L'association Patrimoine ferroviaire et tourisme (PFT) est créée le . Ses statuts, modifiés le , précisent que « ses objectifs sont l'acquisition, la préservation et la restauration de matériel des Chemins de fer belges, radié ou en voie de l'être ». Cet objectif est atteint via différentes activités[1].
C'est la plus ancienne activité de l'association. Plusieurs types de voyages thématiques ont été proposés aux membres et aux non-membres :
• Adieu à du matériel roulant en fin de carrière.
• Avant-première ou dernière utilisation d'une infrastructure (par exemple, une ligne à grande vitesse, une ligne secondaire avant déferrement, ...).
• Découverte de l'activité ferroviaire d'un pays étranger intéressant.
• Mise à disposition de son propre matériel pour un besoin particulier (train-buffet à la Saint Valentin, voyage d'approche d'un événement d'une association sœur, train-anniversaire, ...).
Toutes ses activités ne sont plus proposées depuis 2013, date à partir de laquelle les conducteurs SNCB qui étaient également bénévoles de l'association n'ont plus pu bénéficier de la couverture des circulations touristiques par le certificat de sécurité de leur employeur. Faute de pouvoir acquérir le statut d'entreprise ferroviaire à part entière (car cela représente une charge importante), et surtout faute de clarté sur l'accès au réseau des engins historiques, l'association est depuis en attente d'une nouvelle législation clarifiant ces aspects.
La liste des trains spéciaux organisés par le "PFT" (à partir de 2024) :
Cette activité a débuté dans divers ateliers SNCB, avant de se centraliser dans quelques travées de l'ancien atelier diesel de Schaerbeek, aux côtés du patrimoine historique de la SNCB.
En 1998, l'ancien atelier de wagons de Saint-Ghislain est pris en location à long terme, en vue d'héberger une collection qui s'étend progressivement, anticipant un départ annoncé de l'atelier de Schaerbeek (dont l'état se dégrade rapidement et que l'association quitte finalement en 2018).
L'association rachète le plus souvent le matériel déclassé « au prix de la mitraille », ou reçoit en don ou en gestion des pièces issues de collections privées[2].
Les bénévoles (dont plusieurs sont (ex-) membres du personnel de la SNCB) procèdent à la restauration et à l'entretien du matériel. Autant que possible et jusqu'en 2013, les agréments nécessaires pour immatriculer le matériel, et ainsi lui donner accès au réseau ferré étaient demandés.
L'association vise à maintenir en permanence une locomotive à vapeur et quelques engins diesel (autorails, locomotives de ligne et de manœuvre), ainsi que des voitures pour voyageurs, en état de marche afin de répondre aux diverses sollicitations (voyages, exploitation du chemin de fer du Bocq, expositions statiques, voire cinéma et films publicitaires). Cette activité est d'autant plus importante que le service patrimoine de la SNCB a des moyens relativement limités, ce qui induit qu'au-delà des éléments exposés à Train World et d'une flotte d'engins susceptibles d'assurer quelques circulations historiques, une part importante de la collection nationale a été mise à disposition des différentes associations à la suite de la fermeture de l'abri-Musée de Louvain en 2013, avec charge pour ces dernières d'en assurer la restauration. Vu l'importance du travail, certains véhicules sont conservés en état d'exposition, ce qui est également le cas lorsqu'un engin qui était en état de marche a subi une avarie trop importante.
Après de longues démarches administratives, l'association est, depuis 1992, reconnue comme exploitant touristique de cette ligne (ou les circulations commerciales ont progressivement pris fin entre 1960 et 1983). Si le tronçon Ciney - Spontin était encore en assez bon état, le reste de la ligne - ou subsistait heureusement une voie - fait l'objet d'une remise en état progressive depuis 1992.
Depuis la dernière extension significative en 2013, la ligne est rétablie entre les gares de Braibant et de Bauche (Évrehailles).
L'objectif de l'association reste de parcourir l'ensemble de la ligne, de Ciney jusqu'à Yvoir. Elle souhaite également pouvoir développer les installations d'entretien et de réparation du matériel afin de limiter les besoins en transfert vers et depuis les autres sites.
