Discussion:Efficacité lumineuse spectrale
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Couleurs dans le tableau
[modifier le code]la vision scotopique est sans perception de couleurs,alors il serait logique de ne pas mettre de couleurs dans le tableau.
cette contribution est très bien.
~bercier 25 mars 2013 à 21:31 (CET)
JE RENOUVELLE MA REMARQUE
~bercier 9 avril 2013 à 19:38 (CEST)
Je renouvelle ma demande concernant le tableau scotopique à passer en noir et blanc. Merci.
La fonction d'efficacité lumineuse de l'oeil est également appelée sensibilité de l'oeil .
- Voir http://www.raman-scattering.eu/raman/textes/019_texte_9.php
- Voir aussi: http://cours.dirphot.free.fr/documents_divers/Colorimetrie.pdf
- Voir page 8.Ce dernier document est extrait de DEDE75007 que je suis content de retrouver ici,car je ne pouvais le retrouver directement...
La fonction d'efficacité lumineuse de l'oeil est notée par un V majuscule (et V')et non par un v minuscule.
~bercier 16 juin 2013 à 11:30 (CEST)
Couleurs dans la vision photopique
[modifier le code]Chakal, Ellande et Euterpia : Quelle est la source pour la peinture du tableau ? Elle est là depuis la création de la page.
Les teintes ne me semblent pas correspondre aux fréquences. Par exemple, la longueur d'onde dominante du bleu primaire sRGB est d'environ 465 nm. j'attendrais donc un code #0000FF. On a un bleu-vert #006cfb. Pareil pour le vert, primaire sRGB vers 550 nm, j'attends #00FF00, et je trouve #a5ff03, et pour le rouge vers 620 nm, au lieu de #FF0000, #fd7900.
En prenant le lieu spectral et le diagramme de chromaticité sRGB, on peut construire plus rigoureusement les teintes.
- vision scotopique
Ce qu'écrivait Bercier ci-dessus est frappé au coin du bon sens. Sans aller au noir et blanc, parce que la représentation des couleurs aide, elles pourraient être bien désaturées ; selon le principe que la nuit, tous les chats sont gris. PolBr (discuter) 31 août 2014 à 01:11 (CEST)
Chakal, Ellande et Euterpia : Voici le tableau tel que selon moi il devrait être. Les couleurs sont calculées comme l'intersection, sur le diagramme de chromaticité, de la droite allant de D65 au lieu spectral, avec le côté du triangle RGB ; les proportions des deux primaires présentes au prorata du ratio entre les deux segments découpés par l'intersection ; la luminosité calculée avec les coeff. Rec. 601, pour corriger la luminosité par le coefficient d'efficacité lumineuse spectrale à la puissance 0.5 (pour atténuer l'effet). Fait au tableur à partir des valeurs normalisées.
(nm) |
(nm) |
(nm) |
(nm) |
(nm) |
(nm) |
||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
400 | 0,000 396 | 500 | 0,323 00 | 600 | 0,631 00 | 700 | 0,004 102 | 800 | 0,000 004 | ||
410 | 0,001 21 | 510 | 0,503 00 | 610 | 0,503 00 | 710 | 0,002 091 | 810 | 0,000 002 | ||
420 | 0,004 00 | 520 | 0,710 00 | 620 | 0,381 00 | 720 | 0,001 047 | 820 | 0,000 001 | ||
430 | 0,011 60 | 530 | 0,862 00 | 630 | 0,265 00 | 730 | 0,000 520 | 830 | 0,000 000 | ||
440 | 0,023 00 | 540 | 0,954 00 | 640 | 0,175 00 | 740 | 0,000 249 | ||||
450 | 0,038 00 | 550 | 0,994 95 | 650 | 0,107 00 | 750 | 0,000 120 | ||||
360 | 0,000 004 | 460 | 0,060 00 | 560 | 0,995 00 | 660 | 0,061 00 | 760 | 0,000 060 | ||
370 | 0,000 012 | 470 | 0,090 98 | 570 | 0,952 00 | 670 | 0,032 00 | 770 | 0,000 030 | ||
380 | 0,000 039 | 480 | 0,139 02 | 580 | 0,870 00 | 680 | 0,017 00 | 780 | 0,000 015 | ||
390 | 0,000 120 | 490 | 0,208 02 | 590 | 0,757 00 | 690 | 0,008 21 | 790 | 0,000 007 |
C'est moins clinquant, mais ça peut tout-de-même éviter des confusions sur la correspondance entre longueurs d'onde et couleurs. Notez bien que pour faire apparaître du jaune il faut éliminer complètement la relation à l'efficacité: et dans ce cas, il faut tricher les transitions IR et UV.
