Aller au contenu

Arzacq-Arraziguet

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Arzacq-Arraziguet
Arzacq-Arraziguet
Les arcades de la place de la République.
Blason de Arzacq-Arraziguet
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes des Luys en Béarn
Maire
Mandat
Jean-Pierre Crabos
2020 - 2026
Code postal 64410
Code commune 64063
Démographie
Gentilé Arzacquois
Population
municipale
1 048 hab. (2021 en évolution de −4,12 % par rapport à 2015)
Densité 69 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 32′ 12″ nord, 0° 24′ 41″ ouest
Altitude Min. 95 m
Max. 238 m
Superficie 15,26 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Artix et Pays de Soubestre
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Arzacq-Arraziguet
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Arzacq-Arraziguet
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Voir sur la carte topographique des Pyrénées-Atlantiques
Arzacq-Arraziguet
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Arzacq-Arraziguet
Liens
Site web arzacq.com

Arzacq-Arraziguet est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]
Représentations cartographiques de la commune
Carte
Mairie
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

La commune d'Arzacq-Arraziguet se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 31 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 26 km d'Artix[3], bureau centralisateur du canton d'Artix et Pays de Soubestre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune est par ailleurs ville-centre du bassin de vie d'Arzacq-Arraziguet[1]

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Vignes (1,1 km), Poursiugues-Boucoue (3,2 km), Méracq (3,6 km), Louvigny (3,6 km), Coublucq (3,9 km), Philondenx (4,0 km), Cabidos (4,2 km), Mialos (4,6 km).

Sur le plan historique et culturel, Arzacq-Arraziguet fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Pimbo, Philondenx, Cabidos, Garos, Louvigny, Poursiugues-Boucoue et Vignes.

Communes limitrophes d’Arzacq-Arraziguet[6]
Philondenx
(Landes)
Pimbo
(Landes)
Cabidos Arzacq-Arraziguet Poursiugues-Boucoue
Garos Louvigny Vignes

Hydrographie

[modifier | modifier le code]
Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Arzacq-Arraziguet.

La commune est drainée par le Luy, le Louts, le ruisseau l'arblech, un bras du Luy de France, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 17 km de longueur totale[7],[Carte 1].

Le Luy, d'une longueur totale de 154,5 km, prend sa source dans la commune d'Espoey et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Rivière-Saas-et-Gourby, après avoir traversé 65 communes[8].

Le Louts, d'une longueur totale de 85,7 km, prend sa source dans la commune de Thèze et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Téthieu, après avoir traversé 33 communes[9].

Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 123 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pomps à 12 km à vol d'oiseau[13], est de 14,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 062,2 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Milieux naturels et biodiversité

[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[17],[18],[19].

Au , Arzacq-Arraziguet est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[20]. Elle est située hors unité urbaine[1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[1]. Cette aire, qui regroupe 227 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[21],[22].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]
Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,5 %), prairies (31,9 %), forêts (9,9 %), zones agricoles hétérogènes (8,8 %), zones urbanisées (3,9 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Lieux-dits et hameaux

[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les routes départementales D 944 et D 946 ainsi que par les D 32 et D 264.

Deux lignes de bus la relient à Pau (Citram et Marette)[32].

Risques majeurs

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Arzacq-Arraziguet est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[33]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[34].

Risques naturels

[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Louts et le Luy. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1992, 2008 et 2009[35],[33].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Arzacq-Arraziguet.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[36]. 67,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 3]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[37].

Risque technologique

[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval de barrages de classe A[Note 5]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[39].

Le toponyme Arraziguet apparaît sous la forme altérée Raviguet (1793 ou an II[40]) et n’est pas mentionné sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[41]). Michel Grosclaude[41] indique que l’origine du toponyme est arrasic (« racine » en gascon), augmenté du suffixe collectif -etum, ce qui donne « amas de racines, souches ».

Le toponyme Arzacq apparaît sous les formes Arsac (1385[41], censier de Béarn[42]), Lo marcat d'Arsac (1542[31], réformation de Béarn[43]), marché auquel on venait de la Soule et le Basse-Navarre, Arzac (1620[41], relation du voyage de Louis XIII à Pau) et Arzac sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[41]).

Son nom, gascon, est écrit Arsac[44] ou Arzac[45]. L'hypothèse d'un ancien propriétaire gallo-romain *Arsius[46],[41] (dans un terroir alors aquitanien) ne tient pas. Arzac s'explique comme la contraction d'un *arrazac de même sens qu'Arraziguet (http://www.gasconha.com Arzacq-Arraziguet).

Cherre désignait un hameau d’Arzacq, mentionné par le dictionnaire de 1863[31].

Le toponyme Vialé apparaît sous la forme Le Vialé (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[31]).

