Marius Barbeau
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Frédéric Charles Joseph Marius Barbeau |
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Beau-père de l'illustrateur de ses publications, Arthur Donald Price, et du sociologue québécois Marcel Rioux |
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Marius Barbeau (né à Sainte-Marie-de-Beauce le – mort à Ottawa le [1]) est un anthropologue, ethnologue et folkloriste québécois. Il est considéré comme le fondateur de l'anthropologie canadienne et québécoise[2].
Marius Barbeau tient avant tout sa réputation de son travail extensif de recension des traditions orales du Canada français, mais également de l'énorme documentation consacrée aux Amérindiens de l'Est, de l'Ouest et des Prairies. Barbeau avait une prédilection particulière pour les chansons, contes et légendes. Il est l'auteur de plus de 1 700 publications de vulgarisation scientifique des traditions orales et artistiques du Canada.
« Qu'il s'agisse de cultures amérindiennes, canadienne-française ou d'œuvres artistiques, Marius Barbeau a toujours agi en collectionneur invétéré en rassemblant, entre autres, 2 000 objets de musée, en recueillant 400 contes et 7 000 chansons du Canada français. Véritable homme universel, il était versé à la fois en ethnologie, en anthropologie, en folklore et en histoire de l'art. Auteur prolifique, il a publié plus de 1 000 titres, il a laissé 12 mètres linéaires de manuscrits et plus de 30 mètres linéaires de notes de recherche[3]. »
Biographie
[modifier | modifier le code]Jeunesse, formation et début de carrière
[modifier | modifier le code]Aîné d'une famille de quatre enfants (suivi de Dalila (1884-1901), Richard (1888-) et Louis-Georges (1889-)), Charles Marius Barbeau est né le à Sainte-Marie de Beauce. Sa mère, Virginie Morency (1858-1906), et son père, Charles Barbeau (1845-1919), sont cultivateurs et élèvent des chevaux. Dès son jeune âge, Marius Barbeau est initié aux contes, aux danses folkloriques[4], à la musique et au chant, grâce à ses parents.
Il fait ses études primaires à la maison (sa mère, ayant été religieuse, dirigeait l'instruction de ce fils précoce[5]).
À l'âge de 11 à 13 ans, il étudie au collège commercial des Frères des Écoles chrétiennes, à Sainte-Marie de Beauce[6] (où il apprend l'anglais et la sténographie-Duployé… qui lui seront très utiles). — C'est aussi là qu'il fait une rencontre qui finira par orienter son choix de carrière : il croise l’abbé Prosper Vincent (1842-1915), un prêtre catholique d'ascendance huronne[7], qui le laisse marqué par le spectacle des danses amérindiennes que l'abbé organise[8].
Puis Marius (de l'âge de 14 à 20 ans) fait son cours classique (latin, grec ancien, mathématiques, sciences, littérature...) au collège (alors aussi dit « petit séminaire ») de La Pocatière[1].
Après quoi, en vue de devenir notaire[9], il commence en 1903 des études de droit à l'Université Laval, qu'il termine en 1907 en obtenant le droit de pratiquer comme avocat.
Enfin, grâce à l'obtention d'une des premières bourses Cecil Rhodes (étant donné le désistement de son brillant confrère et ami, le jeune avocat Louis St-Laurent, futur premier ministre du Canada)[10], Marius Barbeau part (à l'automne 1907) pour Oxford, en rêvant de s'y spécialiser en droit pénal[11] puis de revenir dans sa Beauce natale pratiquer le droit. Mais, se passionnant pour l'être humain et sa culture, il décide sur place de s'inscrire, au Oriel College, en anthropologie[12]. Sa passion pour cette discipline nouvelle est telle, qu'il traverse en France pendant les vacances, pour fréquenter l'École des hautes études à la Sorbonne ainsi que l'École d'anthropologie, à Paris[1]. Il termine ses études à l'âge de 27 ans, en 1910, en déposant et soutenant avec succès sa thèse de doctorat (en anglais), intitulée : The Totemic System of the North Western Indian Tribes of North America (« Le système totémique des tribus indiennes du Nord-Ouest de l'Amérique du Nord »).
