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Farida Belghoul

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Farida Belghoul
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Farida Belghoul (née le à Paris[1]) est une militante politique française et ancienne enseignante, également romancière et réalisatrice. Dans la première moitié des années 1980, elle se fait connaître en tant que militante antiraciste ; elle est alors proche de l'extrême gauche. À partir de , elle connaît une nouvelle notoriété du fait de son engagement contre la « théorie du genre », dans le cadre duquel elle se rapproche de l'extrême droite.

Premières années

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Farida Belghoul est la fille aînée d'une famille française d'origine algérienne établie à Paris ; son père est éboueur et sa mère femme de ménage. Elle entre en 1978, après son bac, à l'université Panthéon-Sorbonne, où elle obtiendra une maîtrise d'économie. Membre de l'Union des étudiants communistes, elle préside quelque temps à Panthéon-Sorbonne le cercle des étudiants communistes. Dès , cependant, elle s'éloigne du Parti communiste français et s'oriente vers l'extrême gauche[2],[3],[4].

Parallèlement à ses études, elle mène une activité de cinéaste et réalise deux moyens-métrages sur le thème de l'immigration[3],[4],[5],[6]. Son film Le Départ du père est sélectionné pour représenter le « septième art » dans le panorama créatif des « enfants de l'immigration », thème d'une exposition organisée en 1984 le Centre national d'art et de culture Georges-Pompidou[7].

Une figure du mouvement antiraciste

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En , Farida Belghoul assiste à l'arrivée en Île-de-France de la marche pour l'égalité et contre le racisme, dite « marche des beurs ». Elle milite ensuite activement au sein du « Collectif jeunes » de la région parisienne qui se met en place dans la foulée de ce mouvement. En , elle participe, en tant qu'animatrice de ce collectif, à un colloque organisé par le Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (Mrap) sur le thème « Vivre ensemble avec toutes nos différences ». Dans son intervention, elle dénonce « le droit à la différence comme une forme voilée de l'exclusion[8] » et conclut : « s'il faut absolument un slogan, je propose alors : « Vivre ensemble avec nos ressemblances, quelles que soient nos différences[8] ».

Alors que le Collectif jeunes d'Île-de-France connaît une crise, Farida Belghoul souhaite lancer une nouvelle initiative ; elle ne parvient cependant pas à réunir autour d'elle suffisamment de « marcheurs » de 1983. Avec un groupe de militants, elle monte alors un nouveau collectif, qui devient l'association Convergence 1984[9]. Ce nouveau mouvement organise, fin , une deuxième « marche » — en fait une traversée de la France à mobylette — et lance le slogan « La France, c'est comme une mobylette, pour avancer, il lui faut du mélange ». La manifestation attire, lors de son arrivée le 1er décembre à Paris, plus de 60 000 personnes sur la place de la République ; Farida Belghoul prononce le discours de clôture[10]. La marche de 1984 a, par rapport à celle de l'année précédente, une nette coloration d'extrême gauche : le discours de Farida Belghoul, qui met alors en garde contre les risques de récupération[11], dénonce entre autres l'opportunisme des « faux anti-racistes » qu'elle juge incapables de comprendre les problématiques de la jeunesse issue de l'immigration[9]. Un observateur, militant mais extérieur à Convergence, Saïd Bouamama, résume ce discours, qui a marqué l'idéologie ultérieure du mouvement beur, par une dénonciation du « paternalisme » des associations et organisations de gauche : Farida Belghoul reprochait à celles-ci d'utiliser les enfants d'immigrés en les enfermant sur un débat sur l'anti-racisme et sur la mobilisation contre le Front national, et de négliger ainsi le débat sur l’égalité et la question de l'immigration[12].

S'appuyant sur le mouvement beur, Convergence 1984 fédère aussi des groupes et associations de jeunes Portugais — l'appui de ceux-ci a d'ailleurs été déterminant pour le succès de la marche de 1984 —, Asiatiques, Africains et Antillais. Cependant, le mouvement tourne court après la marche : une partie des militants est en effet en désaccord avec l'orientation radicale que Farida Belghoul tient à imprimer à Convergence 84 — elle prône ainsi à l'époque l'« auto-défense des quartiers » — comme avec son refus de coopérer avec ceux qu'elle considère comme des « faux » anti-racistes[9]. La journaliste Nadia Hathroubi-Safsaf, analysant l'histoire du militantisme antiraciste en France, considère que l'échec du mouvement de 1984 est dû à son absence de discours clair. Pour elle, la faute en incombe notamment aux positions prises par Farida Belghoul qui, alors que la seconde marche prônait le « mélange », a contredit le « bien vivre-ensemble » prôné au départ en fustigeant à l'arrivée les associations de soutien à qui elle reprochait de se conduire en « néo-colonialistes »[13].

