Fresnes-Mazancourt
Fresnes-Mazancourt | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Péronne | ||||
Intercommunalité | CC Terre de Picardie | ||||
Maire Mandat |
Corinne Nevou 2020-2026 |
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Code postal | 80320 | ||||
Code commune | 80353 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
157 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 28 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 51′ 08″ nord, 2° 51′ 58″ est | ||||
Altitude | Min. 60 m Max. 87 m |
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Superficie | 5,7 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Ham | ||||
Législatives | 5e circonscription de la Somme | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | https://fresnes-mazancourt.fr | ||||
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Fresnes-Mazancourt est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Fresnes-Mazancourt est un village rural picard du Santerre situé à une dizaine de kilomètres au sud-ouest de Péronne, à une trentaine à l'ouest de Saint-Quentin, à une quarantaine à l'est d'Amiens et à une cinquantaine d'Arras.
Desservi par l'ex-RN 17 (actuelle RD 1017) et traversé par l'autoroute A29, il en est facilement accessible ainsiq que depuis l'A1 qui se croisent à proximité, et de l'ex-RN 29.
En 2019, la localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no 44, Montdidier - Chaulnes - Péronne - Roisel)[1].
Localisation
[modifier | modifier le code]Berny-en-Santerre | Villers-Carbonnel | |||
N | Misery | |||
O Fresnes-Mazancourt E | ||||
S | ||||
Ablaincourt-Pressoir | Marchélepot |
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 708 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Estrées-Mons à 11 km à vol d'oiseau[4], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Fresnes-Mazancourt est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9] et hors attraction des villes[10],[11].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (88,4 %), zones agricoles hétérogènes (11,6 %)[12]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Fresnes est attesté sous les formes Fraxiniacum en 1045 ; Fraisne en 1106 ; Fresnes en 1205 ; Fresne en 1215[13] ; del Fraisne en 1217[14] ; Fraisnes en 1221 ; Fraisneta en 1230 ; La Fraisnoie en 1241 ; Frene en 1733 ; Frênes en 1757[13].
Pluriel de l'ancien français fresnes, de l'oïl Fraisne (« frêne »)[15].
Mazancourt est un ancien hameau de Fresnes, attesté sous les formes Maisencort en 1214 ; Mesincort en 1215 ; Meisencort en 1230 ; Meseincort en 1230 ; Maisencoerdus en 1241 ; Maisencourt en xvie siècle ; Masincourt en 1519 ; Mazancourt en 1567 ; Mazencourt en 1538 ; Mazincort ; Mazincourt ; Massincourt[16]. De l'ancien français Mas, « maison », désignant une métairie ou un héritage de personnes serviles[17] et Cohort, « cour de ferme », désignant un domaine rural.
Histoire
[modifier | modifier le code]La seigneurie de Fresnes est fort ancienne : en 1045, Jean de Fresnes est l'un des puissants seigneurs de la cour d'Herbert IV, comte de Vermandois. Mais cette maison eut peu de durée car on ne retrouve plus de monument qui la concerne. À la fin de l'Ancien Régime, le domaine appartient au Duc de Chaulnes, qui le vend en 1785 à Claude-Barthélémy le Vaillant de Brusle[18], qui est membre de l'assemblée provinciale de Picardie de novembre 1787 pour le tiers état[19].
Mazancourt était un fief de peu d'importance. Les châtelains de son manoir ne paraissent que dans le XVe siècle : en 1430, messire Florimond de Brimeu, seigneur de Mazancourt, marche à la suite du duc de Bourgogne qui le nomma chevalier : il est encore cité, lors du siège de Compiègne, par Jean de Luxembourg, dans la même année 1430[20].
Ce fief passe ensuite aux Merlin de Mazancourt ; ils obtiennent beaucoup d'importance par la charge de grands baillis du puissant marquisat de Nesle qu'ils occupent longtemps : une cloche de la collégiale de cette ville, donnée par un membre de cette famille, portait le nom de Mazancourt. Vers le XVIe siècle, ils font l'acquisition du domaine de Billencourt et abandonnent leur habitation de Mazancourt, changée depuis en une ferme[17].