Changer les réglages sur le tableur n'est rien, mais recopier les valeurs est fastidieux, et il y a deux tableaux à recoter, donc je sollicite vos opinions avant de copier les lignes. PolBr (discuter) 31 août 2014 à 13:06 (CEST)
- Les couleurs n'étaient qu'indicatives. Très beau travail. Mais c'est vrai qu'on ne voit pas beaucoup le violet du coup. Je suis quand même pour remplacer le tableau par celui-ci. — Ellande (Disc.) 1 septembre 2014 à 00:11 (CEST)
- L'article violet m'a amené ici. Je n'ai jamais vu de violet dans l'arc-en-ciel, contrairement à ce que disent les bouquins ; il me faut une installation de labo. Le violet de la violette, des fleuristes, des artistes et de l'encre violette est un pourpre (selon la définition de la colorimétrie). Certains étendent cette définition jusqu'aux rouge-pourpres. La divergence d'appréciation sur le violet fait de l'article une curieuse salade russe que je cherchais à relier aux autres propos sur les couleurs. Pour voir le violet à 450 nm, il faut encore minorer le gamma ;
- gamma 0,5
- le tableau ci-dessus.
- gamma 0,25
400 | 425 | 450 | 475 | 500 | 525 | 550 | 575 | 600 | 625 | 650 | 675 | 700 | 725 | 750 | 775 | 800 |
- fond noir
- le fond noir change aussi considérablement la perception, mais il faut qu'il déborde largement des couleurs, et c'est exclu sur wikipedia.
- Plus de lisibilité des couleurs, moins de représentation de la sensibilité différencielle de la vision humaine.
- Je crois que la question de la visibilité de ces couleurs, en comparaison avec celle des rouges-pourpre, explique les problèmes de violet. Mais c'est une réflexion personnelle ; je m'inquiète plus, pour ce tableau, de la visibilité des couleurs sur des écrans divers. PolBr (discuter) 1 septembre 2014 à 10:16 (CEST)
Ce tableau m'avait aussi hérissé le poil la première fois que je l'avais vu : sans source, utilisant des couleurs sans rapport avec les "vraies longueurs d'onde" et participant à la confusion entre les couleurs réelles et les couleurs d'un ordinateur. Pour avoir dû très souvent mettre le nez devant un goniomètre, les raies n'ont rien à voir avec le tableau actuel. Ton tableau est meilleur, fait sur une construction plus rigoureuse dont la logique me semble correcte. Le rendu sur chaque écran est problématique certes, mais toujours mieux que le rendu tout aussi approximatif de couleurs qui n'ont rien à voir avec la choucroute. Personnellement je me suis inquiétée du fait que ce nouveau rendu ne puisse pas être accessible pour les malvoyants, mais si le raisonnement est indiqué en note cela serait un pas de géant déjà.
Totalement pour un remplacement donc. Peut-être que le gamma à 0,25 sera mieux, mais à nouveau aucun écran n'est identique, il suffit d'avoir un ordinateur utilisé pour le jeu (gamma fréquemment vérifié grâce aux jeux) un ordinateur pour le dessin (gamma changé tous les quatre matins pour adapter la colorisation au rendu voulu) ou un ordinateur bureautique pur (gamma jamais touché, parfois avec un utilisateur ne sachant pas ce qu'est le gamma)...
Pour les dyslexiques, la luminosité de l'écran est souvent basse, le contraste affaibli pour une meilleure lisibilité. Doit-on ajouter en sus de la note un réglage idéal de l'écran ? Je ne pense pas. Mentionner que le gamma/contraste/luminosité de l'écran affectera le rendu ? Oui sans aucun doute.