Dès 1911, Marius Barbeau est recruté par le Musée de la Commission de géologie du Canada (devenu en 1927 le Musée national du Canada, renommé aujourd'hui le Musée canadien de l'histoire), auquel il reste rattaché jusqu'à sa retraite (alors obligatoire à 65 ans) en 1948, mais demeure disponible en consultation et poursuit des travaux personnels le reste de sa vie, s'occupant à transcrire les textes et les mélodies qu'il avait recueillis durant ses expéditions (écriture au propre, du texte et de la musique, à partir des écritures sténographiques ou des enregistrements phonographiques) et à préparer ses publications[1],[2]. Entre 1914 et 1918, période particulièrement prolifique, il recueille plus de deux-cent contes[13].
Marius Barbeau est le deuxième anthropologue professionnel à temps plein au Canada (après Edward Sapir)[14]. En premier lieu, il fait une étude des dialectes et de la phonétique des autochtones (des Hurons-Wendat, et plus tard jusqu'aux autres nations du Nord-Ouest du Canada) et il se fabrique un dictionnaire de leur langue. Équipé d'un phonographe Edison à cylindres de cire, il enregistre les contes et les chansons[15],[2]…
Mariage et famille
[modifier | modifier le code]Le , Marius Barbeau épouse, à Ottawa, une infirmière, Marie Ernestine Larocque (1888-1979)[16]. Le couple donne naissance à deux enfants : Dalila (1919-1994), qui épouse Arthur Donald Price (1918-2009) RCA, l'illustrateur des publications de Marius Barbeau, et Hélène (1921-2010)[17], qui épouse l'ethnologue et sociologue Marcel Rioux (1919-1992)[15],[18].
Études du folklore et ethnologie au Québec
[modifier | modifier le code]Barbeau étudie les Hurons-Wendat de la région de Québec. Il y collecte contes et chansons. En 1913, lors d'un congrès à Washington, l'anthropologue Franz Boas, le père de l'anthropologie scientifique, encourage Marius Barbeau à recueillir, avant qu'ils ne se perdent, des contes français et des chansons auprès des anciens, chez les Hurons et les Canadiens. Ce qu'il fait, mais d'abord en vérifiant l'influence de la culture canadienne-française sur celle des Hurons-Wendat, car certains contes hurons lui semblaient provenir de contes canadiens-français[1],[2]. Les travaux de Barbeau à propos du folklore canadien-français sont très importants (tant dans leur ampleur que par la précision de la documentation). Ils ont marqué les Québécois du XXe siècle, notamment dans le camp nationaliste — toutefois, Barbeau fut surtout un des premiers promoteurs du multiculturalisme au Canada[19].
Travail anthropologique en Colombie-Britannique
[modifier | modifier le code]Dès 1914, Barbeau étudie les Amérindiens tsimshians en Colombie-Britannique. Cette année-là, en trois mois seulement, Barbeau et ses collègues documentent de manière extensive l'organisation sociale des Amérindiens. Dans les années 1920, Barbeau retourne à plusieurs reprises dans la région. Son travail de collecte d'informations provenant de l'histoire orale, des traditions de contes et des légendes, ainsi que de la linguistique, était principalement motivé par la volonté de déterminer les mouvements de migrations des nations amérindiennes. — Ses théories sur la migration sont, un siècle plus tard, considérées dépassées, améliorées notamment par les fouilles archéologiques depuis lors[2].
Par ailleurs, l'intérêt de Barbeau pour la conservation et la diffusion de l'art totémique de la région en fait un fervent défenseur de l'art autochtone canadien.
Enseignement
[modifier | modifier le code]À partir de 1942, Barbeau enseigne l'anthropologie à l'Université Laval (comme conférencier aux cours d'été) et à l'Université d'Ottawa[1],[2]. En 1945, il est nommé professeur agrégé à la faculté des lettres de l'Université Laval[1]. Il prend sa retraite de l'enseignement à 71 ans, en 1954.