L'exploitation est assurée les weekends entre avril et septembre sous le nom du Chemin de fer du Bocq[3].
L'ancien atelier de réparation de wagons de la SNCB à proximité de la gare de Saint-Ghislain (appelé CHW en jargon SNCB), inutilisé par son propriétaire, permet désormais la conservation "sous abri" de la majorité de sa collection de matériel roulant, notamment des locomotives électriques, diesels et à vapeur qui sont pas nécessaires à l'exploitation de la ligne musée.
L'association rénove progressivement ce bâtiment (remplacement de la toiture, sécurité anti-intrusion active et passive, entretien des maçonneries et du faisceau de voies...) [4] avec l'objectif de constituer une réserve visitable.
Une section modélisme y a vu le jour et occupe les locaux autrefois dévolus à l'étage au personnel (bureaux, sanitaires, vestiaires et réfectoire). Plusieurs réseaux y sont en cours de construction ou d'extension continue. La section organise également trois fois par an de grandes bourses d'échange de modèles réduits dans le grand hall de l'atelier.
L'objectif est également d'y pérenniser l'atelier d'entretien du par d'engins à vapeur.
À proximité du bâtiment précédent se trouve l'ancien de traction de Saint-Ghislain (la gare était historiquement le nœud du réseau ferré du Borinage où la SNCB avait concentré ses installations).
Construit en 1966 en remplacement d'un bâtiment adapté à l'entretien des engins vapeur, cet atelier de six voies initialement destiné aux engins diesel est situé à l'extrémité est du complexe ferroviaire.
Le faisceau de voie sera électrifié au début des années 1980, mais la désindustrialisation de la région provoquera la fermeture de l'atelier en 2000, alors que le faisceau de triage conservera une activité réduite pour les clients subsistants. Le bâtiment sera encore partiellement utilisé durant quelques années pour le petit entretien des wagons de ces derniers.
L'association négociera son utilisation à partir de 2011. Après avoir restauré et sécurisé le bâtiment qui était régulièrement victime d’actes de vandalisme, une équipe d’une dizaine de bénévoles s’active à la restauration du matériel roulant et des équipements de la signalisation mécanique, dont le bâti Siemens de la gare de Tertre, destinés à l’exploitation touristique de la ligne 128 du chemin de fer du Bocq entre Ciney, Spontin et Bauche.
La répartition des volets moins prioritaires de la collection historique de la SNCB en 2013 et le départ de l'association de l'atelier de Schaerbeek en 2018 induiront une utilisation maximale de cette nouvelle capacité de stockage et d'entretien.
L'association a constitué un important fonds documentaire, et publie elle-même des documents de références sur divers types de supports : En Lignes, un petit feuillet photocopié à usage initial de bulletin de liaison a progressivement fait place à un bimestriel sur papier glacé qui fait office de référence dans le domaine, aux côtés des productions commerciales ou du mensuel des œuvres sociales Le Rail de la SNCB. En Lignes présente désormais l'actualité ferroviaire belge et étrangère ainsi que des articles de nature historique. Il est également toujours le bulletin de liaison de l'association dont il présente les nouvelles.
Le fonds documentaire de l'association est également valorisé à travers d'ouvrages spécialisés, de l'histoire de la signalisation en Belgique jusqu'à une monographie sur les autorails belges ou le plan IC-IR de 1984 en passant par des ouvrages photographiques, l'association participe à la production de littérature ferroviaire belge[5].
Par ailleurs, le patrimoine photographique est également valorisé à travers l'édition de séries de photos au format «carte postale» et de posters. Une activité qui a permis la diffusion de clichés historiques ou récents de grande qualité, et qui est progressivement supplantée par la diffusion de clichés en ligne.
Une vingtaine de locomotives diesel (manœuvre et de ligne), dont une majorité sont opérationnelles et quelques-unes officient également sur la ligne touristique.
10 locomotives électriques et deux automotrices. Aucune n'est en service, faute d'accès à la caténaire.
6 types de voitures à voyageurs belges (K1, M1, I2, I5, Mitropa, TEE), ainsi que deux voitures restaurant allemande (ex vennbahn).
Une série d'engins de maintenance de l'infrastructure (bourreuse, grue de relevage, voiture atelier, autorail caténaire, remplaceuse de traverses, wagon-nacelle, grues rail-route...).
