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Charles Garnier (architecte)

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Charles Garnier
Fonction
Président
Société des amis des monuments parisiens (d)
Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Nom de naissance
Jean Louis Charles GarnierVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activités
Conjoint
Louise Garnier (d) ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfant
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Distinction
Œuvres principales
signature de Charles Garnier
Signature

Jean Louis Charles Garnier, né le à Paris[1] et mort le dans la même ville, est un architecte français.

Charles Garnier nait non pas à Saint-Calais (Sarthe) comme l'a voulu une tradition écrite, mais à Paris, rue Mouffetard, dans l'actuel 5e arrondissement[2]. Cette confusion est due au fait que, enfant, il venait régulièrement passer ses vacances chez sa grand-mère installée à Saint-Calais qui y acquit deux maisons et un jardin situés près de l'église, vers 1838[réf. souhaitée]. Des amis intimes de Garnier diffusèrent l'idée qu'il était issu d'une famille pauvre[réf. souhaitée]. En réalité son père, Jean André Garnier, d'origine sarthoise, s'était installé à Paris après avoir été forgeron, puis carrossier-charron ; il y monta une entreprise de location de voitures hippomobiles. En 1824, il s'était marié à Louise Marie Félicité Colle[3], fille d'un capitaine de l'Empire.

Le 6 janvier 1858, il épousa Louise Bary, née en 1836 dans une famille d’universitaires, sœur de son ami Arthur Bary, normalien, lié à ceux que Garnier a rencontrés à l’école d’Athènes lors de son périple oriental avec Théophile Gautier. Ils eurent deux enfants : Daniel qui ne vécut que 2 ans (1862-1864), et Christian dit Nino, qui succomba de la tuberculose à 26 ans (1872-1898) après son admission à l’École centrale des arts et manufactures[4].

Charles Garnier, portrait par William Bouguereau de 1853.

Après sa communion, Charles Garnier est envoyé dans un institut à Bellême (Orne), tenu par un ami de la famille, afin de parachever son éducation. De retour à Paris en 1838, il poursuit ses études scolaires puis prend des cours à l'école de dessin de la rue de l'École-de-Médecine (aujourd'hui École nationale supérieure des arts décoratifs). Comme beaucoup d'élèves-architectes du XIXe siècle, la formation de Garnier passe obligatoirement par l'enseignement dispensé dans les ateliers d'architectes. Il travaille dans l'atelier de J.-A. Léveil, mais ce dernier, criblé de dettes, est contraint de fermer son atelier. Après ce court passage de quelques mois, le jeune élève est formé chez Hippolyte Le Bas. Il reçoit d'autre part un enseignement complémentaire à l'École des beaux-arts située rue Bonaparte à partir de 1842 ; il obtient le premier grand prix de Rome d'architecture en 1848. Le sujet de l'épreuve finale s'intitulait « Un conservatoire des arts et métiers, avec galerie d'expositions pour les produits de l'industrie ».

Il fut pensionnaire de l'Académie de France à Rome du 17 janvier 1849 au 31 décembre 1853. Il fit de nombreux voyages, d'abord en Italie : Toscane, Vénétie, Rome et Sicile, deux fois. En 1852, il effectua un long voyage en Grèce qui lui fournit le sujet de son envoi de quatrième année, présenté au Salon en 1853. Il visita la Grèce avec Edmond About et Constantinople avec Théophile Gautier, et choisit de réaliser le relevé du temple d'Aphaïa à Égine où il insista sur la polychromie. Ce voyage de cinq ans dans la lumière méditerranéenne lui laissa un souvenir indélébile ; son goût pour la couleur et l’Orient est une empreinte définitive. Son style se caractérisa par ce goût de la polychromie et par la parfaite intégration des trois arts : l’architecture, la peinture et la sculpture[5].

Architecte de l'opéra de Paris

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Charles Garnier et son équipe lors de la conception du nouvel opéra de Paris
par Louis-Émile Durandelle.

Il rentra à Paris le 17 janvier 1854 et souffrit de troubles neurasthéniques assez graves qui durèrent plus d’un an. Il fut hypocondriaque le reste de sa vie, se croyant toujours atteint de maladies graves qui ne duraient que le temps de ses inquiétudes[6].

Son prix de Rome lui vaut quelques nominations administratives, et Garnier fit quelques projets mineurs, avant de se lancer, en 1860 dans le concours du nouvel opéra de Paris voulu par Napoléon III[7].

