Canly
Canly | |||||
La mairie, rue des Écoles. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Compiègne | ||||
Intercommunalité | CC de la Plaine d'Estrées | ||||
Maire Mandat |
Lionel Guibon 2020-2026 |
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Code postal | 60680 | ||||
Code commune | 60125 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
746 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 93 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 23′ 14″ nord, 2° 42′ 32″ est | ||||
Altitude | Min. 48 m Max. 129 m |
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Superficie | 8 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Compiègne (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Estrées-Saint-Denis | ||||
Législatives | 5e circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | https://www.canly.fr/ | ||||
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Canly est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Description
[modifier | modifier le code]Canly est un bourg périurbain du Plateau picard situé dans le département de l'Oise, dans la plaine d'Estrées, entre Clermont et Compiègne, sur l'itinéraire de l'autoroute A1 et de la LGV Nord, près de leur croisement avec la RN 31 Rouen - Reims.
Canly est une commune résidentielle, peu industrialisée, en dehors de toute agglomération..
Le chef-lieu d'arrondissement de Compiègne est éloigné de 9 km, et le chef-lieu d'arrondissement de Clermont de 21 km. La distance orthodromique avec la capitale, au sud-ouest, est de 64 km, et le chef-lieu de département Beauvais est distant de 46 km.
Au milieu du XIXe siècle, le territoire communal était décrit comme « dépourvu d'eaux courantes, mais sur lequel il existe plusieurs sources, (...) formé à l'Ouest d'une plaine ravinée, et à l'Est, de coteaux sablonneux et boisés, élevés en terrasses ou étages[1] ».
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[2],[Carte 1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 695 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Margny-lès-Compiègne à 9 km à vol d'oiseau[5], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 633,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Canly est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (89,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (77,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (9,4 %), zones urbanisées (5 %), zones agricoles hétérogènes (4 %), forêts (3,3 %), prairies (0,6 %)[12]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 348, alors qu'il était de 341 en 2013 et de 322 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 94 % étaient des résidences principales, 2 % des résidences secondaires et 4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 91,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 8,2 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Canly en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2 %) inférieure à celle du département (2,5 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 77,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (77,8 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Canly[I 2] | Oise[I 5] | France entière[I 6] |
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Résidences principales (en %) | 94 | 90,4 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 2 | 2,5 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 4 | 7,1 | 8,2 |
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Le centre du village correspond au carrefour de deux routes départementales : la RD 26 qui est un axe nord-sud, et la RD 10 orientée dans un sens est-ouest. La première établit la connexion avec la RN 31 au nord du territoire communal et avec la voie rapide de la RD 200 au sud de Longueil-Sainte-Marie ; la seconde mène vers l'ancienne RN 17 (actuelle RD 1017) à Sacy-le-Petit, près de Pont-Sainte-Maxence, à l'ouest, et vers la commune voisine de Jonquières à l'est. Quant à la RN 31, elle passe par la limite nord du territoire communal, où elle est interconnectée avec la RD 26. Pour atteindre l'autoroute A1 par son échangeur n° 10 « Compiègne Ouest », il faut d'abord passer par la RN 31 sur laquelle se greffe cet échangeur. Il se situe à cheval sur Canly et la commune voisine d'Arsy.
L'autoroute A1, grand axe nord-sud, ainsi que la LGV Nord qui lui est parallèle, coupent le territoire communal en deux parties. La moitié ouest est presque exclusivement occupée par des terres agricoles, alors que le village se situe sur la moitié est. Bien que peu accentué, le relief est loin d'être plat. Le point le plus bas à 48 m au-dessus du niveau de la mer se situe sur la RD 26, à l'endroit où elle quitte la commune : le terrain descend vers la moyenne vallée de l'Oise. Le point culminant correspond au sommet de l'une des deux collines surplombant le village à l'est, le Mont Hart atteignant 129 m au-dessus du niveau de la mer. Ces collines sont boisées, et d'autres petites parcelles boisées sont disséminées sur le territoire, mais il n'y a pas de forêt véritable. Vouée au cyclisme et à la randonnée, une voie verte sur une section désaffectée de la ligne d'Ormoy-Villers à Boves vient d'Estrées-Saint-Denis et continue vers les bords de l'Oise.
