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Bourg-l'Évêque

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Bourg-l'Évêque
Bourg-l'Évêque
L'église de Bourg-l'Évêque.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Segré
Intercommunalité Anjou Bleu Communauté
Maire
Mandat
Hervé Gaudin
2020-2026
Code postal 49520
Code commune 49038
Démographie
Gentilé Épiscopaliens
Population
municipale
234 hab. (2021 en évolution de −7,14 % par rapport à 2015)
Densité 44 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 44′ 12″ nord, 1° 00′ 43″ ouest
Altitude 111 m
Min. 54 m
Max. 103 m
Superficie 5,29 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Segré-en-Anjou Bleu
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Segré-en-Anjou Bleu
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Bourg-l'Évêque
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Bourg-l'Évêque

Bourg-l'Évêque est une commune française, située dans le Haut-Anjou du département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

Simple bourg autour d'une église, créé par l'évêque d'Angers à la suite d'un défrichement, Bourg-l'Évêque reste encore aujourd'hui une commune rurale partiellement enclavée par les forêts. Elle est considérée comme une des paroisses les plus pauvres du Haut-Anjou au XVIIIe siècle. Si elle profita de l'exploitation de l'ardoise au XIXe et XXe siècles, elle reste cependant une commune à dominante agricole.

Géographie

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Localisation

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La commune est située dans le Haut-Anjou, à environ 13 km de Pouancé, le chef-lieu de canton, et environ 14 km de Segré, la sous-préfecture.

Topographie, géologie, relief

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Bourg-l'Évêque fait partie de l'unité paysagère du Segréen, et plus particulièrement de la sous-unité paysagère du Pouancéen, qui se caractérise par un paysage vallonné, aux ondulations orientées d'est en ouest où le maillage bocager tend à se densifier au fur et à mesure que l'on descend dans les vallons[1]. Environ un tiers du territoire communal est occupé par la forêt d'Ombrée, au sud. Sur le plan géologique, la commune se trouve sur un terrain schisteux, de formation silurienne provenant du massif armoricain.

La commune se situe en haut d'une ligne de crête. Au nord, l'altitude est d'environ 90 mètres, et monte progressivement jusqu'au bourg de la commune, qui culmine à 102 mètres. Le reste ensuite stable vers le sud, oscillant entre 80 et 90 mètres[2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 743 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 6,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pouancé_sapc », sur la commune d'Ombrée d'Anjou à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 724,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Hydrographie

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Le territoire de la commune voit naître au nord le ruisseau de Ruthor, qui coule vers l'est en direction de Bouillé-Ménard. Un second ruisseau, au sud, traverse d'ouest en est la commune, délimitant la forêt d'Ombrée[2].

Au , Bourg-l'Évêque est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Segré-en-Anjou Bleu, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[10]. Cette aire, qui regroupe 6 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (58,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41,7 %), forêts (35,4 %), prairies (16,5 %), zones urbanisées (5,9 %), mines, décharges et chantiers (0,6 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Via quae vadit de Capella ad Burgum Episcopi vers 1250[14].

Préhistoire et Antiquité

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À ce jour, il n'a été retrouvé aucun vestige permettant d'affirmer une présence humaine sur le territoire de Bourg-l'Évêque. Seuls des noms de lieux-dits peuvent faire penser à une éventuelle présence de mégalithes. Jusqu'à la période féodale, le territoire de la commune est entièrement recouvert de landes et de forêts[15].

Les seigneurs de Bouillé, suzerains du seigneur de Pouancé, font défricher une partie de leur domaine vers les XIe et XIIe siècles et en font don à l'évêque d'Angers, Ulger. Celui-ci y fonde un bourg et une église, et en fait don en 1148 au chapitre religieux Saint-Maurice d'Angers. En 1157, Guillaume de Pouancé donne au chapitre des droits sur la forêt d'Ombrée. Vers 1250, le village est mentionné par le nom de « Burgum Episcopi »[15].

