Armorial et nobiliaire de Savoie
L'armorial et nobiliaire de Savoie recense les familles nobles et notables qui ont possédé des fiefs en Savoie — Savoie propre, Avant-pays savoyard/Bugey savoyard, Chablais, Genevois, Faucigny, Maurienne, Tarentaise —, correspondant aux départements français actuels de la Savoie et de la Haute-Savoie. Le titre de l'article reprend en partie celui de l'Armorial et nobiliaire de l'ancien duché de Savoie du comte Amédée de Foras, et continué par le comte François-Clément de Mareschal de Luciane, 5 volumes publiés entre 1863 et 1938. Ces travaux répertorient 263 familles.
Les familles sont répertoriées par ordre alphabétique, avec leurs armoiries, sous forme de figures et de blasonnements, et leurs devises ; la période de subsistance (mentionnée, attestée et éteinte) et leurs possesions.
Pour les familles au service de la maison de Savoie ayant possédé des biens dans les autres territoires des États de Savoie (Bresse, Bugey, Genevois, Nice, Piémont, Valais, vallées d'Aoste et de Suse, pays de Vaud, etc.), se référer aux articles connexes.
Tableau des familles nobles
Selon les historiens Léon Menabrea (1938)[1] ou Bernard Demotz (2000)[2], on peut ainsi distinguer pour la Savoie, au cours de la période médiévale, plusieurs ordres dans la hiérarchie des familles féodales constituée d'une soixantaine de familles, suivis de leurs bannerets.
- les familles comtales ou assimilées : la dynastie des Humbertiens ou Maison de Savoie, comtes de Maurienne devenus comtes, puis ducs de Savoie (Etats de Savoie) ; la Maison de Genève, comtes de Genève (Genevois-Faucigny) ; la Maison de Faucigny (Faucigny) ; ainsi que les Thoire-Villars (Bugey) ou encore les Beaujeu (Beaujolais-Bresse) ;
- les familles vicomtales ou assimilées : les Seyssel, vicomte autour de Yenne/Lac d'Aiguebelette ; les La Chambre, vicomte en Maurienne ; les Challant, vicomte d'Aoste ; les Briançon, puis la branche des Aigueblanche, vicomte de Tarentaise ; les Miolans, vicomte d'Aiguebelle ; ainsi que les Grandson, en Pays de Vud) ; les Allinges ou les Blonay en Chablais ; les La Baume en Bresse ; les Menthon en Genevois.
- les familles baroniales : les familles de Chevron, Chignin, Montmayeur pour la Savoie ; les familles de Gerbais, Montbel en Novalaise ; les familles de Ternier, Viry, Compey, Sallenove en Genevois[3].
À ces principales familles féodales, il faut compter les seigneurs ecclésiastiques, souvent issus de ces mêmes familles importantes, parmi lesquelles on retient les évêques puis archevêques-comtes de Tarentaise, les évêques de Genève, les évêques de Maurienne.
Pour Louis Comby, on compterait pour cette période plus de 250 familles aristocratiques féodales en Savoie[4]. À partir du XVe siècle, le duché de Savoie compte environ 1 420 familles nobles, dont le quart était domicilié à Chambéry[5].
A
Blason | Nom de la famille, blasonnement et devise | Période, possessions |
---|---|---|
Famille d'Albier, d'Alby ou d'Albiez
Losangé de gueules et d'argent et/ou De gueules à la bande d'or chargée d'un vol (deux ailes), alias d'un demi-vol (une aile) de sable.[Foras 1],[6] Selon Foras, deux familles portent ce patronyme et seraient probablement de souche commune[Foras 1] :
|
Vers les XIIe au XVe siècle[6] — Éteinte au XVIIIe siècle[Foras 1]. Maurienne, Bauges-Alby et Genevois. Seigneurs de La Croix (La Croix-de-la-Rochette-Maurienne), Le Châtelard (Bauges)[7], Montpon (Alby-Albanais)[7]. | |
Famille de L'Alée, L'Allée ou Lalée (La Lée)
D'argent, à la bande d'azur accompagnée de deux étoiles du même, au chef de gueules chargé d'un croissant d'or. (autres variantes)[Foras 2]. Devise : Beatae Virginis letae[réf. nécessaire] |
v. XVe siècle — Preuves de noblesse en 1723[Foras 2]. Originaire d'Annecy (Genevois)[Foras 2]. Seigneurs et barons (XVIIe siècle)[8] de la Tournette (Tornette) et de Songy (Saint-Sylvestre - Albanais), coseigneurs de La Val des Clets et de Manigod (Genevois), seigneurs des Molettes (Savoie)[Foras 2]. | |
Famille d'Alexandry d'Orengiani (anciennement Orengiani)
Écartelé : aux 1 et 4, d'azur, à trois soleils d'or ; aux 2 et 3, parti d'or et d'azur, à l'oranger de sinople fruité d'or.[Foras 3],[CEA 1]. Foras indiquait n'avoir aucune information sur le passage du nom Orengiani après celui d'Alessandri, ni pourquoi les armes ont été inversées[Foras 3]. Couronne de baron |
Mention XIe siècle — Filiation prouvée depuis le XVIe siècle — Preuves de noblesse en 1723[Foras 3],[CEA 1]. Subsistante en 2024[9]. Originaire d'Ivrée (Piémont)[Foras 3],[CEA 1]. Mariage d'un Orengiani avec l'héritière des Alexandry, au XVIe siècle[Foras 3],[CEA 1]. Preuves de noblesses du à la Chambre des comptes de Savoie[Foras 3],[CEA 1]. | |
Maison d'Allinges
De gueules, à la croix d'or.[Foras 4],[Borel 1] Devise : Sans varier[Foras 4] |
Vers le XIe siècle — Éteinte au XIXe siècle (branche Allinges-Coudrée dont le dernier représentant meurt en 1840)[Foras 4]. Originaire du Chablais. Selon Grillet, les chefs de familles sont dits « Princes »[10]. Marquis de Coudrée, de Lullin, de Ternier, de Seyssel-La Chambre ; comtes de Langin, de La Valdisère, de L'Hueuille, d'Apremont, de Montréal ; Vicomtes de Tarentaise ; Barons de Larringes, de Montfort, de Montfalcon, etc.[Foras 4] | |
Famille Amblard de Chignin
D'argent au lion de gueules, à la fasce d'azur brochante chargée de trois roses du champ.[Foras 5] |
XIIIe siècle — XVIe siècle[11]. Noble, mais absence de titres[Foras 5]. Se réclamant descendre de la famille de Chignin (sans preuves)[Foras 5]. | |
Famille d'Ameysin
D'argent à la bande de gueules chargée de trois coquilles d'or.[Foras 6],[12] |
Mentionnée au XIIe siècle ou XIIIe siècle[Foras 6]. Seigneur d'Ameysin, Le Villard (Comté de Savoie). | |
Famille d'Andrevet
D'argent, à trois fasces de sable, à la bande de gueules brochant sur le tout.[Foras 7],[Borel 2] Cimier un lévrier de sable colleté d'argent.
|
Anoblie au XIVe siècle — Éteinte au XVIe siècle[Foras 7]. Originaire de Montmélian (Comté de Savoie), installée en Bresse. Seigneurs puis barons (XVIe siècle) de Corsant (Pont-de-Veyle) ; seigneurs de Beaurepaire, Montfalcon, d'Albens, Saint-Julien[Foras 7]. | |
Famille d'Angeville, d'Angeville de Beaumont
De sinople à deux fasces ondées d'argent.[Foras 8],[CEA 2] Devise : In his renascimur omnes (Nous renaissons tous en eux)[Foras 8],[CEA 2] |
Etablie en Genevois au XVe siècle[Foras 8] — Branche du Bugey (XVe siècle)[CEA 2]. Originaire du Bassigny (Champagne)[CEA 2], établie à La Roche (1440)[13]. Seigneurs de/du Mestral, de Chesnay (Chenex), du Vidomnat des Bornes, d'Espagny, de Doudens et de Lambert ; barons de Ternier (1611)[14], de Lornay, d'Allonsier (1700) et de Villy-le-Pelloux (1700) (Savoie) ; Seigneurs de Montveran, de Culoz (1698), de Landaise (1698), et comtes de Lompnes (1657), en France[Foras 8]. | |
Famille d'Arenthon
Bandé d'argent et de gueules.[Foras 9],[15] Probablement issue de la Maison de Faucigny, voire des Faucigny-Lucinge[Foras 9],[16]. Prend le nom d'Arenthon d'Alex au XVe siècle, à la suite du mariage de Marguerite d'Alex et de Pierre d'Arenthon.
|
Apparue vers le XIIIe siècle — Éteinte. Baron d'Arenthon (Faucigny)[Foras 9]. Seigneurs d'Alex, Châtillon (Terreaux) (1530)[17], Ferrières, Monterre (?) ; coseigneurs de La Val des Clets et de Manigod (Comté de Genève)[Foras 9]. | |
Famille d'Arlod, d'Arloz, d'Arlos ou encore d'Arlo (en latin de Arlosio, de Arloz, de Arlodo)
D'argent au lion de sable, armé et lampassé de gueules ou de sable au lion d'argent.[Foras 10],[CEA 3] Support & cimier : Trois taureaux[CEA 3] |
Apparue vers le XIIe siècle. Éteinte en Savoie, nom relevé en France par la famille Bouillet[Foras 10]. Originaire de Mons (Comté de Genève), selon Foras[Foras 10], ou du Bugey, selon Guichenon et Chaix d'Est-Ange[CEA 3]. Seigneur d'Arlod, Mons (Comté de Genève)[Foras 10]. Possessions en Semine, en Michaille, dans le Chablais et dans les bailliages de Ternier et Gaillard[Foras 10]. | |
Famille d'Arvillard, Arvillars (d') ou encore Altvillars (d')
D'or à l'aigle éployée d'azur, couronnée, becquée et membrée de gueules.[Foras 11] Devise : Nube Altius (Au-dessus des nuages)[Foras 11] |
Apparue vers XIIe siècle (selon Foras)[Foras 11], mais mentionnée en 1058[Note 1]. Audise, dernière héritière des nobles d'Arvillard, épouse en 1341 Humbert, bâtard du comte Aymon de Savoie[Foras 11],[19], donnant naissance à la branche des Savoie-Arvillard (1341-1628), puis achat par la famille de Milliet, en 1628[20]. Installée en vallées du Gelon, du Bens et du Bréda (Comté de Savoie). Seigneur d'Arvillard et de la Bastie-d'Arvillard[Foras 11]. Une branche cadette semble subsister en Dauphiné voisin[Foras 11]. | |
Famille d'Avalon
De gueules, à l'aigle bicéphale d'argent.[Foras 12] |
Apparue vers le XIe siècle[Foras 12]. Seigneur de Saint-Pierre-sur-Isère ou Sous-Conflens, de Blay, coseigneur de la vallée de Bozel (Tarentaise)[Foras 12]. Nombreux domaines sur la rive gauche de l'Isère jusqu'en Graisivaudan[21]. |
Ba
Blason | Nom de la famille, blasonnement et devise | Période, possessions |
---|---|---|
Famille de Ballaison, ou Bal(l)aison (de), Bal(l)eyson (de) ou Bal(l)ayson (de) ou Bal(l)eison (de)
D'hermine à une bande de gueules.[Foras 13],[Borel 2] |
Première mention en 1138[22] — Éteinte au XVIe siècle. Baron d'Hermance et de Beauregard (Chens-sur-Léman), seigneur d'un puis des deux châteaux ainsi que du mandement de Balleyson, du Vidomne des Bornes, seigneur d'Avanchy, de Boisy, de Chavannex, de Loisin, de Saxel (Chablais)[Foras 13]. | |
Famille de La Balme et/ou Apremont, puis La Balme d'Apremont
Fascé d'or et de sable ou Fascé d'or et de sable de 6 pièces., Bandé d'or et d'azur de 6 pièces., d'or à 2 fasces de sable. (Besson)[Foras 14] ou encore De gueules à la croix d'argent. (Guichenon), alaisée ou pleine.[Foras 14] Les historiens régionaux considèrent que les La Balme et les Apremont seraient une même famille[Note 2], qui prendra le nom de La Balme d'Apremont (à partir du XVe siècle). |
Mention fin du Xe siècle[24] / début du XIe siècle — Éteinte au XVe siècle[Foras 14]. Originaire d'Apremont (Combe de Savoie-Chartreuse). Richard Vacher ou d'Apremont (cité en 1132) serait à l'origine de la branche noble des La Balme d'Apremont[23],[25]. Seigneur d'Apremont, Avressieux (1323-1345, 1402)[26], des Marches, Entremont-le-Vieux (Savoie Propre), Silans (Corbonod). Les bien passent ensuite à différentes familles : Rivoire, Montmayeur[Foras 14]. | |
Famille de La Balme
D'or à la bande d'azur.[Foras 15]
|
Apparu vers la fin du XIe siècle[Foras 15]. Originaire du Bugey, dont deux rameaux installés en Savoie. Seigneurs des Terreaux (Valromey), de Longefan et de la Molière (Savoie)[Foras 15]. | |
Famille de La Balme (de Balmâ)
De gueules à la fasce d'or accompagnée en chef d'une étoile de même et d'un oiseau d'argent en pointe.[Foras 16] |
Première mention en 1233[27] — Éteinte vers 1646[Foras 16]. Originaire de Montvernier (Maurienne). | |
Famille de La Baume, La Baume de Montrevel (de)
D’or, à la bande vivrée d’azur.[CEA 4],[Jougla 1]. Cimier : Un cygne d'argent, ailé de sable.[CEA 4],[Jougla 1] |
Premières mentions au XIIe siècle — Filiation XIVe siècle[Jougla 1] — Éteinte (1794) par décapitation du dernier représentant[CEA 4]. Originaire de la Bresse. Seigneur puis comte (1418) puis marquis de Montrevel, marquis de Saint-Martin (1584)[Jougla 1]. Baron de Cusy. Seigneur de Mont-Saint-Sorlin. | |
Famille de Bavoz, Bavoux (en latin : bavisilien)
De sable au mufle de lion d'argent.[Foras 17] |
Apparue au XVe siècle — Anoblie (XVIIe siècle) — Éteinte en 1775[Foras 17]. Originaire de Billième (Bugey savoyard). Domaines à Ruffieu et Serrières (Comté de Savoie). |
Be à By
Blason | Nom de la famille, blasonnement et devise | Période, possessions |
---|---|---|
Famille de Beaufort
De gueules au lion d'argent. (armé et lampassé d'azur)[Foras 18],[28]
|
Mentionnée au Xe siècle — Filiation XIVe siècle — Éteinte au XVIIIe siècle[Foras 18]. Originaire de Beaufort (Beaufortain). Vicomte de Tarentaise et seigneur de la Val-d'Isère (1346 en échange de la terre de Beaufort), barons du Bois, Chevron, Montailleur. Seigneurs en Albanais, Beaufortain, Genevois, Savoie et Tarentaise[Foras 18]. | |
Famille de Bellegarde
Palé d'argent et de sable de six pièces, à la fasce de gueules, chargée de trois casques d'or.[Foras 19],[CEA 5] Timbre : « un heaulme en porfil duquel issit un bras armé de son brassal tenant une lance à la main avec la devise : NON VI SED VIRTUTE ET ARMIS. »[Foras 19],[CEA 5].