Bref voilà pour ma réponse (et mon avis et mon grain de sel ) ¤ Euterpia ¤ Just ask ¤ 2 septembre 2014 à 17:05 (CEST)
- Couleurs reportées dans le tableau avec le gamma .25 et note de calcul le 2 septembre 2014. Il m'a semblé préférable de mettre les mêmes couleur dans le tableau de vision scotopique ; mais c'est pour moi un problème. Les couleurs servent à se repérer, mais mettre les couleurs (vision photopique) avec les valeurs de la courbe (vision scotopique) me semble bizarre. Je me demande aussi si, pour ce tableau, une chromaticité (ou pureté d'excitation) constante ne serait pas préférable à la saturation (informatique) maximale, avec pureté variable. PolBr (discuter) 7 septembre 2014 à 14:35 (CEST)
- /!\ Ayant trouvé une erreur dans mes calculs, je remplace par des couleurs plus exactes. Ellande : on voit encore moins le violet, mais, selon moi, c'est qu'il n'y en a pas. La norme AFNOR XO8-010 date d'avant les ordinateurs personnels. Selon cette classification, le bleu primaire de l'écran (466 nm) est pile à la limite entre « bleu-violet » et « violet-bleu ». La méthode graphique que je décris sous le tableau (c'est la plus simple à expliquer, et on peut vérifier la teinte avec règle et crayon sur le diagramme de chromaticité) montre que l'extrémité du spectre se représente par 12% r, 87% b (#2500FF). Mais pour ceux habitués à comprendre les couleurs à partir de l'écran d'ordinateur, le bleu des peintres & imprimeurs est un cyan, et le bleu typique est le bleu-violet primaire. PolBr (discuter) 10 octobre 2014 à 16:41 (CEST)
Explications pour les couleurs des tableaux de valeurs
[modifier le code]PolBr : Je déplace ces explications depuis l'article vers la page de discussion. Vous pourrez y apporter autant de précisions que vous les souhaitez. — Ellande (Disc.) 22 juin 2017 à 14:47 (CEST)
Les couleurs illustrant les longueurs d'onde sont celles se rapprochant le plus possible de la lumière monochromatique sur l'affichage d'un écran sRGB. Le réglage de votre écran affecte le rendu de cette illustration. Pour conserver une idée de la couleur même quand l'efficacité lumineuse est très faible, la luminosité suit de façon très atténuée la courbe d'efficacité lumineuse spectrale.
Calcul des couleurs du tableau
- Les coordonnées CIE XYZ des lumières monochromatiques découlent directement des fonctions colorimétriques CIE (Sève 2009, p. 320-323).
- Ces coordonnées se convertissent en valeurs r,g,b (linéaires) selon la matrice de conversion donnée par le document de la CEI régissant les écrans sRGB. Certains parmi les coefficients r,g,b sont négatifs.
- On ajoute à chacun des termes la valeur des coefficients de l'illuminant D65, multiplié par un facteur tel que le triplet (r,g,b) ne comporte plus de terme négatif, et ait une des valeurs nulles. On a ainsi ramené la couleur dans le gamut sRGB sans en changer la teinte.
- On multiplie chaque terme du triplet par un coefficient tel que le plus fort terme atteigne la valeur de luminosité choisie (ici, la racine de la fonction d'efficacité lumineuse relative, de façon à donner une couleur dans le plus de conditions possibles).
- On applique les formules de passage aux coefficients non-linéaires.
- On multiplie par 255 et on arrondit à l'unité pour obtenir les valeurs (r, g, b).
Vérification des résultats
La détermination de la longueur d'onde dominante des couleurs primaires et secondaires peut se faire graphiquement sur le diagramme de chromaticité connaissant le lieu spectral et la position des primaires sRGB et celle de l'illuminant.
La longueur d'onde dominante d'une couleur primaire se lit en prolongeant le segment de droite du point représentatif de l'illuminant D65 au point représentatif de la primaire jusqu'à la courbe du lieu spectral, dont la graduation indique les longueurs d'onde.
La longueur d'onde dominante d'une couleur secondaire se lit en prolongeant le segment de droite du point représentatif de l'illuminant D65 au point représentatif de la primaire qui lui est complémentaire (par exemple, pour le jaune, le bleu) jusqu'à la courbe du lieu spectral, du côté opposé à la primaire.
On obtient ainsi 5 points de vérification des couleurs calculées.
Discussion modèle:Lo vers rvb (Comment convertir une longueur d'onde en couleur RVB?)
[modifier le code]Discussion modèle:Lo vers rvb (Comment convertir une longueur d'onde en couleur RVB?)
75% de l'efficacité lumineuse...