Une quinzaine de wagons à marchandises, principalement destinés au stockage de petit matériel et à l'entretien de l'infrastructure.
Les listes suivantes ne sont pas exhaustives et devront être complétées ou actualisées au fil du temps (dernière actualisation en septembre 2024) :
Hors service (en cours de restauration cosmétique, exposée).
Locomotive de type 020T (locomotive-tender à chaudière verticale).
Elle a appartenu à l'industrie "Carrières et Fours à Chaux".
Elle fut cédée fin novembre 2009 à l'association par la ville de Tournai (la locomotive était placée comme "Monument - Port de fleur").
Sa remise en état de marche n'est pas à l'ordre du jour, le stationnement prolongé à l'extérieur, en monument, ayant sérieusement dégradé sa chaudière.
5 m, 00 t (20 t en ordre de marche), vitesse maximum : 00 km/h.
Elle a appartenu à la glacerie de Saint-Gobain, puis exposée dans la gare de Namur sous le numéro fictif no 55.011.
Elle fut acquise fin 2007 par un membre de l'association. La mécanique est saine mais la chaudière nécessite de sérieuses interventions. Sa restauration progresse cependant extrêmement lentement.
7 m, 00 t (30 t en ordre de marche), vitesse maximum : 00 km/h.
Hors service (en attente d'une restauration complète).
Locomotive de type 030T (locomotive-tender).
Elle fut récupérée "à réviser" en 2015 en Allemagne par l'association. Sélectionnée pour une restauration prioritaire en vue de son engagement sur le Chemin de fer du Bocq (une desserte courte et lente qui convient mieux à des machines conçues pour des dessertes industrielles), l'examen minutieux de son état a révélé des réparations plus complexes qu'initialement estimé. La perspective d'une subvention pour la restauration de la 64.169 place toutefois le projet Knapsack en moindre priorité pour l'association.
9 m, 32,5 t (43 t en ordre de marche), vitesse maximum : 45 km/h (400 cv).
Elle fut acquise fin 2001 en Roumanie et restaurée sur place (à Cluj-Napoca).
Elle roula entre 2007 et 2017 notamment sur le Chemin de fer du Bocq. Depuis lors, elle est en attente pour une révision complète de sa chaudière (et d’autres éléments).
En 2022, l'association annonce avoir décroché une subvention du commissariat général au TourismeWallon pour financer une large partie de cette restauration.
00 m, 70,7 t (78,2 t en ordre de marche), vitesse maximum : 80 km/h (1180 cv).
Livrée à la DR le 30/08/1943, immatriculée BR 52.3554 et entre 1967 et 1993, elle a roulé ensuite pour les PKP (Pologne) sous le numéro Ty2-3554, dépôt de Szczakawa-Jaworzno (réseau de Silésie, traction de trains de charbon qui constituait donc un carburant disponible sur place).
Elle fut ensuite acquise le 16/08/1990 en Pologne par l'association, restaurée dans une version similaire au type 26 de la SNCB, recevant le matricule factice 26.101 qui la place à la suite des 100 machines ayant historiquement constitué ce type.
Elle a assuré des trajets historiques de 1995 à 2005.
Ensuite, le diagnostic de sa chaudière laissait entrevoir de lourdes réparations que l'arrivée de la 64.169 rendait moins prioritaire. Une chaudière de remplacement a ensuite été trouvée, nécessitant moins de travaux. Les montants restent toutefois importants et le fait de ne plus pouvoir faire rouler d'engins historiques sur le réseau belge depuis 2013 à réduit l'opportunité de cette réparation.
32,5 t, 16,2 m, vitesse maximum : 80 km/h (180 ch).
Capacité du réservoir à gazole : 320 L.
106 places au total (71 places assises et 35 debout) en 2e classe.
Mis hors service et acquis en 1986.
Il n'avait pas été modernisé par la SNCB (sièges en simili cuir, fenêtres à volet basculant, diverses mises à jour électromécaniques et pneumatiques). De ce fait, il avait été restauré en livrée "à deux tons de vert" et immatriculé 554.18.
Sa mécanique est usée et a besoin d'une révision en profondeur.
