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Arrast-Larrebieu

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Arrast-Larrebieu
Arrast-Larrebieu
L'église.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays basque
Maire
Mandat
Allande Davant
2020-2026
Code postal 64130
Code commune 64050
Démographie
Gentilé Ürrüstoitar
Population
municipale
93 hab. (2021 en évolution de −2,11 % par rapport à 2015)
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 17′ 39″ nord, 0° 50′ 56″ ouest
Altitude Min. 132 m
Max. 299 m
Superficie 7,56 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Mauléon-Licharre
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montagne Basque
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Arrast-Larrebieu
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Arrast-Larrebieu

Arrast-Larrebieu est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

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Localisation

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Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune d'Arrast-Larrebieu se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 50 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, à 30 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture, et à 11 km de Mauléon-Licharre[4], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Navarrenx[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Lichos (2,4 km), Charritte-de-Bas (2,6 km), Angous (2,9 km), Charre (3,0 km), Moncayolle-Larrory-Mendibieu (3,1 km), Espès-Undurein (3,8 km), Nabas (4,8 km), Berrogain-Laruns (5,5 km).

Sur le plan historique et culturel, Arrast-Larrebieu fait partie de la province de la Soule, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[6]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[7]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise le territoire du Labourd en six zones[8],[9]. La Soule, traversée par la vallée du Saison, est restée repliée sur ses traditions (mascarades, pastorales, chasse à la palombe, etc)[10]. Elle se divise en Arbaille, Haute-Soule et Basse-Soule, dont fait partie la commune.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Charritte-de-Bas, Angous, Castetnau-Camblong, Charre, Espès-Undurein, Moncayolle-Larrory-Mendibieu, Viodos-Abense-de-Bas et Berrogain-Laruns.

Hydrographie

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Arrast-Larrebieu.

La commune est drainée par l'Apaure et par un petit cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[12],[Carte 1].

L'Apaure, d'une longueur totale de 11,2 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Saison à Nabas, après avoir traversé 5 communes[13].

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 318 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[16]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein à 12 km à vol d'oiseau[17], est de 14,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 323,1 mm[18],[19]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].

Milieux naturels et biodiversité

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Réseau Natura 2000

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Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le Saison (cours d'eau) »[22], d'une superficie de 2 200 ha, un cours d'eau de très bonne qualité à salmonidés[23],[Carte 2].

Au , Arrast-Larrebieu est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[24]. Elle est située hors unité urbaine[1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mauléon-Licharre, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[1]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[25],[26].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (68,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (44,9 %), forêts (29,8 %), prairies (25,2 %), terres arables (0,1 %)[27]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Lieux-dits et hameaux

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Trois quartiers composent la commune d'Arrast-Larrebieu[28] :

  • Ürrüstoi (Arrast en français)

Risques majeurs

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Le territoire de la commune d'Arrast-Larrebieu est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité moyenne)[29]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[30].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment l'Apaure. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 2009[31],[29].

Arrast-Larrebieu est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[32]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[33],[34].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Arrast-Larrebieu.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[35]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[36].

Attestations anciennes

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Le toponyme Arrast est mentionné au XIVe siècle[37] dans le cartulaire de Bayonne[38] et en 1690[39], année où il apparaît également sous les formes larast et larrast[39]. Jean-Baptiste Orpustan indique[39] que la forme basque d'Arrast est parfois donnée avec le déterminant Ürrüxtoia qui signifie « la coudraie ».

Le toponyme Larrebieu apparaît sous la forme Larrebiu (1384[37], notaires de Navarrenx[40] et 1690[39]). Orpustan[39] souligne que larrabil désigne une « lande arrondie, ramassée ».

Graphie basque

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Son nom basque actuel est Ürrüstoi-Larrabile[41].

Paul Raymond[37] note que la commune comptait une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Soule. Il y avait, pour être plus précis, deux maisons abbatiales à Arrast : la maison Aguerria (famille d'Aguerre) et la maison Abbadia (famille d'Abbadie).

La commune a été créée le [42] par la réunion des communes d' Arrast et de Larrebieu.

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1983 2014 Julien Erbin UMP[43]  
2014 En cours Allande Davant EHBAI[44]  

Intercommunalité

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La commune appartient à six structures intercommunales[45] :

  • la communauté d'agglomération du Pays Basque ;
  • le syndicat AEP du Pays de Soule ;
  • le syndicat d'assainissement du Pays de Soule ;
  • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat intercommunal de la Vallée ;
  • le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque.