[modifier le code]Lecture directe de l'intégrale du tableau, qui donne :
360 0,0000 0,0000 0,0% 370 0,0000 0,0000 0,0% 380 0,0000 0,0001 0,0% 390 0,0001 0,0002 0,0% 400 0,0000 0,0002 0,0% 410 0,0012 0,0014 0,0% 420 0,0040 0,0054 0,1% 430 0,0116 0,0170 0,2% 440 0,0230 0,0400 0,4% 450 0,0380 0,0780 0,7% 460 0,0600 0,1380 1,3% 470 0,0910 0,2290 2,1% 480 0,1390 0,3680 3,4% 490 0,2080 0,5760 5,4% 500 0,3230 0,8990 8,4% 510 0,5030 1,4020 13,1% 520 0,7100 2,1120 19,8% 530 0,8620 2,9740 27,8% 540 0,9540 3,9280 36,8% 550 0,9950 4,9230 46,1% 560 0,9950 5,9180 55,4% 570 0,9520 6,8700 64,3% 580 0,8700 7,7400 72,4% 590 0,7570 8,4970 79,5% 600 0,6310 9,1280 85,4% 610 0,5030 9,6310 90,1% 620 0,3810 10,0120 93,7% 630 0,2650 10,2770 96,2% 640 0,1750 10,4520 97,8% 650 0,1070 10,5590 98,8% 660 0,0610 10,6200 99,4% 670 0,0320 10,6520 99,7% 680 0,0170 10,6690 99,8% 690 0,0082 10,6772 99,9% 700 0,0041 10,6813 100,0% 710 0,0021 10,6834 100,0% 720 0,0010 10,6844 100,0% 730 0,0005 10,6850 100,0% 740 0,0002 10,6852 100,0% 750 0,0001 10,6853 100,0% 760 0,0001 10,6854 100,0% 770 0,0000 10,6854 100,0% 780 0,0000 10,6854 100,0% 790 0,0000 10,6854 100,0% 800 0,0000 10,6854 100,0% 810 0,0000 10,6855 100,0% 820 0,0000 10,6855 100,0% 830 - 10,6855 100,0%
Donc entre 500 et 600 nm (ou entre 510 et 610) il y a ~75% de la fonction, c'est la "partie utile" du spectre. Si l'émission énergétique est ~constante dans cette zone, on a une estimation de la luminosité d'ensemble en divisant 683 lm/W par 75%, soit sensiblement 1000 lm/W. Michelet-密是力 (discuter) 13 février 2017 à 16:22 (CET)
- WP:TI. D'ailleurs aucune application. PolBr (discuter) 13 février 2017 à 16:25 (CET)
- Bof ... pas plus TI que la couleur sur le tableau, en fait. Il fait supprimer ça aussi ? Plus sérieusement, jusqu'à quel point faut-il travailler les données pour les présenter de manière parlante ? Dire d'une courbe de sommation que c'est un TI c'est pousser très loin le cochonnet de la mauvaise foi. Michelet-密是力 (discuter) 13 février 2017 à 16:30 (CET)
- Comme d'habitude, les invectives remplacent l'argumentation. Votre calcul est parfaitement arbitraire, tant dans les limites de la partie du spectre que vous prenez en considération, que pour la valeur de 75%. Il n'a d'ailleurs aucune utilité pratique, sauf à citer une source qui, justement, en proposerait une utilisation.
- Quant aux couleurs du tableau, elles ont fait l'objet d'une discussion. Il y a un consensus sur l'utilité d'illustrer par une couleur la bande de longueur d'ondes, et que ces couleurs soient au plus près de la couleur de la lumière monochromatique centrale. L'exactitude étant impossible, vous pouvez proposer une meilleure approximation. PolBr (discuter) 13 février 2017 à 16:44 (CET)
- Les limites n'ont rien d'arbitraire, (1) 500-600 ou 510-610 sont les fourchettes en-dessous desquelles l'efficacité relative tombe (très rapidement) en dessous de 50%, donc c'est en pratique la limite de la zone d'efficacité réelle visuelle. Pour ces valeurs, on constate (factuel) qu'on couvre 75% de la réponse intégrale, donc tout le reste du spectre ne contribue que pour ~25% au plus, et à peu près équilibré entre IR et UV (15%-10% d'un côté ou de l'autre). L'utilité pratique est surtout de pouvoir convertir rapidement un ordre de grandeur de puissance énergétique en puissance lumineuse, ou l'inverse, ça se fait du coup de tête : on prend la moyenne de l'intervalle de 100 nm centré sur 555nm, et ça fait ~1000 lm/W.
- Quand je parle d'utilité pratique, je parle d'un cas où on aurait l'usage de votre approximation : c'est-à-dire où on aurait à déterminer la luminance à partir d'un tableau. Quand cela ce produit-il ? Quand je parle d'arbitraire, cela concerne tous les seuils que vous présentez comme allant de soi. Mais surtout, le principe, c'est de donner une source, où ceux qui doutent peuvent confirmer, et ceux qui désirent s'instruire au delà d'un article de WP puissent le faire. PolBr (discuter) 13 février 2017 à 17:46 (CET)
- Bof ... pas plus TI que la couleur sur le tableau, en fait. Il fait supprimer ça aussi ? Plus sérieusement, jusqu'à quel point faut-il travailler les données pour les présenter de manière parlante ? Dire d'une courbe de sommation que c'est un TI c'est pousser très loin le cochonnet de la mauvaise foi. Michelet-密是力 (discuter) 13 février 2017 à 16:30 (CET)
Dernières modifications
[modifier le code]Je trouve que l'article était beaucoup plus clair auparavant. La structure actuelle me semble discutable. Les ajouts récents ont créé de la confusion, il est difficile de trouver l'information essentielle : la fonction d'efficacité relative spectrale en particulier.