|
Mentionnée vers le XIIIe siècle — Éteinte au XVIIIe siècle — Branche naturelle[CEA 5]. Originaire de Magland (Faucigny). Seigneur de Brens, Buffavent, Disonce, Foncenex-Veigy, Miribel, Montagny, Pontier, Praz, Pressin, Saint-Cergues, Saint Disdille, Thorens, Vigny, Vongy[Foras 19]. | |
Famille de Belletruche
Ecartelé: aux 1 et 4, d'argent, à deux fasces d'azur; aux 2 et 3, de gueules plain.[Foras 20] |
Mentionnée vers le XIVe siècle — Éteinte au XVIe siècle[Foras 20]. Originaire probablement de Chambéry[Foras 20]. Possessions en Tarentaise et Pays de Vaud[Foras 20]. | |
Famille de Bertrand (Bertrandi ou Beltrandi) ou Bertrand de La Pérouse
D'or, à un lion de sable, armé, couronné et lampassé de gueules.[Foras 21],[Borel 3] Devise : Sapient et confident |
Établie en Tarentaise et Savoie vers le XIIIe siècle[Foras 21]. Originaire probablement de Suse (Val de Suse-Piémont). Seigneurs en Piémont, Savoie, Bresse et Bugey[Foras 21]. | |
Famille de Blonay
De sable, semé de croisettes d'argent, au lion d'or sur le tout.[Foras 22],[CEA 6],[Borel 4] Branche chablaisienne : De sable, au lion d'or armé et lampassé de gueules.[Foras 22],[CEA 6]. Couronnes de baron, de marquis ou de comte[Foras 22] Supports : deux griffons ou deux lions d'or — Cimier : un griffon issant d'or, ou un lion ailé d'or[Foras 22],[CEA 6].
|
Apparu au XIIe siècle[29]. Baron de Blonay (Vaud). Possessions sur les deux rives du Léman[Foras 22] | |
Famille de Boëge
Écartelé d'or et d'azur. ou D'or, écartelé d'azur.[Foras 23] Devise : "nescit labi virtus"[Foras 23] |
Apparu vers le XIe siècle, éteinte vers le XVe siècle[30]. Originaire du Faucigny[Foras 23]. | |
Famille de Boigne, anciennement Le Borgne (Le Borgne de Boigne)
D'azur, au lion d'or, plantant une épée d'argent au sommet d'une montagne au naturel, mouvant de la pointe.[Foras 24],[Jougla 2] Couronne de comte |
Anoblie comte en 1816[Foras 24]. Originaire de Picardie, installée en Savoie au début du XVIIIe siècle[Foras 24]. Benoît de Boigne créé comte héréditaire par le Roi de Sardaigne en 1816[Foras 24],[Jougla 2]. | |
Famille Bonivard (latin Bonivardi)
D'or à la croix de sable, chargée de cinq coquilles d'argent.[Foras 25] |
Accède au rang de la noblesse au cours du XIIIe siècle ou du XIVe siècle[Foras 25]. Originaire de Chambéry, famille bourgeoise (Comté de Savoie)[Foras 25]. Seigneurs en Savoie, Bugey et Pays de Gex[Foras 25]. | |
Famille Bouvier (Bovier), Bouvier d'Yvoire
De gueules à la fasce d'argent accompagnée de trois écussons du même posés 2 et 1.[Foras 26],[31] Devise : Festina lente (hâte-toi lentement)[Foras 26],[31] |
Mentionnée au XIVe siècle[31] — Anoblie vers le XVIIe siècle[Foras 26]. Originaire de Lompnes (Bugey)[31]. Possessions en comté de Genève, Faucigny, Vaud[Foras 26]. | |
Famille de Bracorens, Bracorens de Savoiroux ou encore Brascorens
D'azur, au pal d'or, chargé de trois coquilles de sable.[Foras 27] Cimier : un bras armé brandissant une épée |
Anoblissement par LP (1590)[Foras 27]. Seigneurs de Boëge, de Rochefort et de Salins Faucigny. Vicomte de Maurienne, comte de Salins, seigneur de Bracorens, Saint-Laurent-de-la-Côte, de Savoiroux[Foras 27]. | |
Famille de Briançon (parfois Brianson)
D'argent, à l'aigle de gueules membré et becqué d'azur.[32] Joseph Garin indique que « l'aigle a été pris aux empereurs d'Allemagne [...] dont les Briançon avaient reçu le titre de vicomtes de Tarentaise. »[32] Devise : Unguibus et Rostro (des ongles et du bec)[32].
Tant pour les Briançon que pour les Aigueblanche, de Foras renvoie vers les Montmayeur[Foras 28],[Foras 29]. L'historien Félix Bernard « considérait que la famille seigneuriale de Montmayeur est issue de celle des Briançon-Aigeblanche »[36]. Il précise « Tandis que cette branche aînée s'installa exclusivement en Dauphiné, à partir de 1289, et garda le nom de Briançon, une branche savoyarde qui tenait ses biens « de l'alberge de Brianczon » s'appela Montmayeur »[36].
|
Apparue au IXe siècle — Branche aînée savoyarde éteinte mi-XIIIe siècle — Branche Aigueblanche (1349/1355)[32],[34] — Branche dauphinoise (fin XVIIe siècle)[33]. Originaire d'Aime (Tarentaise)[34]. Vicomte de Tarentaise[34]. En Savoie : Seigneur de Cur (ou Cœur), d'Aigueblanche, de Feisson. En Dauphiné : Bellecombe, Varces, Le Touvet, La Terasse, Saint-Ange, Eybens, Gières[33]. Les titres et possessions de la branche savoyarde passent par mariage, de Léonette Aigueblanche-Briançon († /1355) à la maison de Montmayeur[32],[34]. Le nom et armes de la branche dauphinoise passent à des cousins, les de Vachon[33],[CEA 7]. | |
Famille de Brotty d'Antioche
De gueules à trois sautoirs d'argent.[Foras 30],[CEA 8]. Besson ajoutait qu'il y avait aussi un croissant de même en abîme.[Foras 30],[CEA 8] |
Filiation à partir du début du XVe siècle — Noblesse obtenue pendant l'occupation bernoise et la possession de fiefs nobles, confirmation ducale par arrêt du [Foras 30],[CEA 8] — Subsistante en 2024[9]. Originaire du Chablais. Substitué aux nom et armes de la famille d’Antioche, à la suite d'une alliance de 1570. Comtes. Seigneurs et coseigneurs de Nernier, Messery, coseigneurs de la rente de Neuvecelle, etc.[Foras 30],[CEA 8] | |
Famille de Buttet
De sable aux trois butes d'or entrelacées, deux en sautoir et une en pal.[Foras 31],[Borel 5],[CEA 9] Devise : La vertu mon but est.[Foras 31],[CEA 9] |
Mentionnée au XVe siècle — Anoblie par LP en 1460 — Branche aînée éteinte (1914)[Foras 31]. Originaire d'Ugine (comté de Savoie). Baron du Bourget (Le Bourget-du-Lac), comte de Tresserve, seigneurs en Savoie et en Genevois[Foras 31]. |
Ca à Ch
Blason | Nom de la famille, blasonnement et devise | Période, possessions |
---|---|---|
Famille de Candie
De gueules, semé de fleurs de lis d'or, à la bande d'azur, brochant sur le tout.[Foras 32],[Borel 6] Devise : Tout à rebours[Foras 32] (La devise des Candie rappelle que comme l'écrevisse, les sages quelquefois marchent à reculons). |
Qualifiée de noble au XIVe siècle[Foras 32] — Branche savoyarde éteinte au XVIe siècle[Foras 32] — Branche bressane (?). Originaire de Chambéry-le-Vieux, famille bourgeoise (Savoie). Possession du château auquel ils donnent le nom au XIVe siècle, ainsi que de nombreux biens à Chambéry-le-Vieux. Seigneur de Candie, Chaffardon (Saint-Jean-d'Arvey), Salagine (Bloye)[Foras 32]. | |
Famille Capré de Megève
D'azur à une tête et col de chêvre coupés d'argent au chef d'or.[Foras 33],[CEA 10],[37] Couronne : Comte[CEA 10] |
Mentionnée au XIIe siècle[Foras 33] — Anoblie au XVIIe siècle et filiation suivie[CEA 10] — Subsistante en 2020[38]. Originaire probablement du Piémont, installée en Faucigny au XIIe siècle[Foras 33]. Comtes de Megève. Seigneur de Bellecombe (1681), de Bonport, du Crest-Voland (1681), de Megève (1681)[Foras 33]. | |
Famille de Castagnery de Bourgneuf
P. d'or au châtaignier de sinople sur une motte de même, ou d'or au châtaignier arraché de sinople fruité de 4 fruits du champ. (Les Preuves de Malte donnent les deux versions)[Foras 34], ou encore d'or à un châtaignier de sinople planté sur une motte du même (aliàs arraché), fruité de quatre fruits du champ.[CEA 10] |
Filiation pour preuve de noblesse à partir de 1550[Foras 34] — Subsistante en 2024[9]. Originaire du Piémont, peut-être de la famille italienne Castagna[Foras 34]. Barons de Châteauneuf (Maurienne)[Foras 34]. | |
Famille de Cervens
D'argent au cerf effrayé de gueules, sommé d'argent et brisé à l'épaule d'un croissant de même, au chef d'azur[Foras 35]
|
Mentionnée au XIIe siècle — Éteinte à la fin du XVe siècle[39]. Originaire du Chablais. Seigneurs de Cervens, de La Rochette, de Savy (maison-forte de Save, Margencel) ; coseigneurs de Ayens, de Brens et de Buffavent, en Chablais[Foras 35]. | |
Famille de Chabod, parfois Chabod-Lescheraine ou encore Chabod/Jacob de l'Echerenne
porte : D'azur, à trois fleurs de lys d'argent 2 et 1, au chef de même chargé d'un lion issant de sable lampassé de gueules.[Foras 36] Cimier : une lice issant d'azur[Foras 36] ou Un lévrier naissant d'argent, accolé de sable, lampassé de gueules[40]. |
Anoblie au XVe siècle[Foras 36]. Originaire de Chambéry, famille bourgeoise (Savoie). Seigneurs (anobli en 1440), comtes puis marquis de Lescheraines (1682), Saint Maurice (1635) ; barons de Crête, Lupigny, Saint-Jeoire ; seigneurs d'Aiguebelette, Aisone, Arith, Cengle, Chiron, Chitry, La Dragonnière, Féterne, Grésin, Hauteville, Jacob, Mionaz, Monet, Thusy, Travernay, Troche et Douvaine, Villeneuve (achat en 1401), coseigneurs de Peillonex[Foras 36]. | |
Famille de Challes
D'argent à la croix ancrée de sable.[Foras 37] |
Filiation du XIVe siècle jusqu'au XVIIe siècle[Foras 37]. Originaire de Challes (Bresse, partie de Bourg-en-Bresse). Un descendant obtient la seigneurie du Puy (Triviers), donnant son nom à Challes (Savoie). Seigneurs de Barberaz-le-Gras, de Challes, de Corgenon, de Gras, de Monterminod et du Puy[Foras 37]. Vente des titres à Louis Milliet, qui relève le titre (1569)[41]. | |
Maison de La Chambre
D'azur, semé de fleur de lis d'or, à la bande de gueules brochant sur le tout.[Foras 38],[Borel 6] Devise : Altissimus nos fundavit[Foras 38].