Charles Garnier gagna le concours de l’Opéra en 1861, et commença une série de nombreux voyages pour visiter toutes les grandes salles d’Europe[8]. Il prit des notes, fit des relevés sur l’espacement des sièges, le nombre de rangées, beaucoup d’études sur l’acoustique, sans parvenir à comprendre comment maîtriser scientifiquement le son. Il étudia les lustres disposés au centre du volume de chaque grande salle, leur importance et leur situation afin de savoir s'ils mettaient en valeur ou bien altéraient la qualité de l’architecture. Il visita des carrières de pierres et de marbres pour choisir quelles textures et quelles couleurs pourraient entrer dans son projet[9].

Charles Garnier, par Paul Baudry en 1868.

Le chantier fut ouvert en août 1861, en novembre commença l'enfouissement des pieux de fondation. Le terrain était marécageux et les fondations furent difficiles. Il fallut 7 mois pour pomper la nappe phréatique. Les bâtiments voisins se construisaient plus vite et Garnier eut la surprise de constater qu’ils étaient plus hauts que son Opéra. Il ajouta un attique à la façade pour qu’elle fût plus monumentale. Le chantier se déroula assez lentement à cause des difficultés de financement, mais aussi des critiques de l’opposition. En août 1867, Napoléon III découvrit la façade éblouissante. Le chantier s'arrêta en 1870 à cause de la guerre franco-prussienne. Garnier quitta Paris pour Menton à ce moment-là pour éviter la période difficile de la Commune. Sa carrière devint méditerranéenne. Il acheta un terrain à Bordighera, en Italie, et y construisit sa villa, la Villa Garnier, l’année suivante.

Le chantier du nouvel opéra reprit à la suite de l’incendie de l’opéra de la rue Le Peletier en 1873. Les travaux s’accélèrent alors, on travailla jour et nuit[10].

Le nouvel opéra de Paris fut inauguré le 5 janvier 1875 par le président de la République le Maréchal de Mac-Mahon. Charles Garnier, à qui l’on reprochait son accointance avec le Second Empire, dut, ce jour-là, payer sa place[11].

Œuvres méditerranéennes

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Villa Bischoffsheim (Villa Etelinda) à Bordighera.

Bordighera en 1871 était encore une petite bourgade avant de devenir une station très recherchée par les riches hivernants européens, en particulier les Anglais. Bordighera possédait une palmeraie réputée, pour l’acclimatation et la production de palmiers dattiers. Garnier acheta les terrains contigus pour agrandir sa palmeraie[12].

Sa villa, très novatrice, était entourée d’un beau jardin avec une grande palmeraie. Elle n’était pas refermée sur un patio comme de nombreuses villas méditerranéennes, mais au contraire très ouverte avec une tour terminée par un belvédère[13]. À partir de 1873, il passa de longs mois d’hiver à Villa Garnier en Italie, pour la santé fragile de son fils, pour se reposer de la vie parisienne, mais aussi pour ses importants nouveaux chantiers, ses amis venaient nombreux passer quelque temps en compagnie de sa famille.

À Bordighera, il ne resta pas inactif. Il construisit l’église de Terrasanta, et participa à la restauration de l’église Santa Maria Maddalena. Il construisit pour son fils la villa « studio » avec un grand atelier de dessin.

À Menton, deux villas lui sont attribuées. En 1882, Foucher de Careil, ambassadeur de France, ami de Ferdinand de Lesseps, lui aurait commandé la villa Maria Serena en bord de mer, et en 1892 la maison de famille, 81, boulevard Garavan[14]. Aucun document ne justifie ces attributions, mais le style de Garnier et ses bonnes relations avec les propriétaires le laissent supposer[15].

Il conçut un plan d’aménagement urbain pour la ville de Bordighera et le projet d’une école. Construite en 1886, elle est devenue aujourd’hui la mairie[16]. En 1876, Raphaël Bischoffsheim, banquier et administrateur de la compagnie des chemins de fer du Midi, futur mécène de l’observatoire de Nice, lui commanda une villa dans cette même ville, la villa Bischoffsheim ou Villa Etelinda . Après plusieurs projets, elle sera terminée en 1880. Elle est conçue dans un style semblable à la villa Garnier[17].

Toujours en 1876, François Blanc, président de la Société des bains de mer de Monaco, lui passa commande d’une salle de concert pour 1879 et d’un casino pour 1881. La rapidité et la qualité de ses réalisations sont encore très impressionnantes aujourd’hui. La richesse de la décoration, avec beaucoup d’ors, veut attirer le joueur qui veut devenir riche. Elle est conforme au caractère d’un casino, récemment restauré, les ors brillent encore plus, ils entretiennent toujours le mythe de la fortune possible en quelques coups de chance[18].

