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NousToutes

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#NousToutes
Logo de NousToutes.
Seconde marche contre les violences sexistes et sexuelles (Paris, ).
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#NousToutes est un collectif féministe engagé contre les violences sexistes, sexuelles, économiques, psychologiques, verbales et physiques faites aux femmes, aux personnes LGBTI et aux enfants.

En , Caroline De Haas demande à Sarah Durieux, directrice de Change.org France, de la mettre en lien avec quatre autres femmes ayant lancé des pétitions contre les violences sexistes et sexuelles. Avec Madeline Da Silva, Fatima Benomar, Laure Salmona et Clémentine Vagne, elle pose les jalons du mouvement #NousToutes[1],[2],[3].

Le collectif, regroupant citoyens et associations, souhaite se décentraliser et rester sans leader pour permettre le maintien d’une participation collective et nationale[4]. La réunion de lancement a lieu le à la Bourse du travail de Paris[5]. Le a lieu une réunion d’associations et de militantes féministes pour créer un événement autour de la défense de la lutte contre les violences. Cette assemblée a rassemblé 600 personnes physiquement, et 7000 à travers les réseaux grâce sa diffusion en direct sur Facebook[6]. À la suite de cette réunion, 1 000 volontaires sont recrutés pour organiser le mouvement, et les coordonnées de 5 000 personnes intéressées par une marche contre les violences sont récupérées[7].

Événements

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Les événements les plus retentissants réalisés par le collectif sont des marches visant à attirer l’attention des politiques tout en faisant monter le niveau de conscience collective sur ces violences au sein de la société française[8]. Elles sont organisées autour de la Journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes.

  •  : première marche organisée par le collectif, rassemblant 80 000 personnes dans une cinquantaine de villes françaises (dont 30 000 à Paris) selon les organisatrices et 18 000 selon la police et les préfectures[9].
  •  : seconde marche organisées par le collectif, rassemblant 150 000 personnes dans toute la France selon les organisatrices (100 000 à Paris et 50 000 dans une trentaine de villes dans l'Hexagone). Pour le cabinet indépendant Occurrence, les manifestants étaient 49 000 à Paris[10].
  • 21 novembre 2020 : afin de respecter les mesures sanitaires, la marche est remplacée par une journée de mobilisation en ligne, constituée d'actions d'interpellation et de sensibilisation, de formations et de concerts[11].
  • 20 au 27 novembre 2021 : plus de 50 manifestations organisées dans toute la France[12]
  • 19 novembre 2022 : manifestation à Paris en réactions et dans toute la France (des dizaines de milliers de personnes répertoriées) pour « dénoncer les insuffisances du gouvernement » mais aussi d'autres partis comme LFI (à la suite de l'affaire Quatennens)[13].

Le , est publiée une enquête sur le consentement sexuel. Une étude dans laquelle 100 000 personnes (96 600 femmes) ont été interrogées à la suite de la diffusion du questionnaire de 30 questions lancé par #NousToutes sur ses réseaux sociaux, entre le 7 et 17 février. Ce n'est cependant pas un sondage basé sur un échantillon représentatif, notamment au niveau de l'âge (les trois quarts des répondantes ont entre 15 et 35 ans)[14].

À la suite de cette enquête, le collectif a lancé une nouvelle campagne #JaiPasDitOui pour inviter les femmes à témoigner[15].

