Biblisheim
Biblisheim | |
La mairie et l'église. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Grand Est |
Collectivité territoriale | Collectivité européenne d'Alsace |
Circonscription départementale | Bas-Rhin |
Arrondissement | Haguenau-Wissembourg |
Intercommunalité | Communauté de communes Sauer-Pechelbronn |
Maire Mandat |
Mireille Cabirol de Saint Georges 2020-2026 |
Code postal | 67360 |
Code commune | 67037 |
Démographie | |
Gentilé | Biblisiens[1] |
Population municipale |
353 hab. (2022 ) |
Densité | 158 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 53′ 59″ nord, 7° 47′ 45″ est |
Altitude | Min. 152 m Max. 159 m |
Superficie | 2,24 km2 |
Type | Bourg rural |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Haguenau (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Reichshoffen |
Législatives | Huitième circonscription |
Localisation | |
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Biblisheim [biblisaim] Écouter est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.
Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune est à 1,7 km de Walbourg[2], 2,4 de Durrenbach, et 11,9 de Haguenau.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]- formations géologiques du territoire communal présentes à l'affleurement ou en subsurface.
- Forêt domaniale de Biblisheim, 0.32 km2.
- Sites Natura 2000[3] :
- Sites d’Intérêt Communautaire (Dir. Habitat),
- Zones de Protection Spéciale (Dir. Oiseaux).
Sismicité
[modifier | modifier le code]Commune située dans une zone de sismicité moyenne[4].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Sauer, le ruisseau le Halbmuhlbach et le ruisseau l'Altbach[5],[Carte 1].
La Sauer, d'une longueur de 64 km, prend sa source dans la commune de Lembach et se jette dans le Rhin en rive gauche à Munchhausen, après avoir traversé 19 communes[6].
Le Halbmuhlbach, d'une longueur de 23 km, prend sa source dans la commune de Durrenbach et se jette dans la Sauer à Haguenau, après avoir traversé quatre communes[7].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Vosges » et « Alsace »[9].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 795 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 10,2 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Preuschdorf », sur la commune de Preuschdorf à 5 km à vol d'oiseau[10], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 834,2 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,8 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,9 °C, atteinte le [Note 2],[11],[12].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[13]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].
Voies de communications et transports
[modifier | modifier le code]Voies routières
[modifier | modifier le code]- D 772 vers Walbourg[15].
- A340.
- A35, aussi appelée autoroute des cigognes ou l'Alsacienne : Échangeurs Sessenhaim, Soufflenheim, Drusenheim - Bischwiller.
- A4, aussi appelée autoroute de l’Est : Échangeurs Hochfelden, Vendenheim.
Transports en commun
[modifier | modifier le code]Lignes SNCF
[modifier | modifier le code]- Gare de Walbourg.
- Gare de Haguenau (11,9 km) (TER).
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Biblisheim est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle est située hors unité urbaine[17]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Haguenau, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[17]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]Pour mémoire la proportion des types de couverture en 2012 était la suivante[20] :
- Terres arables : 39,4 %,
- Forêts : 30,5 %,
- Zones agricoles hétérogènes : 13,8 %,
- Zones urbanisées : 12,2 %,
- Prairies : : 4 %.
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (57,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (39,4 %), forêts (30,5 %), zones agricoles hétérogènes (13,8 %), zones urbanisées (12,2 %), prairies (4 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Histoire
[modifier | modifier le code]Le village est cité pour la première fois dans le codex de Wissembourg sous le nom de Biberesdorf (qui en alémanique signifie village aux abords du Biberbach, le ruisseau aux castors).
Mais c'est en 1101 que le comte Thierry de Montbéliard, grand-père de Frédéric Barberousse, fonda l'abbaye de Biblisheim[22]. L'Alsace appartient alors au Saint-Empire romain germanique. Ce couvent est une abbaye de femmes, de l'ordre des bénédictines. L'histoire du village est liée à celle du couvent.