La cause antiraciste est ensuite largement récupérée par SOS Racisme, association proche du Parti socialiste[14],[15]. Farida Belghoul dit avoir été contactée, à l'époque de la formation de SOS Racisme, par Julien Dray et Harlem Désir, qui lui auraient proposé d'en être la présidente : selon ses dires, elle aurait refusé pour ne pas devenir « la beurette de service de SOS »[11]. Serge Malik relate, dans son livre Histoire secrète de SOS Racisme, la manière dont Harlem Désir, devenu le leader très médiatisé de SOS, s'est employé à l'époque à « griller les Beurs de Convergence et leur chef de file Farida Belghoul », en occupant le terrain militant[16].

Littérature et carrière dans l'enseignement

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Confrontée au « rouleau compresseur » de SOS Racisme, et jugeant le mouvement antiraciste désormais récupéré par le PS, Farida Belghoul décide de se mettre en retrait du militantisme[11].

Elle se consacre à l'écriture et publie en 1986 Georgette !, qui reçoit le prix Hermès du premier roman : le livre raconte l'histoire d'une fillette déchirée entre la culture algérienne de ses parents et son éducation scolaire[17]. Le roman remporte à l'époque un véritable succès, ce qui lui vaut d'être salué comme l'un des meilleurs exemples de la littérature de la « deuxième génération »[4]. Farida Belghoul refuse cependant à l'époque l'étiquette d'« écrivain beur » et souhaite, au nom de l'égalité, être considérée comme un écrivain tout court[18].

En , elle obtient le Certificat d'aptitude au professorat de l'enseignement du second degré de lettres. Elle enseigne ensuite la littérature et l'histoire-géographie[19] dans des lycées professionnels, notamment au lycée Ronceray de Bezons où elle est nommée en 1996[10]. Sur le plan personnel, elle se marie et évolue religieusement vers le soufisme[20].

Retour au militantisme

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En 2007, Farida Belghoul, qui enseigne alors toujours au lycée professionnel de Bezons, est interrogée dans le documentaire Sauve qui peut ! : elle y explique pourquoi elle a choisi de retirer de l'école ses trois enfants, qu'elle élève seule[17], afin de leur faire suivre une scolarité à domicile[20] ; elle plaide également pour une réforme des programmes[17].

En 2008, elle est interviewée dans les médias à l'occasion du 25e anniversaire de la Marche pour l'égalité et contre le racisme. La même année, elle s'engage contre l'échec scolaire en annonçant le lancement d'un dispositif éducatif appelé REID, soit « Remédiation éducative individualisée à domicile ». Cette initiative a pour but de mettre en place un soutien individualisé pour sortir des jeunes de l'illettrisme[10]. Faute de financement, le projet ne voit pas le jour[17].

Engagement contre la « théorie du genre »

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Courant 2013, Farida Belghoul se rapproche d'Alain Soral et de son association Égalité et Réconciliation[21],[22]. Elle expliquera par la suite avoir noué des relations avec Soral du fait de leur détestation commune de la manière dont le PS avait longtemps traité les jeunes d’origine maghrébine[23].

Elle revient alors sous les feux de l'actualité en militant contre ce qu'elle estime être l'introduction de la « théorie du genre » à l'école. À partir du mois d'octobre, elle diffuse sur Internet des vidéos dans lesquelles elle dénonce l'ABCD de l'Égalité — programme sur l'égalité filles-garçons lancé à la rentrée 2013 par l'Éducation nationale — comme un « crime qui est perpétré contre [les] enfants »[24]. Elle dénonce également la « manipulation » du Parti socialiste sur le sujet du mariage homosexuel en France, dressant un parallèle avec les manœuvres de ce même parti vis-à-vis du militantisme antiraciste des années 1980[25]. Le site du mouvement d'Alain Soral lui fournit une tribune en hébergeant des vidéos dans lesquelles elle expose longuement ses thèses[17], dénonçant notamment la « propagande LGBT » — qu'elle associe à la complaisance envers la pédophilie — qui viserait à « apprendre l’homosexualité » aux enfants et à éliminer toute différence entre les sexes[21]. Son roman Georgette ! est par ailleurs réédité par Kontre Kulture, la maison d'édition d'Alain Soral[17].