Affiche comportant un texte bref dans une mise en page très sobre, commençant par « Tu t’appelles Gérard Depardieu. » et finissant par « Aujourd’hui tu es mis en examen pour viol, on n'en peut plus de voir ton nom sur des affiches de cinéma. »
Affichage sur l'affaire Gérard Depardieu, signé d’Andréa Bescond (mai 2023).
  • Mars 2019 : 1 400 fausses plaques portant des noms de femmes sont collées sous des plaques de rues parisiennes[16]
  • Juillet 2019 : week-end de mobilisation à Paris pour la marche de novembre et rassemblement place de la République à l'appel des familles de victimes de féminicides[17]
  • Septembre 2019 : 100 militantes brandissent les noms des femmes tuées par leur conjoint ou ex-conjoint depuis le début de l'année 2019 sur la place du Trocadéro[18].
  • Octobre 2019 : A l'initiative d'Anaïs Leleux, membre du comité de pilotage, une manifestation nocturne est organisé devant l'Élysée pour dénoncer l'accélération des féminicides par rapport à l'année précédente. Plusieurs représentantes de NousToutes sont arrêtées[19].
  • Février 2020 : à la cérémonie des César du cinéma, participation au rassemblement contre les douze nominations du film de Roman Polanski, accusé de viol et d'agressions sexuelles[20].
  •  : participation à la marche organisée pour la Journée internationale des droits des femmes[21]
  • Mars à mai 2020 : pendant la période de confinement liée à la pandémie de Covid-19 en France[22], 26 sessions de formation en ligne sont proposées par le collectif pour apprendre à détecter les différents types de violences sexistes et sexuelles et à réagir de la bonne manière quand on est face à une victime[23]. Plus de 20 000 personnes y participent[24]. Un système de soutien "Confinement & Parentalité" est proposé sur WhatsApp pour aider les parents à tenir le coup et à prévenir les violences envers les enfants[25]. Une campagne d'information et de sensibilisation contre les violences faites aux enfants et aux adolescents est lancée avec l'Unicef France[26].
  • Juillet 2020 : participation aux rassemblements organisés dans toute la France pour protester contre les nominations au gouvernement de Gérald Darmanin, visé par une plainte pour viol, et Éric Dupond-Moretti, ayant tenu publiquement des propos sexistes[27]. Lancement d'une tribune de 20 000 jeunes de 13 à 25 ans réclamant la démission de Gérald Darmanin[28],[29]
  • Janvier 2021 : à la suite de la publication du livre de Camille Kouchner La Familia Grande, lancement du hashtag #MeTooInceste et d'une pétition demandant la formation obligatoire et systématique des professionnels à la détection de l'inceste et des violences sexuelles. Le hashtag a suscité près de 80 000 messages en 2 jours[30]
  •  : publication du Manuel d’action En finir avec les violences sexistes et sexuelles écrit par Caroline De Haas, afin de donner à chacune et à chacun des outils pour que les violences sexistes et sexuelles s'arrêtent. Les droits d'autrice sont intégralement reversés au collectif #NousToutes[31].
  • Mars 2021 : opération de diffusion massive du violentomètre, un outil de prévention des violences au sein du couple, sur des emballages de baguettes de pain[32].
  •  : publication des résultats de l'enquête #PrendsMaPlainte afin de dénoncer la mauvaise prise en charge des plaintes pour violences sexuelles, contrairement aux chiffres annoncés par le Ministère de l'Intérieur[33]
  •  : enquête nationale auprès de 1 000 lycées sur la présence de référents égalité, obligatoires depuis 2018. L'enquête montre que deux tiers des lycées n'ont pas de référent égalité[34]
  •  : enquête sur la non application de la loi de 2001 prévoyant trois séances annuelles d’éducation à la sexualité du CP à la terminale[35]
  •  : manifestation de Nous Toutes Lille contre le concert Gérard Depardieu chante Barbara. Le comédien, qui avait joué avec la chanteuse dans Lily passion, débute au théâtre Sébastopol une tournée d'hommage avec Gérard Daguerre, qui a longtemps accompagné Barbara au piano. Les militantes s'insurgent contre ce concert au vu des multiples accusations de violences sexuelles contre Gérard Depardieu, rappelant que Barbara a été victime d'inceste dans son enfance[36],[37].
  • Septembre 2023 : en réaction aux stickers anti-IVG collés sur des Vélib' en juin 2023, 25 000 autocollants sont posés sur 12 500 vélos en libre-service de la capitale[38].

En novembre 2021, Caroline de Haas annonce qu'elle quitte le mouvement[39].

