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Quesnoy-sur-Airaines

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Quesnoy-sur-Airaines
Quesnoy-sur-Airaines
La mairie.
Blason de Quesnoy-sur-Airaines
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité Communauté de communes Somme Sud-Ouest
Maire
Mandat
Jean-Marie Snauwaert
2020-2026
Code postal 80270
Code commune 80655
Démographie
Gentilé Quercytains
Population
municipale
420 hab. (2021 en évolution de −5,41 % par rapport à 2015)
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 57′ 24″ nord, 1° 59′ 30″ est
Altitude Min. 50 m
Max. 124 m
Superficie 16,14 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ailly-sur-Somme
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Quesnoy-sur-Airaines
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Quesnoy-sur-Airaines
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Quesnoy-sur-Airaines
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Quesnoy-sur-Airaines
Liens
Site web http://quesnoysurairaines.mairie.pagespro-orange.fr/

Quesnoy-sur-Airaines est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie

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Localisation

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Communes limitrophes

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Village picard situé à l'est d'Airaines, il est longé par l'ex-RN 336 (actuelle RD 936) qui relie Amiens au Tréport.

Transports routiers

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La localité est desservie par la ligne d'autocars no 1 (Mers-lès-Bains - Oisemont - Amiens) du réseau Trans'80, Hauts-de-France, chaque jour de la semaine sauf le dimanche et les jours fériés[1].

Hydrographie

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La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Quesnoy-sur-Airaines[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l'air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 745 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Oisemont à 16 km à vol d'oiseau[4], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 801,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Quesnoy-sur-Airaines est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (82,3 %), forêts (14,9 %), zones urbanisées (2,8 %)[12]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le village s'est appelé Casneium en 1200, Quisnoy en 1217, Le Kaisnois en 1219, Caisnoy en 1301, Quennoy en 1423, Quesnoy sur Airaines en 1507, Quesnoy super Arenas en 1637, Quesnoy souls Airaines en 1644, Le Quesnoy en 1646, Caisnon en 1648, Le Quennoy en 1696, Le Quenoi sur Airaines en 1733, Quesnoy les Airaines en 1791 et Quesnoy-sur-Airaines[13].

Comme pour les localités homonymes, la dénomination Quesnoy provient du mot « chêne » qui se dit « quesne » en picard et « casnus » en latin[13].

On a retrouvé des traces de présence romaine, liées à la voie romaine reliant Amiens à Saint-Valery-sur-Somme, ainsi que d'une occupation mérovingienne[réf. nécessaire].

Féodalité

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La famille d'Ant, première propriétaire connue du village, a disparu avec Antoine d'Ant. Elle s'est alliée à celle des Le Fort qui elle-même en a rendus maîtres les Leroy Valanglart. Très ancienne, la famille des Queret de Rionville a donné, en l'an 1500, un maréchal de France ; elle a aussi disparu[13].

Seconde Guerre mondiale

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Le 4 juin 1940, vers 4 h 30 du matin, un bombardement d'artillerie vient de heurter de plein fouet un bois de Quesnoy-sur-Airaines[réf. nécessaire].

À la mémoire des massacres de 1940.

Après leur capture à Airaines et l'exécution de leur capitaine N'Tchoréré, une cinquantaine de tirailleurs sénégalais du 53e régiment d'infanterie coloniale mixte sénégalais furent massacrés le sur le territoire communal[14]. Deux plaques commémorent ces faits.

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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La commune se trouve dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la troisième circonscription de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Molliens-Dreuil[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton d'Ailly-sur-Somme.

Intercommunalité

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La commune était membre de la communauté de communes du Sud-Ouest Amiénois, créée en 2004.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.

Ce projet prévoit la « fusion des communautés de communes du Sud-Ouest Amiénois, du Contynois et de la région d'Oisemont », le nouvel ensemble de 37 412 habitants regroupant 120 communes[16],[17]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en [18], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion[19].