En 1878, il construisit à Paris le Cercle de la librairie. S'ensuivit une commande, l’annexe de la librairie Hachette, et une autre encore, l’immeuble de la famille Hachette, 195 boulevard Saint-Germain.

En 1879, Garnier visita le terrain de 35 hectares, acheté par Bischoffsheim pour construire le nouvel Observatoire de Nice sur le Mont Gros. Son projet fut accepté en décembre, l’ensemble fut terminé en 1887[19]. Bischoffsheim demanda à l’ingénieur Gustave Eiffel de concevoir une coupole mobile pour le grand équatorial de l’observatoire. Garnier proposa donc une coupole « flottante », imaginée par Gustave Eiffel. Garnier connaissait Eiffel et avait défendu cette idée lors d’un concours pour l’observatoire de Paris, il accepta donc cette disposition. [réf. souhaitée]

Le projet se composait d'un ensemble de bâtiments disposés dans un grand parc. Outre les lunettes, volumes majeurs du programme, une importante bibliothèque, des bâtiments pour les études, des ateliers, des magasins pour la maintenance de l’ensemble les habitations, les services généraux sont disposés selon un plan paysager. La mode architecturale n’était plus à la riche décoration mais correspondait à la rigueur et à la grandeur du projet.

Derniers projets

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En août 1883, Charles Garnier séjourna à Vittel où il participa à la construction du casino, de la salle à manger du grand hôtel et d’une chapelle. Il revint, en 1885, pour la fin des travaux fit jouer un « impromptu » de sa composition.

Lors d'un autre grand chantier de Garnier, « L’histoire de l’habitation humaine », 44 maisons furent construites sur le Champ de Mars pour l’exposition universelle de 1889, au pied de la tour Eiffel.

En 1895, il édifia le tombeau de Charles Odin, chanteur d’opéra, au cimetière Montmartre. Il semble que ce fut la dernière œuvre de Garnier. Il réalisa de nombreux tombeaux durant sa carrière. Ceux de Victor Massé et Jules-Laurent Duprato, également au cimetière Montmartre, celui de Georges Bizet au cimetière du Père-Lachaise, le monument à la mémoire du Général Saget à Grandvilliers, la chapelle funéraire de la famille Henraux au cimetière de San Miniato à Florence[4].

Toujours à cette période, il dessina le plan de la future station balnéaire Mayville imaginée par John Whitley, on trouve ce plan et son nom dans la brochure éditée pour ce projet qui ne vit pas le jour[20]. Lui-même et son fils se reposaient en outre régulièrement à Fontainebleau, y entretenant de bons liens avec plusieurs familles[21].

Garnier eut une vie sociale intense. D'un naturel chaleureux, il s’était fait de nombreux amis, et porta de l’intérêt à tous ceux qui l’entouraient. Il écrivit assez régulièrement des articles dans la presse, sur l’architecture, mais aussi sur les arts en général. Il voulut aussi être écrivain, ses publications furent nombreuses et il fut membre de la Société des gens de lettres en 1883[22].

Postérité

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Plaque au n°90 boulevard Saint-Germain (Paris (5e)), où il mourut.
Tombe de Charles Garnier au cimetière du Montparnasse.

En 1898, il mourut d’un accident vasculaire cérébral au 90 boulevard Saint-Germain. Il fut inhumé à Paris, au cimetière du Montparnasse.

Après la mort de son mari, Louise Garnier réunit et classa, pendant vingt ans, tous ses documents pour présenter l’œuvre de Charles sous son meilleur jour[réf. souhaitée]. Elle légua à la bibliothèque des Beaux-Arts une grande partie de ses dessins, notes, caricatures et aquarelles ; les autres documents allèrent à la bibliothèque du musée de l’Opéra.

Hommage et distinctions

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  • 1848 : il obtient le premier grand prix de Rome d'architecture
  • 1874 : élu à l’Institut de France, académie des Beaux-Arts au fauteuil de Baltard qui avait été son directeur au début de sa carrière d’architecte de la ville de Paris[4].

Grâce à sa notoriété, Charles Garnier est appelé à de nombreuses fonctions honorifiques, mais prestigieuses pour la plupart :

  • Architecte conseil pour l’exposition de 1889
  • Vice-président du Conseil des bâtiments civils
  • Secrétaire du Comité de la Société des artistes français
  • Membre du Comité du Journal de l’architecture
  • Conseiller d’honneur de la Société centrale des architectes
  • Membre de la Commission des monuments historiques
Caricature de Charles Garnier, par Georges Clairin, villa Garnier à Bordighera.