- Pourquoi parler de la mesure avant de présenter la fonction ?
- Pourquoi cette infobox et cette illustration que je trouve horrible ? La notion d'intensivité ne va pas de soi, il faudrait une source ou au moins une explication. Compliqué car ce n'est pas une grandeur physique dont il s'agit.
- Pourquoi ces dérivées partielles ?
- Beaucoup de points parfois intéressants ne sont pas sourcés : c'est très regrettable.
Je trouve que ça fait beaucoup en quelques mois.
— Ellande (Disc.) 11 avril 2017 à 00:28 (CEST)
Encore quelques remarques au fil de la lecture.
- Il existe plus de deux fonctions d'efficacité lumineuse spectrale mais les améliorations les plus récentes n'ont pas encore été reportée ici, au moins celle là : [1].
- La fonction V n'est « la grandeur Y du système colorimétrique CIE XYZ », c'est la fonction colorimétrique .
- La partie Efficacité lumineuse à 555 nm présente de nombreuses redondances avec ce qui suit (et qui devrait être placé avant.
- La partie Conversion radiométrie / photométrie me parait être une répétition de ce qui apparaît après.
- « aussi appelée coefficient lumineux photopique » ??? Source ?
- Les notations mathématiques introduites ne respectent pas celle précédemment utilisées dans l'article et ne sont pas clairement mises en lien.
- « sur le spectre visible, en pratique de 350 à 850 nm » : une source ou une affirmation ?
Tout est à recycler selon moi.
— Ellande (Disc.) 11 avril 2017 à 01:00 (CEST)
- Je suis d'accord avec l'appréciation générale, et sur l'illustration de l'infobox (méditer WP:RUI). Ce n'est pas pour autant qu'il faut revenir à l'état antérieur.
- Je vous propose de restructurer l'article dans l'ordre suivant
- Vision et mesure physique. L'objet de la photométrie est la quantification de la lumière visible. On s'est aperçu que les mesures de l'énergie transmise, globalement, par un flux lumineux, ne correspondaient pas à l'impression visuelle. Mesurés avec une sphère d'intégration calorimétrique, la puissance émise par un éclairage au gaz, une lampe à incandescence, par le soleil, par le ciel bleu, peuvent être égales, alors que visuellement elles diffèrent considérablement. On a donc recherché, longueur d'onde par longueur d'onde, c'est-à-dire couleur pure par couleur pure, quelle était la sensibilité de l'œil humain. La CIE, récapitulant ces expériences de perception, a défini les fonctions d'efficacité lumineuse spectrale pouvant servir de référence pour comparer les diverses sources d'éclairage.
- Tableaux des fonctions. Pour beaucoup de lecteurs, c'est le renseignement qu'ils cherchent, et la présentation avec couleurs et pourcentages situe le problème. Pour les autres, les tableaux (dépouillés de l'excroissance matheuse) seront vite passés pour aller à la discussion suivante.
- Établissement des courbes. Supposition de base: la sensibilité relative est identique quelle que soit la luminosité de la source. Pour obtenir des fonctions de sensibilité relative, d'application simple, on néglige les petits écarts à cette linéarité. En effet, la précision requise dans la pratique pour la quantification de l'éclairement est modérée (10% est fort peu de chose). On définit les courbes dans des domaines de luminosité bien caractérisés (photopique ou scotopiques). Dans les rares cas où c'est nécessaire, les écarts (phénomène Helmholtz-Kohlrausch, effet Abney, effet Bezold–Brücke, contribution des bâtonnets dans les conditions mésopiques) seront traités comme des déviations. Ceci dit, on peut préciser les formules de conversion du domaine physique au domaine visuel.
- Méthodes et problèmes : comparaison directe et papillotement. Difficultés de la comparaison photopique de couleurs très différentes. Variations de la sensibilité visuelle spectrale (au moins selon l'âge, mais il y a peut-être apprentissage et des facteurs génétiques). Nature nécessairement conventionnelle de la fonction.
- Valeurs modifiées 1988. On n'a pu supprimer l'observateur de référence, qui a trop servi ; les valeurs modifiées permettent sans doute une meilleure comparaison des luminaires modernes, dont la TC est plus élevée, et qui comportent quand ce sont des LEDs un pic dans les bleus.