Le , Farida Belghoul lance l'initiative « Journée de retrait de l'école » (dite JRE), invitant les parents à retirer leurs enfants de l'école une journée par mois à partir de , en justifiant cette absence par la phrase : « Journée de retrait de l'école pour l'interdiction de la théorie du genre dans tous les établissements scolaires. »[24]. La première initiative a lieu le [26].

Le militantisme du groupe de Farida Belghoul — qui accuse, via ses vidéos et ses tracts, l'Éducation nationale de vouloir répandre « l'homosexualité, la bisexualité et la transsexualité » à l'école — vise tout particulièrement les milieux de l'immigration, et notamment la communauté musulmane de France[27], obtenant un réel écho dans certains quartiers populaires[28],[29]. Les messages du collectif JRE prêtent notamment à l'Éducation nationale l'intention d'instaurer des « cours de masturbation » dès la maternelle, de distribuer aux enfants des peluches en forme de pénis ou de vagin, ou de proposer des modules d'éducation sexuelle « avec démonstration »[30],[20]. L'humoriste Dieudonné, proche d'Alain Soral, soutient lui aussi Farida Belghoul en faisant la promotion de son initiative de retrait de l'école[31]. Relayée entre autres par SMS, par courrier électronique et sur les réseaux sociaux, la campagne entraîne jusqu'à 30 % d'absentéisme dans certains établissements[32].

Cette action amène le ministre de l'Éducation nationale de l'époque, Vincent Peillon, à réagir en démentant l’existence de tout enseignement à l'école d'une « théorie du genre » et en dénonçant « les instrumentalisations de ceux, qui, venus de l’extrême droite, négationnistes, sont en train de vouloir répandre l’idée qui fait peur aux parents et qui blesse les enseignants que tel serait notre point de vue »[33].

En , Farida Belghoul lance l'initiative de « l'année de la robe », en appelant toutes les femmes à porter la robe et à laisser le pantalon aux hommes[34]. En avril, des membres du collectif JRE accusent nommément une enseignante d'une école maternelle à Joué-lès-Tours, en Indre-et-Loire, d'avoir poussé ses élèves à pratiquer des attouchements mutuels : ils incitent la mère tchétchène de l'enfant à porter plainte[35],[36]. Toujours en avril, elle s'exprime dans une réunion de l'Action française[37]. En mai, elle participe à un défilé « en l'honneur de Jeanne d'Arc » en compagnie de l'association catholique traditionaliste Civitas[38]. Elle se rapproche également du collectif La Manif pour tous, et contribue à mobiliser des associations musulmanes intégristes[39].

En juin, l'Éducation nationale renonce à généraliser les ABCD de l'égalité : Farida Belghoul se félicite alors de cette « victoire » de « la convergence islamo-catholique », rendant au passage « hommage aux alliés, Christine Boutin, Béatrice Bourges et Alain Escada [président de Civitas] »[40].

En août, elle annonce la création, pour profiter de l'élan né de la Journée de retrait de l'école, d'une fédération de parents d'élèves appelée la « Fédération autonome de parents engagés et courageux » (FAPEC)[41]. À la rentrée 2014, les membres de la FAPEC lancent des actions militantes, proposent des modules d'accompagnement scolaires, et visent à influer sur les conseils de parents d'élève. Ils pratiquent notamment le porte-à-porte dans les cités de Seine-Saint-Denis et du Val-d'Oise pour présenter leur association, en vue des élections des conseils de parents d'élèves[42].

Lors de cette même rentrée 2014, alors qu'elle était en disponibilité de l'Éducation nationale depuis plusieurs années, Farida Belghoul est nommée au lycée Gustave-Eiffel d'Ermont. Cependant, après un bref passage dans cet établissement, elle part très rapidement en arrêt maladie ; durant ce congé, elle voyage à Moscou pour nouer des contacts internationaux en vue de créer « une organisation internationale de défense de la famille traditionnelle ». En , elle est visée par une procédure disciplinaire du rectorat de Versailles pour « manquements aux devoirs de réserve et de loyauté incombant aux fonctionnaires »[41],[19]. La procédure est motivée par la Journée de retrait de l'école, mais aussi par la publication sur Internet d'un article visant la ministre de l'éducation Najat Vallaud-Belkacem : Farida Belghoul, qui appelle la ministre « Monsieur Najat Belkacem », y qualifie cette dernière de « chouchoute du lobby trans, bi et cie […] si jeune et déjà si âpre à faire le malheur des hommes », dont la nomination serait « une déclaration de guerre aux familles de France » ; elle se dit en outre personnellement visée par cette nomination, dont elle juge qu'elle revient à « planter une femme arabe dans le dos d'une autre femme arabe »[43]. Le rectorat demande également à Farida Belghoul de s'expliquer sur le fait qu'elle a voyagé tout en étant en congé maladie[44]. Le , elle écope finalement d'un blâme[20].