|
Apparue au XIe siècle[42] — Éteinte au XVe siècle. Originaire de La Chambre (Maurienne). Vicomte de Maurienne, etc.[Foras 38]. Les noms, titres et biens passent à la famille de Seyssel, donnant naissance à la branche des La Chambre Seyssel. | |
Famille de Charansonay, parfois Charanson(n)ex (Chalansonay, Chalanczonay, Charançunai, Chalansonnex)
D'or, au lion de sable armé et lampassé de gueules.[Foras 39] |
Mentionnée fin XIIIe siècle[Foras 39]. Originaire du comté de Genève. Seigneurs de Charansonnay, Charanson(n)ex, Chalansonnex, (Massingy, de Malagny, de Saint-Marcel, de Puisgros[Foras 39]. | |
Famille de Châtillon du Chablais ou Châtillon-Larringe
Fascé d'azur et d'argent (alias d'azur à trois fasces d'argent), à la cotice de gueules, brochante sur-le-tout.[Foras 40],[CEA 11] |
Attestée en 1286[43] — Branche de Larringe(s) éteinte en 1701[CEA 11]. Originaire du Chablais. Probable branche des Châtillon de Michaille[43]. Seigneurs en Chablais[Foras 40]. | |
Famille de Châtillon de Michaille
D'argent à la croix de gueules.[Foras 41] |
Remonterait au XIIe siècle[Foras 41]. Seigneurs en Bugey savoyard[Foras 41]. | |
Famille de Chavan(n)es, ou Chavanne (de) ou La Chavanne (de)
De gueules, à trois quintefeuilles d’argent, rangées en bande, au chef d’azur chargé à dextre d’une quintefeuille d’argent.[Foras 42] d'azur, à trois quintefeuilles d'argent, rangées en bande, au chef du champ, chargé à dextre d'une autre quintefeuille d'argent, selon l'Armorial de Rietstap. |
Mentionnée vers la fin du XVe siècle. Foras indique que « les Chavannes, comme plusieurs des bourgeois de Rumilly, se qualifiaient de nobles, et que cette habitude, ou bien la possession de biens nobles, les a fait inscrire parmi les vrais nobles. »[Foras 42] — Éteinte en 1760[Foras 42]. Originaire de Rumilly (Albanais). Seigneurs de Corbonnex, Motz, Reynex/Reinex et de la maison forte de Manessy[Foras 42]. | |
Famille de Chevelu
D'argent au chef endenté de trois pointes de sable.[Foras 43] |
Remonterait au XIIe siècle — Éteinte à la fin du XVIe siècle[Foras 43]. Originaire du comté de Savoie. Seigneurs de Chevelu ou Cinne et maison forte de Prélian à Saint-Jean-de-Chevelu, Châtelard, Lucey[Foras 43]. | |
Maison de Chevron Villette
D'azur au chevron d'or chargé d'un chevron de gueules accompagné de trois lionceaux d'or, deux affrontés en chef et un en pointe.[Borel 6],[Foras 44],[CEA 12] Union de :
Couronne de comte |
Remonterait au XIIe siècle — Filiation à partir du XIVe siècle[Foras 44],[CEA 12]. Subsistante en 2024[9]. Originaire de Tarentaise (Villette) et Combe de Savoie (Chevron). Barons, puis comtes de Chevron, de Montjoye ; barons de L'Orme, Villette en Tarentaise[Foras 44]. | |
Famille(s) de Chignin, ou de Chinins, de Chynin, de Cignin, de Cheynin, de Chenin ; Ciniensis, a Cinio, de Cheyno, de Chignino, de Chinino
De gueules, au chevron d'hermines.[Foras 45]
|
Mentionnée à partir de la deuxième moitié du XIe siècle[45] jusqu'au milieu du XIIIe siècle — Branches cadettes portent ensuite le nom[46]. Originaire de Chignin (Combe de Savoie). Seigneurs de la Biguerne (Chignin), de la place de Chignin, de Saint-Jeoire, de La Place (Thyez), de Troches (Douvaine), co-seigneurs de Naix et Fleyrier (Taninges)[Foras 45]. | |
Famille de Chissé (de Chissy, de Chissey, de Chissay, de Chissiaco, de Chessiaco, de Cheyssie, de Chesie, de Chessie, de Chissier, de Chissy, de Chessyer)
Parti d'or et de gueules, au lion de sable, armé, villené et lampassé de gueules, brochant sur le tout.[Borel 6],[Foras 46],[CEA 13],[47],[48]
Devise : Toujours[Foras 46],[CEA 13],[47],[48]. |
Mentionnée vers le XIIe siècle[48] — Éteinte dans les mâles (XVIIe siècle)[CEA 13]. Originaire de Chissé, environs de Sallanches (Haute-vallée de l'Arve), feudataires des barons de Faucigny. Comtes de Challant (Val d'Aoste) ; barons de Marcosse (Faucigny) ou la Marcousse (Dauphiné) ; seigneurs en Faucigny, Genevois Savoie et Dauphiné[Foras 46],[48]. |
Ci à Cy
Blason | Nom de la famille, blasonnement et devise | Période, possessions |
---|---|---|
Famille de Clermont-Mont-Saint-Jean
De gueules à deux clefs d'argent en sautoir.[Foras 47],[49],[CEA 14] Cimier : Deux clefs de l'Église, surmontées d'une thiare papale d'or.[Foras 47],[49] |
Mentionnée en Savoie au début du XIVe siècle[Foras 47] — Éteinte par les mâles en 1868[CEA 14]. Originaire du Dauphiné, branche cadette de la Maison de Clermont-Tonnerre[Foras 47],[49]. Seigneurs, puis barons, comtes et marquis (1732) de Mont-Saint-Jean et de La Bâtie d'Albanais (1681) ; comtes de Sacconay et de Saint-Cassin, barons de Flaxieu ; seigneurs Saint-Pierre de Soucy, Sainte-Hélène-du-Lac, Rubaud, du Fléchet, de Verel, La Colliette, Montferrand, Mecoras, Truaz, Grésy, Dérée, Montfalcon, Gaillard, Martignat, Matafelon, Villarcia, Les Terreaux, La Balme, etc.[Foras 47] | |
Famille des Clets, Clés (des), Clez (des), Clées (des)
De gueules à la croix d'or chargée de cinq étoiles d'azur[Foras 48]. |
Mentionnée dès le XIe siècle — Branche aînée disparait vers la fin du XVIe siècle[Foras 48]. Originaire du Val des Clets. Seigneurs de et dans la Val des Clets, etc.[Foras 48] | |
Famille du Clos, parfois Duclos (Cloux (du), Clouz (du), Cloz (du)), dite du Clos du Fresnoy, comtes de Bonne
P. écartelé : au 1er d’argent à la fasce de gueules au chef enmanché de 4 pièces de sable; au 2e d’or à la fleur de lys de sable, qui est du FRESNOY ; au 3e d’or au sautoir de sable qui est de MARTIN ; au 4e de gueules à l’arbre d’or, clos de même qui est du CLOS.[Foras 49],[50]
|
Anoblie en 1469 — Branche des comtes éteinte vers la fin du XVIIIe siècle[Foras 49],[50]. Originaire de Bonne sur la Menoge (bassée vallée de l'Arve)[Foras 49],[50]. Comtes de Bonne ; barons de Lambert. Seigneurs de Lorzier, du Fresnoy, Esery, Blansy, de la Batie Dardel, etc.[Foras 49] Vers la fin du XVIIe siècle, des alliances, l'érection de leur terre de Bonne en comté, ainsi que l'héritage des Martin du Fresnoy, des terres d'Esery et de Blansy[Foras 49]. | |
Maison de Compey, parfois Compeis ou Compois
D'azur à la croix d'or.[Foras 51] Devise : "A.V.F." (A vostre foy)[Foras 51]
|
Apparue vers le XIe siècle - attestée vers le milieu du XIIIe siècle[Foras 51]. Originaire de Compeis ou Compois (commune actuelle suisse de Meinier, Genevois)[Foras 51]. | |
Famille de Confignon
De sable à la croix d'or.[Foras 54] |
Mentionnée au XIIIe siècle[Foras 54]. Originaire du comté de Genève. Seigneurs de Boringes (château du Pont-de-Boringe, inféodé en 1296), de La Bâtie de Confignon, de Corsier, de Marlioz, de La Motte-sur-Épagny. Héritent au XIIIe siècle du château de Pierre (Nangy) de la famille de Nangy[51]. Vidomne de Genève au XIIIe siècle[Foras 54]. | |
Famille de Constantin
D'azur au cerf d'or passant sur un chêne arraché de sinople. (alias d'argent) posé à la pointe de l'écu.[Foras 55],[CEA 15],[52] Cimier : Un sert issant d'or Devise : l'espoir du mieux à présent me contente — Velocitate et constantiâ[Foras 55],[CEA 15],[52].
|
Anoblie dans la seconde moitié du XVIe siècle (LP 1560) — Preuves de noblesse de 1723[Foras 55],[CEA 15],[52]. Originaire d'Annecy, famille de notables(Genevois)[Foras 55],[52]. Seigneurs de Magny, de La Biollé et de Moussy ; Co-seigneur de La Bâtie-Dardel[Foras 55],[52]. | |
Maison de Conzié ou Conzier
D'azur, au chef d'or, à un lion issant de gueules.[Borel 6],[Foras 56],[53] |
Mentionnée fin XIIIe siècle — filiation au siècle suivant — Branche aînée disparue en 1868[Foras 56]. Originaire de Conzié, commune de Bloye près de Rumilly (Comté de Genève)[Foras 56]. | |
Famille de Coppier (parfois Copier)
D'azur à trois coupes d'or, en 2 et 1.[Foras 57],[CEA 16] (variante : trois coupes d'argent) |
Mentionnée dès le XIIIe siècle — Réhabilitation le (douteuse selon Foras), puis dérogation au cours du XVIIIe siècle. Rétablissement le (1849 ?)[Foras 57],[CEA 16],[54]. Subsistante en 2020[55]. Originaire du Genevois, famille notariale[Foras 57],[CEA 16]. Foras annonce, mais sans preuve, un lien avec la famille de Copponay ou Copponex[Foras 57]. Distincte de la famille d'ancienne chevalerie dauphinoise Copier ou Coppier[CEA 16]. | |
Famille de Corbeau, Corbel/Courbeau (de) (Corbelli), de Corbel dits de Corbeau ou de Corbeau de Corbel
D'or à trois fasces de sable.[Foras 58],[56],[CEA 17] Couronne : de marquis |
Mentionnée au XIII — Preuves de noblesse en 1766[Foras 58],[CEA 17]. Originaire très probablement de Corbel (Savoie), puis implantée en Dauphiné[Foras 58],[56]. Seigneurs de Corbel, Saint-Franc, La Balme, Echaillon, Thuet, Domessin, du Châtelard, de la Bauche, etc. (en Savoie), seigneurs de la Comber et d'Upie en Valentinois, seigneurs de La Mure, du Biol, de Saint-Albin, Voyssan, Saint-Bueil, Saint-Martin, etc. Marquis de Vaulserre (1751) en Dauphiné[Foras 58],[56],[CEA 17]. | |
Maison de Cordon
Écartelé d'argent et de gueules.[Foras 59],[57],[CEA 18] Couronne : de comte |
Apparue vers le XIIIe siècle. Originaire de Cordon (Bugey). Seigneurs de La Balme, Croset, Evieu, Les Marches, Morestel, Passin, Pluvy, Veyrin[Foras 59]. | |
Famille de Cornillon
D'or au chevron de gueules accompagné de trois corneilles volantes de sable, membrées et becquées du second, les deux du chef affrontées.[Foras 60],[58]
|
Mentionnée vers 1080[Foras 60],[58]. Probablement originaire de Cornillon, à Queige (Beaufortain-Tarentaise)[58], et ayant essaimée en Faucigny[Foras 60]. Seigneurs de Cornillon (Queige), de Cornillon (Saint-Laurent), Marthod, Clertans, Fessy, La Pérouse en Faucigny, Meyrens (Reignier), Cevins, Exery, Arbusigny[Foras 60]. | |
Famille Costa de Beauregard
D'azur à trois bandes d'or, au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or. (par concession des rois de France Charles VII et Louis XIV)[Foras 61],[Borel 7],[CEA 19] L'écu posé sur un aigle d'Empire.
