François de Paule de Bourbon-Siciles
Apparence
François de Paule de Bourbon-Siciles
Titulature | Comte de Trapani |
---|---|
Nom de naissance | Francesco di Paola Luigi Emanuele |
Naissance |
Naples (Italie) |
Décès |
(à 65 ans) Paris (France) |
Père | François Ier des Deux-Siciles |
Mère | Marie-Isabelle d'Espagne |
Conjoint | Marie-Isabelle de Habsbourg-Toscane |
Enfants |
Marie-Antoinette de Bourbon-Siciles Léopold de Bourbon-Siciles Marie Thérèse Pie de Bourbon-Siciles Marie Caroline de Bourbon-Siciles Ferdinand de Bourbon-Siciles Marie Annonciade de Bourbon-Siciles |
Religion | Catholicisme romain |
François de Paule de Bourbon-Siciles, né à Naples, le et décédé à Paris, le , est un prince de la maison de Bourbon-Siciles. Il est le fils cadet de François Ier des Deux-Siciles et de Marie-Isabelle d'Espagne.
Biographie
[modifier | modifier le code]En 1850, François de Paule de Bourbon-Siciles épouse sa nièce Marie-Isabelle de Habsbourg-Toscane, fille de sa sœur Marie-Antoinette et du grand-duc Léopold II de Toscane, donnant lieu à leur descendance :
- Marie Antoinette de Bourbon (16 mars 1851 - 12 septembre 1918)
- mariée en 1868 à Alphonse de Bourbon, comte de Caserte (28 mars 1841 - 26 mai 1934)
- Léopold de Bourbon (24 septembre 1853 - 4 septembre 1870)
- Marie Thérèse de Bourbon (7 janvier 1855 - 1er septembre 1856)
- Marie Caroline de Bourbon (21 février 1856 - 7 avril 1941)
- mariée en 1885 à Paris 8e à Andrzej Przemysław Konstanty Jan Władysław Zamoyski, comte Zamoyski (10 juillet 1852 - 26 juin 1927)
- Ferdinand de Bourbon (25 mai 1857 - 22 juillet 1859)
- Marie Annonciade de Bourbon (21 septembre 1858 - 20 mars 1873).
Après la chute du royaume des Deux-Siciles en 1861, François se réfugie avec sa famille à Rome et y réside sous la protection du pape. Après l'invasion de Rome par Victor-Emmanuel II de Savoie, la famille se réfugie à Paris. Il est inhumé au cimetière du Père-Lachaise (57e division)[1].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Domenico Gabrielli, Dictionnaire historique du Père Lachaise, , p. 71