Par ailleurs, le , L'Express révèle qu'elle est, entre 2008 et 2011 et alors qu'elle est en disponibilité, lié d'un pacte civil de solidarité à une femme nonagénaire — décédée depuis — propriétaire du pavillon de Bezons où elle réside[45].

Le , le site d'Égalité et Réconciliation publie un communiqué de plusieurs membres du collectif JRE et de la FAPEC, qui annoncent leur démission collective « pour divergences d’appréciation de certains principes fondamentaux de la famille traditionnelle et pour incompatibilité de caractère » et leur intention de créer une autre organisation. Farida Belghoul réagit en dénonçant les « rats [qui] quittent le navire » et la campagne de diffamation dont elle serait victime. Assurant que le communiqué contiendrait des « faux », elle accuse par ailleurs Alain Soral d'« acte objectif de trahison » et réclame un débat public avec lui[46],[47].

Le , elle est mise en examen pour « complicité de diffamation » à l'encontre de l'enseignante de maternelle d'Indre-et-Loire que son association JRE avait accusée de pousser ses élèves à pratiquer des attouchements[48]. Le jugement, rendu le [49], condamne Farida Belghoul à 5 000 euros d'amende pour complicité de diffamation ainsi qu'à 12 000 euros de dommages et intérêts qu'elle devra verser avec la coaccusée Dalila Hassan[50],[51]. En , sa peine est alourdie en appel, la cour la condamnant à payer 8 000 euros d'amende et 15 000 euros de dommages et intérêts[52]. Cette condamnation est rendue définitive par le rejet de son pourvoi devant la Cour de Cassation[53].

Le , le rectorat de Versailles décide de sa révocation pour un « manquement à son devoir de réserve »[54].

Œuvres littéraire

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Filmographie

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  • C’est madame la France que tu préfères : histoire d’une fratrie de la seconde génération, produit par ISM (40 minutes – 1980).
  • Le Départ du père : un immigré à la retraite rentre définitivement au pays en compagnie de sa fille née en France, coproduction Belghoul, ISM (41 minutes – 1984).

