406/dam.1994.1118); lire en ligne : [2]
- dénommée tombe III/15
- (it) Raffaele Carlo De Marinis, « Sesto Calende, la seconda tomba di guerriero », dans Italian Iron Age Archéology and Early Iron Age, Milan, éditions Universitaires et académiques de Milan, , 162 p. ; Lire en ligne [3]
- Stéphane Verger, Les élites et leurs facettes: les élites locales dans le monde hellénistique, Clermont-Ferrand, Presses Universitaires Blaise Pascal, , 592 p. (ISBN 2-84516-228-6, BNF 39058588), p. 586/623 : Qui était la Dame de Vix? ; Lire en ligne [4]
- (it) Raffaele Carlo De Marinis, « Sesto Calende, la seconda tomba di guerriero », dans Italian Iron Age Archéology and Early Iron Age, Milan, éditions Universitaires et académiques de Milan, , 163 p. ; Lire en ligne [5]
- Christine Lorre, Veronica Cicolani 2009, p. 164
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- [[#Venceslas Kruta 2000|Venceslas Kruta 2000]], p. XII
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- Daniele Vitali 2013, p. 15
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- Christine Lorre (dir.) et Veronica Cicolani, Golasecca (VIIIe siècle av. J.-C. - Ve siècle av. J.-C. : Du commerce et des hommes à l'Âge du fer, Rmnn (Réunion des musées nationaux de France), coll. « Rmn ALBUMS HORS-SÉRIE », , 192 p. (ISBN 978-2-7118-5675-6), page 40
- Christine Lorre (dir.) et Veronica Cicolani, Golasecca (VIIIe siècle av. J.-C. - Ve siècle av. J.-C. : Du commerce et des hommes à l'Âge du fer, Rmnn (Réunion des musées nationaux de France), coll. « Rmn ALBUMS HORS-SÉRIE », , 192 p. (ISBN 978-2-7118-5675-6), page 41
- Christine Lorre (dir.) et Veronica Cicolani, Golasecca (VIIIe siècle av. J.-C. - Ve siècle av. J.-C. : Du commerce et des hommes à l'Âge du fer, Rmnn (Réunion des musées nationaux de France), coll. « Rmn ALBUMS HORS-SÉRIE », , 192 p. (ISBN 978-2-7118-5675-6), page 42.
- Christine Lorre (dir.) et Veronica Cicolani, Golasecca (VIIIe siècle av. J.-C. - Ve siècle av. J.-C. : Du commerce et des hommes à l'Âge du fer, Rmnn (Réunion des musées nationaux de France), coll. « Rmn ALBUMS HORS-SÉRIE », , 192 p. (ISBN 978-2-7118-5675-6), page 38
- Christine Lorre (dir.) et Veronica Cicolani, Golasecca (VIIIe siècle av. J.-C. - Ve siècle av. J.-C. : Du commerce et des hommes à l'Âge du fer, Rmnn (Réunion des musées nationaux de France), coll. « Rmn ALBUMS HORS-SÉRIE », , 192 p. (ISBN 978-2-7118-5675-6), page 60
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- Daniele Vitali (professeur à l'université de Bologne, titulaire de la chaire internationale), Les Celtes d'Italie : Leçon inaugurale prononcée le jeudi 14 décembre 2006 par Daniele Vitali, professeur. Leçon inaugurale numéro 189., vol. 189, Paris, Collège de France / Fayard, coll. « Leçons inaugurales du Collège de France », , 81 p. (ISBN 978-2-213-63289-6), page 32
- Daniele Vitali (professeur à l'université de Bologne, titulaire de la chaire internationale), Les Celtes d'Italie : Leçon inaugurale prononcée le jeudi 14 décembre 2006 par Daniele Vitali, professeur. Leçon inaugurale numéro 189., vol. 189, Paris, Collège de France / Fayard, coll. « Leçons inaugurales du Collège de France », , 81 pages (ISBN 978-2-213-63289-6), page 31
- Daniele Vitali (professeur à l'université de Bologne, titulaire de la chaire internationale), Les Celtes d'Italie : Leçon inaugurale prononcée le jeudi 14 décembre 2006 par Daniele Vitali, professeur. Leçon inaugurale numéro 189., vol. 189, Paris, Collège de France / Fayard, coll. « Leçons inaugurales du Collège de France », , 81 p. (ISBN 978-2-213-63289-6), page 29
- Daniele Vitali (professeur à l'université de Bologne, titulaire de la chaire internationale), Les Celtes d'Italie : Leçon inaugurale prononcée le jeudi 14 décembre 2006 par Daniele Vitali, professeur. Leçon inaugurale numéro 189., vol. 189, Paris, Collège de France / Fayard, coll. « Leçons inaugurales du Collège de France », , 81 p. (ISBN 978-2-213-63289-6), page 61
- Dominique Garcia, LA CELTIQUE MÉDITERRANÉENNE : Habitats et sociétés en Languedoc et en Provence;VIIIe-IIe siècles av. J.-C., éditions Errance, , 247 p. (ISBN 978-2-87772-562-0), page 84
- Dominique Garcia, LA CELTIQUE MÉDITERRANÉENNE : Habitats et sociétés en Languedoc et en Provence;VIIIe-IIe siècles av. J.-C., éditions Errance, , 247 p. (ISBN 978-2-87772-562-0), page 85
- (it) Raffaele Carlo De Marinis, « Sesto Calende, la seconda tomba di guerriero », dans Italian Iron Age Archéology and Early Iron Age, Milan, éditions Universitaires et académiques de Milan, , 190 p. ; Lire en ligne [6]