Canly ne possède plus de gare sur son territoire, la station de chemin de fer la plus proche est la gare de Longueil-Sainte-Marie, éloignée de 5 km et desservie par les trains omnibus TER Hauts-de-France de la relation C14 Compiègne - Paris. Du lundi au vendredi, s'y arrêtent neuf trains dans chacun des deux sens, la fréquence étant moindre le week-end. Le temps de parcours est de 54 min pour Paris et de 13 min pour Compiègne[13].
Sur le plan des transports en commun routiers, Canly est desservie, en 2023, par les lignes 660, 661, 6301 et 6324 du réseau interurbain de l'Oise[14].
Toponymie
[modifier | modifier le code]La localité a été désignée comme Camlei (913) ; Camliacum castrum (vers 917) ; villoe Camleii (vers 917) ; de Canliaco (1107) ; Camli (1162) ; altare de canli (1162) ; Canli[1] (1190) ; de Cauliaco (1231) ; petrus de canli miles (1219) ; apud Canliacum (1238) ; ecclesia sancti Martini de Canle (XVIe) ; Cauly[1] (vers 1500) ; Carluis (1510-1510) ; Canly (1840)[15].
Histoire
[modifier | modifier le code]Louis Graves indiquait « la paroisse de Canly qui était très ancienne, dépendait de l'abbaye de Saint-Corneille de Compiègne. On prétend qu'il y avait là, dans des tems reculés, un établissement religieux dont les fondations existent, dit-on,au midi de l'église. Les moines. réunirent cet établissement à leur couvent , vers le quinzième siècle, et mirent un simple curé' à la place (...).
Il y a près de l'église, des.souterrains qui servaient, de refuge aux habitans pendant les guerres de religion et les désordres du moyen âge (...)
Il y avait une maladrerie dans l'étendue de la paroisse[1] ».
Canly était au Moyen Âge, un lieu fortifié, qui tirerait même son nom de la présence d'un camp retranché (castrum)[16].
En 1832, la commune disposait d'une école. On comptait sur son territoire des cendrières, une tuilerie, un four à chaux et trois moulins à vent[1]
En 1883, une importante fabrique de lampes d'éclairage à l'huile et au pétrole est exploitée à Canly[16].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1802 du canton d'Estrées-Saint-Denis[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton d'Estrées-Saint-Denis
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de l'Oise.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Canly est membre de la communauté de communes de la Plaine d'Estrées, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1997 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Les enfants de la commune sont scolarisés au groupe scolaire Roland-Dovillé, 23 rue des Écoles, constitué d'une école maternelle et d'une l'école primaire, soit 3 classes en 2021-2022[21], doté d'une cantine et d'un centre périscolaire.
Les élèves sont rattachés ensuite au collège public Adel-Didelet d'Estrées-Saint-Denis et aux lycées de Compiègne.
Canly dispose d'une bibliothèque municipale[22].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].
En 2021, la commune comptait 746 habitants[Note 3], en évolution de −7,67 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,3 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 390 hommes pour 381 femmes, soit un taux de 50,58 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]On peut mentionner :
- L'église Saint-Martin, au carrefour au centre du village : elle comporte une nef de deux travées, un chœur rectangulaire au chevet plat, moins large que la nef, un bas-côté nord, un croisillon ou chapelle nord et un clocher central en charpente. La longueur totale à l'extérieur est de 23,8 m, et la hauteur des murs du chœur et de la nef atteint 5 m à 6 m selon les endroits, alors que le faîtage de la nef est à 11 m de hauteur. C'est une église remaniée aux volumes simples, sans caractère, mais conservant d'intéressants vestiges romans. Ils concernent le chœur (sauf son mur septentrional), la partie méridionale de la nef et la partie droite de la façade occidentale. Les murs sont majoritairement en pierre de taille, et selon les endroits en moellons, toujours bien alignés. Le chevet est percée d'un triplet de trois baies plein cintre surbaissées. Chacune est cantonnée de deux colonnes engagées sculptées à même le mur, et arborant des chapiteaux sculptés de feuilles plates. La sacristie cache en grande partie le mur roman au sud du chœur, qui a gardé une baie plein cintre d'origine. Les trois fenêtres du mur sud de la nef sont modernes. La façade occidentale a été ravalée maladroitement de sorte à faire disparaître ses éléments de style romans, et le portail a été refait : bien que d'apparence roman, c'est immédiatement au-dessus de l'arcade de la porte que l'on aperçoit les traces de l'archivolte romane véritable. La petite fenêtre romane au-dessus du portail est d'origine. La voûte de la nef a été remplacée par un plafond, et le plafond horizontal primitif de la nef a été remplacé par une fausse voûte en bois[28],[1].