- Conséquences. La définition des courbes permet la définition moderne du candela avec une radiation monochromatique (Le Grand 1972:48) et raccorde les mesures physiques aux grandeurs photométriques, sans passer par une observation visuelle.
- La notation mathématique peut rester ou non ; c'est une question de dialecte, et pour la plupart des lecteurs d'une encyclopédie, qui ne sont pas supposés savants, c'est de l'enfumage : on élimine, par cette présentation à la fois trop synthétique et trop codée, les questions délicates : Celle de la linéarité, dont il vaut mieux expliquer que c'est une approximation et qu'elle est nécessaire, et celle de la définition de la fonction par une table, comme, d'ailleurs, toutes les mesures spectrales donnent un résultat tabulaire (par bandes de fréquence, et non par fréquence). Par ailleurs, c'est l'expression de la loi d'Abney, à laquelle on peut renvoyer.
- PolBr (discuter) 11 avril 2017 à 11:28 (CEST)
- D'accord sur le plan. J'ai quand même un faible pour l'expression mathématique qui est tellement synthétique pour celui qui sait la lire. — Ellande (Disc.) 11 avril 2017 à 16:57 (CEST)
- Je n'ai pas d'hostilité envers la formule, du moment qu'elle résume, mais ne remplace pas l'explication. Il me semble utile de renvoyer à l'article Loi d'Abney, et pas de la répéter. PolBr (discuter) 11 avril 2017 à 20:01 (CEST)
- Comme vous me l'aviez fait remarquer il y a quelques temps en citant Sève, ce n'est pas exactement la loi d'Abney. De plus, l'utilisation de la relation pour le calcul du flux est déjà présente dans la définition de ce dernier dans son article principal (j'y ai apporté récemment la remarque précédente concernant Abney). Je crois qu'il faudrait ici présenté une relation plus générale qui lie toute les grandeurs photométrique et leur homologue radiométrique : . Mais c'est là un détail au regard du ménage à accomplir.
- Je n'ai pas d'hostilité envers la formule, du moment qu'elle résume, mais ne remplace pas l'explication. Il me semble utile de renvoyer à l'article Loi d'Abney, et pas de la répéter. PolBr (discuter) 11 avril 2017 à 20:01 (CEST)
- D'accord sur le plan. J'ai quand même un faible pour l'expression mathématique qui est tellement synthétique pour celui qui sait la lire. — Ellande (Disc.) 11 avril 2017 à 16:57 (CEST)
Illustration
[modifier le code]En cours de recyclage de cet article,stimulé par les calculs de PolBr (d · c · b), j'en ai profité pour préparer une illustration en couleur. Voici le résultat. J'ai une petite préférence pour la dernière. Si quelqu'un a un avis, tant que j'ai le code sous les yeux, je peux y apporter toute sorte de modification.
-
1. Celle-ci est supposée fidèle à 0.2126 * R + 0.7152 * G + 00.0722 * B.
Le résultat est étrange sur mon écran. -
2. Celle-ci avec la luminosité à fond.
-
3. Celle-ci avec la luminosité TSL L = max(RGB) pondérée selon V(lambda).
-
4. Celle-ci avec une bidouille sur la pondération pour relever les basses lumières.
-
5. Celle-ci avec une bidouille qui favorise encore plus les basses lumières.
— Ellande (Disc.) 6 mai 2017 à 17:27 (CEST)
- Pour ce qui est des nuances, ma préférence est pour la première qui correspond mieux à ce que je vois avec un prisme qui projette dans le fond d'une boîte à chaussures. Mais il y a un effet visuel de fond/forme, qui fausse l'appréciation sur l'illustration. La surface est réduite quand la courbe est basse, ce qui diminue l'impression de luminosité des bleus et rouges sombres près des bouts plus qu'avec les mêmes nuances sur un rectangle. Avez-vous essayé de mettre le fond entier, la courbe apparaissant dans une couleur de contraste (blanc quand la luminosité est faible, noir quand elle est forte ; ou bien complément à #FFFFF) ?
- Pour ce qui est des valeurs de la première, votre procédé de calcul vous amène à #1B9000 pour la plus forte valeur. Je suis parvenu à #5BC500 sans aucun souci pour les autres valeurs : il faudrait comparer nos méthodes (vous n'acceptez pas les courriels, c'est pourquoi je n'ai pas envoyé mes feuilles de code).