Collaborateurs
[modifier | modifier le code]Marius Barbeau a collaboré de proche ou de loin avec la grande majorité de ses contemporains qui se sont intéressés au folklore canadien. Parmi ses principaux collaborateurs on note entre autres Édouard-Zotique Massicotte et Adélard Lambert[20] ainsi que Luc Lacourcière et Carmen Roy[21].
Archives
[modifier | modifier le code]La plupart de ses archives se trouvent dans le Fonds Charles-Marius-Barbeau[11], à la salle Marius-Barbeau du Centre canadien d'études sur la culture traditionnelle (CCÉCT), division du Musée canadien de l'histoire, à Gatineau (au Québec), où les nouvelles technologies sont appliquées à conserver ces documents[1].
Le fonds d'archives de Marius Barbeau est conservé au centre d'archives de Montréal de Bibliothèque et Archives nationales du Québec[22].
En 2005, le Musée a entrepris de rendre disponibles des copies des archives sonores de Barbeau.
Citations
[modifier | modifier le code]- « […] notre art moderne ne pourra se développer de façon originale si nos artistes, nos créateurs d'aujourd'hui ne connaissent pas leur folklore, leurs traditions. » — Charles Marius Barbeau[23]
Bibliographie (extraits)
[modifier | modifier le code]- Marius Barbeau (sélection)
- Huron and Wyandot Mythology, Memoir 80, no.11, Anthropological Series, Ottawa, Canada Department of Mines, Geological Survey, Government Printing Bureau, 1915, 437 p.
- Mythologie huronne et wyandotte : avec en annexe les textes publiés antérieurement, traduit de l'anglais et commentée sous la direction de Pierre Beaucage, Montréal, Presses de l'Université de Montréal[24], 1993…, 439.p. (ISBN 2-7606-1609-6)
- Contes populaires canadiens, The Journal of the American Folk-Lore, vol. XXIX, no 111, (Jan.-March 1916), p. 1-136
- Contes populaires canadiens, seconde série, The Journal of the American Folk-Lore, vol. XXX, no. 115, (Jan.-March 1917), p. 1-140
- Blason, Géographie et Généalogie Polulaires de Québec (I. Beauce, Gaspé et Témiscouata) in The Journal of American Folklore, Vol. 33, No 130 (Oct. - Déc., 1920), pp. 346–366
- Au Cœur de Québec, Montréal, Les Éditions du Zodiaque, 1934, 200 p.
- Cornelius Krieghoff Pioneer Painter of North America, Toronto, The Macmillan Company of Canada Limited, 1934, 152 p.
- La merveilleuse aventure de Jacques Cartier, série Documents historiques, Montréal, Éditions Albert Lévesque, 1934, 117 p.
- Grand-mère raconte, Montréal, Éditions Beauchemin, 1935, 101 p.
- Il était une fois, Montréal, Éditions Beauchemin, 1935, 103 p.
- Quebec, where ancient France lingers, Toronto, Macmillan of Canada, 1936, 173 p.
Québec où survit l'Ancienne France, Québec, Librairie Garneau, Limitée, 1937, 175 p. - Romancero du Canada, Toronto, The MacMillan Company of Canada Limited, 1937, 254 p.
- […]
- Autres
- (en) Laurence Nowry, Marius Barbeau: Man of Mana, a biography, Toronto, NC Press, 1995, 448 p. (ISBN 1-55021-100-5 et 1-5502-1100-5)
- Serge Gauthier, Marius Barbeau: le grand sourcier, Collection les grandes figures No 31, Montréal, XYZ éditeur, 2001, 144 p. (ISBN 2-8926-1315-9 et 978-2-89261-315-5) (Biographie romancée)[25].