- L'ancien jeu d'arc, place du Jeu-d'Arc, à la sortie sud du village vers Longueil-Sainte-Marie.
-
L'église Saint-Martin depuis le sud-ouest.
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La place du Jeu d'arc, réaménagée en lieu de détente.
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L'ancienne poste.
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Cour de ferme, rue des Écoles.
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Bâtiments, rue des Écoles.
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Monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- En mars 1221, Pierre de Canly, chevalier, établit un accord avec l'abbaye de Saint-Denis au sujet de la justice de Moyvillers et d'Estrées. En mai 1229, il rend l'hommage féodal à l'abbé pour ce qu'il possédait dans les mêmes paroisses[16].
- La terre de Canly appartient vers 1500 à Laurent Le Caron, lieutenant général au bailliage de Compiègne[16].
- Jacques Le Caron, prévôt forain, licencié-ès-lois, est seigneur de Canly et du fief Le Becquerel[16]..
- Louis Le Caron, dit Cbaroudas, avocat au Parlement de Paris, est seigneur de Canly en 1540. Jacques et Louis étaient les petits-fils de Laurent Le Caron[16]..
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D'azur à la croix processionnaire d'or accostée de deux crosses d'abbé du même, les volutes adossées[29]. |
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Détails | Les armoiries de la commune représentent les armes de l'abbaye Saint-Corneille de Compiègne, co-seigneur du village avec le roi de France durant plus de 9 siècles[30] Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Pascal Lenoir, « En passant par ...Canly », La revue du pays d'Estrées, Grandfresnoy, Association des Deux Montagnes, no 31, (ISSN 1637-5858)
- Eugène Joseph Woillez, Archéologie des monuments religieux de l'ancien Beauvoisis pendant la métamorphose romane, Paris, Derache, , 492 p. (lire en ligne), C14-C16
Article connexe
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site de la mairie
- « Dossier complet : Commune de Canly (60125) », Recensement général de la population de 2018, INSEE, (consulté le ).
- « Canly »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Canly » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Canly » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Canly ».
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Canly » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Canly - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Canly - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Louis Graves, Précis statistique sur le canton d'Estrées-Saint-Denis, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 110 p. (lire en ligne), p. 33-34, sur Google Books.
- « Fiche communale de Canly », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Canly et Margny-lès-Compiègne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- [PDF] « Horaire de la relation n° 12 Busigny - Saint-Quentin - Compiègne - Paris », sur TER Picardie (consulté le ).
- « Transports en commun à Canly », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
- Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 110.
- Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne =, Compiègne, A. Mennecier, , 462 p. (lire en ligne), p. 87-88, sur Gallica.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Les maires de Canly », sur francegenweb.org (consulté le ).
- Frédéric Ameele, « Lionel Guibon se représente à Canly », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Entré au conseil municipal en 2001, il a été élu maire de Canly en 2014 ».
- A.C., « Le premier magistrat Lionel Guibon réélu », Oise Hebdo, no 1369, , p. 17 (ISSN 1774-6418) « Lionel Guibon a été réélu maire. En 2014, il avait succédé à René Bécuwe ».
- « Le groupe scolaire », Ecoles, sur canly.fr (consulté le ).
- « Bibliothèque Municipale », Vivre à Canly, sur canly.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Canly (60125) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- Eugène Woillez, Archéologie des monuments religieux de l'ancien Beauvoisis pendant la métamorphose romane, Paris, Derache, , 492 p. (lire en ligne), C14-C16, sur Google Books.
- « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
- « Le village de Canly entre dans l'Histoire entre 913 et 922 », Vivre à Canly, sur canly.fr (consulté le ).