Lors des élections législatives de 2024, l'ancien député Adrien Quatennens, condamné pour violence conjugale, est d'abord réinvesti par La France insoumise (LFI), mais décide finalement de se retirer, pour ne pas nuire au Nouveau Front populaire. Amy Bah, présidente de l’association Nous Toutes Lille, candidate divers gauche dans la 1re circonscription du Nord, décide de se maintenir malgré le retrait d’Adrien Quatennens et l’investiture d’un autre candidat LFI, Aurélien Le Coq, co-animateur des Jeunes insoumis·es[40]. Elle reçoit le soutien de la socialiste Martine Aubry[41],[42].

Le collectif revendique deux objectifs principaux[43] :

  • Interpeller le gouvernement pour mettre en place des politiques publiques efficaces de lutte contre les violences sexistes et sexuelles ;
  • Sensibiliser un maximum de personnes à la thématique des violences (chiffres, mécanismes) afin de leur permettre de les détecter dans leur entourage et de savoir orienter les femmes victimes. Ceci se matérialise notamment par des formations en ligne.

#NousToutes combat toutes les violences faites aux femmes et aux enfants : le harcèlement, le viol, les violences physiques, les mutilations sexuelles féminines, les discriminations… et dénonce le cumul des violences en raison du racisme, de l’homophobie, de la grossophobie, de la transphobie, du validisme, de l’appartenance à une religion…

Le collectif exige l'instauration par les pouvoirs publics de mesures puissantes de protection, de prise en charge des victimes, de formation du personnel de police, justice et santé, de tribunaux pour juger ces actes plus rapidement que cela se fait actuellement, ainsi que des campagnes de prévention dans les écoles et les médias. Les mesures en place actuellement sont jugées insuffisantes par le collectif ainsi que les moyens qui y sont alloués[44].

Communication sur les féminicides

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#NousToutes communique via une newsletter et sur les réseaux sociaux.

Le collectif a relayé de 2018 à 2022 le nombre de femmes tuées par leurs conjoints ou ex-conjoints, en reprenant les chiffres établis par le collectif Féminicides par compagnons ou ex.

En janvier 2022, considérant que ce comptage recensant uniquement des meurtres au sein de couples ou anciens couples ne permet pas d'appréhender les meurtres de personnes trans, et après des échanges ayant donné lieu à des propos transphobes, le collectif décide d'arrêter de répercuter les données des féminicides[45].

À partir de 2022, le collectif a mis en place sa propre cellule de veille pour recenser les féminicides. En 2023, #NousToutes œuvre avec Acceptess-T, Les Dévalideuses, la Fédération Parapluie Rouge et Act-Up Paris, à la création d’une structure plurielle afin de comptabiliser au mieux les victimes de féminicides : l’Inter Orga Féminicide, IOF[46],[47]. À cela s’ajoutent des visuels de sensibilisation à toutes les autres formes de sévices endurées par les femmes : racisme, grossophobie, lesbophobie, validisme, transphobieetc.[48]

En février 2024, suite à l'Attaque du Hamas contre Israël d'octobre 2023 et dans le contexte de la Guerre entre Israël et le Hamas, Libération révèle dans une enquête que l'organisation est critiquée par des militants pour avoir réagit tièdement aux viols et meurtres subies par les femmes israéliennes et d'être liée à des collectifs accusés d’antisémitisme[49]. En novembre 2023, France Info avait pourtant vérifié les prises de position de plusieurs collectifs féministes suite à ces accusations et avait constaté des condamnations directes après les premiers témoignages. Le collectif #NousToutes clarifie sa position et dénonce "une campagne de dénigrement" envers les féministes en France[50]

En octobre 2024, une enquête du Point révèle d'autres critiques internes, notamment en raison des alliances de Nous Toutes avec des organisations controversées, telles que Lallab ou le collectif Du Pain et des Roses accusées d'antisémitisme ou de complaisance envers le terrorisme. Une militante anonyme relate la volonté de certaines féministes de s'allier à des mouvements antiracistes, parfois au détriment de la lutte contre le sexisme[51].