Ancien régime et Révolution

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Au XVIIIe siècle, la paroisse est considérée comme une des paroisses les plus pauvres de l'élection d'Angers, à cause de la faible présence de terres labourables. La population ne dépasse pas 400 habitants, qui payent 268 livres pour le vingtième, 540 livres pour la taille et 218 pour la capitation. Les impôts rentrent mal, ruinant les collecteurs. La paroisse ne dispose d'aucune sage-femme, d'aucun chirurgien, et d'aucune école.

En 1790, la commune de Bourg-l'Évêque intègre la canton de Bouillé-Ménard avec huit autres communes. Le curé prête serment puis disparaît. Des nombreux chouans profitent de la forêt d'Ombrée pour s'y réfugier[15].

Époque contemporaine

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En 1804, le canton de Bouillé-Ménard est démantelé, Bourg-l'Évêque intègre le canton de Pouancé. Le village va profiter des mines d'ardoises de Misangrain, à Combrée, qui se développent à la fin du XIXe siècle[15].

Pendant la Première Guerre mondiale, 15 habitants perdent la vie. Lors de la Seconde Guerre mondiale, 2 habitants sont tués dont un en déportation[16].

Politique et administration

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Bourg-l'Évêque est située dans le canton de Pouancé, arrondissement de Segré, dans le département de Maine-et-Loire. La commune comptant moins de 500 habitants, son conseil municipal est constitué de 11 élus.

Administration municipale

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Liste des maires successifs[17]
Période Identité Étiquette Qualité
20 juin 1800 1808 Maslin    
1808 janvier 1815 Michel-Joseph Jallot    
15 janvier 1815 mars 1815 Desbois    
13 mars 1815 1826 André Denuault    
1826 1830 François Burin    
1830 1856 Michel Jallot    
1856 1858 Pierre Coconnier    
1858 1878 Jean Peteul    
1878 1892 René Delaune    
1892 1896 Théophile Lemasle    
1896 1904 René Delaune    
1904 1935 François Marsollier    
1935 1953 François Mourin    
1953 1966 Francis Esnault    
1966 1989 Clovis Galon    
1989 2002 Jacques Cosnelle   Chef de fabrication retraité
2002 décembre 2015 Rémy Galon[18],[19]   Agriculteur retraité
février 2016 mai 2020 Patrice Fournier[20]    
mai 2020 En cours
(au 26 mai 2020)
Hervé Gaudin[21]    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité (1966-1995-2016)

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La commune adhère, comme les autres communes du canton de Pouancé, à un syndicat intercommunal à vocation multiple (SIVM) créé en 1966. Celui-ci devient la communauté de communes de la région de Pouancé-Combrée en 1995[22]. Le 14 décembre 2016, elle se retire de la communauté qui est dissoute le lendemain. Le 1er janvier 2017 la commune est rattachée à Anjou Bleu Communauté.

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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Dans son Dictionnaire Historique, Géographique et Biographique de Maine-et-Loire, Célestin Port livre le compte de la population de Bourg-l'Évêque sous l'Ancien Régime. La population est exprimée en « feux », c'est-à-dire en foyer de famille. Pour estimer le nombre d'habitants, il faut appliquer un coefficient multiplicateur de 5. En 1720, la paroisse comptait 85 feux, pour 385 habitants[15].


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].

En 2021, la commune comptait 234 habitants[Note 2], en évolution de −7,14 % par rapport à 2015 (Maine-et-Loire : +1,8 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
367294382390380377355342370
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
361384371361321310346354386
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
523504407356374340289271386
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
353319255207198214214211221
2015 2020 2021 - - - - - -
252234234------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,5 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 120 hommes pour 125 femmes, soit un taux de 51,02 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,37 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,8 
4,3 
75-89 ans
10,1 
20,0 
60-74 ans
17,6 
23,5 
45-59 ans
19,3 
26,1 
30-44 ans
20,2 
8,7 
15-29 ans
13,4 
17,4 
0-14 ans
18,5 
Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2021 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,1 
75-89 ans
9,5 
16,2 
60-74 ans
16,9 
19,4 
45-59 ans
18,7 
18,2 
30-44 ans
17,5 
18,8 
15-29 ans
17,6 
19,5 
0-14 ans
17,6 

Enseignement

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Bourg-l'Évêque possède une école élémentaire publique dépendant de l'académie de Nantes, en RPI avec Bouillé-Ménard. Les collèges se trouvent à Pouancé et les lycées se situent à Segré.

