DXK
Titre original | DXK, David Sex King |
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Réalisation | Christophe Clark |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production | Colmax, Woodba |
Pays d’origine | France |
Genre | Film pornographique |
Sortie | 2011 |
Durée | 118 minutes |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution
DXK, David Sex King, souvent abrégé en DXK, est un film pornographique français, réalisé par Christophe Clark et sorti en 2011.
C'est un film parodique, inspiré de l'affaire Dominique Strauss-Kahn.
Synopsis
[modifier | modifier le code]Le patron d'une grande institution financière, David Sex King, est dans la chambre d'un hôtel de luxe et a un rapport sexuel consenti avec une femme de chambre venue faire le ménage. Cette dernière, disant qu'elle a été abusée, appelle la police et David Sex King est emprisonné. Dans la prison, les policiers ont des rapports sexuels avec des prostituées du carnet d'adresses de David Sex King, puis la femme de ce dernier, avec l'un des deux avocats de son mari. Enfin, au tribunal, l'audience se transforme en partouze générale[1],[2],[3].
Fiche technique
[modifier | modifier le code]- Réalisateur : Christophe Clark
- Distributeur : Colmax
- Genre : Pornographique / Érotique
- Année de production : 2011
- Pays : France
- Durée : 118 minutes
- Budget : 200 000 euros[4]
Distribution
[modifier | modifier le code]- Roberto Malone : David Sex King, pastiche de Dominique Strauss-Kahn[5]
- Katia De Lys : pastiche de Nafissatou Diallo[5] :
- Sandra Romain : pastiche d'Anne Sinclair[5]
- Joachim Kessef : pastiche de Kenneth Thompson, l'avocat de Nafissatou Diallo
- Aleska Diamond :
- Anissa Kate :
- Ivana Sugar :
- Angelica Heart :
- Ian Scott :
- Pierre Woodman :
- Alban Ceray :
- Mike Angelo :
- Steve Holmes :
- Bruno SX :
Autour du film
[modifier | modifier le code]Le film est financé en partie par les internautes du site MyPornProductions[6],[5].
Pour Quentin Girard, journaliste à Libération, le film « penche délibérément du côté de l'ex-patron du FMI » car « les producteurs s'exposent moins à des poursuites éventuelles ». Il explique cela parce qu'une « scène de viol serait difficile à promouvoir pour un porno » et que le film se contente de se conformer aux codes habituels du porno, qui mettent souvent en scène « un rapport de domination de l'homme sur la femme »[1]. Il ajoute que le scénario « privilégie le côté vénal de Nafissatou Diallo »[2].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Quentin Girard, « Porno bof sur "l'affaire DSK" » sur Libération, 9 février 2012
- Quentin Girard, « L'affaire DSK inspire un film porno: "DXK" » sur Libération, 27 octobre 2011
- "DXK" : et si l'affaire du Sofitel s'était passée comme ça... sur RTL, 28 octobre 2011
- DSK : "DXK" le porno biographique ! sur La Dépêche du Midi, 27 octobre 2011
- J.M., « Directeur du FMX », sur Voici, 27 octobre 2011
- Julien Ménielle et Romain Vitiello, « "DXK": Les dessous d'un porno pas comme les autres » sur 20 minutes, 11 janvier 2012
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Welcome to New York, film d'Abel Ferrara inspiré de l'affaire DSK, sorti en 2014.
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Critique du film sur le site Le Point Q (interdit aux moins de 18 ans)
- « DXK » (fiche film), sur Allociné
- (en) DXK sur l'Internet Adult Film Database