Notes et références

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  1. « Biographie de Farida Belghoul »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Limag.
  2. « Farida Belghoul, de l'extrême gauche anti-raciste à la croisade anti-genre à l'école », Abel Mestre et Sylvia Zappi, Le Monde, 1er février 2014.
  3. a et b Jean Déjeux, La littérature féminine de langue française au Maghreb, Karthala, 1994, page 219
  4. a b et c Christinae Ndiaye, Introduction aux littératures francophones, Presses Universitaires de Montréal, 2004, page 253
  5. L’école prise entre rumeur et mensonges, Libération, 28 janvier 2014
  6. Edouard Mills-Affif, Filmer les immigrés : Les représentations audiovisuelles de l'immigration à la télévision française 1960-1986, De Boeck, 2004, page 263
  7. Le Départ du père, Limag.
  8. a et b Éditions de la différence - Compte-rendu des Assises nationales contre le racisme - Maison de l'Unesco - 16/17/18 mars 1984.
  9. a b et c Albano Cordeiro, « Convergence 84 : retour sur un échec », Plein droit février-mars 2005 (n° 65-66) , p. 59-63
  10. a b et c Toujours en marche, Libération, 28 juin 2008
  11. a b et c La Marche des Beurs, 25 ans après, Politis, 4 décembre 2008
  12. Saïd Bouamama in 25 ans de marche et toujours pas d'égalité - reportage radio réalisé par Oliver Minot pour Radio Pluriel - Article : [1] - Document sonore : [2].
  13. Nadia Hathroubi-Safsaf : "Le mouvement "beur" a été récupéré car il n'y avait pas de leader", interview sur le Bondy Blog, 7 décembre 2013
  14. Pourquoi il ne faut pas parler de «Marche des beurs», Slate, 3 décembre 2013
  15. Qui est Farida Belghoul, opposante à la "théorie du genre" ?, Direct Matin, 31 janvier 2014
  16. Serge Malik, Histoire secrète de SOS Racisme, Albin Michel, 1990, pages 28-29
  17. a b c d e et f Théorie du genre : Farida Belghoul, histoire d'une dérive, Le Point, 30 janvier 2014
  18. La banlieue un genre de fiction, Libération, 10 juin 2014
  19. a et b En congé maladie, Farida Belghoul continue de voyager, L'Express, 30 septembre 2014
  20. a b c et d L’opposante aux « ABCD de l’égalité » Farida Belghoul sanctionnée par l’éducation nationale, Le Monde, 30 octobre 2014
  21. a et b Luc Cédelle, « Le catéchisme « antipédago », le « gender » et la nouvelle extrême droite soralo-dieudonniste »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Blog « Interro Écrite » (Le Monde), (consulté le ).
  22. Brigitte Stora, « La contre marche », sur Le Huffington Post, (consulté le ).
  23. Pierre Puchot et Dan Israel, « Comment Soral gagne les têtes (2/2) », Mediapart, 16 novembre 2014
  24. a et b Celle qui incite les parents à boycotter l'école, Le Parisien, 29 janvier 2014
  25. Farida Belghoul, la croisée antiscolaire, Libération, 30 janvier 2014
  26. Olivier Claudon, « Strasbourg : un collectif veut boycotter les écoles en agitant le spectre de la « théorie du genre » », Dernières Nouvelles d'Alsace, (consulté le ).
  27. "Théorie du genre" : Farida Belghoul, de l'anti-racisme au conspirationnisme, France 24, 30 janvier 2014
  28. Nacira Guénif : « Certains parents migrants ont développé une méfiance envers l'école », Le Monde, 30 janvier 2014
  29. Théorie du genre : des élèves absents du fait d'une étrange rumeur, Le Figaro, 29 janvier 2014
  30. "Masturbation", "théorie du genre" à l'école... Décryptage de cinq folles rumeurs, France TV Info, 31 janvier 2014
  31. Journées de retrait de l'école: Farida Belghoul visée par une procédure disciplinaire, L'Express, 22 septembre 2014
  32. De fausses rumeurs sur la "théorie du genre" à l'école inquiètent des parents, L'Express, 28 janvier 2014
  33. Agence France-Presse, « Théorie du genre: Peillon veut convoquer les parents qui suivent le boycott de l'école », sur 20 minutes, (consulté le ).
  34. Renée Greusard, « Les opposants aux études de genre, de plus en plus idiots », sur Rue89 (Le Nouvel Observateur), (consulté le ).
  35. Genre: la nouvelle provocation de Belghoul, Le Figaro, 2 avril 2014
  36. « nouvelle république "remous autour du genre dans une école maternelle" », sur La Nouvelle République, .
  37. Le grand flop de Jour de colère «saison 2», Libération, 6 avril 2014
  38. Théorie du genre : Civitas et Farida Belghoul s'allient, Le Parisien, 11 mai 2014
  39. Manif pour tous : rappel nécessaire sur les origines de ses responsables..., Politis, 5 octobre 2014
  40. ABCD de l'égalité: Belghoul fête "la victoire de la convergence islamo-catholique", L'Express, 28 juin 2014
  41. a et b Le rectorat de Versailles demande des comptes à Farida Belghoul, Le Figaro, 7 octobre 2014
  42. Les "anti-genre" à l'assaut des associations de parents d'élèves, L'Express, 1er octobre 2014
  43. Les petits tracas de Farida Belghoul, Le Point, 7 octobre 2014
  44. L'Éducation nationale demande à Farida Belghoul de s’expliquer, France Inter, 6 octobre 2014
  45. La militante de la "famille traditionnelle" Farida Belghoul a été pacsée à une femme, L'Express, 6 octobre 2014
  46. Willy Le Devin et Dominique Albertini, « Après la quenelle, le temps des querelles », Libération, 5 décembre 2014
  47. Soral, trahison ?, site de la Journée de retrait de l'école, 14 octobre 2014
  48. « Tours : Farida Belghoul mise en examen pour "complicité de diffamation" », sur La Nouvelle République, .
  49. Mattea Battaglia, « Les « journées de retrait de l’école » à la barre du tribunal de Tours », sur Le Monde, Le Monde, .
  50. « Théorie du genre à Joué : Farida Belghoul condamnée à verser 5.000 € d'amendes », sur La Nouvelle République du Centre-Ouest, .
  51. « Théorie du genre : diffamation et complicité pour Mmes Hassan et Belghoul », sur La Nouvelle République du Centre-Ouest, .
  52. « «Théorie du genre» : la peine de Farida Belghoul alourdie en appel », La Parisienne, .
  53. « Journées de retrait de l’école : Belghoul et Hassan définitivement condamnées », La Rotative, .
  54. « Révocation de Farida Belghoul : la lettre du rectorat de Versailles »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur mouvement-jre.com (consulté le ).

Liens externes

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