Honneurs
[modifier | modifier le code]- 1907 - Bourse Cecil Rhodes[10]
- 1916 - Membre de la Société royale du Canada (Royal Society of Canada) et président de la section française (1933), puis Fellow (FRSC, 1950)[1],[26]
- 1925 - Prix David[1]
- 1929 - Prix David[1]
- 1940 - Docteur honoris causa de l'Université de Montréal[1]
- 1941 - Fellow h.c. de l'Oriel College, Université d'Oxford[1]
- 1945 - Prix David[1]
- 1946 - Médaille Parizeau, de l'ACFAS[1]
- 1950 - Médaille Lorne Pierce, par la Royal Society of Canada[27]
- 1952 - D. ès L. h.c. de l'Université Laval[1]
- 1962 - Médaille du Conseil des Arts du Canada[1]
- 1965 - National Award pour la musique, de l'Université de l'Alberta[1],[26]
- 1967 - Compagnon de l'Ordre du Canada[28]
- 1968 - Diplôme d'honneur, de la Conférence canadienne des arts (Canadian Conference of the Arts)[29]
- Affiliations et élections
- Membre de la Washington Academy of Sciences[1], puis président d'une section, dite American Folk-Lore Society [sic], qu'il avait fondée en 1911 et rédacteur-adjoint de la revue The Journal of American Folk-Lore, qui publie en français ses Contes populaires canadiens (136 et 140 p. en 1916, 1917)
- Membre de la Canadian Authors Association[1]
- Membre de la Société des écrivains canadiens[1]
- Membre de l'Académie des lettres du Québec, dont il est un des 16 fondateurs, en 1944[30]
- Président (1956-1963) de la SCTM : Société canadienne pour les traditions musicales (aussi CSTM : Canadian Society for Traditional Music), dont il avait été un des fondateurs[1]
- Honneurs posthumes
- 1969 - le Mont Barbeau (Barbeau Peak) : le plus haut sommet du Nunavut (sur l'île d'Ellesmere) porte désormais son nom[1]
- 1973 - Bourse Victor Martyn Lynch-Staunton, du Conseil des Arts du Canada[26]
- 1978 - création du Musée Marius-Barbeau, à Saint-Joseph-de-Beauce[31],[32]
- 1985 - la Médaille Marius-Barbeau est créée et décernée chaque année, depuis, par l'Association canadienne pour les études de folklore[1],[26]
- 1985 - monument en son honneur, à Gatineau (rue Laval)[33]
- 1985 - reconnu « personnage d'importance historique nationale » par la Commission des lieux et monuments historiques du Canada
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Renée Landry, Denise Ménard, R.J. Preston, « Marius Barbeau » dans L'Encyclopédie canadienne, Historica Canada, 1985–. Publié le 19 mai 2008. (consulté le ).
- Luc Lacoursière, Marius Barbeau, ethnologue chevronné, Archives de la SRC (entrevue radio diffusée le 27 février 1970, 7 min 30 s) [document consulté le 4 juillet 2010].
- Présentation de l'Autobiographie de Marius Barbeau, site du Musée canadien de l'histoire consulté le 4 juillet 2010.
- Pierre Chartrand, « Marius Barbeau et la danse », Rabaska : revue d'ethnologie de l'Amérique française, vol. 13, , p. 188–197 (ISSN 1703-7433 et 1916-7350, DOI https://doi.org/10.7202/1033761ar, lire en ligne, consulté le )
- Autobiographie de Marius Barbeau, section Le temps des jeux, p. 2, site du Musée canadien de l'histoire [page consultée le 4 juillet 2010].
- Autobiographie de Marius Barbeau, section L'étudiant, p. L'école à la maison, site du Musée canadien de l'histoire [page consultée le 4 juillet 2010].
- Fonds Prosper-Vincent, conservé par le Séminaire de Québec, (site du Musée de la civilisation, Québec : www.mcq.org) [page consultée le 4 juillet 2010].
- Autobiographie de Marius Barbeau, section L'étudiant, p. Le collège commercial, site du Musée canadien de l'histoire [page consultée le 4 juillet 2010].
- Autobiographie de Marius Barbeau, section L'étudiant, p. L'Université Laval (1), site du Musée canadien de l'histoire [page consultée le 4 juillet 2010].
- Autobiographie de Marius Barbeau, section L'étudiant, p. L'Université Laval (2), site du Musée canadien de l'histoire [page consultée le 4 juillet 2010].
- Fonds Charles-Marius-Barbeau [article consulté le 4 juillet 2010].
- Autobiographie de Marius Barbeau, section L'étudiant, p. Les études outre-mer (1), site du Musée canadien de l'histoire [page consultée le 4 juillet 2010].