|
Mentionnée vers le XIIe siècle — Filiation prouvée depuis le XVe siècle — Branche cadette éteinte au XIXe siècle[Foras 61],[CEA 19]. Originaire de Gênes[59], avant de se fixer en Savoie, vers la fin du XVIIe siècle[Foras 61],[CEA 19]. Marquis de Saint-Genix de Beauregard (1700) ; comtes du Villard, Saint-Remy ; seigneurs d'Archamps, La Bâtie-Meille (Genève), Beauregard, Cernex, Ceruse, Charlier, Châtelard, Cordon, La Dragonnière, Evieu, Megève, La Motte, Rougemont, Sacconex, etc.[Foras 61] | |
Famille des Costes (de Costis)
De gueules à la bande d'or chargée de trois côtes au naturel.[Foras 62],[60],[61]. |
Mentionnée dès le XIVe siècle — Éteinte vers la fin de la première moitié du XVIIe siècle[Foras 62]. Originaire de Saint-Pancrace (Maurienne)[60]. Deux maisons-fortes dans l'enceinte de Saint-Jean-de-Maurienne : la maison et la tour de Babylone[62], au XVIe siècle[63] la seconde a disparu[60]. | |
Famille Courtois d'Arcollières (anciennement Cortoys)
De gueules à l'épée droite d'argent, accostée de deux fleurs de lys d'or. (Armes concédées par le roi François Ier)[Foras 63],[CEA 20]. Devise : COURTOYS DE NOM ET DE FAICT (donnée par François Ier) ou encore OB SERVATUM QUANDOQUE LILIUM[Foras 63],[CEA 20]. |
Patentes de noblesse du duc de Savoie (1517)[Foras 63],[CEA 20] (noblesse probablement antérieure[Foras 63]). Originaire du Petit Bugey[Foras 63],[CEA 20]. Seigneur en Petit-Bugey, en Forez, en Valromey[Foras 63]. | |
Famille de Crans
De gueules à trois losanges d'argent.[Foras 64] |
Fin du XIVe siècle — Filiation prouvée entre 1451 et 1650 — Probablement éteinte au cours du XVIIIe siècle[Foras 64]. Originaire probablement du village de Cran, dans la banlieue d'Annecy (comté de Genève). Seigneurs de Bausse et Méral. Possédaient une maison forte à Annecy et une autre à Passy[Foras 64]. | |
Famille de Crescherel ou Crécherel
D'azur, au rencontre de cerf d'or.[Foras 65] |
Mentionnée vers la fin XIVe siècle[Foras 65]. Originaire peut être d'Angleterre[64], mentionnée la première fois en 1391 à Ugine[Foras 65] (Maison-forte de Crescherel)[64]. Seigneurs de Crescherel, Cevins, Saint-Laurent-de-la-Côte, Marthod, Thénézol-en-Tarentaise, des Déserts[Foras 65]. | |
Famille de Cuines ouCuynes (de) (de Cuynâ)
D'or au lion de sable armé et lampassé de gueules, à la bande du même brochant chargée de trois étoiles d'argent.[Foras 66],[65] Devise : J'attends fortune[65]. |
Mentionnée dès le XIIe siècle — Éteinte vers le XIVe siècle (1620)[Foras 66]. Originaire de Maurienne. Seigneur de Ribaud (Ribod, Rubaud ou encore Rubeaud), à Coise (le château est leur résidence principale)[Foras 66]. Possessions à Saint-Rémy, La Chapelle, Saint-Léher, Coise[66]. |
D
Blason | Nom de la famille, blasonnement et devise | Période, possessions |
---|---|---|
Famille Delachenal, Lachenal (de) ou La Chenal (de)
D'or à un chevron raccourci d'azur, accompagné de trois étoiles de gueules, et à la champagne d'une rivière d'azur chargée d'un cygne d'argent.[67] |
Anoblie le [67]. Originaire d'Ugine, famille de notables[67]. Obtention du titre de comte d'Outrechaise, pour l'une des branches, avec érection en comté du fief par achat[67]. | |
Famille de Dérée ou Hérée (d')
D'or, au chevron d'azur. ou D'azur, au chevron d'or.[Foras 67] |
Mentionnée noble vers le milieu du XIVe siècle — Éteinte au milieu du XVIe siècle[Foras 67]. Originaire de Dhéré (Duingt, comté de Genève), petite noblesse, vassale des Duyn. Seigneur de Boissy, Bressieux, Dhéré, Noyret ; conseigneur de la Val de Clets[Foras 67]. Les biens passent aux Sales et aux Clermont-Mont-Saint-Jean. | |
Famille de Duin ou Duyn (de)
De gueules à deux bars adossés d'argent., puis D'or à la croix de gueules.[Foras 68]
|
Mentionnée dès le XIIe siècle — Éteinte vers 1530[Foras 68]. Originaire de Duyn (Duingt) (Comté de Genève). Seigneurs puis barons de Val-d'Isère et de Sainte-Hélène par mariage (v.1310), vicomtes de Tarantaise et de la Val-d'Isère (jusqu'au XVIIe siècle). Seigneurs en Genevois et en Savoie[Foras 68]. Une partie des biens passe à leurs cousins de La Forest. |
E à F
Blason | Nom de la famille, blasonnement et devise | Période, possessions |
---|---|---|
Maison de Faucigny
Palé d'or et de gueules de six pièces.[Borel 8],[Foras 70]
Couronne de prince
|
Fin du XIe siècle — Éteinte au XIIIe siècle[Foras 70] — Branche détachée des Faucigny-Lucinge (XIIe siècle), vers XVIIIe siècle[CEA 21]. Originaire de Faucigny[Foras 70] (possessions : consulter l'article principal). | |
Famille de La Faverge (de Fabricis)[Note 3]
D'azur à la croix d'or chargée d'une croix de gueules cantonnée de deux ancres aussi d'or aux 1er et 2e et de deux calices du même aux 3e et 4e.[Foras 71]
|
Anoblie vers le XVIe siècle — Branche aînée éteinte vers le XVIIIe siècle[Foras 71],[CEA 22] — Branche La Faverge de Bévy subsistante en 2020[55]. Originaire du Genève, fuyant le calvinisme. Seigneurs de Cormand et de Montpon[Foras 71]. | |
Famille Favier du Noyer (Favier Dunoyer), puis Favier du Noyer de Lescheraine (1864)
P. de gueules à la grue d'argent tenant sa vigilance de même, au chef d'azur chargé de trois bandes ondées du second ou de gueules à une grue d'argent dans sa vigilance d'or, au chef d'azur chargé de trois bandes ondées d'argent.[Foras 72],[CEA 23] |
Attestée depuis le XVe siècle — Anoblie le (Sénat de Savoie)[Foras 72],[CEA 23]. Subsistante en 2020[55]. Originaire de Curienne (Bauges), issue d'une famille paysanne ayant accédé à la magistrature, puis la noblesse de robe[Foras 72]. Barons du Noyer, du Châtel-sur-Conflans, seigneurs d'Alex, Chezenay, Minjoux, de La Biguerne et Saint-Maurice-de-Rotherens ; marquis de Lescheraine[Foras 72]. Héritière du dernier membre de la famille de Lescheraine (1825), les membres de la famille sont autorisés à ajouter à leur nom celui de Lescheraine (Décret impérial no 12.149 en date du )[Borel 9]. | |
Famille Favre
D'argent, au chevron d'azur, accompagné de trois têtes de Maure tortillées d'argent.[Borel 10],[Foras 73],[CEA 24] Couronne de comte[CEA 24]
|
Mentionnée au XIVe siècle (bourgeoisie de Meximieux) — Filiation fin du XIVe siècle — Anoblie au XVIe siècle — Branches bressanes et savoyardes éteintes[Foras 73],[CEA 24]. Originaire de Meximieux (Bresse), dont des branches installées à Meximieux, Chambéry et Lyon[Foras 73],[CEA 24]. Juristes qui achètent la maison des Charmettes en 1596, obtenant ainsi un titre honorifique. Comtes (obtenu en 1670 et érigé en comté en 1680) de Chanaz ; barons d'Aiguebellette, d'Arenthon, de Domessin, de Pérouges (Péroge, 1587) ; Seigneurs des Charmettes, de Bettonet, Félicia, La Valbonne (Lavalbonne), /Pérouges, Premery, St. Étienne, Vaugelas (Vaugelaz), Villaret, Yvoire[Foras 73]. | |
Famille Fernex de Mongex (Montgey)
Parti d'argent à un lion de gueules, couronné d'or, et d'azur à deux lances d'argent en sautoir accompagnées de quatre étoiles de même, deux en pal et deux en flanc.[Foras 74],[CEA 25] |
Comte par L.P. (1824)[Foras 74],[CEA 25] — Subsistante en Subsistante en 2024[9]. Originaire de Mégevette, famille bourgeoise de Thonon (XVIIe siècle), « adonnée au notariat et à la magistrature »[Foras 74]. | |
Famille de Féterne
De gueules au lion d'or. ou D'or au lion de gueules.[68] |
Mentionnée vers le Xe siècle — Branche principale éteinte au XIIe siècle — Poursuite avec les vidomnes de Féternes jusqu'au XIVe siècle[69]. Originaire du val d'Abondance (Chablais). Seigneurs de Bons, Brens, Conflans, Doussard, Évian, Excevenex, Féterne, Margencel, Marin, Notre Dame d'Abondance, Tournon. Au XIIIe siècle, les terres passent sous le contrôle de la Maison de Savoie[69]. Les Compois de Féterne semblent avoir succédé en partie à cette famille[Foras 75]. | |
Famille de La Fléchère
D'azur, au sautoir d'or, cantonné de quatre aiglettes d'argent.[Borel 10],[Foras 76],[CEA 26]. Plusieurs branches en Savoie et canton de Vaud. |
Mentionnée dès le début XIIIe siècle — filiation prouvée depuis 1370[Foras 76]. Seigneurs de Beauregard, originaire d'Écosse, branche des Fletcher. Comtes d'Alex, la Flechère, Veyrier-Châtillon (1654) ; seigneurs en Genevois[Foras 76]. | |
Famille de Foras
D'or, à la croix d'azur.[Borel 10],[Foras 77],[CEA 27],[Jougla 3]. Couronne de Comte
|
Mentionnée dès le XIIIe siècle[Foras 77] — dit comte de Foras à partir du XVIIIe siècle[CEA 27],[Jougla 3]. Subsistante en 2020[55]. Originaire du château de Foras, au Bourgneuf, près Douvaine Chablais. Comte de Foras ; Seigneur de Beauregard, Bourgneuf, Bottolier, Chanaz, Chesabois, Chilly, Foncenex et Foras d'Amont, Montocornu, Murs, Mussel, Thuyset[Foras 77]. | |
Famille de La Forest Divonne
De sinople à la bande d'or frettée de gueules.[Borel 11],[Foras 78],[CEA 28],[Jougla 4] Couronne ducale |
Patronyme La Forest mentionné depuis le XIIIe siècle sans preuves de rattachement — Filiation prouvée depuis le XIVe siècle[CEA 28],[Jougla 4]. Originaire du Petit-Bugey. Comte de La Barre, La Croix St. Alban, Verel et Dulin, La Forest ; seigneur en Savoie et Genevois[Foras 78]. Noblesse de France 1650. Pair de France (1827), majorat de pairie au titre de baron-pair (1829)[CEA 28]. | |
Famille de La Frasse (de Fragia, Fracia ou Fraxia)
D'or à l'ours rampant de sable/[Foras 79] |
Mentionnée au XIIe siècle — Éteinte au XVIe siècle[Foras 79]. Seigneurs de La Frasse (Faucigny), de Ferney/Fernex au pays de Gex, de Mons en Sémine, coseigneurs de La Val des Clets[Foras 79]. | |
Famille Du Fresney (Dufresney)
Palé d'or et de gueules, à six pièces, écartelé de gueules au frêne d'or. ou p. écartelé de Faucigny et de gueules au frêne d'or qui est de Fresney.[Foras 80],[Jougla 5] Devise (moderne) : FORT A ROMPRE[Foras 80],[Jougla 5] |
Mentionnée au XIVe siècle — Éteinte[Foras 80]. Originaire du Faucigny. Reçoit du dauphin de Viennois des lettres patentes reconnaissant leur descendance de la maison de Faucigny en 1328, toutefois Amédée de Foras souligne que c'est très probablement de manière illégitime[Foras 80]. Seigneurs du Fresney, du Châtelet, Hautetour ou Aultetour (St-Gervais), Montreynaud, de la Brosse, de Laudes, Saint-Laurent-de-la-Côte, barons de Saint-Ange (héritier des Villier Saint-Ange)[Foras 80]. |
G
Blason | Nom de la famille, blasonnement et devise | Période, possessions |
---|---|---|
Famille Gay, Guex, puis Gay de Lupigny
Fascé d'or et d'azur, au chef de gueules au lion hissant d'or.[Foras 81],[71] |
Mentionnée au XVe siècle. Originaire de Genève, avant l'implantation à Vulbens (Genevois) dès 1450. Famille notariale, au début du XVIIe siècle. Anoblissement par lettres patentes de Victor-Amédée II (). Baron de Lupigny (août 1776, commune de Boussy)[72]. | |
Famille de Gemilly, Gimilly ou Jumilly (latin De Gimilliaco)
Losangé d'argent et de sable.[Foras 82] |
Mentionnée dès le XIIIe siècle — Éteinte au XVIe siècle (Foras)[Foras 82] ou vers la fin du XVIIe siècle[73]. Originaire de Gémilly (hameau de Mercury, Savoie Propre). Coseigneurs de Marthod, Cornillon et de La Val des Clets[Foras 82]. | |
Maison de Genève (Géroldiens, comte de Genève)
D'argent à la bande d'azur accompagnée de deux lions du même. (Genève ancien, v. 1127)
|
Mentionnée au début du XIe siècle — Branche aînée éteinte en 1394, les droits passent à des cousins, comté est acheté par la maison de Savoie — Maintien des branches cadettes seigneurs d'Anthon, Lullin, Varey, etc.[Foras 83]. Originaire du Comté de Genève[Foras 83]. (possessions : consulter l'article principal). | |
Famille Gerbais de Sonnaz, parfois Gerbaix
D'azur, au chef d'argent chargé de trois étoiles de gueules.[Borel 12],[Foras 86],[Jougla 7] Cimier : une tête de chien de gueules. La branche, devenue aînée au XVe siècle, écratèle de Châtillon ( aux deux et trois d'argent à la croix de gueules.). Plus tard, écartèle d'Alby (losangé d'argent et de gueules.), puis : Ecartelé de Châtillon et d'Alby et sur le tout de Gerbais. |
Mentionnée au XIIIe siècle[Foras 86]. Originaire de Belley (Bugey)[Foras 86]. (possessions : consulter l'article principal). | |
Famille Gex ou Gex (de), olim Jai/Jay
D'azur au lion d'or lampassé de gueules, à la fasce de même chargée de trois roses d'argent brochant sur le tout.[Foras 87] |
Anoblie en 1563[Foras 87],[74] — Éteinte au XVIIIe siècle. Originaire du Faucigny. Le châtelain Charles Jay, châtelain de Samoëns, achète une terre aux Lucinge. Anobli par patentes le , prenant le nom de Gex, seigneur de Vallon[Foras 87],[74],[75]. Comte de Taninges ; baron de Saint Christophe (1622) ; seigneur de Arbusigny, Montfort ; coseigneur de Cluses, Nernier (Faucigny)[Foras 87]. | |
Famille de Gilly
D'or à trois fasces de gueules à la bande d'argent, brochant sur le tout, chargée de trois corneilles de sable.[76],[Foras 88],[Jougla 8] |
XIIe – XVIe siècle av. J.-C.[77]. Barons de Gilly ; seigneurs de Rochefort, Villarayon ; coseigneurs de Cons-Sainte-Colombe, Marthod et Cornillon[Foras 88]. | |
Famille de Gingins
D'argent semé de billettes de sable, au lion naissant du même brochant.[Foras 89],[Jougla 9] |
Apparue vers le XIIe siècle — Éteinte en 1911[78]. Branche colatérale de la famille de Divonne[78] (Pays de Vaud). Baron Divonne (avec une partie du pays de Gex - Savoie)[78],[Foras 89]. | |
Maison de Grailly (Grilly)
D’or, à une croix de sable chargée de cinq coquilles d’argent.[Foras 90],[Jougla 10]
|
Attestée vers 1120[79]. Originaire du village de Grilly (Pays de Gex, comté de Genève)[79]. Implantée en Gex, Savoie, puis Guyenne et Gascogne à partir du XIIIe siècle, dont les comtes de Foix (Captal de Buch)[Foras 90],[Jougla 10]. | |
Famille Greyfié de Bellecombe.