La communauté de communes Somme Sud-Ouest (CC2SO), dont est désormais membre la commune, est ainsi créée au [20]. Poix-de-Picardie en est le siège.

Liste des maires

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Liste des maires successifs[21]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1891   Charles Guillie    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 En cours
(au 8 octobre 2020)
Jean-Marie Snauwaert DVG[22] Représentant de commerce
Réélu pour le mandat 2020-2026[23],[24] ,[25]

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27].

En 2021, la commune comptait 420 habitants[Note 3], en évolution de −5,41 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
814849813924931933938915902
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
901883880825775707667671640
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
574549512507495514456444427
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
433444452433438444475473437
2015 2020 2021 - - - - - -
444421420------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Le village possède son école primaire. La compétence scolaire est gérée par la communauté de communes.

Culture locale et patrimoine

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Le cadran solaire de l'église.

Lieux et monuments

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  • Château de Quesnoy sur Airaines. Un château médiéval, pris et rasé par Jean de Luxembourg en 1422, fut reconstruit en 1682 par le sire de Moyenneville. Il comprend un corps de logis en brique, daté 1682 par des ancres en fer forgé, flanqué, côté cour, de deux ailes en retour, en pierre. Côté parc, un avant-corps central en rotonde surmonté d'une coupole et précédé d'un perron orne le centre de la façade, Des écuries en pierre de taille du XVIIe siècle, datées 1768 par des ancres en fer forgé[29] et une glacière ainsi qu'un parc[30]. Le château de Quesnoy est inscrit aux monuments historiques depuis un arrêté du 19 novembre 1993.
  • L'église Saint-Michel, du XVIe siècle, avec son cadran solaire.
  • Chapelle du cimetière, sur la route de Tailly, à deux kilomètres du village. Toute en pierre et ardoise, très épurée[31].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Quesnoy-sur-Airaines Blason
De gueules à un chêne (arraché) d'or et à l'écu d'hermine à trois fleurs de lys au pied nourri de gueules, brochant en cœur ; au chef échiqueté d'azur et d'argent[32].
Détails
Le champ de gueules et le chef échiqueté sont repris des armes de la famille d'Ailly, seigneur de Quesnoy aux XIVe et XVe siècles. Quesnoy passe ensuite à la famille Quiéret, dont les armes sont reprises par l'écusson. Enfin, le chêne renvoie au nom de la commune : le quesnoy, signifiant « chênaie » en picard.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Quesnoy-sur-Airaines » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Quesnoy-sur-Airaines et Oisemont », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Oisemont_sapc » (commune d'Oisemont) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Oisemont_sapc » (commune d'Oisemont) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Quesnoy-sur-Airaines ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a b et c Site communal.
  14. Scheck, R. (2007). Une saison noire. Les massacres de tirailleurs sénégalais. Mai-juin 1940. Paris : Tallandier. pp.46-47.
  15. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  16. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  17. Benoît Delespierre, « Intercommunalité : La carte qui fait peur aux élus locaux », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  18. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d'ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  19. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes du sud-ouest Amiénois, de la communauté de communes du Contynois et de la communauté de communes de la région d'Oisemont », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031,‎ , p. 93-95 (lire en ligne [PDF]).
  20. « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Somme Sud-Ouest issue de la fusion de la communauté de communes du Continois, de la communauté de communes de la Région de Oisement et de la communauté de communes du Sud Ouest Amiénois à compter du  » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
  21. « Les maires de Quesnoy-sur-Airaines », sur francegenweb.org (consulté le ).
  22. « Extrait de la fiche de M. Jean-Marie Snauwaert », sur lesbiographies.com, (consulté le ).
  23. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  24. « Liste des maires de la Somme » [xls], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  25. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. « Le Château », notice no PA00125671, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. « Parc du château de Quesnoy-sur-Airaines », notice no IA80000624, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 143 (ASIN B000WR15W8).
  32. « Blason de Quesnoy-sur-Airaines », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).