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Mours-Saint-Eusèbe

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Mours-Saint-Eusèbe
Mours-Saint-Eusèbe
Blason de Mours-Saint-Eusèbe
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Valence
Intercommunalité Valence Romans Agglo
Maire
Mandat
Dominique Mombard
2020-2026
Code postal 26540
Code commune 26218
Démographie
Population
municipale
3 385 hab. (2021 en évolution de +11,35 % par rapport à 2015)
Densité 642 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 04′ 20″ nord, 5° 03′ 07″ est
Altitude Min. 173 m
Max. 318 m
Superficie 5,27 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Romans-sur-Isère
(banlieue)
Aire d'attraction Romans-sur-Isère
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Romans-sur-Isère
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Mours-Saint-Eusèbe
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Mours-Saint-Eusèbe
Liens
Site web http://www.mourssainteusebe.fr

Mours-Saint-Eusèbe est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants sont dénommés les Moursois.

Géographie

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Mours-Saint-Eusèbe est limitrophe de la ville de Romans-sur-Isère (chef-lieu de canton). La commune se trouve à 23 km de Valence, à 80 km de Grenoble, à 106 km de Lyon.

Relief et géologie

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Sites particuliers :

Hydrographie

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En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Moyenne vallée du Rhône, caractérisée par un bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 60 %), une forte amplitude thermique annuelle (4 à 20 °C), un air sec en toutes saisons, orageux en été, des vents forts (mistral), une pluviométrie élevée en automne (250 à 300 mm)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 885 mm, avec 8 jours de précipitations en janvier et 5,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Romans_sapc », sur la commune de Romans-sur-Isère à 3 km à vol d'oiseau[3], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 876,7 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Statistiques 1991-2020 et records ROMANS_SAPC (26) - alt : 156m, lat : 45°03'00"N, lon : 4°59'55"E
Records établis sur la période du 01-07-1990 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,8 0,9 3,5 6,2 10,3 13,7 15,4 15,1 11,7 8,8 4,4 1,5 7,7
Température moyenne (°C) 4,4 5,4 9,1 12,2 16,3 20,2 22,3 22,1 17,9 13,7 8,4 5 13,1
Température maximale moyenne (°C) 8,1 9,9 14,7 18,2 22,4 26,6 29,3 29 24 18,7 12,4 8,4 18,5
Record de froid (°C)
date du record
−13,2
11.01.10
−10,3
05.02.12
−11,2
02.03.05
−6,5
08.04.21
0,9
07.05.19
5,3
21.06.1992
7,1
13.07.00
5,1
30.08.1998
1,7
30.09.1995
−4,2
26.10.03
−9,1
23.11.1998
−12
30.12.05
−13,2
2010
Record de chaleur (°C)
date du record
22,1
10.01.15
22,2
23.02.20
25,9
25.03.1994
30,1
21.04.18
34,5
21.05.22
39,5
27.06.19
41,1
24.07.19
40,8
22.08.23
35
16.09.19
30
10.10.23
23,8
11.11.1995
18,6
17.12.19
41,1
2019
Précipitations (mm) 52,3 41,8 51,5 72,9 83,7 66,1 59 68,8 104,4 115,8 106 54,4 876,7
Source : « Fiche 26281001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Voies de communication et transports

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Au , Mours-Saint-Eusèbe est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Romans-sur-Isère, une agglomération intra-départementale dont elle est une commune de la banlieue[8],[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Romans-sur-Isère, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (46,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (64,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (34,8 %), terres arables (32,5 %), zones agricoles hétérogènes (13,4 %), forêts (11,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,5 %), prairies (0,6 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine

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Quartiers, hameaux et lieux-dits

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Site Géoportail (carte IGN)[13] :

  • Chalaire
  • le Roulet
  • les Armanières
  • les Bornes
  • les Bouchardières
  • les Clapiers
  • les Collères
  • les Fourneaux
  • les Gordets et Mondrions
  • les Guillauds
  • les Guinches
  • les Perrières
  • les Revols
  • les Sabots et Rosettes
  • les Vallettes
  • Rochas et Rosettes
  • Tancoa

Anciens quartiers, hameaux et lieux-dits :

  • l'Amanière est un quartier attesté en 1891. Il était dénommé Larmanera en 1514 (archives de la Drôme, E 1855)[14].

Projets d'aménagement

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Risques naturels et technologiques

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Attestations

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Dictionnaire topographique du département de la Drôme[15] :

  • 937 : villa Arratica (cartulaire de Romans, 133).
  • 1097 : mention de la paroisse : ecclesia de Moderatico, quod est Murs (cartulaire de Romans, 169).
  • 1100 : mention de l'église Notre-Dame : ecclesia Sancte Marie de Erratica (cartulaire de Romans, 200).
  • 1155 : Mors (cartulaire de Romans, 300).
  • 1385 : Mors supra Peyrinum (archives de la Drôme, E 46).
  • XVe siècle : mention de la paroisse : capella de Mors (pouillé de Vienne).
  • 1521 : mention de la paroisse : ecclesia de Mours (pouillé de Vienne).
  • 1542 : Mours près Romans (archives de la Drôme, E 1858).
  • 1572 : mentions des seigneurs des Tours de Mours (archives de la Drôme, E 1861).
  • 1891 : Mours, commune du canton de Romans.

