Base aérienne de Büchel
| Fliegerhorst Büchel | ||||||||||
 Vue aérienne de l'une des marguerites de la base de Büchel. | ||||||||||
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| Localisation | ||||||||||
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| Pays |  Allemagne
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| Ville | Büchel | |||||||||
| Coordonnées | 50° 10′ 26″ nord, 7° 03′ 48″ est | |||||||||
| Altitude | 833 m (2 733 ft) | |||||||||
| Informations aéronautiques | ||||||||||
| Code OACI | ETSB | |||||||||
| Type d'aéroport | Militaire | |||||||||
| Gestionnaire | Luftwaffe | |||||||||
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| Géolocalisation sur la carte : Allemagne
Géolocalisation sur la carte : Rhénanie-Palatinat
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La base aérienne de Büchel est une base aérienne de la Luftwaffe, construite en 1954 dans la zone d'occupation française en Allemagne, située en Rhénanie-Palatinat dans l'arrondissement de Cochem-Zell.
Caractéristiques
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Elle dispose, en 2001, d'une piste de 2 507 m, de 33 abris pour avions et de 11 dépôts de munitions souterrains WS3 destinés à abriter 4 armes nucléaires chacune soit un maximum de 44 armes nucléaires[1].
La base abrite en 2013 les Tornado du Jagdbombergeschwader 33 (en) (JBG33), unité installée sur la base depuis octobre 1957 et la seule de la Luftwaffe à avoir une capacité de frappe nucléaire. Ces avions devant être retirés du service vers 2025.
Cette base aérienne est depuis 2005/2006 la seule en Allemagne où il y a, en 2012, entre 10 et 20 bombes thermonucléaires américaines (type B61). Elles sont sous l'autorité du 817th Munitions Support Squadron (nom depuis 1995 au 603rd MUNSS, anciennement 7501st MUNSS), une unité comprenant 135 militaires en 2001, du 52d Munitions Maintenance Group (52 MUNG) du 52nd Fighter Wing, et destiné à être emportées par les Tornado dans le cadre de l'OTAN[2].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- (en) Michal Smetana, Michal Onderco et Tom Etienne, « Do Germany and the Netherlands want to say goodbye to US nuclear weapons? », Bulletin of the Atomic Scientists, vol. 77, no 4, , p. 215–221 (ISSN 0096-3402 et 1938-3282, DOI 10.1080/00963402.2021.1941603, lire en ligne, consulté le )
- Hans M. Kristensen, « Non-Strategic Nuclear Weapons », sur Federation of American Scientists, (consulté le )