Références

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  1. Morgane Cabanes, « Nous Toutes, 2ème édition : quel bilan au bout d’un an? », sur NéonMag.fr, (consulté le ).
  2. Fanny Marlier, « “Nous Toutes”, le mouvement féministe qui prend de l'ampleur sur le web », sur Lesinrocks.com, (consulté le ).
  3. Sarah Durieux, Changer le monde, manuel d'activisme pour reprendre le pouvoir, Paris, First, , 224 p.
  4. « Tout ce qu'il faut savoir sur le collectif NousToutes à l'origine de la manifestation féministe », sur Valeursactuelles.com, (consulté le ).
  5. « "Nous Toutes" : "Pour que Metoo se transforme en actions concrètes" », sur L'Obs (consulté le ).
  6. Anne-Marie Kraus, « Le mouvement #NousToutes, sur les traces de #MeToo », sur MarieClaire.fr (consulté le ).
  7. Catherine Mallaval et Anaïs Moran, « Une marche dans les pas de #MeToo », sur Libération.fr, (consulté le ).
  8. Monica Mirkos, « Pourquoi le violet comme couleur représentative des féministes ? », sur MarieClaire.fr, (consulté le ).
  9. « Manifestations contre les violences sexistes et sexuelles : « On veut du respect, on n’est pas des objets » », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  10. Virginie Ballet, « Tous pour #NousToutes »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Liberation.fr, (consulté le ).
  11. « On vous raconte la journée de mobilisation de #NousToutes », sur 20minutes.fr (consulté le ).
  12. Par Le Parisien avec AFP Le 20 novembre 2021 à 11h16 et Modifié Le 20 Novembre 2021 À 19h05, « #NousToutes : plusieurs dizaines de milliers de personnes contre les violences sexistes partout en France », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  13. « La manifestation #NousToutes à Paris critique le gouvernement, et LFI », sur mediapart.fr, .
  14. ServiceActu, « Nous Toutes dévoile sa grande enquête sur le consentement sexuel… et c'est effrayant », sur Lesinrocks.com, (consulté le ).
  15. Pierre Nicolas L'Olive, « Le collectif NousToutes dévoile son enquête sur le consentement », sur Huffingtonpost.fr, (consulté le ).
  16. « Paris: «NousToutes» a renommé 1400 rues avec des noms de femmes », sur Le Figaro.fr, (consulté le ).
  17. Marie Zafimehy, « Féminicides : un rassemblement pour dénoncer «le silence incroyable» de Macron », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  18. « PHOTO - À Paris, le collectif #NousToutes dénonce "le 100ème féminicide" de l'année », sur Europe 1 (consulté le ).
  19. « Macron, faut te réveiller » : action près de l’Élysée contre l'« accélération des féminicides », .
  20. « Devant la salle Pleyel, des féministes veulent dénoncer des “César de la honte” », sur Les Inrocks, (consulté le ).
  21. « Angèle a manifesté pour les droits des femmes », sur Mouv (consulté le ).
  22. Caroline De Haas: « La crise sanitaire doit être pensée sous toutes ses formes », society-magazine.fr, 27 mars 2020, propos recueillis par Noémie Pennacino
  23. « Les formations contre les violences sexistes de #NousToutes sur Zoom cartonnent », sur Les Inrocks, (consulté le ).
  24. Marlène Thomas, « Salaires, confiance en soi, violencesv… Le «coaching» féministe se réinvente », sur Libération.fr, (consulté le ).
  25. « Confinement et parentalité : #NousToutes lance un dispositif de soutien », sur 50 - 50 Magazine, (consulté le ).
  26. « NousToutes et l'UNICEF s'unissent pour "faire entendre le cri" des enfants confinés et victimes de violences », sur Madame Figaro, (consulté le ).
  27. « Mobilisation à l'appel du collectif #NousToutes : le point sur les manifestations région par région », sur Franceinfo, (consulté le ).
  28. « Darmanin : “Pourvoir Féministe” tente de relancer une affaire classée en 2018 », sur Les Inrockuptibles, (consulté le ).
