Aller au contenu

Gregory Kacala

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Gregory Kacala
Description de l'image Grzegorz Kacała.JPG.
Fiche d'identité
Nom complet Grzegorz Kacała
Naissance (58 ans)
Gdańsk
Taille 1,94 m (6 4)
Poste Troisième ligne aile
Carrière en senior
PériodeÉquipeM (Pts)a
Rugby à XV
1989-1992
1992-1995
1996-1997
1997-2002
1999

Rugby à XIII
1996

CO Creusot
FC Grenoble
CA Brive
Cardiff RFC
Barbarians


PSG XIII

00? 0(?)
00? 0(?)
00? 0(?)
104 (55)[1]
001 0(5)[2]


001 0(4)[3]
Carrière en équipe nationale
PériodeÉquipeM (Pts)b
Pologne

a Compétitions nationales et continentales officielles uniquement.
b Matchs officiels uniquement.
Dernière mise à jour le 23 octobre 2012.

Gregory Kacala[4] ou Grzegorz Kacała en polonais, né le à Gdańsk[5], est un joueur polonais de rugby à XV et rugby à XIII évoluant au poste de troisième ligne aile.

Gregory Kacala joue trois saisons au CO Creusot où il est classé 4e meilleur troisième ligne aile de France en 1991.

Repéré par Jacques Fouroux lors d'un fameux FrancePologne, il s'engage ensuite au FC Grenoble[6]. Il fait partie de l'équipe des Mammouths de Grenoble[7] qui est vice-champion de France 1993, défait 14 à 11 par le Castres olympique sur une erreur d'arbitrage[8], dans une finale considérée comme l'un des plus gros scandales du rugby français[9].

Le , il est invité pour jouer avec le XV du Président contre les Barbarians français pour le Centenaire du rugby à Grenoble[10].

Le , il joue avec les Barbarians français contre les Barbarians au Stade Charlety à Paris. Les Baa-Baas s'imposent 35 à 18[11].

Il reste au FC Grenoble jusqu'à la fin de l'année 1995 puis il change de code pour le rugby à XIII et fait un bref passage au Paris Saint-Germain XIII où il dispute un match de la toute première saison en 1996 de la Super League, marquant un essai[3],[12].

Après son cours passage au rugby à XIII, il revient au XV et s'engage avec le CA Brive[12]. Le , il joue avec les Barbarians français contre l'Afrique du Sud à Brive. Les Baa-Baas s'imposent 30 à 22[13].

Le , il joue avec le CA Brive la finale de la Coupe d'Europe (première édition avec les clubs anglais) à l'Arms Park de Cardiff face au Leicester Tigers, les brivistes s'imposent 28 à 9 et il devient champion d'Europe. Il reste une seule saison en Corrèze puis il rejoint le Cardiff RFC[12].

Il dispute cinq saisons jusqu'en 2002 au Cardiff RFC[1] et remporte le Championnat du pays de Galles en 2000. En 1999, il connaît une unique sélection avec les Barbarians lors d'un match contre une sélection des East Midlands où il marque un essai[2].

Avec le FC Grenoble
Avec le CA Brive
Avec Cardiff

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. a et b (en) « Gregori Kacala », sur Cardiff RFC, www.cardiffrfc.com (consulté le ).
  2. a et b (en) « G. Kacala »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur barbarianfc.co.uk, Barbarians (consulté le ).
  3. a et b (en) « Gregory Kacala », sur rugbyleagueproject.org (consulté le ).
  4. Suivant les sources son prénom est orthographié Gregory ou Gregori.
  5. « Gregory Kacala », sur allezbriverugby.com.
  6. Alain Bollery, « Grégory Kacala : «Le Creusot m’a donné la chance d’apprendre à jouer au vrai rugby» », sur creusot-infos.com, (consulté le ).
  7. Nicolas Zanardi, « En 1993, les mammouths grenoblois victimes d'une polémique en finale », Midi olympique, .
  8. Clément Garioud, « Ces sombres affaires qui ont entaché la réputation du rugby français », sur actu.fr, (consulté le ).
  9. Le Journal du Rugby n°21 - Juin 2012 - Page 31, « "Merluche sort les couteaux !" », sur fr.1001mags.com, 21 de juin 2012 (consulté le ).
  10. « BARBARIANS VS XV du Président 92 - 34 », sur barbarianrugbyclub.fr.
  11. « Barbarian Rugby Club vs Barbarians Britanniques », sur barbarianrugbyclub.com, Barbarians français (consulté le ).
  12. a b et c « Kacala Gregory », sur finalesrugby.fr (consulté le ).
  13. « Barbarian Rugby Club vs Afrique du Sud », sur barbarianrugbyclub.com, Barbarians français (consulté le ).
  14. Réginald Mouyan, « Michel Ringeval (Part 2): « Au bout d'un quart d'heure, j'ai compris qu'on en gagnerait pas» », Le Sport Dauphinois,‎ (lire en ligne, consulté le )

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]