Population et société

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Démographie

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Le nom des habitants est Ürrüstoitar[41].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[47].

En 2021, la commune comptait 93 habitants[Note 7], en évolution de −2,11 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
216212154191176200323308292
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
261247283235265275259252246
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
263251258242225215201203198
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
17314412813112310510393102
2014 2019 2021 - - - - - -
969593------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[48] puis Insee à partir de 2006[49].)
Histogramme de l'évolution démographique

De 1793 à 1836, la population indiquée ne reflète que celle d'Arrast, encore séparé de Larrebieu, dont la population durant cette même période est décrite ci-dessous[50].

Évolution de la population
1793 1800 1806 1821 1831 1836
148134145136118124
(Sources : INSEE et cassini)

L'activité est tournée essentiellement vers l'agriculture (élevage et pâturages). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Patrimoine civil

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Une enceinte à parapet de terre (place forte protohistorique) s'élève à 282 mètres au lieu-dit Gazteluxaga, témoignant du passé ancien de la commune.

Patrimoine religieux

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L’église Sainte-Lucie[51] date de la fin du XIXe siècle. Elle possède un clocher-mur dit trinitaire ou souletin c'est-à-dire que la crête du mur, percé de baies où tintent les cloches, s'y achèvent par trois grandes pointes à peu près d'égale hauteur, figurant la Trinité[52]. L'église recèle une croix de procession[53].

Personnalités liées à la commune

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  • Famille d'Abbadie d'Arrast, descendants en ligne féminine d'abbés laïques, ils sont à l'origine de la construction de divers châteaux (château d'Abbadia à Hendaye, d'Elorriaga à Ciboure).
  • Jean-Louis Davant, né le 5 juillet 1935 à Arrast-Larrebieu, est un écrivain, poète, bertsolari et pastoralari. En historien, il a écrit le livre qui fait référence : Histoire du Peuple basque (dans la collection Elkar Histoire - 1re réédition 1977) ainsi que : Le "problème basque" en 20 questions. Il fut désigné membre correspondant d'Euskaltzaindia, l'académie de la langue basque, le 24 septembre 1965, membre titulaire le 28 février 1975, et membre émérite depuis le 23 juillet 2010.

Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Le Pays Basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
  4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes

Références

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  1. a b c d et e Insee, « Métadonnées de la commune ».
  2. Stephan Georg, « Distance entre Arrast-Larrebieu et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Arrast-Larrebieu et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Arrast-Larrebieu et Mauléon-Licharre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches d'Arrast-Larrebieu », sur villorama.com (consulté le ).
  6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 23.
  7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
  8. « Toponymes », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
  9. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
  10. Frédéric Zégierman 1999, p. 23.
  11. Carte IGN sous Géoportail
  12. « Fiche communale d'Arrast-Larrebieu », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  13. Sandre, « l'Apaure ».
  14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  15. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  16. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  17. « Orthodromie entre Arrast-Larrebieu et Saint-Gladie-Arrive-Munein », sur fr.distance.to (consulté le ).
  18. « Station Météo-France « Saint-Gladie » (commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  19. « Station Météo-France « Saint-Gladie » (commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  20. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  21. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  22. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Arrast-Larrebieu », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  23. « site Natura 2000 FR7200790 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  24. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  25. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mauléon-Licharre », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  28. [1]
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  32. « Plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr, (consulté le ).
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  34. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  35. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  36. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
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  42. Ordonnance du 16 octobre 1842 (Bulletin des lois de la République française).
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  44. « 15 maires et plusieurs élu·e·s votent EHBAI ! »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Euskal Herria Bai, (consulté le ).
  45. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
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  47. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  48. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  49. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  50. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Larrebieu », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
  51. « L'église Sainte-Lucie », notice no IA64000734, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  52. Philippe Veyrin, Les Basques : de Labourd, de Soule et de Basse-Navarre, leur histoire et leurs traditions, Grenoble, Arthaud, , 366 p. (ISBN 978-2-7003-0038-3, BNF 34554156), p. 241.
  53. « La croix de procession de l'église Sainte-Lucie », notice no PM64000036, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.