Il n'y a pas de médecin ni d'infirmier installé à Bourg-l'Évêque. Les plus proches sont basés à Combrée. Les hôpitaux se trouvent à Pouancé ou Segré. La clinique la plus proche se situe à Segré, de même que le service maternité.

Autres équipements, commerces et tourisme

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La commune dispose pour équipement sportif d'un terrain de football et d'un plan d'eau pour la pêche, ainsi que d'une bibliothèque et une salle des fêtes d'une capacité de 90 personnes pour équipement culturel[29].

Pour le tourisme, la commune est affiliée à l' Office de Tourisme de l'Anjou bleu[30].

Selon l'INSEE, la commune comptait en 2009, hors exploitations agricoles, quatre entreprises dont deux dans l'industrie et deux dans le commerce, le transport, la réparation automobile et les services divers[31].

Agriculture

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On compte 9 exploitations agricoles en 2000[31]. Le nombre d'exploitations augmente entre 1988 et 2000, passant de 6 à 9, de même que la superficie cultivée a, elle, augmenté dans cette période, passant de 224 hectares à 296 hectares (55 hectares par exploitation)[31].

Appellations sur le territoire

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La commune possède au total une quinzaine d'appellations sur le territoire[32]:

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Bourg-l'Évêque possède peu de bâtiments remarquables. Cependant, parmi les maisons anciennes près de l'église, on trouve une ancienne maison qualifiée de « seigneuriale », appartenant autrefois à l'ancien chapitre Saint-Maurice, mais dont la datation reste encore discutée. On trouve également sur la commune une maison de maître datant du XVIe siècle, possédant des encadrements en pierre bleue et une tourelle coiffée en poivrière. L'église même, datant du XIXe siècle, possède une simple nef avec un transept peu marqué. Le clocher consiste en une tour hors-œuvre, surmontée d'une flèche[33].

Personnalités liées à la commune

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Bibliographie

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  • Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : A-C, t. 1, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1874) (BNF 33141105, lire en ligne), p. 470-471.
  • Jean-Luc Flohic (dir.), Aude Guiheneuc et Rémy Toulouse, Le patrimoine des communes de Maine-et-Loire, Paris, Flohic, (ISBN 2-84234-117-1, BNF 37706027).

Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Département de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 164.
  2. a et b « Bourg-l'Evêque », sur geoportail.fr (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Bourg-l'Évêque et Ombrée d'Anjou », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Pouancé_sapc », sur la commune d'Ombrée d'Anjou - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Pouancé_sapc », sur la commune d'Ombrée d'Anjou - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Bourg-l'Évêque ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Segré-en-Anjou Bleu », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Célestin Port 1965, p. 470.
  15. a b c d et e Célestin Port 1965, p. 470-471.
  16. Memorialgenweb.org - Bourg-l'Évêque : état récapitulatif des morts
  17. Célestin Port 1965, p. 471, liste des maires jusqu'en 1965.
  18. Réélection 2014 : « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (version du sur Internet Archive), consulté le 18 avril 2014.
  19. Bourg-l'Évêque. Le maire, Rémy Galon, est décédé à l'âge de 68 ans, Ouest-France, 5 décembre 2015
  20. « Municipales 2020. À Bourg-l’Évêque, le maire Patrice Fournier veut passer le relais », sur Ouest-France, .
  21. « Bourg-l'Évêque. Hervé Gaudin élu maire à l’unanimité », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
  22. « Communauté de Communes de la région de Pouancé-Combrée », sur cc-pouance-combree.fr (consulté le ).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bourg-l'Évêque (49038) », (consulté le ).
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
  29. « Bourg-l'Evêque », sur Communauté de communes de la région Pouancé-Combré (consulté le ).
  30. anjou-tourisme.com
  31. a b et c Évolution et structure de la population sur statistiques-locales.insee.fr
  32. Bourg-l’Évêque sur le site de l'INAO - Consulté le 7 juin 2011
  33. Le patrimoine des communes de Maine-et-Loire, p. 1020.