Bayonvillers
Bayonvillers | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Péronne | ||||
Intercommunalité | CC Terre de Picardie | ||||
Maire Mandat |
Xavier Palpied 2020-2026 |
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Code postal | 80170 | ||||
Code commune | 80058 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bayonvillois | ||||
Population municipale |
334 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 41 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 51′ 44″ nord, 2° 37′ 40″ est | ||||
Altitude | Min. 82 m Max. 95 m |
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Superficie | 8,1 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Amiens (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Moreuil | ||||
Législatives | 5e circonscription de la Somme | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.bayonvillers.fr | ||||
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Bayonvillers est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Bayonvillers est un village rural picard du Santerre situé à 23 km à l'est d'Amiens, à la même distance au sud-ouest de Péronne et à 50 km au sud d'Arras.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Nature du sol et du sous-sol
[modifier | modifier le code]La plus grande partie du territoire est constituée des couches argileuses du limon des plateaux. En dessous, se trouve une craie blanche ou jaune selon les endroits[1],[2].
Relief, paysage, végétation
[modifier | modifier le code]Le pays est plat, légèrement ondulé au sud[1].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 682 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-en-Santerre à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,8 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Bayonvillers est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (94,5 %), zones urbanisées (5,5 %)[13]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Voie de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par l'ancienne route nationale 29 (actuelle RD 1029), elle est traversée par l'Autoroute A29 (France)
En 2019, la localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no 47)[14].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Baienvillers est produit en 1147, Baconvillers et Bayenvillers en 1301. Puis, Bayonvilliers en 1567 ; la forme actuelle, Bayonvillers, est attestée dès 1710[1].
Le nom Bayonvillers est de formation germano-romane, Villers provient de nom latin, villa signifiant domaine rural puis villare signifiant une partie d'un domaine démembré. Bayo (Baio) dérivait du nom germanique d'un propriétaire du domaine[15].
D'après la légende, Bayonvillers tirerait son nom d'un seigneur nommé Bayon que saint Quentin aurait guéri de la lèpre[16],[1].
Histoire
[modifier | modifier le code]Antiquité
[modifier | modifier le code]Des armes de pierre et des monnaies gallo-romaines ont été trouvées sur le territoire[1].
La voie romaine Amiens - Saint-Quentin traverse le village (RD 1029)[17]. Les traces d'une villa gallo-romaine ont été retrouvées au lieu-dit le Chêne[18].
Selon la tradition catholique, saint Quentin qui parcourait la région à la fin du IIIe siècle, rencontra une femme qui lui proposa de porter la tunique de son maître nommé Bayon. Saint Quentin accepta et du fait, Bayon fut guéri de la lèpre[19].
Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Dès 1171, l'église est mentionnée[1].
La collégiale Saint-Firmin d'Amiens nommait à la cure. Nicolas Quesnel, bienfaiteur des pauvres, tient la cure en 1599[1].
La seigneurie dépendait du chapitre de Saint-Quentin[1].
Époque moderne
[modifier | modifier le code]Des souterrains ou muches ont servi de refuge aux habitants en 1636, lors des invasions espagnoles[1].
Dès 1701 et peut-être même avant, le village a son école[1].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Les biens du clergé vendus à la Révolution française comme biens nationaux sont alors achetés par les fermiers locaux[1].
À la fin de l'épopée napoléonienne, les Cosaques ont occupé le pays en 1814-1815[1].
Lors de la Guerre franco-allemande de 1870 et pendant l'occupation qui a suivi, l'armée allemande a effectué de nombreuses réquisitions. Sur les 30 jeunes du village qui ont combattu, deux sont morts, un a été blessé[1].
Durement éprouvé pendant la Première Guerre mondiale[20], le village a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [21].
Des vestiges de la guerre sont encore retrouvés de nos jours dans le village[22].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachement administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]La commune se trouvait de 1793 à 2016 dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Par arrêté préfectoral du , la commune en est détachée le pour intégrer l'arrondissement de Péronne[23]. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Rosières-en-Santerre[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Moreuil.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune faisait partie de la communauté de communes du Santerre créée le .
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département[25].
Le projet préfectoral prévoit la « fusion des communautés de communes de Haute Picardie et du Santerre », le nouvel ensemble de 17 954 habitants regroupant 46 communes[26],[27],[28]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[29], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion le [30].
Cette procédure aboutit à la création au de la communauté de communes Terre de Picardie, dont la commune est désormais membre[31].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[38].
En 2021, la commune comptait 334 habitants[Note 3], en évolution de −4,84 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Les communes de Bayonvillers, Lamotte-Warfusée et Guillaucourt se sont associées au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal qui gère le fonctionnement des écoles primaires[40].
À la fin de l'année scolaire 2018-2019, l'école de Bayonvillers a fermé[41]. Fin 2020 et début 2021, le mobilier est vendu sur internet, la commune envisage de vendre l'école et le logement communal[42],[43].
Culture
[modifier | modifier le code]L'estaminet est un lieu associatif destiné à rassembler les habitants autour de projets artistiques et de rendre accessibles toutes les créations artistiques[44]. Depuis 2005, ce café associatif maintient du lien social dans le village[45].
Autres équipements
[modifier | modifier le code]-
La salle communale.
-
Plateau sportif communal.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Étienne[46]: au chevet de l'église, se trouve un calvaire en bois peint au décor sculpté représentant, entre autres, les instruments de la passion. Le christ en croix du XVIe siècle[47] est abrité par un demi-dôme en forme de cloche. Le calvaire est protégé en tant que monument historique au titre d'objet : classement par arrêté du 12 janvier 2004[48]. Le clocher en brique flanque le côté nord de la nef. L'intérieur un maître-autel en bois sculpté avec un retable de style Louis XIV, des fonts baptismaux en marbre blanc.
- Monument aux morts
- Chapelle Notre-Dame-de-Liesse: reconstruite en 1840 et 1938. Elle aurait marqué le passage des pèlerins se rendant à Liesse, dès le Moyen Âge[49].
-
L'église Saint-Étienne et le cimetière.
-
Monument aux morts
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Amable Nicolas Lhomond (1770-1854), mécanicien, né à Bayonvillers, il prit part à l'expédition d'Égypte, en 1798.
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, Amiens, Société des Antiquaires de Picardie, 1865, réédition partielle Bray-sur-Somme et ses environs, Paris, Le Livre d'histoire-Lorisse, Res Universis, p. 149 à 151 (ISBN 2 - 87 760 - 446 - 2).
- Léon Gaudefroy, Monographie de Bayonvillers, 1905, Yvert et Tellier, (ASIN B001C91DTK) , rééd. la Vague verte, (ISBN 978 2 35637 054 9)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Site de la mairie.
- « Dossier complet : Commune de Bayonvillers (80058) », Recensement général de la population de 2017, INSEE, (consulté le ).
- « Bayonvillers »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
- « Liste des documents numérisés concernant la commune », Mémoires de la Somme - Archives en Somme, Archives départementales de la Somme (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées : 12 SE, Amiens [Nord-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Bayonvillers » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Notice géographique et historique réalisée par l'instituteur, M. Douay, 1er mars 1899, Archives départementales de la Somme, Amiens
- La notice de M. Douay, instituteur, sur le site des Archives départementales de la Somme.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Bayonvillers et Rouvroy-en-Santerre », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Bayonvillers ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Le réseau Trans'80 en ligne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- Charles Rostaing, Les Noms de lieux, Paris, Presses universitaires de France, 1969, p. 71 à 76
- Léon Gaudefroy, Monographie de Bayonvillers, 1905.
- « Photo aérienne de Roger Agache, 1964 », notice no ARR22_6480852ZA, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
- « Photo aérienne de Roger Agache, 1964 », notice no ARR22_6480855ZA, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
- Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, Amiens, Société des Antiquaires de Picardie, 1865, réédition partielle Bray-sur-Somme et ses environs, Paris, Le Livre d'histoire-Lorisse, Res Universis, p. 149-150
- Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
- Journal officiel du .