La commune de Fresne, instituée lors de la Révolution française, absorbe entre 1790 et 1794, celles de Genermont et de Mazancourt, et devient Fresnes-Mazancourt[21].
La sucrerie Morlet est signalée en 1864 au hameau de Genermont et disposait alors d'une machine à vapeur. L'entreprise a été reprise en 1884 par Ernest Boinet qui y installe la sucrerie Boinet et Cie[22],[23].
- Première Guerre mondiale
Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[24],[25],[26]. et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [27].
- La reconstruction
Le village est reconstruit dans l'entre-deux-guerres : la mairie, le château, l'église, les habitations...
La sucrerie est également reconstruite, puis agrandie d'une distillerie vers 1930[23], mais cesse cette activité en 1933. L'usine devient une simple râperie qui envoyait les pulpes de betteraves à la sucrerie d'Épénancourt, dépendance de la même entreprise[22].
- Seconde Guerre mondiale
Au début de la Seconde Guerre mondiale, lors de la Bataille de France, la commune est située dans la zone des combats de la bataille de l'Aisne et de la Somme.
En effet la commune, comme Marchélepot, Berny-en-Santerre, Misery, Licourt, Pertain et Villers-Carbonnel, fait partie de la ligne Weygand dont la défense est confiée au 22e Régiment de Marche de Volontaires Étrangers (22e RVME)[28],[29],[30].
Du 4 au , les 2 500 hommes du régiment bloquent l'avance de l'armée allemande. Succombant sous le nombre des attaques d'infanterie, des panzers et des bombardements de l'aviation, de l'artillerie, 800 hommes sont faits prisonniers[29].
La râperie est incendiée par les habitants pour empêcher l'occupant de l'utiliser[22].
La commune est décorée de la Croix de guerre 1939-1945 le [31].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Chaulnes[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Ham.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune était adhérente de la communauté de communes de Haute-Picardie créée en 1994 sous le nom de communauté de communes de Chaulnes et environs, et qui a pris sa dénomination de communauté de communes de Haute-Picardie en 1999.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département[32].
Le projet préfectoral prévoit la « fusion des communautés de communes de Haute Picardie et du Santerre », le nouvel ensemble de 17 954 habitants regroupant 46 communes[33],[34],[35]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[36], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion le [37].
Cette procédure aboutit à la création au de la communauté de communes Terre de Picardie, dont la commune est désormais membre[38].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[46].
En 2021, la commune comptait 157 habitants[Note 2], en évolution de +16,3 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Médard :
L'ancienne église était un édifice roman du XIIe siècle[48] totalement détruit pendant la Première Guerre mondiale.
À la suite du dossier d'estimation des dommages de guerre, établi en 1921 par Henri Bénard, architecte à Péronne, le maire de l'époque charge en 1927 l'architecte Louis Duthoit de concevoir le nouveau lieu de culte, reconstruit en 1931 en style néo-roman et qui tente de restituer le caractère de l'ancien par ses matériaux et son aspect général, mais le clocher est déplacé latéralement pour ne pas gêner l'entrée, et les bas-côtés sont supprimés.
La décoration de l'intérieur est d'inspiration byzantine : décoration murale des coupoles, chapelle des fonts baptismaux, décor des sols. Le maître autel, la chaire, le bénitier, la table de communion sont sculptés par Marcel Sueur, marbrier à Amiens sur les plans de R. Duthoit, Gérard Ansart est le concepteur du chemin de croix, Darras, sculpteur à Meigneux, réalise la sculpture des fonts baptismaux et des statues. Les vitraux de Jean Gaudin sur des plans de Gérard Ansart, sont remplacés après 1945 par des vitraux de Claude Barre[49],[50].
La restauration des fresques a eu lieu en 2020 et une souscription pour celle du chemin de croix lancée la même année[51],[52],[53].
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Statue de Saint Médard sur l'église.
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Vue du clocher excentré.
