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Bors (canton de Charente-Sud)

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Bors
Bors (canton de Charente-Sud)
L'église de Bors.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté de communes des 4B Sud-Charente
Maire
Mandat
Patrick Jolly
2020-2026
Code postal 16360
Code commune 16053
Démographie
Population
municipale
118 hab. (2022 en évolution de +3,51 % par rapport à 2016)
Densité 9,6 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 19′ 44″ nord, 0° 11′ 34″ ouest
Altitude Min. 68 m
Max. 144 m
Superficie 12,28 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Barbezieux-Saint-Hilaire
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Charente-Sud
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Bors
Géolocalisation sur la carte : France
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Bors
Géolocalisation sur la carte : Charente
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Bors
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Bors

Bors (aussi appelée informellement Bors-de-Baignes[1]) est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Charente, dans la région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

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Localisation et accès

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Bors est située au sud-ouest de la Charente, en limite avec la Charente-Maritime, à 3 km au nord-est de Chevanceaux et à 6 km au sud-est de Baignes, chef-lieu de son canton.

La commune est limitée à l'ouest par la N 10 et elle est située à 50 km d'Angoulême et 70 km de Bordeaux.

Elle est aussi traversée par les D 132 et D 133 qui se coupent au centre de la commune[2].

Hameaux et lieux-dits

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La salle des fêtes.

Bizarrement, la commune de Bors ne possède aucun véritable bourg. L'église est sur la D 133, au lieu-dit les Arnauds. La mairie est sur la D 132 à 500 m en direction de Baignes, près de Moulidars, ainsi que la salle des fêtes.

Communes limitrophes

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Géologie et relief

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La totalité de la commune est occupée par un terrain composé de sable kaolinique, d'argiles et de galets, dépôt datant du Tertiaire[3],[4],[5].

Le relief de la commune est assez vallonné. Le point culminant est à une altitude de 144 m, situé sur la limite nord-est de la commune. Le point le plus bas est à 68 m, situé en limite sud au pont de Bonneau sur le Lary. Le bourg, situé sur le versant oriental de la vallée du Lary, est à 115 m d'altitude[2].

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par le Lary, le ruisseau de Révallée, le ruisseau des Etangs de Chaux et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 16 km de longueur totale[7],[Carte 1].

La commune est traversée du nord au sud par le Lary. D'une longueur totale de 53,7 km, ce cours d'eau prend sa source dans la commune de Condéon et se jette dans l'Isle en Gironde à Sablons, après avoir traversé 19 communes[8]. La ligne de partage des eaux avec le bassin de la Charente est la limite occidentale de la commune, qui est aussi la route nationale 10.

Au sud-est de la commune coule le Revallée, ruisseau rejoignant le Lary en Charente-Maritime.

En raison de la nature argileuse du sol, on trouve aussi de nombreux étangs (étang de la Pradelle, étang de Châteauvert, etc.) et sources (Font Maçonnée...)[2].

Gestion des cours d'eau

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Végétation

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Ces sols peu fertiles sont souvent boisés en pins maritimes, châtaigniers, chênes (rouvres, pédonculés, tauzins), et bruyère et constituent la Double saintongeaise, appelée forêt de Chaux ou Petit Angoumois dans la partie charentaise, qui couvre une grande partie des cantons de Brossac et Baignes.

Au , Bors (Canton de Charente-Sud) est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Barbezieux-Saint-Hilaire, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[12]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (63,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (58,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,1 %), prairies (19,4 %), zones agricoles hétérogènes (15,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,6 %), cultures permanentes (1 %)[15].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Bors (canton de Charente-Sud) est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels

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Bors (canton de Charente-Sud) est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été élaboré pour la période 2017-2026, faisant suite à un plan 2007-2016[18]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du règlemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 2],[18],[19],[20].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bors (canton de Charente-Sud).

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 72 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 72 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[16].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[23].

Les formes anciennes sont Bornio, Borniis, Borgiis vers le XVIe siècle[24], et plus anciennement, Jarfolouse en 1230[24], Iarfolosio en 1121, Jarfolosio et Gerfolosio en 1232[25].

D'après Dauzat, l'origine du nom de Bors (aussi bien pour Bors-de-Montmoreau) remonterait au pré-latin borna (bornae au pluriel), qui signifierait « les sources »[26].

Jar-folosio signifie « bois touffu » en ancien occitan ou gallo-roman (jar- ou jard- souvent employé comme préfixe en Haute-Saintonge)[27].