Hors service (en attente d'une restauration complète).
Autorail pour lignes secondaires.
Ex. type 622 dit «Petit Brossel».
11,3 m, 22 t, vitesse maximum : 66 km/h.
Capacité du réservoir à gazole : 000 L.
47 places assises au total en 2e classe.
Mis hors service en 1984.
Préservé depuis 1988.
Après une carrière commerciale relativement courte terminée au dépôt de Gouvy, il fut converti en autorail d'entretien des caténaires pour la brigade de Jemelle et réimmatriculé ES-308, il fut ensuite utilisé comme tracteur sur rail par l'atelier de Bertrix jusqu'en 1984.
il fera l'objet d'une première révision sur place, incluant le démontage des équipements d'entretien de la caténaire subsistant, ce qui lui permit d'assurer par ses propres moyens son transfert vers Schaerbeek, où il fera l'objet d'une sévère dégradation. Entre 2010 et 2012, en collaboration avec une école technique d'Overpelt, les boiseries de l'aménagement intérieur seront totalement reconstruites. La restauration se poursuit depuis, mais en très faible priorité.
SNCB Draisine d'inspection (Type 2) no 201 (no 380.25.201.60)
Hors service (en attente d'une restauration complète).
Ancienne draisine (ou Lorry) d'inspection des voies ferrées mais aussi pour le transport des ouvriers et du matériel requis pour l'entretien des voies.
7 m, 15 t, vitesse maximum : 70 km/h.
Capacité du réservoir à gazole : 225 L.
Don du musée national (Train World) depuis une date inconnue.
Disposition des essieux : deux bogies de 3 essieux moteurs dite Co'Co'.
20 m, 117 t, vitesse maximum : 120 km/h (1950 ch).
Capacité du réservoir à gazole : 4 000 L (4 m3).
Ces locomotives ont transité par l'association, pour servir de banques de pièces de rechange. La 5117 à, un temps, portée une livrée bleue comme c'était le cas du prototype 5001 dont elle a également porté le matricule à cette occasion.
Disposition des essieux : deux bogies de 3 essieux moteurs dite Co'Co'.
18 m, 108 t, vitesse maximum : 140 km/h (réduit à 120 km/h en 1980).
Capacité du réservoir à gazole : 3 500 L (3,5 m3).
Elle fut acquise en assez bon état général en 2013 et restaurée entre 2014 et 2015. Elle porte des cabines flottantes, à la suite d'une transformation par la SNCB en 1982.
Elle fut acquise en 1998 auprès de Marklin Belgique qui l'avait achetée aux CFL en 1995, après son retrait du service commercial. Elle officiera pour l'association de 1999 à 2019, repeinte en livrée SNCB simplifiée et renuméroté 202.020 (numéro qu'elle aurait porté si la SNCB ne l'avait pas cédée aux CFL dès son acquisition). C'était, pour l'association, l'opportunité de disposer d'un engin de ce type avec une carrosserie toujours d'origine (cabines de conduite aux formes arrondies). Elle fut engagée sur le réseau national et sur le Chemin de fer du Bocq.
En état de marche mais atteint la limite d'entretien de sa chaine de traction.
Disposition des essieux : deux bogies de 2 essieux moteurs dite Bo'Bo'.
16 m, 87 t, vitesse maximum : 120 km/h (1.950 ch).
Capacité du réservoir à gazole : 4 000 L (4 m3).
Mise hors service en 1987.
Acquise auprès d'un particulier fin 1993.
Elle est ensuite entrée en révision, mais en faible priorité vu la disponibilité de la 5941.
La révision cosmétique est terminée (avec l'adoption de la livrée verte simplifiée dite "à mouette") alors qu'il reste des éléments mécaniques à réviser.
Disposition des essieux : deux bogies de 2 essieux moteurs dite Bo'Bo'.
17 m, 79 t, vitesse maximum : 120 km/h.
Capacité du réservoir à gazole : 5 000 L (5 m3).
Mise hors service en 1986.
Cette locomotive est le premier engin de ligne acquis par l'association en 1989.