- L'ancienne râperie-distillerie, reconstruite après la Première Guerre mondiale[23].
- Monument aux morts, dessiné par Louis Duthoit en forme de lanterne des morts, l'un des seuls ou le seul de la Somme avoir ce thème[54],[55].
- Le château de Fresnes, qu'on voit aujourd'hui à l'extrémité du village, est un édifice reconstruit vers 1926 par l'architecte parisien Ernest Bertrand. Il remplaçait déjà l'édifice construit au XIXe siècle à l'emplacement de celui de Le Vaillant de Brisle et avait été détruit au cours de la Première Guerre mondiale[18].
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Discrète salle communale.
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Monument aux morts.
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L'ancienne râperie distillerie.
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Informations historiques.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Gabriel-Auguste de Mazancourt (1725-1809), comte de Mazancourt, maréchal des camps et armées du roi, commandant de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis.
- Angélique Roussel, y est née le 3 août 1742, carmélite à Compiègne (sœur Marie du Saint Esprit), guillotinée en 1794 à Paris. Béatifiée par le Pape Pie X avec l'ensemble des Carmélites de Compiègne qui furent guillotinees à la barrière de Vincennes à Paris le 17 juillet 1794.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Aline Magnien, « La Reconstruction dans l'Est de la Somme - dossier de présentation : Dossier IA80010351 », Somme, Inventaire général des Hauts-de-France, (consulté le ).
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Fresnes-Mazancourt sur le site de l'Institut géographique national
- « Dossier complet : Commune de Fresnes-Mazaucourt (80353) », Recensement général de la population de 2017, INSEE, (consulté le ).
- « Fresnes-Mazaucourt »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées : 22 NO, Laon [Nord-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
- « Liste des documents numérisés concernant la commune », Mémoires de la Somme - Archives en Somme, Archives départementales de la Somme (consulté le ).
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Fresnes-Mazancourt » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Le réseau Trans'80 en ligne ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Fresnes-Mazancourt et Estrées-Mons », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Estrées-Mons) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Estrées-Mons) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Fresnes-Mazancourt ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 405 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
- Ernest Nègre - Toponymie générale de la France, Volume 2, page 1244, (ISBN 2600001336)[réf. incomplète].
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations non-romanes, formations dialectales, Genève, Droz, , p. 1244-1245.
- Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 35 (lire en ligne sur DicoTopo) [2].
- Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, vol. 1, Péronne, J. Quentin, , 808 p. (lire en ligne), p. 733
- Gilles-Henri Bailly, Stéphanie Caulliez, Philippe Laurent, Isabelle Barbedor, « Demeure, dite château de Fresnes à Fresnes-Mazancourt : Dossier IA80000796 », Fresnes-Mazancourt, Inventaire des Hauts de France, (consulté le ).
- Procès-Verbal des séances de l'assemblée provinciale de Picardie, tenue à Amiens en Novembre et Décembre 1787, Amiens, Jean-Baptiste Caron aîné, , 335 p. (lire en ligne), p. 3 sur Google books.
- Moustrelet, liv. a, chap. LXXIX elXCIV[réf. incomplète].
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Cette usine de Fresnes-Mazancourt a eu plusieurs vies pour exploiter les betteraves : Durant l'été, retrouvez notre série sur les friches de Haute-Somme. Aujourd'hui, zoom sur l'ancienne sucrerie de Fresnes-Mazancourt. Détruite au cours des deux guerres mondiales puis reconstruite à chaque fois, l'usine se trouve à l'origine dans le village de Génermont, qui a totalement disparu pendant la Grande Guerre », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Benoît Dufournier, « Ancienne râperie de betteraves et distillerie Boinet et Cie : Dossier IA00076505 », Fresnes-Mazancourt, Inventaire général des Hauts-de-France, (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
- Section photographique de l'armée, « Fresnes : Panorama du village détruit », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 40, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Section photographique de l'armée, « Fresnes-Mazancourt. Le village en ruines », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 40, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Journal officiel du 30 octobre 1920, p. 16879.