D'or à l'ente (ou greffe) sur une tige de sinople.[Foras 91],[Jougla 11] |
Mentionnée vers la fin du XVe siècle — Anoblie en 1737[Foras 91]. Subsistante en 2020[55]. Originaire d'Annecy, puis installation en Tarentaise[80]. Anobissement par charge en 1737, titre de comte en 1825[Foras 91]. | |
Famille de Greysier ou Grésy (de)
Palé d'or et de gueules de six pièces, (à la fasce d'argent).[Foras 92] |
Apparue vers le XIIe siècle — Probable branche cadette de la maison de Faucigny[81],[Foras 92],[Foras 93]. Originaire du Faucigny, seigneurs de Grésy (Grésy-sur-Aix, près d'Aix-les-Bains, en Pays de l'Albanais). Seigneurs de La Balme-de-Sillingy, La Chambre, Châteauneuf, Choisy, Chuyt, Compois, Cusy, Greysier et Cessens, Montaimont, Montrottier, Sacconex[Foras 92],[Foras 93]. | |
Famille de Grolée
Gironnée d'or et de sable de huit pièces. (en Bugey — Dauphiné)[Foras 94],[Jougla 12],[82] Devise : Je suis Grolée[Jougla 12]
|
Vers 1180 — Éteinte vers le XVIIe siècle[Foras 94],[82]. Originaire du Bugey, installée en Dauphiné[Foras 94],[82]. (possessions : consulter l'article principal). | |
Famille Guillet de Monthoux(olim, Mayor ou Majours)
D'azur à trois mufles de léopards d'or, couronnés d'argent.[Foras 95],[83],[Jougla 13] Ne pas confondre avec les familles de Monthoux (Genevois, voir ci-après) et Montou (Savoie) ou la famille homonyme dauphinoise : d'azur, à trois têtes de léopards arrachées et couronnées de 3 pointes d'argent.[84]. |
Filiation des Mayor depuis 1290, sept générations, avant le changement de nom (selon Guichenon)[Foras 95] — filiation prouvée de la seconde famille de Guillet depuis 1500 (selon Foras)[Foras 95] — preuves en 1780[Foras 95] — Éteinte au XIXe siècle[83]. Originaire de Crans, près de Nyons (canton de Vaud)[Foras 95],[85]. Elle portait le nom de Mayor avant que François Majour ou Mayor « quitte ce nom pour prendre celui de sa mère, fille et héritière de noble Jean Guillet, seigneur d'un maison forte rentée de ce nom »[Foras 95]. Transportée à Genève et à Thonon, puis Annemasse[Foras 95]. Achat de la baronnie de Monthoux (1532)[85],[86]. |
H à K
Blason | Nom de la famille, blasonnement et devise | Période, possessions |
---|---|---|
Famille d'Hauteville ou d'Auteville
Palé d'argent et de gueules de huit pièces.[Foras 96]
|
Vers le XIIe siècle-fin du XVe siècle[Foras 96]. Originaire du comté de Genève. Seigneurs et coseigneurs d'Hauteville, Creste (Crête, commune de Versonnex)[Foras 96], vidomne de Genève au XIIIe siècle[87],[88] | |
Famille d'Humilly (parfois du Milly)
De sable, au cerf d'or passant.[Foras 97]. Devise : HUMILIS CORDE (« de cœur humble »). Cette devise est donné par Foras qui précise « à titre de fantaisie héraldique, sans autre autorité »[Foras 97]. |
Noble vers 1337, maintenue en 1566[Foras 97]. Humilly de Chevilly et de Serraval subsistante en 2020[55]. Originaire du hameau de Chevilly à Viry (Comté de Genève). Seigneurs de Chevilly (maison-forte), Germagny (Viry), co-seigneurs de Serraval et de la Val des Clets[Foras 97]. | |
Famille de Juge (de Pieuillet)
D'azur à trois roses d'or. (Champaneis, comte palatin, en 1498)[Foras 98],[89]. Serait identique à la famille de Juges, de Lyon, selon l'historien et généalogiste suisse Galiffe[90].
|
Anoblie en 1498, réhabilitation de noblesse le , preuves en 1723[Foras 98]. Subsistante en Subsistante en 2024[9]. Originaire de Rumilly (Genevois), famille bourgeoise, anoblie par LP ()[Foras 98],[89]. Accord ducal de lettres d'ancienne noblesse (1598)[89]. Seigneur de Pieuillet (Marcellaz-Albanais) et de Candie[Foras 98]. |
L
Blason | Nom de la famille, blasonnement et devise | Période, possessions |
---|---|---|
Famille de Langin
D'azur à la tour d'or avec un pan de mur de même senestre.[Foras 99],[91] |
Apparaît vers le XIIe siècle (1113)[92]. Vassaux de la maison de Faucigny, puis en 1179 des comtes de Genève[92]. Passe à la maison d'Allinges par mariage en 1509[93]. Seigneurs de Ballaison, Bardennuche, Brens, Bons, Buffavent, Cholex, Collonges, Dingy-Saint-Clair, Greysier, Langin (Tour de Langin), Mieussy, Veigy, Verrières, Vigny, (Chablais)[Foras 99]. | |
Famille Le Blanc de Cernex
Parti en bande d'argent et de gueules au cygne du premier membré d'or sur le champ de gueules grimpant contremont à dextre les aisles estendues.[Foras 100] Foras précise « il n'est pas surprenant, avec une description aussi peu claire, que les non initiés l'aient mal comprise ; ainsi un vieux cachet de famille porte : tranché de gueules et d'azur (où avait-on pu trouver cet émail ?) à la cotice d'argent br. s. 1. t. supportant un cigne grimpant (à dextre du spectateur, c'est-à-dire) à senestre. »[Foras 100] Cimier : Un cigne de même (autant que cela est possible)[Foras 100]. |
Anoblie en 1572[Foras 100]. Originaire de La Rochette (Savoie). Acquisition de Cernex par mariage, en 1813[Foras 100]. | |
Famille de Lescheraine
D’azur à la bande écotée d’or (ou d'argent).[Foras 101],[Borel 11],[94] Couronne : de marquis |
Apparaît vers le XIIIe siècle[94]. Disparition au XIXe siècle. Originaire des Bauges (Comté de Savoie). Marquis de Bauges/Lescheraines (1682)[95] ; comtes de Leschaux, Vinadio et Sambuco ; seigneurs de Les Allues, La Charnée, La Compôte, Pertengo[Foras 101]. | |
Famille de Livron (de Lyvron)
de gueules à la bande d'argent accostée de deux cotices de même.[96] Cimier : Un dextrochère armé d'or, tenant horizontalement, comme pour parer, un cimeterre d'argent à ta garde d'or.[96] Supports : Deux lions contournés[96] Ne pas confondre avec les Livron de Bourbonne (Dauphiné, puis Champagne, Lorraine). |
XIIIe siècle[96],[Foras 102]. Originaire du Pays de Gex, château dit la Molle, le Molard ou la Molière de Livron (Collonges)[96],[Foras 102]. Implantée en France, en Savoie, en Pays de Vaud, Neuchâtel et Genève[96]. | |
Famille de Loche
Partie de gueule à trois glands d'or au chef d'argent et au croissant montant d'azur.[Foras 103] |
Apparaît vers le XIVe siècle. Originaire de Magland (comté de Genève)[97], lignée de notaires. Comtes de Vanzy ; barons de Saint Martin ; seigneurs de Châtel, Fléchère (Vanzy) ; conseigneurs de Bozel, Servoz[Foras 103],[97]. | |
Famille de Luciane
D'or à deux brochets adossés, d'azur.[Foras 104] |
À partir du XIIIe siècle[Foras 104]. Originaire de Maurienne. Possessionnée à Saint-Martin-de-la-Porte. Nom et armes passent en 1479 à un membre de la famille Mareschal, donnant naissance à la branche des Mareschal-Luciane[Foras 104],[98]. | |
Famille de Lucinge
D'argent, à trois bandes de gueules.[Foras 70],[Foras 105],[Borel 13] Devise: USQUE QUO (Jusque là) |
À partir du XIIe siècle[Foras 70]. Famille dont le nom et les droits passent, par héritage, à une branche cadette de la maison de Faucigny, les Faucigny-Lucinge[Foras 106],[81]. Sénéchaux de Faucigny, etc.[Foras 70]. | |
Famille de Luyrieu(x)
D'or au chevron de sable.[Foras 107],[99]. Cimier : un dragon d'or clariné d'argent. |
Apparaît vers le XIIe siècle. Originaires de Belley (Bugey). Possessions en Bugey et en Savoie[Foras 107]. |
Ma
Blason | Nom de la famille, blasonnement et devise | Période, possessions |
---|---|---|
Famille de Machard
D'argent à trois pals de gueule au chef d'azur chargé de deux lions issants affrontés d'or.[Foras 108]
|
Anoblie par lettres patentes le [101],[102]. Subsistante Seigneurs de Chassey (Fillinges)[101], de Chillaz (Fillinges)[101], Loëx, de Pierre, coseigneurs du Val de Bozel[Foras 108]. | |
Famille Maillard de Tournon, Maillard olim Perrin (ou inversement) ou encore Perrin-Maillard
D'azur, à un oiseau d'argent, becqué et membré de gueules, posé en bande.[Foras 109],[Borel 14] |
Mentionnée au XIVe siècle. Qualifiée de noble après le XVIe siècle[Foras 109]. Originaire de Rumilly, famille bourgeoise (Genevois). Marquis de Saint-Damien et Pallières en Piémont, d'Alby, comtes de Tournon, barons du Bouchet et de Chevron en Savoie[Foras 109]. Les aînés sont marquis d'Alby (1681), comte (1569), puis marquis de Tournon[103]. | |
Famille de Maistre
D'azur, à trois soucis tigés et feuillés d'or. (alias trois tulipes)[Foras 110],[Borel 14] Devise: Fors l'honneur, nul souci[Borel 14]. Couronne de comte |
Apparue en Savoie au XVIIIe siècle. Une branche savoisienne, anoblissement par charge (1740), comte (1778), et une autre piémontaise. Subsistante en Subsistante en 2024[9]. Originaire du comté de Nice[Foras 110]. (possessions : consulter l'article principal) | |
Famille de Marcossey, olim Fornier/Fournier de Marcossey (Marcossay)
D'azur au lévrier d'argent accolé de gueules.[Foras 111],[104] Foras : « Marcossey de Viuz-en-Sallaz, dont le véritable nom est Fornier et originaire de Cluses », probable origine, selon les armes que leur attribuent Besson, avec les Fornier/Fournier de Thônes[Foras 111].
|
Vers XIVe siècle[104] Originaire de Cluses (Faucigny). Seigneurs de Miossinge (Myozinge, Scionzier, Faucigny), Marcossey (Viuz-en-Sallaz, Faucigny), de Mussel (Scionzier)[104]. Jean de Marcossey : seigneur de Goint, Essey, Passavant, baron de Saint-Georges d'Haussonville en Lorraine, comte (1618)[104] | |
Famille Mareschal (Maréchal) parfois Mareschal de Montmélian
D'or, à la bande de gueules, chargée de trois coquilles d'argent.[Foras 69],[Borel 14] Devise : PORTANTUR STEMMATA COELO et ASSEZ À TEMPS[105].
|
Apparue vers la fin du XIIe siècle (Premiers maréchaux de Savoie)[Foras 69]. Mareschal de Luciane branche subsistante en 2020[55]. Originaire de Montmélian (?). Marquis de Marclaz (1671). Comtes de Somont/Saumont, de la Val-d'Isère (obtenu en 1540, érigée en baronnie en 1617)[106] ; vicomtes de Tarantaise (1540), etc.[Foras 69]. | |
Famille de Mareste
D'azur à deux fasces d'argent et à la bande de gueules brochant sur le tout.[Foras 112],[Borel 14]. Devise: À la gloire marche, à Dieu seul je m'arreste ou À Dieu seul je m'arreste. |
Apparu vers… Originaire de Chautagne. Marquis de Lucey (1654), Saint-Agneux (1684) ; Comtes de Rochefort ; barons de Champrovent, etc.[Foras 112]. | |
Famille de Martin, ou Martin du Fresnoy (parfois Dufresnoy)
D'or au sautoir de sable. ou D'argent au sautoir d'azur.[Foras 113] |
Mentionnée en 1228[Jougla 14]. Marquis de Cluses (1699)[Foras 113] ; Seigneur de Blanzy, de Chuyt, de Clartans, de Compois, d'Ezery, de Loysin, de Mussel, de La Perouse, de Pormonay, de Symond ; coseigneur de Montvuagnard, de la Vallée de Bozel[Foras 113]. | |
Famille de Martin-Salière d'Arve
D'argent semé de myosotis myosotis d'azur tigées de sinople, boutonnées de gueules.[Foras 113],[107] Héritage par mariage en 1604, des noms, biens et titre des Salière d'Arve[109],[110]. La famille d'Arve avait déjà relevé les Salière[111].
