Famille de Châteauneuf-Randon
Famille de Châteauneuf-Randon | |
Armes des Châteauneuf-Randon | |
Devise | Deo juvante |
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Branches | Apchier, Joyeuse, du Tournel |
Période | XIe siècle au XXIe siècle |
Pays ou province d’origine | Gévaudan |
Allégeance | Royaume de France |
Fiefs tenus | Châteauneuf-de-Randon |
Demeures | Châteauneuf-de-Randon |
Récompenses militaires | Ordre du roi |
Preuves de noblesse | |
Autres | Honneurs de la Cour (1783) |
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La famille de Châteauneuf-Randon, remontant au XIe siècle, est l'une des plus anciennes familles de la noblesse française subsistante.
L'une de ses branches dite de Joyeuse connut au XVIe siècle une ascension fulgurante à la Cour de France où Anne de Joyeuse fut le premier gentilhomme du royaume de France.
Histoire
[modifier | modifier le code]Gustave Chaix d'Est-Ange écrit que le premier membre connu de cette famille est Guillaume, damoiseau chevalier, seigneur de Châteauneuf-Randon et autres fiefs en 1050[1].
De cette famille sont issues la famille d'Apchier et la maison de Joyeuse[réf. nécessaire].
Seule subsiste de nos jours la branche de Châteauneuf-Randon du Tournel qui est membre de l'association d'entraide de la noblesse française[réf. nécessaire].
Personnalités
[modifier | modifier le code]- Almodie de Châteauneuf-Randon (1190-), trobairitz
- Alexandre Paul Guérin de Châteauneuf-Randon du Tournel (1757-1827), député de la noblesse du Gévaudan aux États généraux de 1789, député sous la Convention, général de brigade, préfet. A voté pour la mort du roi Louis XVI.
Alliances
[modifier | modifier le code]Les principales alliances de la famille de Châteauneuf-Randon sont : de Polignac (XIIIe siècle), de Roquefeuil (1477), d'Uzès (1485), Grimaldi (1533).
Le mariage de Bérenger de Roquefeuil et d'Anne du Tournel, fille de Pierre Guérin du Tournel et de Louise de Crussol, première dame d'atours de la reine est célébré le , au Château Royal d'Amboise[réf. nécessaire].
Armes, blasons, devises
[modifier | modifier le code]Image | Blasonnement et devise |
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Châteauneuf-Randon :
D’or à trois pals d'azur, au chef de gueules.[2] Devise : « Deo juvante » |
Notes et références
[modifier | modifier le code]- G. Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables, t. X (lire en ligne), p. 125-129
- Vicomte de Lescure, Armorial du Gévaudan (lire en ligne), p. 12
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, t. X, (lire en ligne).
- Vicomte de Lescure, Armorial du Gévaudan, Lyon, Badiou-Amant, (lire en ligne).
- André Philippe, La baronnie du Tournel et ses seigneurs du début du XIIIe siècle à la fin du XVe siècle. documents publiés, A. Privat, , 404 p. (lire en ligne).
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Noël Dursapt, « château de Besque et ses occupants : Le destin d’une famille », sur gallica.bnf.fr, Cahiers de la Haute-Loire, , p. 47