Saint-Venant
Saint-Venant | |||||
Vue depuis la Lys navigable, le centre-ville. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Béthune | ||||
Intercommunalité | CA de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane | ||||
Maire Mandat |
André Flajolet 2020-2026 |
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Code postal | 62350 | ||||
Code commune | 62770 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Venantais | ||||
Population municipale |
3 022 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 212 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 37′ 24″ nord, 2° 32′ 43″ est | ||||
Altitude | Min. 15 m Max. 19 m |
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Superficie | 14,24 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Béthune (banlieue) |
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Aire d'attraction | Saint-Venant (commune-centre) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Lillers | ||||
Législatives | 9e circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.saint-venant.fr | ||||
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Saint-Venant est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane qui regroupe 100 communes et compte 275 327 habitants en 2021.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Saint-Venant est un bourg de l'Artois flamand.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de huit communes, dont deux dans le département du Nord :
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 14,24 km2 ; son altitude varie de 15 à 19 mètres[1].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].
Saint-Venant est situé au confluent de la Lys et du Guarbecque[3].
La commune est traversée par cinq cours d'eau :
- la Lys, d'une longueur de 134,01 km, qui prend sa source dans la commune de Lisbourg, dans le département du Pas-de-Calais, et se jette dans l'Escaut au niveau de la commune de Gand, en Belgique[4] ;
- la rivière de Busnes, d'une longueur de 13 km, qui prend sa source dans la commune de Lillers et se jette dans la Lys, au niveau de la commune de Haverskerque[5] ;
- le Guarbecque, cours d'eau naturel de 11,87 km, qui prend sa source dans la commune de Norrent-Fontes et se jette dans la Lys, au niveau de la commune d'Haverskerque[3] ;
- le Fauquethun, cours d'eau naturel de 7,59 km, qui prend sa source dans la commune de Guarbecque et se jette dans le Guarbecque, au niveau de la commune de Saint-Venant[6] ;
- le courant de la Demingue, d'une longueur de 7 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans la Lys, au niveau de la commune de Merville[7].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[9].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 696 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lillers à 8 km à vol d'oiseau[10], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 731,5 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Saint-Venant est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune[Note 2], une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[15],[16]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Venant, dont elle est la commune-centre[Note 4],[16]. Cette aire, qui regroupe 1 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (91,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66,5 %), prairies (18,8 %), zones urbanisées (11,7 %), zones agricoles hétérogènes (3 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Papinghem (1075) ; Sanctus Venantius (1190) ; Vnaent (XIIe siècle) ; Vnaento (XIIe siècle) ; Sainct-Venant (1251) ; Sanctus Venancius (1296) ; Venantiopolis (1786)[20].
Cet hagiotoponyme provient du nom d'un saint ermite qui s’y serait établi, et dont la tombe se trouve à proximité : Venantius, ou Venant, au VIIIe siècle.
Durant la Révolution, la commune porte le nom de Pot-Vert[1] ou Fort-Vert[21].
Histoire
[modifier | modifier le code]Avant 1282, Hellin de Wavrin (Maison de Wavrin), seigneur de Saint-Venant est en litige avec le chapitre d'Aire-sur-la- Lys à propos de leurs droits respectifs à Saint-Venant. En 1282, Robert de Wavrin, frère et successeur d'Hellin, passe une charte pour régler le conflit[22].
En juin 1347, le roi de France Philippe VI de Valois, échouant à détacher les milices flamandes de l'alliance anglaise (Guerre de Cent ans) ravage les pays de Saint-Venant, La Gorgue, Estaires[23].
En 1376, Alice de Wavrin, dame (les hommes sont« seigneur » d'un lieu, les femmes sont « dame »de ), de Saint-Venant doit reconnaitre devant le représentant du roi que le chapitre détient le droit de justice sur le village[24].
Autrefois ville fortifiée, il s’agit aussi d’une seigneurie érigée en comté en 1655. Le , par lettres données à Madrid, la ville et terre de Saint-Venant est érigée en comté au profit de Maximilien de Lières, baron du Val, seigneur de Saint-Venant, gouverneur de Saint-Omer, dont les ancêtres ont, depuis le temps des ducs de Bourgogne jusqu'alors, successivement porté les armes pour le service de leur prince avec grande valeur et loyauté[25].
Le village fut définitivement annexé à la France avec le traité d'Utrecht (1713).
Les exécutions à Saint-Venant furent parmi les plus meurtrières[C'est-à-dire ?] pendant la Révolution françaises[réf. nécessaire].
Première Guerre Mondiale
[modifier | modifier le code]Située à 12 kilomètres au sud du front, Saint-Venant devient rapidement un centre de logistique stratégique pour les Alliés. La région est alors directement rattachée au commandement militaire de l'armée anglaise répondant aux ordres du maréchal Douglas Haig.