Arzacq est une bastide à la limite de la Chalosse. Ancien évêché de Lescar mais Généralité d'Auch. Sa trève Vignes (Binhes) était en Béarn. Arzacq a été pénétré d'influences venues de la plaine béarnaises (architecture du XVIIIe s.).

Les 14 et 15 octobre 1620, Louis XIII fit étape à Arzacq en se rendant à Pau. Les deux jurats de la ville étaient alors Pierre Dubern et Dominique de Meylon. En 1790, le canton d'Arzacq comptait les mêmes communes qu'aujourd'hui à l'exception du village de Riumayou, mais avec la commune de Momas.

Arraziguet s'est unie à Arzacq le 7 septembre 1845[47].

En 1922, après la Première Guerre mondiale, Arzacq-Arraziguet parraine la reconstruction du village de Violaines dans le Pas-de-Calais. La commune s'engage, lors du conseil municipal du 24 juin 1922, à prendre à son compte le remboursement d'un emprunt de 100 000 francs sur 30 ans[48].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
av.1937 ? Fernand Mimbielle PPF Notaire, conseiller d'arrondissement du canton d'Arzacq-Arraziguet (1937-1940)
Les données manquantes sont à compléter.
1995 2020 Henri Fam    
2020 En cours Jean-Pierre Crabos    

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

Arzacq-Arraziguet appartient à trois structures intercommunales[49] :

Au 3 septembre 2019, Arzacq-Arraziguet est jumelée avec[50] :

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Le nom des habitants est Arzaqués, francisé Arzacquois[53],[54].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[56].

En 2021, la commune comptait 1 048 habitants[Note 6], en évolution de −4,12 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8107411 1001 0049769571 2861 3261 346
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3191 2961 2501 2241 2641 2291 1741 1431 077
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0911 1181 104986954959963906916
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
9589178658268078899781 0001 007
2014 2019 2021 - - - - - -
1 0821 0571 048------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[57] puis Insee à partir de 2006[58].)
Histogramme de l'évolution démographique

De 1793 à 1836, la population indiquée ne reflète que celle d'Arzacq, encore séparé d’Arraziguet, dont la population durant cette même période est décrite ci-dessous[40].

Évolution de la population
1793 1800 1806 1821 1831 1836
222254-303290290
(Sources : Cassini)

Enseignement

[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'une école élémentaire[59] et d'un collège[60].

Arzacq possède également une maison de la formation et un relais assistance maternelle.

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil

[modifier | modifier le code]

La période gallo-romaine[27] de la commune fait l'objet d'une description par le ministère de la Culture.

La commune possède un ensemble fortifié, nommé motte la Tourette[61], dont la construction s'est étendue du Xe siècle au XIVe siècle, et qui comprend une église, une basse-cour, une motte, un fossé et une enceinte.

Des fermes d'Arzacq-Arraziguet (lieux-dits Castetber[24], Gibardéou[26], Cruhot[25], Salles[29], Tristan[30]) datent du XIXe siècle.

De même un lavoir[28] fut construit au XIXe siècle près du lieu-dit Labère.

Des maisons de maître, du XVe siècle au XXe siècle sont également recensées par le ministère de la Culture telles que celles de la place du Marcadieu (maison Mimbielle[62] des XVIIIe et XXe siècles et une maison[63] du XVIIIe siècle, la poste[64] (XIXe siècle), des maisons de la place de la République[65] datant pour l'une des XVe, XVIe et XIXe siècles et d'autres[66] du XVIIIe et XIXe siècles[67], la maison presbytère[68] (XIXe siècle). Il faut également noter l'actuelle boucherie[69] de la place de la République qui date des XVe, XVIe et XXe siècles. Sur cette même place se dresse un manoir[70] qui tient ses origines du XVe siècle et qui a été remanié durant les siècles suivants, servant aujourd'hui de café.

Enfin un monument aux morts[71] de la guerre de 1914-1918 est également recensé par le ministère de la Culture (Inventaire général du patrimoine culturel) sur cette même place.

La mairie possède un tableau[72] de Paul Mirat représentant l'arrivée de Louis XIII à Arzacq le 14 octobre 1620.

Un musée du jambon se trouve à Arzacq, et retrace l'histoire du jambon de Bayonne.

Les arènes dédiées aux courses vasconnes ou courses de vaches "landaises" ont été rebâties.

Patrimoine religieux

[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Pierre[73] date du XIXe siècle. Elle recèle des sculptures[74],[75],[76],[77], divers mobiliers[78],[79],[80],[81],[82],[83] et vingt-trois verrières[84] d'Émile Thibaud, recensés par le ministère de la Culture (Inventaire général du patrimoine culturel).