La forêt de Born, voisine de celle de Chantillac, s'étendait sur le territoire de la paroisse où était Jarfolosio[28].

L'église Sainte-Marie-Madeleine de Jarfolouse a été construite vers 1126 au milieu des bois et dépendait de l'abbaye de Baignes et de l'archevêché de Bordeaux. La plus grande partie de la paroisse était domaine féodal de l'abbaye de Baignes; elle en était la première des sept prévôtés[29]. Dès la fin du XVIe siècle, l'église n'a plus eu de curés et elle est devenue une annexe des paroisses voisines, comme Chantillac au XXe siècle.

Au début du XXe siècle, les bois de pins fournissaient de la résine traitée dans une usine appartenant à M. de Belleville. Le bois de chêne tauzin (ou touzin) était transformé sur place en charbon[29].

Au nord de l'église, l'ancien logis de Moulidars a été construit en 1686 par la famille de Plas, mais a été possédé dès le début du XVIIe siècle par Isaac Méhée, seigneur d'Ardenne dans la paroisse de Moulidars. Il revint ensuite à la famille de Plas, avant d'appartenir au XIXe siècle aux frères Léonard et Pierre Coulon, anciens gentilshommes du Périgord qui ont installé une verrerie[29].

Administration

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Mairie de Bors.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1977 mars 2008 Marc Girard PCF  
mars 2008 en cours Patrick Jolly DVG Technicien de maintenance
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

En 2022, la commune comptait 118 habitants[Note 3], en évolution de +3,51 % par rapport à 2016 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
264216180244263264264260235
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
241234214211230231206213193
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
213196180155189183195169179
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2009 2014 2019
177161149167148125134119119
2022 - - - - - - - -
118--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 34,5 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 62 hommes pour 55 femmes, soit un taux de 52,99 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
5,4 
9,5 
75-89 ans
8,9 
27,0 
60-74 ans
17,9 
23,8 
45-59 ans
26,8 
12,7 
30-44 ans
8,9 
12,7 
15-29 ans
19,6 
14,3 
0-14 ans
12,5 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2021 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,7 
9,2 
75-89 ans
12 
20,6 
60-74 ans
21,3 
20,7 
45-59 ans
20,3 
16,8 
30-44 ans
16 
15,6 
15-29 ans
13,4 
16,1 
0-14 ans
14,3 

Agriculture

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La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[36].

Équipements, services et vie locale

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Lieux et monuments

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L'église paroissiale Sainte-Madeleine est située en bordure de la D 133, au lieu-dit les Arnauds et elle est entourée par le cimetière communal. Romane, elle a été construite au XIIe siècle par l'abbaye de Baignes dont elle dépendait. Elle a été remaniée après les dommages des guerres de religion. Sa façade romane est ornée de modillons. Le triplet de son chevet plat évoque une chapelle templière, mais il n'en est rien. Elle est classée monument historique depuis 1994[37],[38].

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 7 mètres minimum de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  3. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Bors (canton de Charente-Sud) » sur Géoportail (consulté le 20 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Journal Sud Ouest, édition Charente, « Bors-de-Baignes », (consulté le ).
  2. a b et c Carte IGN sous Géoportail
  3. Carte du BRGM sous Géoportail
  4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  5. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Montguyon », sur Infoterre, (consulté le ).
  6. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  7. « Fiche communale de Bors (canton de Charente-Sud) », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  8. Sandre, « le Lary »
  9. « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
  10. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Barbezieux-Saint-Hilaire », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Bors (canton de Charente-Sud) », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. a et b « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie 2017 – 2026 », sur draaf.nouvelle-aquitaine.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Arrêté portant classement de massifs forestiers et obligation de débroussaillement. », sur charente.gouv.fr, (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Bors (canton de Charente-Sud) », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  24. a et b Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 455
  25. Paul-François-Étienne Cholet (préf. L.Clouzot), Cartulaire de l'abbaye de Saint-Étienne de Baigne, Niort, L.Clouzot, , 382 p. (lire en ligne), p. 2,346,509,550
  26. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 98.
  27. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  28. Paul-François-Étienne Cholet (préf. L.Clouzot), Cartulaire de l'abbaye de Saint-Étienne de Baigne, Niort, L.Clouzot, , 382 p. (lire en ligne), p. 352, table géographique
  29. a b et c Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 87-88
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bors (Canton de Charente-Sud) (16053) », (consulté le ).
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  36. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
  37. « Église de Bors », notice no PA00104563, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  38. Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 79-80

Articles connexes

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Liens externes

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