  29. « Le gouvernement est aveugle aux aspirations de la jeune génération #MeToo », sur Club de Mediapart (consulté le ).
  30. Lorélie Carrive, « #MeTooInceste : près de 80 000 messages en deux jours », sur franceinter.fr, (consulté le ).
  31. « Pour Caroline De Haas, « la drague lourde, ça n’existe pas » », sur 20minutes.fr (consulté le ).
  32. Marlène Thomas, « Et si la lutte contre les violences conjugales passait par les sachets à baguettes de pain ? », sur Libération (consulté le ).
  33. « #PrendsMaPlainte : des témoignages de femmes dénoncent la mauvaise prise en charge des plaintes pour violences sexuelles », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
  34. « Pourquoi deux tiers des lycées n’ont-ils pas de référent égalité ? », sur 20minutes.fr (consulté le ).
  35. « Education à la sexualité: l’école pudique », Libération,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le )
  36. A.D.D., « Lille: Gérard Depardieu attendu par des militantes féministes ce soir au Sébastopol », La Voix du Nord, (consulté le ).
  37. « Le collectif « Nous Toutes Lille » organise un rassemblement contre la venue de Gérard Depardieu à Lille. », Wéo, (consulté le ).
  38. Marlène Thomas, « «J’ai envie d’une revanche» : les féministes de #NousToutes collent 25 000 stickers pro-IVG sur les Vélib parisiens », sur Libération (consulté le ).
  39. Christine Mateus et Ronan Tésorière, « #NousToutes : Caroline De Haas quitte le mouvement féministe qu’elle a créé », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  40. https://www.liberation.fr/politique/elections/amy-bah-candidate-dans-la-circonscription-dadrien-quatennens-je-me-prends-une-pression-incommensurable-pour-me-retirer-20240617_CAU3T5MTYJEY5JYD6XXHPXBGYY/
  41. « Législatives 2024 : la militante féministe Amy Bah se porte candidate face à Adrien Quatennens au nom des "valeurs" du Nouveau Front populaire », sur Franceinfo, (consulté le ).
  42. Anthony Berthelier, « Législatives : La France insoumise investit Quatennens, Amy Bah du collectif Nous Toutes le défie », sur huffingtonpost.fr, (consulté le ).
  43. « Marches contre les violences sexistes et sexuelles : les rassemblements près de chez vous », sur franceinter.fr, (consulté le ).
  44. « Violences sexistes et sexuelles : 49 000 personnes ont participé à la marche #NousToutes à Paris, selon le cabinet indépendant Occurrence », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
  45. Nicolas Scheffer, « #NousToutes rejette le décompte des féminicides qui ne recense pas les femmes trans », sur tetu.com, (consulté le ).
  46. « Nous Toutes lance une inter-organisation pour «donner une vision plus représentative des féminicides en France» », (consulté le )
  47. « Des collectifs féministes s'associent pour effectuer un nouveau décompte des féminicides », sur BFMTV (consulté le )
  48. Fiona Moghaddam, « Depuis #NousToutes, "une prise de conscience de la société" sur les violences faites aux femmes », sur FranceCulture.fr, (consulté le ).
  49. Marlène Thomas et Eve Szeftel, « Depuis l’attaque du Hamas du 7 octobre, #NousToutes au cœur d’un malaise militant », sur Libération (consulté le )
  50. « VRAI OU FAUX. Viols perpétrés par le Hamas : les féministes restent-elles silencieuses ? », sur Franceinfo, (consulté le )
  51. « Mais où va le collectif Nous Toutes ? », sur Le Point, (consulté le )

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Bibliographie

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  • Adèle Ponticelli, « #MeToo et véganisme : chair fraîche indisposée ! », Vacarme, no 86,‎ , p. 52 à 58 (présentation en ligne)
  • Caroline De Haas, En finir avec les violences sexistes et sexuelles : manuel d'action, Robert Laffont, 4 mars 2021, 224 p. (ISBN 2221252985), [[ présentation en ligne]]

Liens externes

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