Devise : Armatos vinco[107].
|
Anoblie en 1517[109],[112]. Dernier représentant mort en 1940[113]. Originaires de La Sausse à Saint-Colomban (Maurienne)[109]. Comtes de Cuines et Villards (1699)[114] ; barons de Sainte-Marie-de-Cuynes ; seigneurs de Combefort, Le Pontet, Ribaud. |
Me à Mi
Blason | Nom de la famille, blasonnement et devise | Période, possessions |
---|---|---|
Maison de Menthon
De gueules, au lion d'argent, à la bande d'azur, brochant sur le tout.[Foras 114],[Borel 14] Devise : Partout Menthon, toujours Menthon[115]
|
Apparue vers le Xe siècle[Foras 114]. Menthon d’Aviernoz branche subsistante en Subsistante en 2024[9]. Originaire de Menthon (comté de Genève). Comtes de Menthon, d'Aviernoz et de la Grimottière (1699)[Foras 114]. (possessions : consulter l'article principal). | |
Famille de Menthonay, Menthonnay ou Menthonay de la Tour
De gueules au sautoir d'argent cantonné de quatre coquilles du même.[Foras 115] |
Originaire de Menthonnex (comté de Genève). Seigneurs des châteaux de Truchet et de la Petite-Balme à Sillingy[Foras 115]. dont : Jacques (cardinal), Guillaume (évêque de Lausanne) | |
Famille de Metral de Châtillon
D’azur à trois bandes d’or au chef d’argent chargé de trois étoiles (ou molettes) d’azur.[116] |
XVIe siècle — Eteinte avec la mort de Joseph-Joachim-Xavier Métral en 1794[116]. Originaire du Chablais[116]. Marquis de Chignin (1779, par achat), de Thônes (1744, par mariage)[116] ; seigneurs de Châtillon, Cruseilles, Épagny, Gruffy, Maugny, Monêtier, Mornex, Notre-Dame-de-Briançon, Pallud, Rumilly ; coseigneurs de Mons, Montjoye, Thollon. | |
Famille Michaud
Tranché d’or au lion de sable, armé et lampassé de gueules, brandissant une épée d’argent et au 2 par une ligne canelé de 14 pièces de gueules à 2 bandes d’argent.[Foras 116] |
Anoblissements par LP et [Foras 116]. Subsistante en Subsistante en 2024[9]. Originaire de Mognard (Pays de l'Albanais). | |
Famille Milliet
D'azur au chevron d'or, chargé d'un chevron de gueules, accompagné de trois étoiles d'or deux en chef, et une en pointe.[Foras 117],[117] Écartelé, aux 1er et 4e d'argent, à deux lions issans de sinople, armés et lampassés d'or, à la fasce de gueules côtoyée de deux filets de même ; aux 2e et 3e de gueules, à la bande d'argent, accompagnée de deux cotices de même ; sur le tout d'azur, au chevron d'or, vuidé de gueules, accompagné de trois étoiles d'or, à une hydre issant, à trois têtes de sinople, couronné et langué de gueules, posé en chef.[117] Supports : deux griffons de sinople |
Remonterait au XIIIe siècle — anoblie au XVIe siècle. Milliet de Faverges et de Challes subsistante en 2024[9]. Originaire de Genève. Marquis d'Arvillard (1678), de Challes (1669), de Faverges (1644) ; comtes de Sacconex ; seigneurs en Genevois et Savoie[Foras 117]. | |
Maison de Miolans
Bandé d'or et de gueules ou Bandé de gueules et d'or de six pièces.[Foras 118],[117] Devise : Force m'est.[118]
|
Apparue vers le XIe siècle — Éteinte en 1523[120]. Comtes de Montmayeur ; vicomtes d'Aiguebellette, de Maurienne ; barons de Cusy, Hermance, Montfalcon[Foras 118]. |
Mo à N
Blason | Nom de la famille, blasonnement et devise | Période, possessions |
---|---|---|
Famille Monon, alias Perrin dit Monon
D'azur, à un oiseau d'argent, becqué et membré de gueules, posé en bande.[Foras 120],[Foras 121] Selon Foras, la famille serait « presque certainement de la même souche que les Perrin dit Maillard »[Foras 120] (cf. Maillard de Tournon ci-dessus). |
Anoblie en 1424 par L.P.[Foras 120],[Foras 121] — Fin XVIe siècle[Foras 120]. Originaire de Rumilly[Foras 121]. | |
Famille de Montbel
D'or, au lion de sable, armé et lampassé de gueules, à la bande componée d'hermine et de gueules de six pièces (brochante sur le tout).[Foras 122],[Borel 15]. |
Remonterait au XIe siècle, attestée au XIIe siècle. Originaire du comté de Savoie. Seigneurs, comtes de Montbel et de Saint-Pierre-d'Entremont. Seigneurs de Montellier, de Nattage, de Saint-Maurice et de Saint-André de Brior[Foras 122]. | |
Famille de Montfalcon
Aux 1 et 4 d'argent à l'aigle éployée de sable, membrée et becquée d'or; aux 2 et 3 d'hermine et de gueules.[Foras 123],[Note 4]
|
Mentionnée à la fin du XIe siècle. Originaire de Montfalcon (Pays de l'Albanais). Comtes de Saint-Pierre-de-Soucy et de Château-Blanc[Foras 123]. (possession : consulter l'article principal). | |
Famille de Montfort
D'or à trois pals d'azur.[Foras 124] ou Palé d'or et d'azur.[Borel 15] Les armes sont semblables à celle de la famille de Ternier, dont les Montfort seraient une branche cadette[122] Devise : Me fault tenir. ou Me faut tenir mon fort.[122] |
Fin XIIIe siècle[122]. Comtes de Montfort (Comté de Genève) ; seigneurs de Boisy, La Cour[Foras 124]. Portent le titre de seigneurs de Conzié à partir de 1546 et cela pendant 2 siècles[123],[124]. | |
Famille de Monthoux ou de Monthouz
D'or, au chevron de gueules.[Foras 125],[125]
|
Attestée au XIIIe siècle[126]. Originaire de Duingt[126]. Comtes du Barrioz, d'Argonay et de Saint-Martin, seigneurs de Duingt et Châteauvieux, de Leschaux, de Marcellaz, de Montagny, de Monthoux ; coseigneur de Cornillon et Marthod[Foras 125]. | |
Maison de Montmayeur
D'argent, à l'aigle éployée de gueules, becquée et membrée d'azur.[Foras 126] cimier : une aigle de même |
Apparue vers le XIIe siècle — Éteinte en 1487 — Relevée au XVe siècle par Jacques II de Montmayeur, issu d'une branche cadette installée en Tarentaise. Peut-être issu de la branche de Briançon (Tarentaise)[128], héritière de leurs titres par mariage[130]. Comtes de Montmayeur et de Brandis ; barons de Cusy, de Villarsallet, de Bussy, de Silans et d'Hermance[Foras 126]. | |
Famille de Montvuagnard, Vuagnard, Montvagnard ou Vagnard (Wagnardi)
D'argent au lion de gueules, à la cotice d'or et de gueules brochante.[131],[Foras 127] |
Citée en 1283 — Disparue au XVIIe siècle[132]. Seigneurs de Boëge (par mariage en 1425)[133], Lornay, château de Mécoras (Ruffieux), Château de Montfalcon, Château de Montvuagnard, Château de Pierrecharve (par mariage en 1507)[133], Rochefort, Senoches, Les Tours (Ayse, XIVe siècle)[133]. | |
Maison de Mouxy
Échiqueté d'or et d'azur de quatre tires.[134],[Foras 128]. Devise : Honor aut mors (Honneur ou mort) ; Pacta Tuentur (...)
|
Apparue vers le XIVe siècle. Originaire du comté de Savoie. Marquis d'Hermance (1596) ; Comtes d'Arlod, Loche (ancienne seigneurie de Mognard, érigée en comté en 1683)[135] et Mognard ; Barons de Lupigny, Montfalcon, Montfort, St. Jeoire Seigneurs de Boussy, Cessens, Chapelle, Charosse, Châtel, Féternes, Lupigny, Mouxy, Pérouse, Planchamp, Pontchy, St. André, Thônes ; Coseigneurs de Ballaison, Clermont, Hauteville, château de Longefan[Foras 128]. | |
Famille Noyel de Bellegarde, parfois Noël ou Noé
D’azur, à la fasce d'or courbée rayonnante et étincelante vers la pointe, (à partir de 1540, par concession) au chef du même chargé d’une aigle à deux têtes de sable.[Foras 129] |
Anoblie à la fin du XVe siècle[83],[136]. Jean Noyel, général des finances et trésorier de Savoie, petit-fils de notaire, ajoute à son nom Bellegarde à la suite de l'achat du château, en 1470[137],[138]. Originaire de Montmélian (comté de Savoie). Marquis de Cervens et Corsinge (1693), Les Marches (1682) ; comtes de Boringes, Entremont, Nangy ; seigneurs de Bellegarde, Bernex, Charmoisy, Draillant, Loys, Mieudry, Montgelaz, Saint-Cergues, Saint-Paul, Thonon, La Tour de Servette, Villarbigny ; coseigneurs de Montdragon[Foras 129]. |
O à Q
Blason | Nom de la famille, blasonnement et devise | Période, possessions |
---|---|---|
Famille d'Orlier, Dorlier, d'Orlyé, d'Orlyer
D'or à l'ours de sable rampant (alias debout), langué et armé de gueules.[Foras 130],[139] Devise : Tout par Fortune (Omni Fortuna)[Foras 130],[139]
|
Mentionnée au XIIIe siècle. Filiation remontant à 1344[Foras 130],[Jougla 15]. Originaire de Savoie. Barons (1662) puis marquis de Saint-Innocent (1682)[140]. (possessions : consulter l'article principal). | |
Famille de La Palud, Pallud, Palu
De gueules à la croix d'hermine[Foras 131],[Borel 17]. Cimier : un ours
|
Première mention au XIIe siècle - Éteinte au début du XIXe siècle[141]. Originaire de la Bresse[141]. (possessions : consulter l'article principal). | |
Famille de Perret, Perret d'Hauteville
D'or à la bande de sable chargée de trois dagues dont la pointe est tournée vers le cimier.[Foras 132],[142],[143] Devise : VIRTUS ET ENSIS (La vaillance et l'épée)[142],[143]
|
Anoblissement en 1626[143]. Famille bourgeoise. Achat de la seigneurie d'Hauteville (1724)[144], fait comtes de Hauteville sur Rumilly (1775)[145] ; Seigneurs de Le Mollard, Truaz ; coseigneur de La Bastie Dardel. | |
Famille de Pingon
D'azur à une fasce d'or.[Foras 133] ou De geule à trois gerbes d'or.[146]. Devise : Soli Deo Gloria
|
Éteinte en 1819[Foras 133]. Comtes de Sallenôves (par mariage) et de Pingon ; barons de Cusy ; Seigneurs de Prémeyzel, de Prangin en Bugey, de Savigny, de Salins et de Marlioz (par mariage)[Foras 133]. | |
Famille Pobel
De sinople, à la bande d'or, chargée de trois coquilles de sable[Borel 18]. |
Apparaît vers le XVIe siècle. Originaire de Bonneville (Faucigny). Comtes de Saint-Alban (achat du château en 1584, érigé en baronnie en 1598, puis en comté en 1608[147]) ; barons de La Pierre (ou des Pierres en pays de Gex en 1654), de Châteauneuf ; seigneurs de Anières, Anuys, Ayse, Boisy, Chignin, Collonges, La Croix, Farges (1565), Le Molard, Péron (1654), Pontchy, Pougny, Pressy, Saint-Étienne, Saxel ; coseigneur de La Colliette. | |
Famille Du Pont
D'azur à la bande ondée d'argent.[148] |
Apparaît vers le XIIIe siècle. Disparition au XVIIe siècle[149]. Originaire de Pontamafrey (Maurienne) où les premiers membres surveillaient le pont sur l'Arc, hommes-liges des vicomtes de La Chambre[149]. Possessions d'une quarantaine de maisons fortes au XVIe siècle, entre Saint-Michel-de-Maurienne et Myans[150]. Seigneurs de Burgin (Sainte-Marie-de-Cuines), Combremont (pays de Vaud), Montarlot (Saint-Etienne-de-Cuines), Myans, Saint-Michel, Siens (?), Villaret (Le Châtel), Vorgerey (?). |
R
Blason | Nom de la famille, blasonnement et devise | Période, possessions |
---|---|---|
Famille de La Ravoire, La Ravoyre, Ravoyria, Ravoria[151]
Palé de six pièces d'argent et de gueules, à la bande d'azur brochant sur le tout.[Foras 134] Les documents anciens favorisent la confusion entre les familles des Ravoire (Montmélian), des Rivoire (Dauphiné) et des Rovéréa (Chablais) puisqu'ils retranscrivent leurs noms de la « même manière et en une douzaine de formes différentes »[152]. Par ailleurs, Foras indique d'autres familles homonymes moins importantes, avec les Ravoire, Ravoyre et Ravoire de Queige[Foras 134],[Foras 135].