- cette technique permet de carclage métallique permet d'obtenir un haut potentiel de solidité de la roue
- ces éléments, dont la totale absence semble consécutive de leur décomposition, a été néanmoins attestée par l'identification de taxons boisifères
- (it) Raffaele Carlo De Marinis, « Sesto Calende, la seconda tomba di guerriero », dans Italian Iron Age Archéology and Early Iron Age, Milan, éditions Universitaires et académiques de Milan, , 191 p. ; Lire en ligne [7]
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- actuelle province italienne des Marches
- approximativement la plaine du Pô, ou encore l'actuelle région italienne de Toscane
- * (it) Raffaele Carlo De Marinis, « Sesto Calende, la seconda tomba di guerriero », dans Italian Iron Age Archéology and Early Iron Age, Milan, éditions Universitaires et académiques de Milan, , pages 172, 173 et 174 ; Lire en ligne [9]
- Christine Lorre et Veronica Cicolani, Golasecca (VIIIe-Ve siècle avant J-C) : Du commerce et des hommes à l'Age du fer, Paris, RMN, , 62 p. (ISBN 978-2-711-85675-6, BNF 42141394)
- Will Kimmig, « Sur quelques situles en bronze provenant de France. », Bulletin de la société préhistorique française, Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 62, no 2, , p. 451 et 452 (DOI 10.3406/bspf.1965.4042); lire en ligne : [10]
- Gabriel Chapotat, « Le char processionnel de La Côte-Saint-André (Isère). », Gallia, Gallia, vol. 20, no 1, , pages 43, 45 et 46 (DOI 10.3406/galia.1962.2348); lire en ligne : [11]
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- (it) Raffaele Carlo De Marinis, « Sesto Calende, la seconda tomba di guerriero », dans Italian Iron Age Archéology and Early Iron Age, Milan, éditions Universitaires et académiques de Milan, , 189, 190 et 200 ; Lire en ligne [12]
-
- (it) Raffaele Carlo De Marinis, « Sesto Calende, la seconda tomba di guerriero », dans Italian Iron Age Archéology and Early Iron Age, Milan, éditions Universitaires et académiques de Milan, , 42 p. ; Lire en ligne [13]
-
- (it) Raffaele Carlo De Marinis, « Sesto Calende, la seconda tomba di guerriero », dans Italian Iron Age Archéology and Early Iron Age, Milan, éditions Universitaires et académiques de Milan, , 184, 186, 187, 188 et 189 ; Lire en ligne [14]
- autrement dit approximativement l'actuel l'Sud de l'Allemagne
- Christine Lorre (dir.) et Veronica Cicolani, Golasecca (VIIIe siècle av. J.-C. - Ve siècle av. J.-C. : Du commerce et des hommes à l'Âge du fer, Rmnn (Réunion des musées nationaux de France), coll. « Rmn ALBUMS HORS-SÉRIE », , 192 p. (ISBN 978-2-7118-5675-6), page 132
- Christine Lorre (dir.) et Veronica Cicolani, Golasecca (VIIIe siècle av. J.-C. - Ve siècle av. J.-C. : Du commerce et des hommes à l'Âge du fer, Rmnn (Réunion des musées nationaux de France), coll. « Rmn ALBUMS HORS-SÉRIE », , 192 p. (ISBN 978-2-7118-5675-6), page 144
- Christine Lorre (dir.) et Veronica Cicolani, Golasecca (VIIIe siècle av. J.-C. - Ve siècle av. J.-C. : Du commerce et des hommes à l'Âge du fer, Rmnn (Réunion des musées nationaux de France), coll. « Rmn ALBUMS HORS-SÉRIE », , 192 p. (ISBN 978-2-7118-5675-6), page 165
- Daniele Vitali, Les Celtes : Trésors d'une civilisation ancienne, Éditions White Star, , 207 p. (ISBN 978-88-6112-467-7), page 14.
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- Daniele Vitali, Les Celtes : Trésors d'une civilisation ancienne, Éditions White Star, , 207 p. (ISBN 978-88-6112-467-7), page 15.
- Ruth Megaw et Vincent Megaw, Art de la celtique. Du VIIe siècle av. J.-C. au VIIIe siècle ap. J.-C. : Des origines au livre de Kells, Errance, coll. « Hespérides », , 276 p. (ISBN 2-87772-305-4), page 10
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- Ruth Megaw et Vincent Megaw, Art de la celtique. Du VIIe siècle av. J.-C. au VIIIe siècle ap. J.-C. : Des origines au livre de Kells, Errance, coll. « Hespérides », , 276 pages (ISBN 2-87772-305-4)
- Ruth Megaw et Vincent Megaw, Art de la celtique. Du VIIe siècle av. J.-C. au VIIIe siècle ap. J.-C. : Des origines au livre de Kells, Errance, coll. « Hespérides », , 276 p. (ISBN 2-87772-305-4), page 46
- Ruth Megaw et Vincent Megaw, Art de la celtique. Du VIIe siècle av. J.-C. au VIIIe siècle ap. J.-C. : Des origines au livre de Kells, Errance, coll. « Hespérides », , 276 p. (ISBN 2-87772-305-4), page 55
- Ruth Megaw et Vincent Megaw, Art de la celtique. Du VIIe siècle av. J.-C. au VIIIe siècle ap. J.-C. : Des origines au livre de Kells, Errance, coll. « Hespérides », , 276 p. (ISBN 2-87772-305-4), page 57