Restaurée en 1992 dans la livrée verte qu'elle portait encore à la fin de son exploitation (avec cependant une immatriculation ancienne "210.067" sur l'une de ses faces d'about), elle a assuré de nombreux voyages et transferts de matériel de l'association pendant trente ans.
Disposition des essieux : deux bogies de 2 essieux moteurs dite Bo'Bo'.
17 m, 78 t, vitesse maximum : 120 km/h.
Capacité du réservoir à gazole : 5 000 L (5 m3).
Mise hors service en 1985.
Acquise fonctionnelle fin 1993 auprès d'un particulier proche d'une autre association, elle a conservé la livrée jaune qui lui avait été appliquée en fin de service commercial.
Disposition des essieux : deux bogies de 2 essieux moteurs dite Bo'Bo'.
16 m, 80 t, vitesse maximum : 120 km/h.
Capacité du réservoir à gazole : 3 000 L (3 m3).
Mise hors service en 2003.
Acquise en 2005.
Elle reçut rapidement une nouvelle couche de peinture, mais il apparut rapidement qu'une révision complète serait nécessaire. Celle-ci eut lieu en très basse priorité.
La perspective de la voir circuler de nouveau sur le réseau, profitant des adaptations appliquées à ses sœurs qui restent en service chez Infrabel pourrait faire évoluer la situation.
Cédé à l'asbl par le musée national (Train World) en 2013.
Elle n'a pas encore fait l'objet d'une restauration complète. Son historique d'engin peu fiable laisse peu de perspective de la revoir rouler par ses propres moyens.
Cette locomotive est issue de cette petite série de 10 engins dérivée directement de la série 73 dont elle reprend la carrosserie, mais comportant un moteur plus puissant construite par Anglo-Belgian Corporation.
Disposition C - 3 essieux accouplés par bielles.
11 m, 59 t, vitesse maximum : 60 km/h.
Capacité du réservoir à gazole : 3 000 L (3 m3).
Mise hors service en 2014.
Elle fut acquise en bon état en 2017, à la suite de la radiation de la série, elle est affectée directement au Chemin de fer du Bocq.
Capacité du réservoir à gazole : 1 500 L (1,5 m3).
Cette motrice, abandonnée par l'occupant à la libération et récupérée par l'armée Anglaise qui la céda ensuite à l'armée Belge ou elle servit jusqu'en 2003, principalement sur le raccordement de la base de Brasschaat.
Ces deux engins, actifs auprès de la Compagnie des ciments belges depuis la fin de la seconde guerre mondiale jusqu'à 1993, puis acquises par l'association, n'ont pu recevoir la priorité suffisante pour être prises en charge. Elles ont été ferraillées en 2018, lorsque l'association n'a plus pu entreposer de matériel à Schaerbeek.
Deutsche Reichsbahn Gothaer Waggonfabrik AG (Allemagne), 1961
Opérationnelle
Cette voiture est immatriculée no 50 88 08-20 002-8 P.
25 m, 00 t, vitesse maximum : 000 km/h.
42 places assises.
Acquise en 2011 (à la suite de la faillite de l'asbl Vennbahn). Elle est utilisée depuis comme voiture restaurant (à quai ou en ligne) sur le Chemin de fer du Bocq.
Cette voiture buffet est immatriculée no 50 88 08-20 001-1 P.
19 m, 00 t, vitesse maximum : 000 km/h.
24 places assises.
Acquise en 2011 (à la suite de la faillite de l'asbl Vennbahn). Eelle est utilisée depuis comme voiture bar et local commercial sur le Chemin de fer du Bocq.
SNCB Remorque d'autorail no 734.05 (Type 734 - RAW B8 - A6D)
Ce fourgon-générateur a été restauré cosmétiquement (en livrée bleue ciel) en août 2023 et a été baptisé "Michel" en hommage à un membre de l'asbl parti trop tôt.
Infrabel - Voiture du Train de Relevage/Voiture de secours de Schaerbeek no 00052
Wagon fermé transformé après sa construction en wagon frigorifique. Il est peint en blanc pour préserver les aliments périssables. Chargé de glace, il conserve les denrées pendant 24h.
8,5 m, 23 t (poids en charge), vitesse maximum : 00 km/h.
Cédé à l'asbl par le musée national (Train World) depuis novembre 2013.