En 1310, l'empereur germanique Henri VII concéda d'importants privilèges forestiers au village dans la forêt de Haguenau. En 1445, les terres du village sont réparties entre l'abbaye de Walbourg et celle de Biblisheim. En 1464, l'abbaye, très appauvrie, a failli être concédée à Walbourg pour devenir un couvent d'hommes.
En 1493, l'église est reconstruite. Après la guerre de Trente Ans (1618-1648), l'abbaye de Biblisheim fut dévastée au point qu'il ne restait que trois religieuses. Pendant plus de soixante ans vinrent alors des religieuses de l'abbaye Saint-Lazare de Seedorf en Suisse. À la fin du XVIIe siècle, des fermiers suisses s'installent sur les terres de l'abbaye qu'ils défrichent. En 1699, le couvent perd ses privilèges forestiers.
Au XVIIIe siècle et jusqu'à la Révolution, l'abbaye connut la période la plus prospère de son existence. Sous l'impulsion des religieuses, le village prit son essor à partir de 1680, celui-ci vit en effet se développer des activités agricoles et piscicoles, notamment grâce aux trois rivières traversant le ban de la commune (le Halbmuhlbach, la Sauer et l'Altbach également nommé Antiqua Sera) et aux trois grands étangs de l'abbaye (le Setzweiher, le Mittelweiher et le Diffenwaldweiher). Aujourd'hui, on trouve encore au cadastre le lieu-dit du Weihermatten. L'abbaye possédait également quatre moulins sur la Sauer et une scierie.
En 1791, les sœurs durent quitter les lieux. Presque 700 après sa fondation, ce fut la fin de l'abbaye. Le , l'abbaye et ses terres furent vendues aux enchères comme biens nationaux.
En 1831 est construite une filature mécanique de chanvre et de lin. L'usine est construite en partie avec des matériaux provenant de l'abbaye. Dix ans après, l'usine de tissage s'arrête, elle est transformée en une usine de tissage qui a fermé définitivement ses portes en 1955 Il y eut par ailleurs une raffinerie dépendant de l'exploitation de pétrole de Pechelbronn et qui est devenue un atelier de réparation vingt deux ans après son édification.
Aux XIXe et XXe siècles, le village voit son histoire se confondre avec celle de l'Alsace, il devient allemand par la suite du traité de Francfort du . Il fait à ce moment partie de l'Alsace-Lorraine jusqu'en 1918. Par le traité de Versailles, l'Alsace revient à la France à la suite de la Grande Guerre où Biblisheim voit dix de ses enfants perdre la vie (Emile Gatty le 14/2/1915, Frédéric Halke le 29/2/1915, Charles Pfeiffer le 15/7/1915, Jacques Weigel en , Georges Muller le 28/2/1916, Camille Karli le 13/7/1916, Emile Wenger le 5/7/1916, Philippe Hildenbrand le 9/1/1917, Joseph Fehr en et Joseph Muller le 11/11/1918).
Lors de la Seconde Guerre mondiale, si le village n'est pas frappé par les mesures d'évacuation qu'ont connues les zones situées à la proximité de la frontière allemande, il est aussi touché par les autres malheurs qui affectent l'Alsace à ce moment : annexion à l'Allemagne au cours de l'été 1940, les noms de rues, de personnes, de lieux, les enseignes devant être germanisés. L'allemand devient la langue administrative, l'usage du français est interdit en public. Dès débute l'embrigadement des jeunes dans les organisations de jeunesse (Jeunesses hitlériennes et Bund Deutscher Mädel). Le , par ordonnance du Gauleiter Wagner, les jeunes doivent partir travailler six mois en Allemagne au titre du RAD (Reichsarbeitsdienst). Le entre en vigueur le décret d'incorporation de force, les jeunes doivent partir combattre pour un pays qui n'est pas le leur, l'Allemagne. Neuf Biblisheimois perdent la vie[23]. Il y eut aussi un mort civil lors des bombardements qui ont précédé la libération du village à la mi- (Nicolas Ratzel). Les noms de tous ces défunts sont inscrits sur le monument aux morts édifié au sein de l'église du village.