|
Remonterait au XIIe siècle[151],[153]. Eteinte au XVIIIe siècle[151]. Originaires de La Chavanne et Planaise (à proximité de Montmélian, comté de Savoie)[151],[154] (peut-être issue de la maison de Miolans[151],[155]). Barons de Charansonnay ; seigneurs Châteaubochard, la Colliette, la Croix, Les Marches, Mollard, La Ravoire, Saint Alban, Silans, Tresserve ; coseigneurs de Cavallerleone, Escrivieux, Massigneu. | |
Famille de Reydet, Reydet de Vulpillières
D'azur, à la fasce d'or, accompagnée en chef de deux étoiles du même et en pointe d'un croissant d'argent.[Foras 136],[156] |
Louis de Reydet, notaire de la Chambre apostolique, anobli au XVe siècle[157]. Subsistante en Subsistante en 2024[9]. Comtes de Vulpillieres, de Choisy et de La Balme. Barons de Grilly. Seigneurs de Manigod, de Rogemont, de Montmirel, de Pressy, de Pymont , d'Hauteville, de La Croix d'Aiguebelle, de Lermineux (ou d'Hermineux) , d'Annieres , de Balmont (ou Belmont)[Foras 136]. | |
Famille de Riddes (De Rida)
Azur à la tour d'or senestré d'un pan de mur de même et crénelé comme la tour ouvert d'un portique sur lequel est une étoile d'or.[Foras 137],[158]
|
XVIe siècle. Originaire de Riddes (Valais), installée v. 1560 à Flumet (Faucigny)[159],[160],[161], héritiers des Salins (1607)[21]. Seigneurs de Bellecombe, Belletour, Bellevarde, Blay, Charbonnière, La Croix, Le Rosey, Saint Paul, Saint Thomas des Esserts, la Val de Bozel, la Val des Clets[Foras 137]. Châtelains en Haut Faucigny sur 4 générations (Bonneville, Beaufort, Flumet, Charousse, etc.)[162] | |
Famille de Rivoire (ou Rivoire de la Bâtie)
D'or, à trois (chênes) arrachés de sinople, rangés[163]. Fascé d'argent et de gueules, de 6 pièces, à la bande de France. La bande, chargée d'abord de fleurs de lys sans nombre, subit plus tard la réduction au nombre de trois, qu'avait adopté la maison royale. (après réunion du Dauphiné à la France)[163] L'auteur C. Mulleur indique quant à lui : D'or au chevron d'azur, chargé en chef d'un soleil d'or et en pointe de deux croissants d'argent[Foras 138],[164]. |
Mentionnée au XIIe siècle[163]. Originaire du Dauphiné. Seigneur de La Bâtie Montgascon, Domessin, Lay, Pancalieri, Pont de Beauvoisin, Rochefort ; coseigneurs de Balmont, Cervens, Faverges, Pierre-Châtel, Rochefort[Foras 138]. | |
Famille de Rochette
D'azur à un chef-pal du champ bordé d'or et chargé de cinq étoiles du même posées en tau(à confirmer).[Foras 139],[165]
|
Chevaliers originaires du Chablais. Comtes de Arâches, La Croix, Scionzier (1699) ; barons de Beaufort, Donjon, Salagine (par mariage, 1675)[166], Villard, Burdignin, Cohendier et Villard (1684) ; seigneurs de Bourgeal, Hermineur, La Forest, Mont Saconnex, Saint Sigismond, Vougy[Foras 139]. | |
Famille de La Rochette (Roccetta, Rochete, Rocchetta)
D’azur à trois rocs ou roquets d’échiquier, alias, fers de lance) d’or.[Foras 140] Les La Rochette du Dauphiné portaient d'or, à trois rocs d'échiquier de sable[167] |
Première mention au XIIe siècle — Éteinte au XVIe siècle[168]. Originaire de La Rochette (comté de Savoie). La branche principale s'éteint au plus tard au début du XVe siècle, une branche, dite La Rochette d'Alby, s'installe au XIIIe siècle en Albanais (Geenvois) et forme 3 rameaux, le dernier éteints au début du XVIe siècle[168]. La branche genevoise porte les titres de seigneurs de Pierrecharve, de Rougemont et de La Pesse[168]. | |
Famille de Rolland, Roland, dite d'Alby ou de Marigny
D'azur à l'épée d'argent en pal la pointe en haut[Foras 141],[Jougla 16] À distinguer des familles[169]. :
|
Mentionnée en 1504[169], anoblie par LP [Jougla 16]. Originaire d'Alby (Pays de l'Albanais). Seigneurs d’Alby, de Marigny[Foras 141]. | |
Famille de Rovéréa/Rovorée, Ravorée/Rovérée
De gueules à la bande d'argent.[Foras 142] |
Attestée depuis le XIe siècle[Foras 142],[170]. Chevaliers originaires du Chablais savoyard. Considérés parfois comme cadets de la maison de Faucigny. Barons de Brissogne[Foras 142]. |
S
Blason | Nom de la famille, blasonnement et devise | Période, possessions |
---|---|---|
Famille de Sacconay (Sacconeto), Saconney, Sachonay, Sacconay, Sacconex
De sable, à trois étoiles d'argent, au chef du même chargé d'un lion issant de gueules.[Foras 143],[Borel 19],[171] |
Apparaît au XIIIe siècle. Seigneurs de Saconnex (Le Grand-Saconnex-comté de Genève). Seigneurs d'Albeterre, La Bâtie Dardel, Bruel, Bursinel, Le Châtelard, Corsier, Ogny, Prat, Pregny, Rouz, Sacconex, Truaz, Vernier, Vesancy[Foras 143]. | |
Famille de Saint-Jeoire
D'or au sautoir de sable.[Foras 144] |
Mentionnée XIIe siècle. Originaire du Faucigny. Barons de Saint-Jeoire, de Féterne et d'Hermance ; Seigneurs d'Aléry, Beaucroissant, La Chapelle-Marin (1518-avt. 1607)[172], Les Ferrières, La Ravoire, Rovorée, Turchet, Yvoire[Foras 144]. | |
Famille du Saix (de Saxo), Dessaix
D'azur à trois bandes d'or ou écartelé d'or et de gueules.[173] Ce nom étant commun dans la région, il est partagé par plusieurs familles : les Desaix (famille noble d'Auvergne), les Dessaix (famille non noble de Savoie), les Du Saix (Bresse), les Dussaix et les Dessaix (Faucigny)[174]. Cimier : Un globe chargé d'une écartelure semblable.
|
Mentionnée vers le XIVe siècle — Branche suisse éteinte fin du XVe siècle[173]. Originaire de Bresse. Seigneur de Annet, Marignier, Montfalcon, Passeirier, Pontchy, Roche, Saix. | |
Famille de Sales
D’azur à deux fasces d’or surfascsées de gueules, accompagnées d’un croissant d’or en chef et de deux étoiles à six rayons, aussi d’or, posées l’une an abîme et l’autre en pointe.[Foras 145] Couronne de marquis ou heaume de front à cinq grilles. |
Vers le XIe siècle. Originaire de La Roche-sur-Foron (comté de Genève). Barons (1613), puis comtes (1632) puis marquis de Sales (1665)[176]. (possessions : consulter l'article principal). | |
Famille de Sallenove, Sallenôves, Salanova ou Aula nova[177],[178]
Palé d'argent et de gueules de six pièces à la bande d'or, brochante sur le tout. ou Palé d'argent et de gueules de six pièces à la bande de gueules, brochante sur le tout.[Foras 146] Devise: A VIRTUTE VIRI
|
Mentionnée vers 1142[177].
Originaire du comté de Genève. Probablement issue de la famille de Chaumont tout comme la famille de Vidomne de Chaumont[179]. (possessions : consulter l'article principal). | |
Famille de Sallier (Saillet), Sallier de La Tour
Parti de sable et de sinople au cheval nu, gai, d'argent.[Foras 147],[180] Devise : Post funera lætor[Foras 147]
|
Anoblissement vers la fin de décembre 1634[Foras 147] ou le début de 1635[181] — Installation en Italie lors de la Révolution française. Mariage d'Humbert Sallier avec Françoise de Gilly permet d'obtenir les terres et les droits des familles de Gilly, de Serraval et de Bertrand de la Pérouse, dont le Tournon (1596)[182]. Marquis de Cordon (1700)[183] ; Comtes de Boringes ; Barons de Bourdeaux, Chevron (par achat en 1755), Combloux, Gilly. Duc de Corio. | |
Famille de Salteur (Sartoris)
De gueules, à une bande échiquier d'or et d'azur de trois traits, accompagnée de deux étoiles d'or (ou d'argent).[Foras 148],[Borel 21] (parfois de deux tires et l'échiqueté d'argent et d'azur.)[Foras 148] Devise: FIDES ET OFFICIUM[Foras 148]
|
Apparue au XVIe siècle. Originaire de Rumilly, famille bourgeoise[184]. Anoblissement par charge (Sénat de Savoie). Marquis de Samoëns (1699), La Serraz (1755), comtes de Saint-Pierre-de-Soucy ; seigneurs de Châtel de Culoz, Curtilles, Landaize, Molettes, Montprovens, La Salle, Villette[Foras 148]. | |
Maison de Savoie, (Humbertiens, comtes, puis ducs de Savoie)
D'or à l'aigle de sable. (Savoie ancien)[185] Devise : FERT |
Apparue vers la fin du Xe siècle. Originaire de Belley (Bugey), puis implantation en Maurienne, puis Savoie, etc.. (possessions : consulter l'article principal). | |
Famille de Serraval
Palé de six pièces d'or, d'azur et de gueules.[186] |
Apparition milieu du XIIIe siècle — Disparition au XVIe siècle[Foras 149]. Originaire du comté de Genève[187]. | |
Famille de Seyssel
Gironné d'or et d'azur de huit pièces.[Foras 150],[Borel 21] Supports : deux griffons (d'or ?) |
Mentionnée à la fin du XIIe siècle — Filiation au siècle suivant[Foras 150]. Originaire autour du lac du Bourget. Marquis d'Aix (1575), de La Serraz (1654) ; Comtes de Seyssel ; Vicomte de Novalaise ; Barons de Montfalcon, Montfort[Foras 150]. | |
Famille de Syons (Sion, Sions)
De gueules au cygne d'argent (becqué et patté de sable).[Foras 151] |
Mentionnée vers le XIIIe siècle — Éteinte en 1857[Foras 151]. Originaire du Pays de l'Albanais. Seigneurs de Syons et de Montagny. Seigneurs et barons de Beauregard, de Creste et de Saint-André, en Genevois[Foras 151]. |
T à U
Blason | Nom de la famille, blasonnement et devise | Période, possessions |
---|---|---|
Famille de Ternier (anciennement Terny)
D'or à trois pals d'azur.[Foras 152],[188] |
Mentionnée depuis le XIIe siècle — Éteinte en 1418[189]. Originaire du comté de Genève. Seigneurs notamment de Château de La Poype, dont ils sont originaires, etc.[Foras 152],[189]. Au XVe siècle, passent à la famille de Montchenu[189] | |
Famille de Thiollaz (de Thiolla)
De gueules à l'aigle naissante d'argent becquée de sable, accompagnée en chef à dextre de deux étoiles d'or.[Foras 153] Devise: Post mortem lauda (Loue après la mort)[190] |
Remonterait au début du XIVe siècle (inféodation du fief de Thiollaz )[191]. Originaire de Thiollaz, Chaumont (comté de Genève). Seigneur de Montpont (1801)[Foras 153]. | |
Famille de Thoire (Thoyre)
D'azur, à la bande d'argent.[Foras 154],[192] Ne pas confondre avec les Thoire de la maison de Thoire-Villars.
|
Remonterait au XIe siècle[192] — Éteinte au XIXe siècle[192]. Originaire du Faucigny, branche de la maison de Faucigny[193],[194]. Chevaliers, seigneurs de La Bâtie-Dardel, Bellecombe, Bossy, Brison, Carroz, Château-Blanc-d'Onion, Gravernel, Hauteville, Plagnes, Tour noire de Magland, Sirier, Vivier[Foras 154]. |
V à Z
Blason | Nom de la famille, blasonnement et devise | Période, possessions |
---|---|---|
Famille de Varax
écartelé de vair et de gueules.[Foras 155] Devise : OMNIBUS UNUS |
Originaire de Saint-Sorlin / Richemont, (Bresse-Bugey). Comtes de Varax et marquis de Saint-Sorlin (lettres patentes de 1460)[195] ; comtes de Arlod ; seigneurs de Châtel (par mariage en 1559 avec Catherine de Verbos/Verboz[Foras 156]), Mons, Sainte-Hélène-des-Millières, Saxel, Semine, La Vernaz[Foras 155]. | |
Famille de Verboz / Verbouz (Verbou, de Verbos, de Verbosis)
D'azur à la tour crénelée d'argent, maçonnée de sable.[Foras 157] |
Apparue au XIIe siècle. Originaire de Semine (comté de Genève). Seigneur de Châtel sur les Usses[Foras 157] (inféodé en 1393 par le comte de Genève jusqu'en 1575 où elle passe à la famille de Varax, à la suite du mariage en 1559 entre Jean Philibert de Varax et Catherine Bailland de Verbos) | |
Famille de Verdon ou Verdun (de)
D'azur au lion d'or ou de sinople au lion d'or.[Foras 158] |
Rameau d'une des familles de Chignin (XIIIe siècle)[196]. Originaire du comté de Savoie. Seigneur de Chalex, de La Corbière, de Cornillon, de Marthod, de Verdon (Château)[Foras 158]. | |
Famille de Vidomne de Chaumont
Palé d’argent et d’azur au chevron de gueules.[Foras 159]
|
Mentionnée au XIIe siècle[197]. Issu de la famille de Chaumont (comté de Genève). Barons de Couvette ; seigneurs de Anthy, La Chapelle, Charmoisy, Durzilly, Epagny, Folliet, Lausenette, Marclaz (par mariage en 1515, puis passe à la maison des Maréschal), Montségur, La Motte, Novery, Villy (acheté 1397) ; coseigneurs de Cormand[Foras 159]. | |
Famille Vignet
D'argent, à deux fasces de sable chargées la première de deux raisins d'or, la seconde de même.[Foras 160] Devise : Droit chemin. Bon chemin[Foras 160] |
Mentionné au XVIIe siècle — Noblesse au XIXe siècle[Foras 160]. Originaire du Chablais, famille bourgeoise de Thonon. Barons des Étoles (par achat 1757) et de Montgex (1789)[Foras 160]. Titre de comte par L.P. du , et de baron par L.P. du [Foras 160]. | |
Famille de Viry
Palé d'argent et d'azur[Foras 146]. Les noms de Viry et de Sallenove sont portés indistinctement jusqu'en 1239 où Hugues II de Viry partage la branche entre ces trois fils[177],[178]. Devise : A VIRTUTE VIRI[198].
|
Remonterait au XIe siècle — Issue de la famille de Sallenove[177],[178] — Seconde moitié du XVIe siècle, reprise par une branche cadette des biens de la branche aînée, ruinée[178].
