Discussion:René Étiemble
Prononciation
[modifier le code]Quel est l’intérêt de préciser, comme le fait l’article actuel, que Étiemble « se prononce comme s'il était écrit “éthyamble” » ? Quelle autre lecture serait possible ? Qui le prononce autrement ? Enfin, s’il faut parler de cette prononciation, quelle source étaye cette prescription ? — palpalpalpal (discuter) 22 décembre 2018 à 10:43 (CET)
« Pourfendeur du franglais »
[modifier le code]De son temps, René Etiemble était connu pour être le « pourfendeur du franglais », qualificatif que l'on trouve accolé à son nom à maintes reprises lorsqu'on effectue la recherche suivante sur Google. On retrouve ainsi cette expression sous la plume de Nedim Gürsel[1], celle de Marc Francioli[2] et celle de Geneviève Jacquinot[3].
- « Étiemble : le pourfendeur du franglais », pp. 89-91, in Le Mythe d'Étiemble : Hommages - Études et recherches - Inédits, Didier Érudition, 1979, coll. « Études de littérature étrangère et comparée », 366 p.
- Jacques Soustelle : l'ami qui a défié De Gaulle, Éditions du Rocher, 2015, 316 p. (édition numérique) : « René Étiemble, grammairien, polémiste, pourfendeur du franglais, découvreur des cultures orientales ».
- L'école devant les écrans, les éditions ESF, coll. « SE Sciences de l'éducation », 2012 (édition numérique, 2016, FeniXX) : « sous la direction du Professeur Étiemble, pourfendeur inlassable du "franglais" ».
« Le terme de « pourfendeur » est défini dans le site du CNRTL en ces termes :
B.− P. anal. Celui qui critique, qui attaque très vivement. Un défenseur de l'ordre social, un homme moral et profond, un pourfendeur d'innovations (Balzac, Œuvres div.,t. 3, 1840, p. 312).Céder au parti nationaliste (...) divisé en pourfendeurs de l'Angleterre et pourfendeurs de l'Allemagne (Jaurès, Paix menacée,1914, p. 236).Mirbeau (...) le glossateur exalté du génie de Rodin, le pourfendeur des gloires de l'Institut (J. Cladel, Maillol,1937, p. 71). »
--Elnon (discuter) 25 avril 2020 à 12:23 (CEST)