En 1851, alors qu'il était pensionnaire à la Villa Médicis de Rome et à l'occasion d'un voyage à Athènes, Garnier s'exclama en découvrant le Parthénon :

« Il n'y a pas à choisir entre les arts, il faut être Dieu ou architecte. »

« Les ingénieurs ont de fréquentes occasions d'employer le fer en grandes parties, et c'est sur cette matière que plus d'un fonde l'espoir d'une architecture nouvelle. Je lui dis tout de suite, c'est là une erreur. Le fer est un moyen, ce ne sera jamais un principe. »

À l'impératrice Eugénie, qui commentait ainsi les plans de l'Opéra lors de l'inauguration provisoire de 1867 :
« Qu'est cela ? Ce n'est pas un style ! Ce n'est ni du Louis XIV, ni du Louis XV, ni du Louis XVI ! » Charles Garnier répondit : « C’est du Napoléon III, Madame, et vous vous plaignez ! » (Annales)

Ci-dessous, paragraphe sur l'utopie ornementale dans A travers les arts : Causeries et Mélanges (1869)[23].

« (...) je m'imagine le jour où les tons fauves de l'or viendront piqueter les monuments et les constructions de notre Paris; je m'imagine les tons chauds et harmonieux qui frémiront sous le regard charmé. On aura renoncé alors à ces grandes voies rectilignes, belles sans doute, mais froides et guindées comme l'étiquette d' une noble douairière. L'inflexible voirie aura sa période de réaction, et, sans nuire à personne, le voisin pourra construire sa maison sans se raccorder avec celle du voisin; les fonds des corniches reluiront de couleurs éternelles, les trumeaux seront enrichis de panneaux scintillants, et les frises dorées courront le long des édifices; les monuments seront revêtus de marbre et d' émaux, et les mosaïques feront aimer à tous et le mouvement et la couleur. Ce ne sera plus le luxe faux et mesquin; ce sera l' opulence, ce sera la sincérité. Les yeux, familiarisés avec toutes ces merveilles de nuances et d' éclat, auront exigé que nos costumes se modifient et se colorent à leur tour, et la ville entière aura comme un reflet harmonieux de soie et d' or... Mais, hélas ! je jette les regards autour de moi : je vois le ciel gris et sombre, je vois des maisons remises à neuf, je vois des ombres toutes noires qui s'agitent dans les boulevards interminables. Je vois enfin Paris tel qu'il est ! et de mon rêve d' artiste je retombe dans la réalité bourgeoise. »

Principales réalisations

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Le Palais Garnier en hiver.

En province

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À l'étranger

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Le casino de Monte-Carlo.

Juin-juillet 1851, Pompéi

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  • Peinture du Macellum, gouache, aquarelle, H. 46.6 ; L. 30.6 cm[25]. Paris Beaux-Arts[26].
  • Relevé d'un décor de la maison de la paroi noire à Pompéi, gouache, aquarelle, H. 52 ; L. 31 cm[27]. Paris, Beaux-Arts[26].
  • Fragment d'une peinture de la maison dite du Poète tragique, graphite, gouache, aquarelle, H. 17 ; L. 32.2 cm[28]. Paris, Beaux-Arts[26].
  • "Coté d'une chambre", graphite, gouache, aquarelle, H. 25.2 ; L. 33.9 cm[29]. Paris, Beaux-Arts[26].
  • Maison de la petite fontaine, gouache, aquarelle, H.34.7 ; L.36.3 cm[30]. Paris, Beaux-Arts[26].

Caricatures

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  • Recueil de 268 caricatures, techniques variées dans un album relié[31], Paris, Beaux-Arts[32]. Cet ensemble de dessins est légué aux Beaux-Arts en 1922 par sa femme Louise Garnier et présente une grande variété de feuilles allant de la caricature cadrée serrée sur un modèle, à la saynète burlesque.

Publications

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  • À travers les Arts, causeries et mélanges, éditions Hachette, Paris, 1869
  • Le Théâtre, éditions Hachette, Paris, 1871
  • Le Nouvel Opéra, édition originale : 2 vol., Paris, Ducher et Cie, 1880[33],[34], réédité aux éditions du Linteau, 2001
  • Temple de Jupiter Panhellénien à Egine : restauration exécutée en 1852[35], Paris 1884
  • Prologue et couplets de l’impromptu de Charles Garnier, Imprimerie Fricotel à Epinal, 1885
  • L’Observatoire de Nice, monographie, éditions André Daly à Paris, 1889
  • L’Habitation humaine[36], écrit avec Auguste Ammann, édité par La librairie moderne à Paris en 1892