- Par ailleurs, pour favoriser la visibilité des basses lumières, on peut aussi désaturer légèrement les hautes lumières, ce qui permet, invisiblement ou pas selon la dose de blanc qu'on ajoute, de remonter la luminosité de l'ensemble, tout en conservant les rapports de luminosité et la relation à la couleur. De toutes façons, il y a une désaturation par rapport au rayonnement monochromatique. L'arc-en-ciel est désaturé lui aussi (voilé par du bleu pâle).
- Entre l'optimisation de la luminosité d'ensemble, l'applatissement de la courbe Y, et l'acceptation d'une légère désaturation, ce sont des choix d'artiste, qu'il faut juger sur plusieurs écrans différents et avec plusieurs réglages ("web", "cinéma", conforme sRGB, etc.).
- PolBr (discuter) 6 mai 2017 à 19:11 (CEST)
- Après trois essais (blanc, noir, gris) un gris sera peut-être le plus efficace en fond. J'ai commis une grossière erreur en n'appliquant pas de gamma en toute fin, je reprends ça bientôt. J'ai quand même un problème avec cette bande bleu trop lumineuse, j'espère que c'est dû à la même erreur.— Ellande (Disc.) 7 mai 2017 à 00:18 (CEST)
- C'est plus joli avec la pris en compte du gamma, j'ai modifié les illustrations. La première, supposée la plus fidèle, remporte ma préférence désormais. — Ellande (Disc.) 7 mai 2017 à 15:09 (CEST)
Recyclage
[modifier le code]Je crois être arrivé à quelque chose de plus présentable : Utilisateur:Ellande/Brouillon2. J'attends quelques jours et d'éventuels avis avant de publier. — Ellande (Disc.) 20 juin 2017 à 23:11 (CEST)
- Vous avez lieu d'être satisfait. Peut-être pourrait-on expliquer plus le caractère conventionnel de la fonction (je crois qu'il y a une réflexion en ce sens dans Sève). Si on trouve une valeur différente avec un champ de 2° et avec un champ de 1O°, et avec l'égalisation contiguë et le papillotement, alors qu'il n'y a guère de raison de préférer en général l'un ou l'autre, la construction de l'observateur de référence est conventionnelle, et, bien que basée sur des expériences psychophysiques, les fonctions ne permettent que des opérations colorimétriques et ne servent à rien d'autre. Elles n'ont pas à refléter exactement la perception humaine.
- PolBr (discuter) 21 juin 2017 à 20:25 (CEST)
- Oui, c'est vrai que je n'ai rien ajouté dans ce sens. À ce sujet, l'article de Sharpe, Stockman, Jagla et Jägle [2], que j'ai mis en référence est vraiment intéressant. Les mesures du passé y sont clairement critiquées et les mesures présentées semblent pouvoir aboutir à une prochaine norme. Une courte partie évoque tout de même l'impossibilité d'une précision universelle : « La mesure de l'efficacité lumineuse spectrale est compliquée par le fait que les résultats diffèrent considérablement selon les différentes méthodes, mais aussi selon les différents individus testés ». Mais peut-être est-elle mal placée et pas assez étoffée.
- Si vous avez une tournure de phrase à proposer, n'hésitez pas à intervenir sur le brouillon.
- — Ellande (Disc.) 21 juin 2017 à 23:48 (CEST)
- La phrase clé de la Sharpe et alii est « as pointed out by Wyszecki & Stiles (1982), “any minor improvement at this stage would be outweighed by the very considerable practical inconvenience of a change in the basic function on which all photopic photometry has been based for more than 50 years” » ; les avantages qu'ils énoncent pour leur fonction ne répondent à aucun usage pratique, et, donc, ne surmontent pas cet inconvénient qui reste majeur. Quel que soit la puissance de calcul disponible, il n'en reste pas moins qu'un changement imposerait à tous les appareils de mesure de proposer les options et à toutes les publications de préciser la référence. En outre, le changement pourrait avoir des conséquences notables en colorimétrie.