- « 22e R.M.V.E. Marchélepot Fresnes-Mazancourt Misery ».
- MARCHELEPOT Il y a 75 ans, c'était la guerre dans le village
- La bataille de la Somme et de l'Aisne
- « Communes décorées de la Croix de guerre 1939 - 1945 » [PDF], Association du Mémorial des batailles de la Marne, Dormans (51700), (consulté le ), p. 45.
- Vincent Fouquet, « Vers un mariage de la communauté de communes de Haute-Picardie avec celle de Rosières ? : Le conseil communautaire, qui s'est déroulé jeudi soir à Soyécourt, a été l'occasion d'annoncer la volonté de l'intercommunalité de fusionner avec celle de Rosières-en-Santerre », Le Courrier picard, (lire en ligne).
- « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard, (lire en ligne).
- « Un mariage entre Chaulnes et Rosières-en-Santerre est prévu pour 2017 : L'annonce a été faite jeudi 1er octobre à Rosières-en-Santerre : les communautés de communes de Haute Picardie (CCHP) et du Santerre (CCS) souhaitent fusionner. Voici leurs arguments », Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
- « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d'ECPI », Décideurs en région, (lire en ligne).
- « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes de haute Picardie avec la communauté de communes du Santerre », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031, , p. 78-79 (lire en ligne [PDF]).
- « CC Terre de Picardie (N° SIREN : 200070928) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, (consulté le ).
- « Les maires de Fresnes-Mazancourt », sur francegenweb.org (consulté le ).
- « Claude Charles Antoine Marie LE VAILLANT DE BRUSLE », base Léonore, ministère français de la Culture.
- A. Arcelin, Histoire des paroisses, villages et seigneuries de Saint-Christ, Briost et Cizancourt : Ouvrage couronné par la Société des antiquaires de Picardie, vol. 1, Montdidier, Bellin, , 283 p. (lire en ligne), p. VII, lire en ligne sur Gallica.
- Réélu pour le mandat 2008-2014 : « Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
- Réélu pour le mandat 2014-2020: « Liste des maires de la Somme » [xls], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- « Corinne Nevou devient maire de Fresnes-Mazancourt », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Oswald Macqueron, « Église de Fresnes (aquarelle) », Bibliothèque municipale d'Abbeville, (consulté le ).
- Gilles-Henri Bailly, Stéphanie Caulliez, Philippe Laurent, Isabelle Barbedor, « Eglise paroissiale et ancien cimetière (détruit) Saint-Médard à Fresnes-Mazancourt : Dossier IA80000795 », Fresnes-Mazancourt, Inventaire régional des Hauts-de-France, (consulté le ).
- Gilles-Henri Bailly, Stéphanie Caulliez, Philippe Laurent, « Le mobilier de l'église Saint-Médard de Fresnes-Mazancourt », Fresnes-Mazancourt, Inventaire régional des Hauts-de-France, (consulté le ).
- « Les travaux de rénovation des fresques de l'église de Fresnes-Mazancourt sont terminés », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- « Eglise Saint-Médard - Fresnes-Mazancourt : Sauvegarder le chemin de croix et la Vierge à l'enfant de l'église Saint-Médard, rare exemple de décor architectural en mosaïque dans une église de campagne, ainsi que le monument aux morts de la commune de Fresnes-Mazancourt »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur fondation-patrimoine.or, (consulté le ).
- Laurence Wilczewski, « Il faut sauver les mosaïques de l'église Saint-Médard de Fresnes-Mazancourt : L'église Saint-Médard possède quatorze mosaïques représentant le chemin de croix. Une œuvre magnifique victime du salpêtre. Le maire s'active pour récolter des fonds », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- « Fresnes-Mazancourt », Les circuits du Bleuet, Santerre 2014-2018 - La mémoire de la Grande Guerre dans la Somme (consulté le ).
- Philippe Saget, « Fresnes-Mazancourt (80320) »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur monumentsmorts.univ-lille.fr, Les Monuments aux morts - France-Belgique-Autres pays, (consulté le ).