De à , les services de santé britanniques et indiens sont établis à Saint-Venant. Dans le cimetière, on trouve les tombes de soldats indiens tombés entre janvier et , les tombes de soldats anglais et français. Le QG et le mess des forces indiennes, écossaises et anglaises sont installés dans la demeure bourgeoise La Peylouse. En 1917 et 1918, l'état-major de la jeune république portugaise s'installe au même endroit. Le général Tamagnini de Abreu, chef militaire des forces militaires du corps expéditionnaire portugais (CEP) composé d'environ 70 000 hommes dirige, depuis Saint-Venant, ses troupes lors de la bataille de la Lys en 1918, avant de libérer Lille.
Seconde Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Durant la Seconde Guerre mondiale, Saint-Venant a été le théâtre de violents combats qui ont servi à retarder les Allemands pour couvrir l'évacuation de Dunkerque.
Des combats sont signalés autour de la commune à partir du et opposent les Britanniques du Royal Welch Fusiliers au régiment SS « Germania » de la SS-Division Verfügungstruppe[26]. La ville est prise par les Allemands le . Des civils sont pris pour cible par des SS et des soldats britanniques prisonniers et grièvement blessés sont assassinés[27].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Béthune du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
[modifier | modifier le code]La commune est membre de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane.
Circonscriptions administratives
[modifier | modifier le code]La commune est rattachée au canton de Lillers.
Saint-Venant a été chef-lieu de canton durant la Révolution (de 1790 au 8 pluviôse an IX ()).
Circonscriptions électorales
[modifier | modifier le code]Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la neuvième circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]Type | Nom | Enseignement |
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École maternelle | Jacques-Prévert | Public |
École primaire | Alphonse-de-Lamartine | Public |
Collège | Georges-Brassens | Public |
Santé
[modifier | modifier le code]- Le centre hospitalier
- Une maison de retraite
- Un foyer de vie, Les Passerelles[30], et un foyer d’accueil médicalisé, La Source[31], dépendant d'un établissement public communal.
Justice, sécurité, secours et défense
[modifier | modifier le code]- Un centre pour jeunes délinquants, d'architecture futuriste.
Population et société
[modifier | modifier le code]Les habitants de la commune sont appelés les Saint-Venantais'[32].
Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[34].
En 2021, la commune comptait 3 022 habitants[Note 5], en évolution de +1,48 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31,0 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 424 hommes pour 1 612 femmes, soit un taux de 53,10 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
- Évolution de la répartition de la population entre 1921 et 1990[réf. nécessaire]
- 7,60 % d'agriculteurs en 1921, 1,30 % en 1990
- 6,40 % d'artisans, commerçant et chefs d'entreprise en 1921, 3,40 % en 1990
- 0,60 % de cadres et professions intellectuelles supérieures en 1921, 2,30 % en 1990
- 3,60 % de professions intermédiaires en 1921, 2,30 % en 1990
- 22,30 % d'employés et d'ouvriers en 1921, 28,00 % en 1990
- 59,50 % de retraités et autres sans activité professionnelle en [1921, 56,10 % en 1990
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Hôtel de ville datant de 1776, inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du pour ses façades et toiture[38].
- Manoir situé à côté de la Lys rue du Chemin de Ceinture.
- L'église de Saint-Venant fut reconstruite après 1918[39]. Sa cloche date de 1670 et l'orgue du milieu du XXe siècle.
L'église abritait des fonts baptismaux du XIe siècle (art roman) détruit en 1917 pendant la Première Guerre mondiale. Ils avaient été réalisés en pierre de Tournai[40],[41],[42],[43],[44].
- Le monument aux morts
- Deux portes des anciennes fortifications subsistent dont la porte d'Aire
- Le port de plaisance
- Le moulin à eau sur la Guarbecque
- L'ancienne gare
- Le cimetière communal
- Le cimetière militaire, faisant partie du cimetière communal, contient 429 tombes militaires, 253 pour la Première Guerre mondiale dont 165 britanniques, et 176 pour la Seconde Guerre mondiale. Ces corps sont dus à l'établissement des services de santé britanniques et indiens à Saint-Venant de à . On trouve donc dans le cimetière les corps de soldats indiens tombés entre janvier et .
- Un cimetière militaire britannique est également situé à Saint-Venant sur la route allant à Robecq.
- Plusieurs maisons et fermes du XVIIIe siècle.
- Dans l'ancien hospice, se trouve une fontaine qui serait un don de Louis XIV.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Robert de Waurin, généralement écrit Robert de Wavrin, seigneur de Saint-Venant († 1360), maréchal de France en 1344, membre de la Maison de Wavrin.