- Il se peut que l'évolution de l'éclairage donne de l'importance à la réévaluation des coefficients des faibles longueurs d'onde ; mais si cela était, les fabricants de sources qui obtiennent un meilleur résultat avec la courbe ancienne ne manqueraient pas de protester contre l'usage de la nouvelle. C'est pourquoi je crois qu'il faut présenter les recherches comme d'utiles critiques de la fonction conventionnelle, mais pas comme des alternatives effectives. Ce serait bien plus évident si on trouvait une source qui indique, plus que par une simple allusion à quoi ça sert. PolBr (discuter) 22 juin 2017 à 08:59 (CEST)
- Si vous voulez bien considérer un aspect pratique, notez que les "cellules" qu'on utilise en photographie pour déterminer l'exposition respectent plus ou moins la fonction d'efficacité lumineuse spectrale, pour permettre de calculer la lumination de surfaces sensibles qui la suivent d'encore plus loin. C'est que quand on a fait une mesure précise, on a un résultat au tiers de diaph, soit plus de 25%, et en général un demi diaph (40%) est bien assez. PolBr (discuter) 22 juin 2017 à 09:05 (CEST)
- J'ai tenté une modification du RI. — Ellande (Disc.) 22 juin 2017 à 10:37 (CEST)
Recyclage effectué. — Ellande (Disc.) 25 juin 2017 à 12:00 (CEST)
caractère conventionnel
[modifier le code]La relation de colorimétrie avec la perception des couleurs est un sujet touffu. Je me demande s'il faut mentionner cette complexité dans l'article. Jusqu'à lire Evan Thomson Colour vision, je pensais que les épreuves psychophysiques qui ont amené à convenir des courbes de sensibilité spectrale avaient seulement beaucoup de dispersion; cet auteur philosophe indique, d'après des sources scientifiques, qu'il y a probablement en plus des variantes génétiques. La génétique gouverne les processus de synthèse des opsines, et les variantes de ces protéines donnent aux types de cônes (S, M, L) des sensibilités spectrales légèrement différentes. Les variantes se répartissent dans la population dans une proportion de 2/3 pour 1/3. Du coup, l'idée existant depuis Chevreul qu'en s'adressant à des sujets entraînés on pourrait obtenir une courbe qui corresponde à la perception commune, les autres discriminant moins de couleurs, s'effondre. Les courbes d'efficacité lumineuse spectrale sont plus nettement conventionnelles.
Peut-on exprimer cela clairement? J'en doute. Cela se déduit de l'analyse statistique des résultats d'expériences. Est-ce nécessaire? Je me méfie de l'impulsion de nourrir Wikipédia de ce qui me semble intéressant, parce que je l'ai découvert récemment, peut-être au détriment de l'exposé de base. PolBr (discuter) 9 juin 2018 à 12:15 (CEST)
- Peut-être remplacer « vison humaine » par « observateur de référence supposé représenter la vision humaine » dans le RI et rappeler simplement et brièvement le caractère inégal selon les individus.— Ellande (Disc.) 12 juin 2018 à 20:07 (CEST)
Wikidata
[modifier le code]Sur un sujet ne concernant pas directement le contenu de la page et légèrement annexe : comme cette page n'était pas liée aux Wikis dans les autres langues, j'ai modifié les entrées Wikidata afin de lier cette page aux autres langues ([3],[4]). Ce changement peut possiblement être discuté et contesté dans la mesure où il y a un subtil décalage de traduction/transcription, entre les notions de : (en) Efficiency | (fr) Efficacité | (en) Efficacy | (fr) Efficience.
En l'occurrence,
- la page fr:Wiki portant sur l'Efficacité lumineuse spectrale (et en grande partie sur l'Efficacité lumineuse spectrale relative ) est reliée à l'élément Wikidata spectral luminous efficacy .
- Tandis que dans les versions anglaises et autres, en:Luminous efficiency function, ces pages sont toutes reliées à l'élément Wikidata spectral luminous efficiency .
En jetant un œil aux autres langues (en), (de), (es), cela se comprend dans la mesure où le titre de leur article et la notion traitée porte sur la grandeur adimensionnelle.
Le cas (fr) est moins évident. D'un point de vue de la transcription, la grandeur correspond effectivement à la notion de (en) "luminous efficacy" Efficacy-Efficiency. Donc dans l'absolu, il faudrait garder cette liaison à [...] efficacy. Mais dans la pratique, une bonne partie de l'article est consacrée à la grandeur normalisée/adimensionnelle et ses variantes . Donc relier à l'élément [...] efficiency me semble loin d'être injustifiée. Mais sur la page Wikidata, ce parallèle entre "Efficacité lumineuse spectrale" et "Luminous efficiency function" crée un décalage... Je ne pense pas pour autant que pour respecter la correspondance, il faille renommer cette page "Efficacité lumineuse spectrale relative" et que par abus, ces deux notions sont confondues.
In fine, après toute cette rédaction, je ne suis pas certain que ce sera contesté, mais j'en aurai profité pour dresser le raisonnement et la justification à ces modifs pas si automatiques.
Curios7ty (discuter) 7 septembre 2021 à 20:28 (CEST)
- Sève 2009, p. 334 ; ISO 11664-1:2007 (CIE S 014-1/E:2006).