Par la suite, l'histoire du village se confond avec celle de la France, entrée dans l'Union Européenne en 1957, passage à la monnaie unique, l'euro (€) en 2002.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | Coupé : au premier d'argent à la crosse de gueules mouvant de la partition, au second de gueules au tête-et-col de cygne d'argent. |
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Détails |
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Budget et fiscalité 2022
[modifier | modifier le code]En 2022, le budget de la commune était constitué ainsi[26] :
- total des produits de fonctionnement : 303 000 €, soit 818 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 276 000 €, soit 746 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 234 000 €, soit 631 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 240 000 €, soit 648 € par habitant ;
- endettement : 198 000 €, soit 534 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 14,60 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 30,06 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 77,82 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 26 850 €[27].
Économie
[modifier | modifier le code]Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]- Culture de céréales, de légumineuses et de graines oléagineuses.
Tourisme
[modifier | modifier le code]- Restaurants à Woerth, Haguenau.
- Hébergements à Morsbronn-les-Bains, Haguenau, Gunstett.
- Gîte de France[28].
Commerces
[modifier | modifier le code]- Commerces de proximité à Woerth.
- Ancienne filature de lin et de chanvre, actuellement maison[29],[30].
- Ancien moulin[31].
- L'ancienne raffinerie de Biblisheim.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].
En 2022, la commune comptait 353 habitants[Note 4], en évolution de +1,15 % par rapport à 2016 (Bas-Rhin : +3,17 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Etablissements d'enseignements[36] :
- Ecole maternelle et primaire.
- Ancienne mairie, école[37].
- Collèges à Walbourg, Wœrth, Soultz-sous-Forêts, Mertzwiller, Schweighouse-sur-Moder,
- Lycées à Walbourg, Haguenau.
Santé
[modifier | modifier le code]Professionnels et établissements de santé[38] :
- Médecins à Walbourg, Durrenbach, Surbourg, Merkwiller-Pechelbronn,
- Pharmacies à Merkwiller-Pechelbronn, Morsbronn-les-Bains, Woerth, Soultz-sous-Forêts,
- Hôpitaux à Goersdorf, Lobsann, Haguenau.
Cultes
[modifier | modifier le code]- Culte catholique, Communauté de paroisses Entre Eberbach et Sauer (Biblisheim, Durrenbach, Gunstett, Hégeney, Hinterfeld et Walbourg)[39], Diocèse de Strasbourg.
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]-
Église Saint-Jean-Baptiste de Biblisheim.
-
Vue intérieure de la nef vers la tribune d'orgue.
-
Monument aux morts.
-
Croix de cimetière.
- Le monument aux morts.
- Il s'agit d'une plaque située à l'intérieur de l'église[53],[54], à la droite de l'autel lorsque l'on y rentre. La plaque du monument aux morts surplombe les dalles funéraires érigées en grès des Vosges sur le mur et à même le sol en mémoire des abbesses du couvent de Biblisheim. Il existait aussi, près de l'église, six tombes allemandes de la Seconde Guerre mondiale, déplacées vers 1965 vers un cimetière militaire.
- Le premier monument est construit en grès des Vosges, le nom des défunts ainsi que la date de leur mort sont inscrits sur une plaquette rectangulaire surmontée d'une inscription en allemand Zum Andenken an die im Weltkriege 1914-1918 Gefallenen von Biblisheim qui, traduite en français signifie « en souvenir des morts de Biblisheim durant la guerre mondiale 1914-1918 ». Cette inscription est elle-même surmontée d'une pietà, c'est-à-dire une image religieuse montrant la Vierge Marie priant pour le salut de l'âme du Christ agonisant. Sur le fronton de cette pietà est inscrit de manière arrondie et en latin Mater dolorosa Ora pro nobis, ce qui signifie « mère douloureuse, prie pour nous ».
