Saint-Jean-Lachalm
Saint-Jean-Lachalm | |||||
Place principale du village. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Haute-Loire | ||||
Arrondissement | Le Puy-en-Velay | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Pays de Cayres et de Pradelles | ||||
Maire Mandat |
Paul Braud 2020-2026 |
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Code postal | 43510 | ||||
Code commune | 43198 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
301 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 8,7 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 57′ 28″ nord, 3° 43′ 10″ est | ||||
Altitude | Min. 634 m Max. 1 417 m |
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Superficie | 34,64 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Le Puy-en-Velay (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Velay volcanique | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Haute-Loire
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Saint-Jean-Lachalm [sɛ̃.ʒɑ̃.la.ʃɑ̃] est une commune française située dans le département de la Haute-Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Saint-Jean-Lachalm se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Elle se situe à 19 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[1], préfecture du département, et à 20 km de Cussac-sur-Loire[2], bureau centralisateur du canton du Velay volcanique dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[3] : Saint-Didier-d'Allier (2,6 km), Saint-Privat-d'Allier (4,8 km), Séneujols (5,0 km), Monistrol-d'Allier (6,0 km), Ouides (6,2 km), Alleyras (6,3 km), Bains (7,3 km), Cayres (7,8 km).
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 7,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 862 mm, avec 9,5 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Puy-Loudes », sur la commune de Chaspuzac à 13 km à vol d'oiseau[6], est de 9,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 682,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Saint-Jean-Lachalm est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Puy-en-Velay, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 59 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 263, alors qu'il était de 253 en 2013 et de 232 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 49 % étaient des résidences principales, 34,6 % des résidences secondaires et 16,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 93,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 6,5 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Jean-Lachalm en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (34,6 %) supérieure à celle du département (16,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 85,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (84,4 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Saint-Jean-Lachalm[I 2] | Haute-Loire[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 49 | 71,5 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 34,6 | 16,1 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 16,3 | 12,4 | 8,2 |
Toponymie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Dans la charte hospitalière concernant Pierre de Mirmande, la commune est citée en latin parrochia Sancti Johannis de Mirmanda[13].
Au carrefour de deux chemins ruraux à 2,3 km au nord-est du bourg[14], un morceau de borne milliaire est longtemps resté « caché en pleine vue », servant de socle à une croix de chemin. Marion Dacko la signale dans son inventaire des bornes miliaires en Auvergne comme une borne possible mais ne comprend pas son emplacement. De fait, la borne marque la 16e lieue depuis Saint-Paulien sur la voie Bolène[15]. Elle valide le passage de cette voie à Arzac sur Saint-Jean-Lachalm, puis Gourlong sur Alleyras ainsi que Pont de Vabres où l'Allier est franchi[16].
Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), la commune a porté le nom de Lachalm-la-Montagne[17].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune de Saint-Jean-Lachalm est membre de la communauté de communes des Pays de Cayres et de Pradelles[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Costaros. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[18].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement du Puy-en-Velay, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton du Velay volcanique pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la deuxième circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[19].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[22].
En 2021, la commune comptait 301 habitants[Note 4], en évolution de +6,74 % par rapport à 2015 (Haute-Loire : +0,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 32,6 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 150 hommes pour 142 femmes, soit un taux de 51,37 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (49,13 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
[modifier | modifier le code]Un parc de 9 éoliennes est construit en 2008, dans la forêt au lieu-dit les Visseyres[25]. Aussi, une unité de méthanisation de 150 kW/h, munie d'un digesteur de 18 mètres de diamètre, est inaugurée en 2017[26].
Revenus
[modifier | modifier le code]En 2018, la commune compte 124 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 288 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 940 €[I 9] (20 800 € dans le département[I 10]).
Emploi
[modifier | modifier le code]Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 11] | 3,5 % | 1,2 % | 6 % |
Département[I 12] | 6,3 % | 7,7 % | 7,7 % |
France entière[I 13] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 166 personnes, parmi lesquelles on compte 76,5 % d'actifs (70,5 % ayant un emploi et 6 % de chômeurs) et 23,5 % d'inactifs[Note 6],[I 11]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction du Puy-en-Velay, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 1],[I 14]. Elle compte 61 emplois en 2018, contre 59 en 2013 et 72 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 120, soit un indicateur de concentration d'emploi de 50,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,7 %[I 15].
Sur ces 120 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 53 travaillent dans la commune, soit 44 % des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 75 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,8 % les transports en commun, 12,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 11,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Château de Mirmande.
- Château de Séjallières, inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du [27].
- Église Saint-Jean-Baptiste de Saint-Jean-Lachalm.
- Voie antique dite « voie Bolène » venant de Lyon et passant par Saint-Paulien. Elle longe en ligne droite le mont Devès à l'est de la commune et au niveau des éoliennes bifurque droit vers Arzac puis descend sur Condate Vabres (commune d'Alleyras) pour passer l'Allier vers le Gévaudan.
-
La voie Bolène
-
La voie Bolène en direction de Montbonnet (Bains).
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Pierre de Mirmande, chevalier de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem entre le XIIe et le XIIIe siècle, châtelain du Crac des Chevaliers, grand commandeur puis supérieur ad interim de l'Ordre.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Jean-Lachalm ».
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Saint-Jean-Lachalm » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Jean-Lachalm - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Jean-Lachalm - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Jean-Lachalm (43198) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Jean-Lachalm » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Jean-Lachalm » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Jean-Lachalm » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Jean-Lachalm et Le Puy-en-Velay », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Jean-Lachalm et Cussac-sur-Loire », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Saint-Jean-Lachalm », sur villorama.com (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Jean-Lachalm et Chaspuzac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Le Puy-Loudes », sur la commune de Chaspuzac - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Le Puy-Loudes », sur la commune de Chaspuzac - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Le Puy-en-Velay », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Auguste Chassaing, Cartulaire des hospitaliers (ordre de Saint-Jean de Jérusalem) du Velay, Paris, Alphonse Picard, , p. 13.
- « Saint-Jean-Lachalm, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées. Les distances à vol d'oiseau se mesurent avec l'outil « Mesurer une distance » dans l'onglet « Outils cartographiques » à droite (symbole de petite clé plate).
- « "Condate" à Pont de Vabres / Alleyras ? Où était situé le passage de l'Allier sur la route administrative & gallo-romaine Lyon Rodez Bordeaux ? 7 arguments pour Pont de Vabres », sur voie-bolene.info (consulté en ).
- « Rencontres de la Bolène 7 et 8 mai 2018 à Alleyras. Bilan des recherches sur la voie », Dossier de présentation [PDF], sur voie-bolene.info (consulté en ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Jean-Lachalm », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- « communauté de communes des Pays de Cayres et de Pradelles - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
- Liste des maires de la Haute-Loire sur le site de la préfecture (consulté le 28 août 2014).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Saint-Jean-Lachalm : Le Parc éolien », sur saintjeanlachalm.fr (consulté le ).
- Centre France, « Une première en Haute-Loire - Quand le fumier rapporte ! », sur leveil.fr, (consulté le ).
- « Château de Séjallières », notice no PA00135208, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture