Arronville
Arronville | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Val-d'Oise | ||||
Arrondissement | Pontoise | ||||
Intercommunalité | CC Sausseron Impressionnistes | ||||
Maire Mandat |
Alain Pasquet 2021-2026 |
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Code postal | 95810 | ||||
Code commune | 95023 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Arronvillois | ||||
Population municipale |
624 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 39 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 11′ 00″ nord, 2° 06′ 00″ est | ||||
Altitude | 90 m Min. 52 m Max. 140 m |
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Superficie | 15,85 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Pontoise | ||||
Législatives | 1re circonscription du Val-d'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Val-d'Oise
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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Liens | |||||
Site web | https://www.arronville.fr/ | ||||
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Arronville est une commune française située dans le département du Val-d'Oise en région Île-de-France. Ses habitants sont appelés les Arronvillois.
Géographie
[modifier | modifier le code]Description
[modifier | modifier le code]Arronville est une commune périurbaine du Vexin français située dans la vallée du Sausseron, à 15 km au nord de Pontoise, 40 km au nord-ouest de Paris, 27 km au sud-est de Gisors et à 28 km au sud de Beauvais.
Elle est desservie par l'ancienne route nationale 327 (actuelle RD 927) et est aisément accessible par l'autoroute A16.
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La place du Carrouge.
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Paysage du village, vu depuis la RD 188.
Communes limitrophes
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Carte de la commune. -
Occupation des sols.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est drainée par le Sausseron, un affluent de l'Oise, donc sous-affluent de la Seine. Des étangs, notamment de pisciculture, y sont aménagés.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 705 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Boissy-l'Aillerie à 14 km à vol d'oiseau[4], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Arronville est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[I 1]. Cette aire regroupe 1 929 communes[9],[10].
Hameaux et écarts
[modifier | modifier le code]La commune comprend les hameaux de Margicourt et de Héréville.
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 291, alors qu'il était de 284 en 2013 et de 272 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 89,1 % étaient des résidences principales, 5,1 % des résidences secondaires et 5,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3,5 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Arronville en 2018 en comparaison avec celle du Val-d'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (5,1 %) supérieure à celle du département (1,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 83,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (82,9 % en 2013), contre 56 % pour le Val-d'Oise et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Arronville[I 2] | Val-d'Oise[I 5] | France entière[I 6] |
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Résidences principales (en %) | 89,1 | 92,8 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 5,1 | 1,3 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 5,8 | 5,9 | 8,2 |
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie, en 2023, par la ligne 603 du réseau interurbain de l'Oise[11] et par les lignes 95-05, 95-06 et 95-31 du réseau de bus du Vexin[12].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Histoire
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Château de Balincourt - façade sud.
Par lettres de juillet 1719, les terres de Balincourt, Arronville, Héréville et Margicourt furent érigées en marquisat en faveur de Claude-Guillaume Testu (1680-1770), maréchal de camp[13], qui fut depuis maréchal de France en 1746. Il s'était signalé par de brillantes actions, notamment en Alsace, et fut fait gouverneur de Strasbourg en 1745. Il mourut de faim, sa mâchoire s'étant ossifiée, et il ne pouvait plus rien avaler.
En septembre 1914, au début de la Première Guerre mondiale, après la bataille de Senlis, des éclaireurs uhlans allemands sont signalés à Arronville[14].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[15], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Pontoise après un transfert administratif effectif au .
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Marines[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton de Pontoise
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription du Val-d'Oise.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Arronville est membre de la communauté de communes Sausseron Impressionnistes, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1962 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].
En 2021, la commune comptait 624 habitants[Note 2], en évolution de −6,59 % par rapport à 2015 (Val-d'Oise : +3,39 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Arronville compte trois monuments historiques sur son territoire :
- l’église Saint-Pierre-et-Saint-Paul, rue de la Mairie / cour des Lys (classée monument historique par décret du 18 janvier 1943[29]) :
Elle possède une nef basilicale romane, qui remonte à la fin du XIe siècle ou au début du XIIe siècle, et se distingue par la variété de ses chapiteaux, dont la sculpture est d'une facture archaïque, et représente les motifs d'une façon fortement stylisée. Les arcades latérales de la croisée du transept, en même temps base du clocher, et du chœur remontent à la même époque, mais ont été retouchées, notamment dans le chœur.
De la période romane, subsistent également les vestiges des baies du premier étage du clocher, côté sud. Dès le premier quart du XIIIe siècle, plutôt qu'à la fin du même siècle ou au début du XIVe siècle, les bas-côtés, les croisillons du transept et les chapelles latérales du chœur sont entièrement reprises, et voûtés d'ogives. Les voûtes d'ogives de la nef sont du même style gothique, bien qu'on les date seulement du début du XVIe siècle.
À la fin du XIIIe ou au début du XIVe siècle, la voûte et le chevet du chœur sont reconstruits dans le style gothique rayonnant, avec un curieux triplet tardif, dont la baie centrale est munie d'un remplage caractéristique de son époque. Pendant ou après la guerre de Cent Ans et son lot de ravages, le clocher est rebâti dans un style gothique, que l'on ne peut pas qualifier de flamboyant. L'élévation septentrionale est également reprise.
La partie la plus remarquable de l'église est la nef. L'extérieur manque de caractère et souffre des multiples remaniements au fil du temps, mais le clocher et le chevet sont néanmoins intéressants[30],[31] ;
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Le chevet de l'église.
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Le clocher.
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La nef.
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L'autel.
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Chapiteau orné.
- l’allée couverte de la côte du Libéra : allée couverte, datant du Néolithique récent et ayant dû abriter deux cents corps environ, classée monument historique par arrêté du 25 janvier 1963[32] ;
- le château de Balincourt, RD 927 à l'entrée sud de la commune (inscrit monument historique par arrêté du [33]) :
Il a été construit vers 1780 pour le comte Charles Louis Testu de Balincourt, selon les plans de l'architecte Denis-Claude Liégeon, qui conçoit également le parc et les annexes. En 1908, le roi Léopold II de Belgique achète le domaine et commande de nombreuses modifications du château, de sorte que des éléments architecturaux du XIXe siècle et du XIXe siècle se mélangent aujourd'hui avec les éléments d'origine. Le roi fait appel à l'artiste vénitienne Raffaële Maïnella, aquarelliste, décoratrice, architecte et paysagiste, pour diriger les travaux. Elle ne s'occupe pas seulement des décors intérieurs mais intervient aussi sur le parc, où elle fait redécorer l'orangerie et la chapelle, crée des fabriques pittoresques et procède à des aménagements hydrauliques. Le secteur sud du parc se situe sur la commune voisine de Menouville[33].
Ce château est aujourd'hui la propriété des descendants du grand marchand d'armes (fin du XIXe siècle et premier quart du XXe siècle), Sir Basil Zaharoff, aux nationalités multiples dont la française (en 1898 et ensuite promu même grand croix de la Légion d'honneur), qui mourut à Monte-Carlo et est inhumé dans l'enceinte du château.
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Le château.
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Arche dans le domaine du château.
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Détail de l'arche.
On peut également signaler :
- l’ancien relais de poste, des XVIIe et XVIIIe siècles[30] ;
- l’ancien moulin à eau au hameau de Margicourt[30] ;
- la ferme et ancien manoir, rue du Moulin ;
- le lavoir couvert, rue de Margicourt : il se situe sur le Sausseron naissant, près du moulin. Au bassin à ciel ouvert, s'associe un abri en moellons avec un toit en appentis, protégeant la plate-forme dédiée aux lavandières à l'arrière du bassin[30] ;
- la croix sur la RD 188 à l'est du village ;
- la croix de chemin près de la RD 927.
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Lavoir, rue de Margicourt.
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Ancien moulin, rue de Berville.
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Ferme et ancien manoir, rue du Moulin.
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Croix sur la RD 188.
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Croix près de la RD 927.
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Monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Claude-Guillaume Testu, marquis de Balincourt (1719), maréchal de France (1746).
- Basil Zaharoff (1849-1936) marchand d'armes, dirigeant du casino de Monte-Carlo, inhumé dans l'enceinte du château de Balincourt.[réf. nécessaire]
- Emmanuel d'Astier de La Vigerie (1900-1969), écrivain, journaliste et homme politique français, est enterré au cimetière d'Arronville.
- Bruno Beucher, photographe, auteur de l'album de photographies Femmes de marins, habite la commune[34].