- Après la Seconde Guerre mondiale, de part et d'autre de la pietà furent apposées deux plaques de forme rectangulaire, il s'agit d'inscriptions donnant le nom des morts de 1939-1945. Ce deuxième monument est construit en granit lisse et porte simplement l'inscription 1939-1945. Toutes les inscriptions sont gravées et recouvertes de dorures. On constate dans l'ordre du relevé des morts une différence puisque les victimes de 1914-1918 sont inscrites dans l'ordre chronologique de leur mort, avec la date de leur mort ; alors que les victimes de 1939-1945 sont quant à elles inscrites par ordre alphabétique. Le monument est d'une hauteur d'environ un mètre et d'une largeur d'environ trois mètres.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Présentation de la commune de Biblisheim et le village disparu de "Bibelsheim", sur reichshoffen.free.fr/
- Les noms anciens du village
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site officiel
- Biblisheim sur le site de l'Institut géographique national
- (fr) Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Biblisheim » sur Géoportail (consulté le 11 juin 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Le nom des habitants du 67 - Bas-Rhin - Habitants », sur habitants.fr (consulté le ).
- Itinéraires
- Sites Natura 2000
- Didacticiel de la règlementation parasismique
- « Fiche communale de Biblisheim », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Sandre, « la Sauer »
- Sandre, « le Halbmuhlbach »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Biblisheim et Preuschdorf », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Preuschdorf », sur la commune de Preuschdorf - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Preuschdorf », sur la commune de Preuschdorf - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- Itinéraires
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Biblisheim ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Haguenau », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Proportion des types de couverture, sources sigesrm.brgm.fr/
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- L’Abbaye et son église
- Joseph Beyer le 10/1/1944, René Buchert le 6/8/1944, Camille Dutscher le 15/7/1944, Lucien Dutscher le 14/12/1944, Albert Freysz le 26/4/1945, Joseph Heim le 23/12/1943, Charles Helmer le 20/2/1946 (en captivité), René Ratzel le 14/7/1944, Xavier Weltzer le 2/9/1943
- [PDF] Liste des maires au 1 avril 2008 sur le site de la préfecture du Bas-Rhin.
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- Annuaire mairie
- « Filature de lin et de chanvre, actuellement maison », notice no IVR42_199867B2173ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
- « Ancienne filature de lin et de chanvre, actuellement maison », notice no IA67007765, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Ancien moulin », notice no IVR42_199867B2377ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
- Etablissements d'enseignements
- « Ancienne mairie, école », notice no IVR42_199867B1691ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
- Professionnels et établissements de santé
- Communauté de paroisses Entre Eberbach et Sauer
- « Église Saint-Jean-Baptiste », notice no IA67007763, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Église Saint-Jean-Baptiste », notice no IVR42_199867B2166ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
- « Église Saint-Jean-Baptiste, élévation antérieure », notice no IA67007763, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Orgue », notice no IVR42_199867B2050ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
- « Église Saint-Jean-Baptiste. Tribune d'orgue », notice no IVR42_199867B2042ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
- Construction d'un orgue neuf par Martin Wetzel (instrument actuel)
- « Dalle funéraire (n° 2) », notice no IM67011862, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Dalles funéraires No 4 et No 5 », notice no IVR42_19836702931Z, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
- « Dalles funéraires Nos 6, 7 et 8 », notice no IVR42_19836702930Z, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
- « Dalle funéraire No 11 », notice no IVR42_19836702936Z, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
- « Statue : Vierge à l'Enfant », notice no IVR42_199967B0720ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
- « Vue de trois-quarts de la statue de la Vierge à l'Enfant déposée au musée de Haguenau », notice no IVR42_199967B0719ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
- « Vue de face de la statue de la Vierge à l'Enfant », notice no IVR42_199967B0717ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
- « Monument aux morts », notice no IVR42_199867B2051ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
- « Monument aux morts », notice no IVR42_199867B2052ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
- « Croix de chemin », notice no IVR42_199867B2168ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
- « Croix de chemin (détail) », notice no IVR42_199867B1689ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
- « Croix de chemin (B) », notice no IVR42_199867B1692ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
- « Croix de chemin (B) », notice no IVR42_199867B1694ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
- « Croix de cimetière », notice no IVR42_199867B1686ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
- « Walbourg : Tombeau de François Joseph Saglio et de Susanne Saglio, née van Récum », notice no IM67012558, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.