Arzacq-Arraziguet est une étape sur la via Podiensis (ou route du Puy), l'un des chemins contemporains du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, qui part du Puy-en-Velay et se prolonge jusqu'au col de Roncevaux et, de là, à Saint-Jacques-de-Compostelle. À ce titre, le blason de la ville s'orne de trois coquilles.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason Blasonnement :
De gueules au lévrier courant d'or surmonté d'un croissant du même, au chef cousu d'azur chargé de trois coquilles aussi d'or.

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[38].
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique d'Arzacq-Arraziguet » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. a b c d et e Insee, « Métadonnées de la commune ».
  2. Stephan Georg, « Distance entre Arzacq-Arraziguet et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Arzacq-Arraziguet et Artix », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches d'Arzacq-Arraziguet », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa ab ac ad ae af ag ah ai aj ak al am an ao ap aq ar as at au av aw ax ay az et ba Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
  7. « Fiche communale d'Arzacq-Arraziguet », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  8. Sandre, « le Luy ».
  9. Sandre, « le Louts ».
  10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  13. « Orthodromie entre Arzacq-Arraziguet et Pomps », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Pomps » (commune de Pomps) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Pomps » (commune de Pomps) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  17. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Arzacq-Arraziguet », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Arzacq-Arraziguet », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Liste des espaces protégés sur la commune d'Arzacq-Arraziguet », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pau », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  24. a et b « La ferme du lieu-dit Castetber », notice no IA64000207, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  25. a et b « La ferme du lieu-dit Cruhot », notice no IA64000205, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  26. a et b « La ferme du lieu-dit Gibardéou », notice no IA64000206, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. a b et c « Présentation de la période gallo-romaine », notice no IA64000004, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. a et b « Le lavoir du lieu-dit Labère », notice no IA64000003, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. a et b « La ferme du lieu-dit Salles », notice no IA64000203, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. a et b « La ferme du lieu-dit Tristan », notice no IA64000202, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. a b c et d Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne).
  32. Page transports sur le site de la commune
  33. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Arzacq-Arraziguet », sur Géorisques (consulté le ).
  34. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  35. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  36. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  37. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  38. Article R214-112 du code de l’environnement
  39. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  40. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Arraziguet », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
  41. a b c d e et f Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059).
  42. Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne).
  43. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  44. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF] (consulté le ).
  45. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
  46. Page histoire du site de la mairie
  47. « Présentation de la commune », notice no IA64000148, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  48. « Violaines, un village du Pas-de-Calais reconstruit grâce aux Béarnais d'Arzacq », sur larepubliquedespyrenees.fr, La République des Pyrénées, (consulté le ).
  49. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  50. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des affaires étrangères (consulté le ).
  51. Annuaire des villes jumelées
  52. Page jumelage du site de la commune
  53. Gentilé sur habitants.fr
  54. Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux : Pyrénées-Atlantiques, Paris, Archives et Culture, , 167 p. (ISBN 978-2-35077-151-9, BNF 42089597).
  55. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  56. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  57. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  58. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  59. Site de l'école élémentaire
  60. Site du collège d'Arzacq
  61. « La motte la Tourette », notice no IA64000006, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  62. « La maison Mimbielle », notice no IA64000195, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  63. « La maison du XVIIIe siècle de la place Marcadieu », notice no IA64000199, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  64. « La poste », notice no IA64000200, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  65. « Une maison de la place de la République datant des XVe, XVIe et XIXe siècles », notice no IA64000008, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  66. « La maison de XVIIIe siècle de la place de la République », notice no IA64000198, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  67. « La maison du XIXe siècle de la place de la République », notice no IA64000197, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  68. « La maison presbytère », notice no IA64000196, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  69. « L'ancienne boucherie de la place de la République », notice no IA64000194, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  70. « Le manoir de la place de la République », notice no IA64000007, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  71. « Le monument aux morts », notice no IA64000005, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  72. « Le tableau de Paul Mirat », notice no M64002820, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  73. « L'église Saint-Pierre », notice no IA64000002, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  74. « Le Christ en croix de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002652, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  75. « Vierge à l'Enfant de l'église Saint-Pierre », notice no PM64000043, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  76. « Le groupe sculpté (petite nature) : Vierge à l'Enfant entourée d'anges », notice no IM64002656, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  77. « Christ en croix de l'église Saint-Pierre », notice no PM64000043, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  78. « Le mobilier de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002653, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  79. « Le mobilier de l'église paroissiale Saint-Pierre (liste supplémentaire) », notice no IM64002781, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  80. « La clôture de chœur de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002736, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  81. « Les autel, gradin d'autel, tabernacle (maître-autel) de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002735, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  82. « Les fonts baptismaux de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002655, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  83. « Le bénitier de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002654, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  84. « Les verrières de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002737, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.