Références

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  1. « Naissances - Arrondist ancien 12 », sur État civil reconstitué de la ville de Paris, .
  2. « Cote LH/1077/65 », base Léonore, ministère français de la Culture.
  3. « Famille de Cochefilet » [PDF] (consulté le ), p. 5.
  4. a b et c Laure de Hody, « Chronologie biographique », dans Bruno Girveau, Charles Garnier, un architecte pour un Empire, , p.303-308.
  5. Olivier Lardet, « Garnier voyageur éclairé ou rêveur impénitent ? », dans Bruno Girveau, Charles Garnier, un architecte pour un Empire, , p.54-73.
  6. Maud Domange, « Un malade entouré », dans Bruno Girveau, Charles Garnier, un architecte pour un Empire, , p.86-88.
  7. Maud Domange, « Un malade entouré », dans Bruno Girveau, Les Beaux-Arts et Garnier, , p.77-78.
  8. Olivier Lardet, « L’Europe des salles de spectacles », dans Bruno Girveau, Charles Garnier, un architecte pour un Empire, , p.66-68.
  9. Olivier Lardet, « La recherche des marbres », dans Bruno Girveau, Charles Garnier, un architecte pour un Empire, , p.69-70.
  10. Marie-Laure Crosnier Leconte, « Le nouvel opéra », dans Bruno Girveau, Charles Garnier, un architecte pour un Empire, , p.234-237.
  11. Jean-Jacques Larrochelle, « Palais Garnier et Opéra Bastille : quels chantiers ! », lemonde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  12. Gisella Morello et Andrea Folli les séjours et l’œuvre à Bordigherra in Les riviera de Charles Garnier et Gustave Eiffel, op. cit., pages 87- 88.
  13. Steve 1998, p. 16-17.
  14. Béatrice Bouvier, « l’œuvre de Charles Garnier sur la riviera et la Côte d’Azur », dans Jean-Lucien Bonillo, les rivieras de Charles Garnier et Gustave Eiffel, , p.187-200.
  15. Steve 1998, p. 30-31.
  16. Steve 1998, p. 12.
  17. Steve 1998, p. 10-11.
  18. Andrea Folli et Gisella Morello, « Les fastes des salles Garnier au casino de Monte Carlo », dans Jean-Lucien Bonillo, les rivieras de Charles Garnier et Gustave Eiffel, , p.113-137.
  19. Françoise Leguet Tully, « Une commande d’exception », dans Jean-Lucien Bonillo, les rivieras de Charles Garnier et Gustave Eiffel, , p.15-45.
  20. (en) John Whitley, Mayville an anglo-french pleasaunce : its attraction and aims, Le Touquet-Paris-Plage, T. Fisher Unwin, Paternoster square London, 60 p. (lire en ligne)
  21. « Nécrologie », L'Abeille de Fontainebleau, vol. 64, no 32,‎ , p. 5/6 (lire en ligne Accès libre, consulté le )
  22. Maud Domange, « Un malade entouré », dans Bruno Girveau, Garnier et les cercles littéraires, , p.82-83.
  23. Ouvrage consultable dans son édition originale sur Gallica. Citation page 183. Notice BNF : FRBNF30482037.
  24. Bernard Comment: The Panorama, Reaktion Books, London, 2003, p. 68ff
  25. « Relevé d'une peinture du] Macellum (Panthéon) à Pompei en juin 51 », sur Cat'zArts
  26. a b c d et e Emmanuelle Brugerolles (dir.), Pompéi à travers le regard des artistes françaises du XIXe siècle, Beaux-Arts de Paris éditions, (ISBN 978-2-84056-502-4), p. 48-55
  27. « Relevé d'une peinture pompéienne à fond noir », sur Cat'zArts
  28. « Fragment d'une peinture de la maison dite du Poète tragique », sur Cat'zArts
  29. « Côté d'une chambre », sur Cat'zArts
  30. « Maison de la petite fontaine », sur Cat'zArts
  31. « Recueil de caricatures », sur Cat'zArts
  32. Emmanuelle Brugerolles (dir.), L’œil et la plume : caricatures de Charles Garnier, Beaux-Arts de Paris éditions, (ISBN 978-2-84056-344-0)
  33. Le Nouvel Opéra de Paris, vol. 1, 1878.
  34. Le Nouvel Opéra de Paris, vol. 2, 1881.
  35. Version numérisée de l’université de Heidelberg.
  36. Sur la bibliothèque numérique inha.fr.

Bibliographie

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Liens externes

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