Arronville au cinéma et à la télévision
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site de la mairie
- « Dossier complet : Commune d'Arronville (95023) », Recensement général de la population de 2018, INSEE, (consulté le ).
- « Arronville »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
- « Arronville » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Arronville » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Arronville - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Arronville - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Val-d'Oise » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- « Communes limitrophes d'Arronville » sur Géoportail..
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Arronville et Boissy-l'Aillerie », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Pontoise - Aero » (commune de Boissy-l'Aillerie) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Pontoise - Aero » (commune de Boissy-l'Aillerie) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Transports en commun à Arronville », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
- « Horaires à Arronville », sur me-deplacer.iledefrance-mobilites.fr, (consulté le ).
- Éric Thiou, Dictionnaire des titres... (2003), p 59 [titre enregistré : AN, O1 63, f° 377].
- L'âne en guerre
- Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Joseph Canu, « Le conseil municipal à nouveau au complet », La Gazette du Val d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Deux listes étaient en présence, celle soutenue par le maire François Pellerin : Ensemble pour Arronville et l’autre Pour Arronville, dont certains candidats figuraient déjà en 2014 sur la liste de l’ancien maire Jean-Pierre Parouty, mais n’avaient pas été élus. C’est pourtant cette dernière qui a été intégralement préférée par les 256 électeurs. Seule un peu plus de la moitié des 505 inscrits est, en effet, venue voter. 250 bulletins ont été exprimés ».
- Les maires du Val-d'Oise-Les élus du Val-d'Oise (doc pdf)
- Joseph Canu, « Le maire François Pelegrin démissionne : Suite et fin de l'aventure électorale pour l'ancien notaire. Lors de sa cérémonie de vœux, hier, le premier magistrat d'Arronville a annoncé sa démission de sa fonction de maire », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Il continuera cependant de siéger au conseil municipal de la commune qui avait temporairement été placée sous tutelle par la préfecture en mai dernier (faute d’avoir bouclé son budget dans les temps, Ndlr). À l’époque, le conseil avait été remanié après la démission de sept de ses quinze membres ».
- Marie Persidat, « Arronville : le maire démissionne, lassé par de longs mois de conflit », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « François Pélegrin (SE) vient de démissionner du conseil municipal de la commune qu'il dirigeait depuis 2014 ».
- Maxime Laffiac, « René Desmottes est le nouveau maire d'Arronville : Il succède ainsi à François Pelegrin, qui avait annoncé sa démission lors de la cérémonie des voeux », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Habitant le village depuis 1976, René Desmottes a été élu comme conseiller « aux dernières élections municipales, en 2014 ».
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- Marie Persidat, « Cet entretien a été pour moi un tribunal d’inquisition » : à Arronville, encore un maire qui démissionne ! : Nadine Leclercq, qui était élue depuis un an et demi, dénonce une « démission sous pression ». En 2017 déjà, un autre maire avait préféré s’en aller, regrettant le climat de guerre permanente au sein du conseil », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ) « Nadine Leclercq a en effet démissionné sur demande insistante d’une partie de son équipe. Dans un texte rendu public, la maire en poste depuis mars 2020, parle même d’une « démission sous la pression » et elle décrit des semaines de conflit ».
- Maxime Laffiac, « Une maire du Vexin poussée vers la sortie par ses conseillers : Début octobre 2021, à Arronville (Val-d'Oise), Nadine Leclercq a présenté sa démission au préfet. Elle a décrit un climat tendu au sein de l'équipe municipale », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- Mikaël Joly, « Arronville : Alain Pasquet succède à Nadine Leclercq », VO News, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Église Saint-Pierre-Saint-Paul. », notice no PA00079984, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Séverine Charon, Hénin, Maria Pia Hutin-Houillon, Philippe Oyer et Bruno Sternberger, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Arronville », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. II, , p. 619-620 (ISBN 2-84234-056-6).
- Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 978-2-905684-23-3), p. 41-42.
- « Allée couverte », notice no PA00079982, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Domaine de Balincourt », notice no PA00079983, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Julien Ducouret, « Val-d'Oise. Les femmes de marins vues par le photographe Bruno Beucher : Bruno Beucher, qui habite Arronville dans le Val-d'Oise), est l’auteur de ’’Femmes de marins’’, un livre photographique dédié aux épouses de marins pêcheurs », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).