- « Munitions retrouvées à Bayonvillers : Description des objets retrouvés dans le jardin de Charlotte Macczak », sur blogs.ac-amiens.fr, (consulté le ).
- « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de la Somme - Recueil n°200 des actes administratifs du 27 décembre 2016 des Hauts-de-France », sur prefectures-regions.gouv.fr, (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Vincent Fouquet, « Vers un mariage de la communauté de communes de Haute-Picardie avec celle de Rosières ? : Le conseil communautaire, qui s'est déroulé jeudi soir à Soyécourt, a été l'occasion d'annoncer la volonté de l'intercommunalité de fusionner avec celle de Rosières-en-Santerre », Le Courrier picard, (lire en ligne).
- « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard, (lire en ligne).
- « Un mariage entre Chaulnes et Rosières-en-Santerre est prévu pour 2017 : L'annonce a été faite jeudi 1er octobre à Rosières-en-Santerre : les communautés de communes de Haute Picardie (CCHP) et du Santerre (CCS) souhaitent fusionner. Voici leurs arguments », Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
- « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d'ECPI », Décideurs en région, (lire en ligne).
- « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes de haute Picardie avec la communauté de communes du Santerre », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031, , p. 78-79 (lire en ligne [PDF]).
- « CC Terre de Picardie (N° SIREN : 200070928) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, (consulté le ).
- « Les maires de Bayonvillers », sur francegenweb.org (consulté le ).
- « Liste des maires de la Somme »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
- Ludovic Lascombe, « Quand on est maire, surtout d'un petit village, il faut apprendre à être po-ly-va-lent... et avoir la gnaque » : Haute-Somme - Ils ont été élus en 2014. Trois ans après, ils dressent un 1er bilan. Exemple à Bayonvillers », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Adeline Collet, « France Chlon-David a présenté ses derniers vœux à la tête de Bayonvillers », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « France Chlon-David, 44 ans, responsable communication et événementiel au pôle métropolitain du Grand Amiénois, a commencé sa carrière politique à Bayonvillers dès son arrivée dans la commune, il y a 12 ans. « Le maire m'a tout de suite proposé d'entrer au conseil municipal et d'être adjointe », rapporte-t-elle. En 2014, elle se présente pour être édile et est élue ».
- « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Le Courrier Picard, « Carte scolaire, ils restent mobilisés », dimanche 25 février 2018, p. 8.
- « Vent de tristesse à Bayonvillers et Guillaucourt : C'est fini. Les deux communes ont perdu la bataille de leur école. L'émotion était à son comble en ce dernier jour de classe, vendredi 5 juillet », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Martin Levissse, « L'ancienne école de Bayonvillers est mise en vente : Alors que les enfants ne viennent plus entre les murs de l'école de Bayonvillers depuis 2019, la mairie a décidé d'organiser une visite collective ce 23 janvier. L'objectif : retrouver les anciens élèves et faire visiter les murs aux potentiels acquéreurs », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- « Nouvelle vente aux enchères à Bayonvillers : Cette fois, les acheteurs trouveront du mobilier, mais aussi des livres », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Aude Colina, « L'estaminet de Bayonvillers change de mains : Devenu le point de rencontre du village de 350 habitants, l'Estaminet soufflera ses huit bougies avec les membres de l'association La Cerise sur le plateau, et plus sous l'égide des Pêcheurs de lune », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Carla Bastoni, « Quand les cafés associatifs redonnent vie aux villages », Courrier picard, , p. 16.
- Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église de Bayonvillers (Canton de Rosières). d'après nature, 26 sept. 1867 », Documents numérisés, fonds Macqueron,, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
- « Croix : Christ en croix », notice no PM80001636, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Base Palissy ».
- André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 243 (ASIN B000WR15W8).