- Jean Du Berger, « Marius Barbeau : le conte et le conteur », Études françaises, volume 12, numéro 1-2, avril 1976, p. 67 (lire en ligne).
- Marius Barbeau, Les premiers peuples d'Amérique, Archives de la SRC (entrevue télévisée diffusée le 30 mai 1966, 8 min 06 s) [document consulté le 4 juillet 2010].
- Marius Barbeau et les chants amérindiens, Archives de la SRC (entrevue télévisée diffusée le 26 septembre 1964, 11 min 52 s) [document consulté le 4 juillet 2010].
- Inscriptions sur la pierre tombale Barbeau-Larocque et Barbeau-Price, au Cimetière Notre-Dame, à Ottawa (choisir la section « G », puis voir par l'hyperlien sur « Barbeau, Marius ») [page consultée le 4 juillet 2010].
- Hélène Barbeau-Rioux (avis de décès, mars 2010) [page consultée le 4 juillet 2010].
- Jean-Jacques Lefebvre, « Nos Disparus : Marius Barbeau », dans Revue du Barreau, Vol. 29, 1969, pp. 329-331 (copie sur le site du Marianopolis College) [page consultée le 4 juillet 2010].
- Serge Gauthier, Un Québec folklorique, Québec, les Éditions du Québécois, 2008, 198 p. (ISBN 978-2-923365-24-4)
- Recension de cet ouvrage, par Yves Bergeron, dans Rabaska : revue d'ethnologie de l'Amérique française, vol. 7, 2009, p. 194-196 (copie sur le site erudit.org) [document consulté le 4 juillet 2010]. - « Centre Mnémo », sur mnemo.qc.ca (consulté le ).
- Christine Bricault, Anne-Marie Desdouits et Dominique Sarny, « Rétrospective de la discipline : la conception du folklore de trois pionniers Marius Barbeau, Luc Lacourcière et Carmen Roy », Ethnologies, vol. 26, no 2, 2004, p. 21-56.
- Fonds Marius Barbeau (P51) - Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ).
- Autobiographie de Marius Barbeau, section Le vulgarisateur, p. 1, site du Musée canadien de l'histoire [page consultée le 4 juillet 2010].
- Mythologie huronne et wyandotte… (Les Presses de l'Université de Montréal, 1993…) [page consultée le 4 juillet 2010].
- Bibliographie, Marius Barbeau, Musée canadien de l'histoire [article consulté le 4 juillet 2010].
- Récompenses aux musiciens ou musicologues canadiens émérites (site de l'Encyclopédie de la musique au Canada [page consultée le 4 juillet 2010].
- Marius Barbeau, FRSC (1950) (site www.rsc.ca : The Academies of Arts, Humanities and Sciences of Canada) [page consultée le 4 juillet 2010].
- Marius Barbeau, C.C. (Ordre du Canada, Compagnon, 1967) [page consultée le 4 juillet 2010].
- Conférence canadienne des arts (Canadian Conference of the Arts) (site de l'Encyclopédie de la musique au Canada [page consultée le 4 juillet 2010].
- Marius Barbeau (notice biographique) (site de l'Académie des lettres du Québec) [page consultée le 4 juillet 2010].
- Musée Marius-Barbeau (site officiel) [consulté le 4 juillet 2010].
- Musée Marius-Barbeau (sur le site de l'Association des musées canadiens : www.museums.ca) [page consultée le 4 juillet 2010].
- Lieux, monuments, personnes et évènements historiques nationaux commémorés dans la région de la capitale [canadienne] [page consultée le 4 juillet 2010].
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Boursier Rhodes
- Étudiant de l'Université Laval
- Étudiant de Oriel College
- Professeur à l'Université Laval
- Docteur honoris causa de l'Université de Montréal
- Compagnon de l'Ordre du Canada
- Membre de la Société royale du Canada
- Naissance en mars 1883
- Naissance dans le comté de Beauce
- Décès en février 1969
- Décès à Ottawa
- Décès à 85 ans
- Boursier Guggenheim
- Docteur honoris causa de l'Université Laval