(non daté)[réf. nécessaire] : Mours-Saint-Eusèbe.

Étymologie

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Mours

Du germanique muor « marais, tourbière »[réf. nécessaire].

Saint-Eusèbe

La chapelle ruinée de Saint-Eusèbe est sur la commune de Peyrins[16]. La commune de Mours-Saint-Eusèbe faisait partie de celle de Peyrins avant 1880.

Préhistoire et protohistoire

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pierre à cupules

Du Moyen Âge à la Révolution

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La seigneurie :

  • Au point de vue féodal, la terre (ou seigneurie) de Mours est partagée entre le pouvoir temporel des dauphins et le pouvoir spirituel des religieux de Romans[17].
  • Mours faisait partie du mandement de Peyrins[15].
  • Milieu XVIe siècle : certains droits seigneuriaux sont aliénés aux Vallin qui s'intitulaient encore seigneurs des Tours de Mours en 1572[15].

1725 (démographie) : 78 hommes, 78 femmes, 31 garçons, 38 filles, 22 veufs, 9 domestiques[15].

Avant 1790, Mours était une paroisse du diocèse de Vienne et de la communauté de Peyrins, dont l'église était sous le vocable de Notre-Dame et dont les dîmes appartenaient au chapitre de Romans qui présentait à la cure[15].

La légende de saint Eusèbe

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Chaque année, à la veille de la Saint-Jean, les sorciers de la région arrivaient à Mours sur leurs balais. Leur grand-maître, qui présidait sous la forme d'un bouc, faisait prêter serment à tous les participants de tuer et faire le mal en usant de tous leurs maléfices. Eusèbe aurait réussi à lutter contre ces sorciers. Il est toujours invoqué contre les puissances maléfiques[réf. nécessaire].

De la Révolution à nos jours

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En 1790, Mours devient une section de la commune de Peyrins, de laquelle elle a été séparée, le 12 avril 1880, pour former une commune distincte du canton de Romans[15].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Administration municipale

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter. : depuis 1880
1880 (29 mai) 1902 Elisée Monteil    
1902
(élect. partielle ?)
1909 Jean Larra    
1910
(élect. partielle ?)
1912 Louis Lambert    
1912 1919 Louis Lambert    
1919 1935 Élie Bravet    
1935 1944 Fernand Perriolat    
1944
(nommé ?)
1971 Julien Vicat    
1971 1983 Louis Eymery    
1983 1995 Georges Roibet    
1995 2008 Robert Marion PCF  
2008 2016 Alain Vallet (sans étiquette) retraité
2016
(élect. partielle ?)
en cours Dominique Mombard[18][source insuffisante] (sans étiquette)  

Rattachements administratifs et électoraux

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Politique environnementale

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Finances locales

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Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1881. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[20].

En 2021, la commune comptait 3 385 habitants[Note 2], en évolution de +11,35 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926
565578554563550535518543559
1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990
5535545376278259881 3481 8392 027
1999 2006 2008 2013 2018 2021 - - -
2 1862 4142 4782 9083 2103 385---
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements

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Enseignement

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Manifestations culturelles et festivités

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Agriculture

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En 1992 : vignes, lavandin[17].

Commerce et industrie

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La commune possède une carrière[17].

Revenus de la population et fiscalité

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Culture locale et patrimoine

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L'église de Mours (clocher-porche).
Maison forte de Chaleyre.

Lieux et monuments

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Patrimoine culturel

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  • L'église abrite un musée d'art sacré : orfèvrerie, étains, ornements[17], et d'autres objets : vêtements liturgiques, livres, sculptures, peintures, reliquaires, etc., en tout plus de 15 000 objets de cultes[réf. nécessaire].

Patrimoine naturel

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  • Étangs de Chaleyre : pêche, chemin de promenade.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique, logotype et devise

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Blason de Mours-Saint-Eusèbe Blason
Taillé : au 1er coupé émanché d'azur et de sinople, au 2d d'azur à trois burelles ondées d'argent ; le tout sommé d'un chef cousu* de gueules chargé d'une billette couchée d'argent surchargée de neuf tourteaux de sable (pierre à cupules) et accostée de deux coquilles d'or[23].
Détails
* Ces armes emploient le terme « cousu » dans le seul but de contrevenir à la règle de contrariété des couleurs : elles sont fautives : gueules sur azur.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Mours-Saint-Eusèbe et Romans-sur-Isère », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Romans_sapc », sur la commune de Romans-sur-Isère - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Romans_sapc », sur la commune de Romans-sur-Isère - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  8. « Unité urbaine 2020 de Romans-sur-Isère », sur insee.fr (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Romans-sur-Isère », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  14. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 6 (L'Amanière).
  15. a b c d e et f J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 242 (Mours).
  16. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 338 (Saint-Eusèbe).
  17. a b c d e et f Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Mours-Saint-Eusèbe.
  18. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr (consulté le ).
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  23. « 26218 Mours-Saint-Eusèbe (Drôme) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).