Ligardes
Ligardes | |||||
La porte gothique fortifiée et l'entrée de l'église de Saint Hilaire datant du XIVe siècle | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Gers | ||||
Arrondissement | Condom | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de la Ténarèze | ||||
Maire Mandat |
Pierre Dulong 2020-2026 |
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Code postal | 32480 | ||||
Code commune | 32212 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Ligardais, Ligardaises | ||||
Population municipale |
209 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 18 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 02′ 29″ nord, 0° 29′ 00″ est | ||||
Altitude | 200 m Min. 77 m Max. 182 m |
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Superficie | 11,3 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Condom (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Lectoure-Lomagne | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Gers
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Ligardes (Ligardas en gascon) est une commune française située dans le nord du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Condomois, une ancienne circonscription de la province de Gascogne ayant titre de comté.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Auvignon, le Petit Auvignon, la Ségone et par divers autres petits cours d'eau.
Ligardes est une commune rurale qui compte 209 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 688 habitants en 1831. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Condom. Ses habitants sont appelés les Ligardais ou Ligardaises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le château de Campaigno, inscrit en 2013.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Ligardes est une commune limitrophe du département de Lot-et-Garonne située sur les coteaux de Gascogne entre le Grand Auvignon et le Petit Auvignon.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Francescas, Lamontjoie, Moncrabeau, Nomdieu, Gazaupouy et Pouy-Roquelaure.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Ligardes se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)[2].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par l'Auvignon, le Petit Auvignon, la Ségone, le ruisseau de Bazignan, le ruisseau de Caillou, le ruisseau de Grave, le ruisseau de Have, le ruisseau de Herron, le ruisseau des Grébères, le ruisseau du Fond du Bois et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 10 km de longueur totale[4],[Carte 1].
L'Auvignon, d'une longueur totale de 55,7 km, prend sa source dans la commune de Mas-d'Auvignon et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Port-Sainte-Marie, après avoir traversé 22 communes[5].
Le Petit Auvignon, d'une longueur totale de 23,6 km, prend sa source dans la commune de La Romieu et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Auvignon à Calignac, après avoir traversé 12 communes[6].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 751 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Laplume à 9 km à vol d'oiseau[9], est de 14,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 767,2 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[13],[14],[15].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Ligardes est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Condom, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[I 2]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81 %), forêts (12,5 %), prairies (6,4 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Ligardes est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible)[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 141 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 141 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2009. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2008 et par des mouvements de terrain en 1999[17].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Politique et administration
[modifier | modifier le code]-
La mairie et la poste
Pierre Dulong est également président de la fédération départementale du CNI.
Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].
En 2021, la commune comptait 209 habitants[Note 2], en évolution de −3,24 % par rapport à 2015 (Gers : +0,79 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]Revenus
[modifier | modifier le code]En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 98 ménages fiscaux[Note 3], regroupant 220 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 680 €[I 5] (20 820 € dans le département[I 6]).
Emploi
[modifier | modifier le code]2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 7] | 10 % | 9,6 % | 10,7 % |
Département[I 8] | 6,1 % | 7,5 % | 8,2 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 121 personnes, parmi lesquelles on compte 80,4 % d'actifs (69,7 % ayant un emploi et 10,7 % de chômeurs) et 19,6 % d'inactifs[Note 4],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Condom, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 10]. Elle compte 32 emplois en 2018, contre 39 en 2013 et 41 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 87, soit un indicateur de concentration d'emploi de 36,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 51,9 %[I 11].
Sur ces 87 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 25 travaillent dans la commune, soit 28 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 82,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 12,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Activités hors agriculture
[modifier | modifier le code]17 établissements[Note 5] sont implantés à Ligardes au [I 14]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 35,3 % du nombre total d'établissements de la commune (6 sur les 17 entreprises implantées à Ligardes), contre 27,7 % au niveau départemental[I 15].
Agriculture
[modifier | modifier le code]La commune est dans le « Haut-Armagnac », une petite région agricole occupant le centre du département du Gers[27]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 6] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 28 | 19 | 16 | 14 |
SAU[Note 7] (ha) | 829 | 966 | 1 047 | 872 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 28 lors du recensement agricole de 1988[Note 8] à 19 en 2000 puis à 16 en 2010[29] et enfin à 14 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 50 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[30],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 829 ha en 1988 à 872 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 30 à 62 ha[29].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Château de Campaigno, château du 18e siècle, inscrit au titre des monuments historiques le . Situé à 2 km au nord-ouest du village de Ligardes près de la départementale 112, le château est accessible par une allée de chênes et de marronniers qui aboutit à une clôture dont le portail en fer forgé s'ouvre entre deux piliers maçonnés. La cour d'honneur est délimitée de part et d'autre par des communs en rez-de-chaussée s'appuyant sur deux tours carrées à toiture en pavillon. Ces tours situées au sud sont occupées par deux pigeonniers à l'étage supérieur. L'articulation du logis principal et des communs en L se fait par l'intermédiaire de deux pavillons quadrangulaires qui flanquent la façade méridionale. La façade principale compte cinq travées réparties sur deux niveaux surmontés d'un fronton triangulaire. La façade ouest, compte huit travées ouvertes par de grandes fenêtres et la façade nord-ouest présente quatre travées de fenêtres dont les deux du rez-de-chaussée, à l'angle nord-ouest, marquent l'emplacement du chai. Les communs à un seul niveau s'appuient à l'est des bâtiments principaux et délimitent une cour secondaire. Ils offrent au nord un long mur aveugle, puis à l'est une aile en retour qui se termine par un bâtiment qui a pu servir de chapelle. A l'ouest et au nord prend place un parc à l'anglaise. Propriété privée.
- L'église fortifiée de Saint-Hilaire XIVe siècle. Le site sur laquelle est construite l'église est inscrite en zone de protection le 23 octobre 1944[31]. L'édifice est répertorié dans la base Mérimée[31],[32]. L'église est un édifice à nef unique de plan allongé et à chevet plat. Le clocher-mur est particulier en forme de beffroi avec deux cloches et des ouvertures ménagées à son sommet sur les quatre faces pour assurer la surveillance. Le porche, qui est aussi l'une des deux portes du village, est couvert d'un auvent reposant sur 3 colonnes. La porte d'entrée percée dans la façade occidentale a été reconstruit au 19e siècle et présente un décor sculpté à tête humaine et feuillages sur les chapiteaux. L’église accueillit au 19e siècle un autel et un retable-reliquaire provenant du couvent de Paravis, près de Port-Sainte-Marie, de l’ordre de Fontevraud, en bois peint et doré, classé Monument Historique depuis 1908, et conçu pour recevoir les reliques de Sainte Innocente (1802-1804). Autel et retable-reliquaire, abrités sous une alvéole en anse de panier décorée de rosaces et de modillons, sont adossés au mur du chevet et séparés verticalement par une urne en bois doré. De part et d’autre se tiennent deux grands anges debout dont les jambières apparaissent sous la tunique haut fendue. L’ensemble est entouré d’un baldaquin soutenu par quatre colonnes.
- Fontaine du roi : Fontaine où le roi s'était désaltéré. Située en contrebas du village, elle alimentait un lavoir (aujourd'hui disparu).
-
Monument aux morts de la première guerre mondiale
-
Église Saint Hilaire
-
Le clocher-mur
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Général André Laffargue (1891-1994)
- Patrick Ligardes, acteur
- Catherine Delourtet, comédienne
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. II : Arrondissement de Condom, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 469 p. (ISBN 2-9505900-7-1, BNF 39919209)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[28].
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Ligardes » sur Géoportail (consulté le 11 décembre 2021).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Ligardes ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Condom », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Ligardes » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gers » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Ligardes » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gers » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Ligardes » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Ligardes » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Carte IGN sous Géoportail
- Plan séisme
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche communale de Ligardes », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
- Sandre, « l'Auvignon »
- Sandre, « le Petit Auvignon »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Ligardes et Laplume », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Laplume » (commune de Laplume) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Laplume » (commune de Laplume) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Ligardes », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Ligardes », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune de Ligardes », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Ligardes », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Ligardes », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- [1]
- Site de la préfecture - Fiche de Ligardes
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Ligardes - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Gers » (consulté le ).
- « Église paroissiale Saint-Hilaire », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- Recherche: base de données - église paroissiale Saint-Hilaire - Ligardes - Gers : patrimoines.laregion.fr