- Les Brice, famille d'artistes peintres à la cour de Bruxelles aux XVIIIe et XIXe siècles. Jean-François Brice né en 1687 à Saint-Venant, est le père du peintre Pierre-François Brice (1714-1794), né à Saint-Venant, peintre à Bruxelles à la cour de Charles de Lorraine et qui fut père du peintre et graveur Antoine Brice (1752-1817), père lui-même du grand peintre néo-classique Ignace Brice (1795-1866), professeur à l'Académie royale de Bruxelles, surnommé le David bruxellois.
- Pierre Galland (1510-1559), érudit de la Renaissance, professeur royal, docteur d'université et chanoine de l'église Notre-Dame-de-Paris où il rétablit un collège et fonda quelques bourses pour des enfants de Saint-Venant.
- Jean Pierre de Selve (1647 - 1721 à Saint-Venant), chevalier, seigneur d'Audeville (Loiret), lieutenant-colonel du régiment de Picardie, brigadier des armées du roi, gouverneur de Saint-Venant, maréchal de camp des armées du roi.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de la commune se blasonnent ainsi : |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site de la mairie
- Ressources relatives à la géographie :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Béthune comprend deux villes-centres (Béthune et Bruay-la-Buissière) et 92 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Guarbecque (E3630650) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Lys (E3--0120) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Rivière de Busnes (E3630770) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Fauquethun (E3630720) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Courant de la Demingue (E36-0150) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Venant et Lillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Venant ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Venant », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 351.
- Fort-Vert, selon Noms révolutionnaires des communes de France, p. 51.
- Jules Rouyer, « Recherches historiques sur le chapitre et l'église collégiale de Saint-Pierre d'Aire », dans Mémoire de la Société des antiquaires de la Morinie, 1858, Saint-Omer, p. 147, vue 631, lire en ligne.
- Georges Dupas, Histoire de Gravelines, porte de Flandre et de ses hameaux, des origines à la Libération, Westhoeck éditions, 1981, avec Patrick Oddone comme collaborateur, p. 27.
- Jules Rouyer, « Recherches historiques sur le chapitre et l'église collégiale de Saint-Pierre d'Aire », dans Mémoire de la Société des antiquaires de la Morinie, 1858, Saint-Omer, p. 150, vue 634, lire en ligne.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 298, lire en ligne.
- Gonzague Vandamme, « 1940, la bataille de France au jour le jour : 25 mai, Boulogne tombe, Calais est écrasée sous les bombes », sur francetvinfo.fr, .
- Gonzague Vandamme, « 1940, la bataille de France au jour le jour : le 27 mai, Göring a voulu "tuer" Dunkerque », sur francetvinfo.fr, .
- Benoît Fauconnier, « Les projets des maires à Saint-Venant : le lotissement de la rue de Guarbecque arrive, avec la gendarmerie : André Flajolet a entamé au printemps dernier son cinquième mandat de maire de Saint-Venant. La commune de 3 300 habitants subit de plein fouet les restrictions budgétaires. Le maire veut toujours investir, mais les marges de manœuvre du mandat sont réduites. Quels sont ses plans et sa recette ? », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Saint-Venant : pas de surprise pour André Flajolet : Le nouveau conseil municipal s’est réuni lundi 25 mai pour élire le maire et les adjoints », L'Écho de la Lys, (lire en ligne, consulté le ) « Dominique Gallois, tête de liste de l’opposition, s’est porté candidat au fauteuil de maire. C’est finalement André Flajolet qui a été élu, avec 19 voix ».
- Les structures - Le Foyer de Vie sur epc-stvenant.fr, consulté le 14/01/2013
- Les structures - Le Foyer d'Accueil Médicalisé sur epc-stvenant.fr, consulté le 14/01/2013
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Venant (62770) », (consulté le ).
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- « Saint Venant, Abbé de Saint Martin de Tours », sur Nominis (consulté le ).
- Edmond Leclair, « Anciens fonts baptismaux de Saint-Venant et de Vimy », Bulletin de la Commission départementale des monuments historiques du Pas-de-Calais, t. VI, , p. 22-23 (lire en ligne)
- Emmanuel Woillez, « Notice sur les fonts baptismaux de Saint-Venant (Pas-de-Calais) », Mémoires de la Société des antiquaires de la Morinie, t. 3 - Année 1836, , p. 183-193 (lire en ligne)
- Camille Enlart, Étude sur quelques fonts baptismaux du Nord de la France, Ernest Leroux, , 28 p.
- Louis Quarré-Reybourbon, « Fonts baptismaux dans la région », Bulletin, Société d'études de la province de Cambrai, t. III. 3e année, juin 1901-juin 1902, p. 128-133 (lire en ligne)
- « fonts baptismaux », notice no PM62001869, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture