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Léotoing

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Léotoing
Léotoing
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Loire
Arrondissement Brioude
Intercommunalité Communauté de communes Brioude Sud Auvergne
Maire
Mandat
Nicolas Sabatier
2020-2026
Code postal 43410
Code commune 43121
Démographie
Population
municipale
212 hab. (2021 en évolution de −10,92 % par rapport à 2015)
Densité 11 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 21′ 46″ nord, 3° 13′ 27″ est
Altitude Min. 460 m
Max. 701 m
Superficie 19,56 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Sainte-Florine
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Léotoing

Léotoing est une commune française située dans le département de la Haute-Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

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Localisation

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Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Léotoing se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].

Elle se situe à 78 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[1], préfecture du département, à 21 km de Brioude[2], sous-préfecture, et à 11 km de Sainte-Florine[3], bureau centralisateur du canton de Sainte-Florine dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Torsiac (1,3 km), Chambezon (2,5 km), Lorlanges (4,4 km), Lempdes-sur-Allagnon (4,5 km), Moriat (5,6 km), Saint-Gervazy (6,0 km), Saint-Géron (6,1 km), Espalem (6,1 km).

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 639 mm, avec 8,1 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Autrac », sur la commune d'Autrac à 8 km à vol d'oiseau[7], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 711,4 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Au , Léotoing est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (58,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (36,7 %), terres arables (33 %), prairies (17,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,6 %), zones agricoles hétérogènes (6,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement

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En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 172, alors qu'il était de 163 en 2013 et de 156 en 2008[I 2].

Parmi ces logements, 64,6 % étaient des résidences principales, 18 % des résidences secondaires et 17,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,6 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Léotoing en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (18 %) supérieure à celle du département (16,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 96,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (94,3 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Léotoing en 2018.
Typologie Léotoing[I 2] Haute-Loire[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 64,6 71,5 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 18 16,1 9,7
Logements vacants (en %) 17,4 12,4 8,2
Ancienne porte.

Les Hospitaliers

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Le village de Farreyrolles[Note 3] fut jusqu'à la Révolution française un membre de la commanderie de Courtesserre qui appartenait à l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem. Ce membre dit de « Ferreyrol, à une lieue de Laridas [sic], et près de Saint-Germain-Lambron, diocèse de Saint-Flour, consiste en une chapelle, prés, terres, bois, cens, justice en parties usurpés »[15]. On le trouve également sous le nom de « Ferréroles » dans les archives de la langue d'Auvergne : « chapelle et bâtiments ruinés ; pré de La prade, terre de la Vigne Vieille, bois du commandeur, dîme, rentes, justice » (1615-16)[16],[17].

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune de Léotoing est membre de la communauté de communes Brioude Sud Auvergne[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Brioude. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[18].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Brioude, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Sainte-Florine pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la deuxième circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[19].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1793 1800 Jean Racher   Officier municipal de la CME
1803 1812 Étienne Jubelin    
1813 1815 Étienne Jubelin    
octobre 1815 1830 Jean Joachim Lemayne    
1831 1849 Étienne Job    
1849 1868 Jean-Baptiste Racher    
juillet 1868 septembre 1876 Jean Racher    
1876 1895 Jean Jubelin    
août 1895 1919 Antoine Job    
1919 1929 Alphonse Jubelin    
1929 1953 Hippolyte Farreyre    
1953 1977 Jean Chanier    
1977 1983 Marcel Julien    
1983 2001 René Aubijoux PS Conseiller général du canton de Blesle (1998-2011)
mars 2001 2014 Jean-Pierre Porte SE  
2014 2020 Stéphane Bard    
2020 En cours Nicolas Sabatier[20]    

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].

En 2021, la commune comptait 212 habitants[Note 4], en évolution de −10,92 % par rapport à 2015 (Haute-Loire : +0,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
761764804757750716718708690
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
659775590557556594554531515
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
506460430375345334329296269
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
255247218200214208204206205
2014 2019 2021 - - - - - -
233216212------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 22,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 36,6 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 111 hommes pour 114 femmes, soit un taux de 50,67 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (50,87 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 7]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
0,9 
8,4 
75-89 ans
10,1 
24,3 
60-74 ans
28,4 
20,6 
45-59 ans
18,3 
23,4 
30-44 ans
19,3 
4,7 
15-29 ans
4,6 
17,8 
0-14 ans
18,3 
Pyramide des âges du département de la Haute-Loire en 2021 en pourcentage[I 8]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,5 
8,4 
75-89 ans
11,7 
20,4 
60-74 ans
20,5 
21,3 
45-59 ans
20,3 
16,8 
30-44 ans
16,3 
15,2 
15-29 ans
13,2 
17 
0-14 ans
15,6 

En 2018, la commune compte 110 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 230 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 210 [I 9] (20 800  dans le département[I 10]).

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 11] 5,3 % 7,2 % 5,8 %
Département[I 12] 6,3 % 7,7 % 7,7 %
France entière[I 13] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 125 personnes, parmi lesquelles on compte 74,2 % d'actifs (68,3 % ayant un emploi et 5,8 % de chômeurs) et 25,8 % d'inactifs[Note 6],[I 11]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 14]. Elle compte 31 emplois en 2018, contre 36 en 2013 et 39 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 86, soit un indicateur de concentration d'emploi de 35,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 50,8 %[I 15].

Sur ces 86 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 24 travaillent dans la commune, soit 28 % des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 75,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,2 % les transports en commun, 4,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 18,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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La commune comprend plusieurs monuments remarquables : l'église Saint-Vincent classée à l'inventaire des monuments historiques depuis le [25], le château de Léotoing à l'ouest du bourg, le château de Vernassal et la chapelle des Lépreux dont on peut lire sur une plaque posée par la communauté de communes du Pays de Blesle : « Située sur un site dominant la vallée de l'Alagnon, la chapelle de Léotoing, surmontée d'un clocher-mur à arcature unique, date probablement de la fin du XVIIIe siècle. Le bâtiment, construit sur un rocher, est typique des petits édifices ruraux employant des matériaux de construction locaux. Appelée selon la tradition « chapelle des Lépreux », elle aurait été édifiée hors de l'enceinte du village afin d'éviter tout contact avec des personnes malades. »

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. 45° 21′ 10″ N, 3° 15′ 34″ E
  4. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  6. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. a b c d e et f Insee, « Métadonnées de la commune de Léotoing ».
  2. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Léotoing » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Léotoing - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Léotoing - Section LOG T7 » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  7. « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Léotoing (43121) », (consulté le ).
  8. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
  9. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Léotoing » (consulté le ).
  10. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  11. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Léotoing » (consulté le ).
  12. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  13. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  15. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Léotoing » (consulté le ).
  16. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  17. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources

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  1. Stephan Georg, « Distance entre Léotoing et Le Puy-en-Velay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Léotoing et Brioude », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Léotoing et Sainte-Florine », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Léotoing », sur villorama.com (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Léotoing et Autrac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Autrac », sur la commune d'Autrac - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Autrac », sur la commune d'Autrac - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Léopold Niepce, Le Grand-Prieuré d'Auvergne : Ordre des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, Lyon, Librairie Générale Henri Geors, , XI-352 p. (OCLC 422251418, présentation en ligne), p. 299-300
    L'auteur indique par erreur Farreyrolles, commune de Bourg-Lastic or ce membre se trouvait dans le diocèse de Saint-Flour, pas dans celui de Clermont. cf. Edouard Peyron, Histoire de la léproserie et du prieuré de la Bajasse de Vieil-Brioude (1150-1900), (présentation en ligne), p. 141 : « lequel est dans les appartenances du Pont de Lempdes, joignant les terres de la seigneurie de Vergongheon appartenant audit seigneur de Montravel, d'une part, les terres de la prévôté ... les terres de la Commanderie de Courtisserre à cause de Farreyrolles, d'autre part , les terres de M . de Montpensier à cause de Léontoing. ». On se situe alors dans le Brivadois qui a fait partie du diocèse de Saint-Flour jusqu'en 1822.
    .
  16. Georges Guigue, Inventaire-Sommaire des archives départementales antérieures à 1790 : Rhône - Archives Ecclésiastiques - Série H - H1 à H 702 - Ordre de Malte -Langue d'Auvergne , t. I, (lire en ligne), p. 122 (H. 138).
  17. Georges Guigue et Claude Faure, Inventaire-sommaire des Archives départementales antérieures à 1790 - Rhône : 48 H 703 à 48 H 2400 : Ordre de Malte, Langue d'Auvergne, Henri Georg, (présentation en ligne), p. 178-179.
  18. « communauté de communes Brioude Sud Auvergne - fiche descriptive au  », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
  19. « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  20. « Liste des maires » [PDF], Préfecture de la Haute-Loire, (consulté le ).
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. « Eglise Saint-Vincent », notice no PA00092696, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

Bibliographie

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  • Gabriel Segret, « Le château et la famille de Léotoing », Almanach de Brioude, Brioude,‎
  • Docteur Louis Sadourny, « Les derniers possesseurs de Léotoing », Almanach de Brioude, Brioude,‎
  • Jean Rieuf, « Autour de Léotoing, les Léotoing-Montgon et les Léotoing-Charmensac », Almanach de Brioude, Brioude,‎
  • Liliane Faucher, « Le château de Léotoing », Almanach de Brioude, Brioude,‎
  • Christelle Brindel, Les jardins des terrasses de Léotoing, le midi de l'Auvergne : in Trésors en Haute-Loire - les jardins, Vals-près-le-Puy, Hauteur d'Homme, , 184 p. (ISBN 979-1090634428), p. 134-137

Articles connexes

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Liens externes

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