Originaire du comté de Genève. Comte de Viry. barons de Ternier[Foras 146]. (possession : consulter l'article principal). |
Notes et références
Notes
- Mention d'un Humbert d'Arvillard en 1058, avec son fils et son petit-fils ainsi qu'une fille, Oda, à travers une donation pour la fondation d'un prieuré à Domène (Grésivaudan)[18].
- Foras fait l'hypothèse qu'il s'agirait probablement d'une seule et même famille[Foras 14]. L'historien Félix Bernard « D'après ces textes, les Apremont et les La Baume ont donc des biens intimement mêlés et même des intérêts identiques. Ils doivent être de la même famille »[23].
- Ne pas confondre la famille de La Faverge avec les seigneurs de Faverges (de Fabricâ), originaire du Dauphiné et qui devint la famille de Rébé. Il n'y a aucun lien avec la commune de Faverges où une famille seigneuriale, les de Faverges (Fabricis) possédaient le château.
- Une version plus explicite est "écartelé au 1 et 4 d'argent à l'aigle éployée de sable, béqué et membré d'or ; au second et troisième contre-écartelé d'hermine et de gueules." donnée par l'abbé Aubert de Vertot dans son Histoire des chevaliers hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem[121].
Références spécialisées
- Annuaire de la noblesse de France (1861)
- p. 373.
- Borel, p. 374.
- pp. 374-375.
- pp. 376.
- pp. 376-377.
- p. 377.
- pp. 158-159.
- pp. 378-379 (lire en ligne).
- vol. 22, p. 335 (lire en ligne).
- p. 379 (lire en ligne).
- Borel, p. 380 (présentation en ligne).
- pp. 387-388.
- p.186-187.
- p. 381.
- p. 383.
- Borel, p. 384, mais le dessin est inversé.
- p. 358.
- p. 386-387.
- p. 209, 386.
- p. 386.
- p. 387.
- Armorial et nobiliaire de l'ancien duché de Savoie (1863-1910)
- vol. 1, pp. 12-14 lire en ligne.
- vol. 1, pp. 15-17 (lire en ligne.
- vol. 1, pp. 19-21 (lire en ligne).
- vol.1 pp. 22-36 (lire en ligne).
- vol. 1,pp. 41-43 (lire en ligne).
- vol. 1, pp. 46 (lire en ligne).
- vol. 1, pp. 50 (lire en ligne).
- vol. 1, pp. 51-53 (lire en ligne).
- vol. 1, pp. 61-64 (lire en ligne).
- vol. 1, pp. 68, 70-71 (lire en ligne).
- vol. 1, pp. 73-75 (lire en ligne).
- vol. 1, pp. 79 (lire en ligne).
- vol. 1, pp. 92-97 (lire en ligne).
- vol. 1, pp. 99-102 (lire en ligne).
- vol. 1, pp. 103-108 (lire en ligne).
- vol. 1, pp. 108-110 (lire en ligne).
- vol. 1, pp. 135-139 (lire en ligne).
- vol. 1, pp. 144-156 (lire en ligne).
- vol. 1, pp. 162-170 (lire en ligne).
- vol. 1, pp. 171-174 (lire en ligne).
- vol. 1, pp. 189-195 (lire en ligne).
- vol. 1, pp. 211-232 (lire en ligne).
- vol. 1, pp. 233-238 (lire en ligne).
- vol. 1, pp. 239-241 (lire en ligne).
- vol. 1, pp. 247-252 (lire en ligne).
- vol. 1, p. 266 (présentation en ligne).
- vol. 1, pp. 275-278 (lire en ligne).
- vol. 1, p. 278 (lire en ligne).
- vol. 1, p. 6 (lire en ligne).
- vol. 1, pp. 279-281 (lire en ligne).
- vol. 1, pp. 287-294 (lire en ligne).
- vol. 1, pp. 299-301 (lire en ligne).
- vol. 1, pp. 302-303 (lire en ligne).
- vol. 1, pp. 313-315 (lire en ligne).
- vol. 1, pp. 320-324 (lire en ligne).
- vol. 1, pp. 327-337 (lire en ligne).
- vol. 1, pp. 342-346 (lire en ligne).
- vol. 1, pp. 349-358 (lire en ligne).
- vol. 1, pp. 362-364 (lire en ligne).
- vol. 1, pp. 383-391 (lire en ligne).
- vol. 1, pp. 392-398 (lire en ligne).
- vol. 1, pp. 399-402 (lire en ligne).
- vol. 2, pp. 1-3 (lire en ligne).
- vol. 2, pp. 5-31 (lire en ligne).
- vol. 2, pp. 32-41 (lire en ligne).
- vol. 2, pp. 42-60 (lire en ligne).
- vol. 2, pp. 75-89(lire en ligne).
- vol. 2, pp. 90-98 (lire en ligne).
- vol. 2, pp. 99-103 (lire en ligne) et pp. 104-107 (lire en ligne).
- vol. 2, pp. 104-107 (lire en ligne).
- vol. 2, pp. 123-134 (lire en ligne).
- vol. 2, p. 131 (lire en ligne).
- vol. 2, pp. 135-141 (lire en ligne).
- vol. 2, pp. 141-147 (lire en ligne).
- vol. 2, pp. 153-156 (lire en ligne).
- vol. 2, pp. 157-163 (lire en ligne).
- vol. 2, pp. 163-167 (lire en ligne).
- vol. 2, pp. 170-178 (lire en ligne).
- vol. 2, pp. 179-184 (lire en ligne).
- vol. 2, pp. 185-193 (lire en ligne).
- vol. 2, pp. 195-202 (lire en ligne).
- vol. 2, pp. 203-207 (lire en ligne).
- vol. 2, pp. 218-225 (lire en ligne).
- vol. 2, pp. 231-235 (lire en ligne).
- vol. 2, pp. 236-241 (lire en ligne).
- vol. 2, pp. 252-255 (lire en ligne).
- vol. 2, pp. 263-265 (lire en ligne).
- vol. 2, pp. 285-293 (lire en ligne).
- vol. 3, pp. 337-364 (lire en ligne).
- vol. 2, pp. 317-354 (lire en ligne).
- vol. 2, pp. 357-359 (lire en ligne).
- vol. 2, pp. 361-365 (lire en ligne).
- vol. 2, pp. 367-369 (lire en ligne).
- vol. 2, p. 376 (lire en ligne).
- vol. 2, pp. 381-382 (lire en ligne).
- vol. 2, pp. 388-398 (lire en ligne).
- vol. 2, pp. 407-422 (lire en ligne).
- vol. 2, pp. 423-441 (lire en ligne).
- vol. 3, pp. 17-22 (lire en ligne).
- vol. 3, pp. 23-29 (lire en ligne).
- Voir au « Supplément ».
- vol. 3, pp. 61-62 (lire en ligne).
- vol. 3, pp. 63-71 (lire en ligne).
- vol. 3, pp. 72-79 (lire en ligne).
- vol. 3, pp. 80-83 (lire en ligne).
- vol.3, pp. 90-108 (lire en ligne).
- vol. 3, pp. 109-111 (lire en ligne).
- vol. 3, pp. 112-119 (lire en ligne).
- vol. 3, pp. 120-121 (lire en ligne).
- vol. 3, pp. 126-133 (lire en ligne).
- vol. 3, pp. 150-151 (lire en ligne).
- vol. 3, pp. 152-161 (lire en ligne).
- vol. 2, p. 324 (lire en ligne).
- vol. 3, p. 167 (lire en ligne).
- vol. 3, pp. 190-195 (lire en ligne).
- vol. 3, pp. 196-201 (lire en ligne).
- vol. 3, pp. 202-210 (lire en ligne).
- vol. 3, pp. 219-222 (lire en ligne).
- vol. 3, pp. 229-237 (lire en ligne).
- vol. 3, pp. 247-248 (lire en ligne).
- vol. 3, pp. 249-257 (lire en ligne).
- vol. 3, pp. 263-270 (lire en ligne).
- vol. 3, pp. 272-277 (lire en ligne).
- vol. 3, p. 291-293 (lire en ligne).
- vol. 3, p. 294 (lire en ligne).
- vol.2, p. 328-329 (présentation en ligne).
- vol. 3, pp. 298-300.
- vol. 3, pp. 302-304 (lire en ligne).
- vol. 3, pp. 313-316 (lire en ligne).
- vol. 3, pp. 317-319 (lire en ligne).
- vol. 3, pp. 6-10 (lire en ligne).
- vol. 3, pp. 365-374.
- vol. 3, pp. 387-395.
- vol. 3, pp. 411-470 (lire en ligne).
- vol. 3, pp. 471-473.
- vol. 4, pp. 10-12.
- vol. 4, pp. 13-31.
- vol. 4, pp. 32-55.
- vol. 4, pp. 42-46.
- vol. 3, p. 316 (lire en ligne).
- vol. 4, p. 65.
- vol. 4, pp. 66-78.
- Foras, p. V4 - pp.91-108.
- vol. 4, pp. 109-120.
- vol. 4, pp. 121-138.
- vol. 4, pp. 143-170.
- vol. 4, pp. 171-180.
- vol. 4, pp. 200-228.
- vol. 4, pp. 268-280.
- vol. 4, pp. 301-317.
- vol. 4, pp. 334-340.
- vol. 4, pp. 372-376.
- vol. 4, pp. 398-408.
- vol. 5, pp. 78-101.
- vol.5 pp. 34-35.
- vol. 5, pp. 146-152.
- vol. 5, pp. 169-183.
- vol. 5, pp. 186-199.
- vol. 5, pp. 202-207.
- vol. 5, pp. 208-220.
- vol. 5, pp. 235-243.
- vol. 5, pp. 261-285.
- vol. 5, pp. 297-303.
- vol. 5, pp. 305-317.
- vol. 5, pp. 327-344.
- vol. 5, pp. 345-384.
- vol. 5, pp. 385-387.
- vol. 5, pp. 388-395.
- vol. 5, pp. 453-455.
- vol. 5, pp. 459-500.
- vol. 5, pp. 504-508.
- vol. 5, pp. 510-520.
- vol. 5, pp. 523-526.
- vol. 5, pp. 527-543.
- vol. 5, pp. 559-563.
- vol. 5, p. 577.
- vol. 5, pp. 573-578.
- vol. 5, pp. 579-581.
- vol. 5, pp. 598-611.
- vol. 5, pp. 614-616.
- Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle (1903-1929)
- T.Ier. A-Att. - 1903, p. 122 (lire en ligne).
- T.Ier. A-Att. - 1903, pp. 214-215 (lire en ligne).
- T.Ier. A-Att. - 1903, p. 318-319 (lire en ligne).
- t. III. Bas-Ber. - 1904, p. 93-97 (lire en ligne).
- t.III. Bas-Ber. - 1904, p. 282-283 (lire en ligne).
- t. IV. Ber-Blo. - 1905, p. 380-382 (lire en ligne).
- t. VII. Bré-Bur. - 1908, p. 69-70 (lire en ligne).
- t. VII. Bré-Bur. - 1908, p. 212-214 (lire en ligne).
- t. VIII. Bus-Cas. - 1909, p. 25-27 (lire en ligne).
- t.VIII. Bus-Cas. - 1909, p. 225-226 (lire en ligne). Erreur de référence : Balise
<ref>
incorrecte : le nom « Capré » est défini plusieurs fois avec des contenus différents. - t.X. Cha-Chu. - 1911, p. 140-141 (lire en ligne).
- t.X. Cha-Chu. - 1911, pp. 317-319 (lire en ligne).
- t. X. Cha-Chu. - 1911, pp. 354-355 (lire en ligne).
- t.XI. Cib-Cor. - 1912, pp. 91- (lire en ligne).
- t.XI. Cib-Cor. - 1912, pp. 328-329 (présentation en ligne).
- t.XI. Cib-Cor. - 1912, pp. 344-345 (lire en ligne).
- t.XI. Cib-Cor. - 1912, pp. 358-360 (lire en ligne).
- t.XI. Cib-Cor. - 1912, pp. 381-383 (lire en ligne).
- t.XII. Cos-Cum. - 1913, pp. 27-30 (lire en ligne).
- t.XII. Cos-Cum. - 1913, pp. 191-192 (lire en ligne).
- T. XVII. Fab-Fei. - 1921, pp. 136-143 (lire en ligne).
- T. XVII. Fab-Fei. - 1921, pp. 199-200 (lire en ligne).
- T. XVII. Fab-Fei. - 1921, pp. 203-204 (lire en ligne).
- Chaix d'Est-Ange, T. XVII. Fab-Fei. - 1921, pp. 209-212 (lire en ligne).
- t.XVIII, Fel-For. - 1922, p. 38 (lire en ligne).
- T.XVIII. Fel-For. - 1922, pp. 187-189 (lire en ligne).
- T. XVIII. Fel-For. - 1922, pp. 301-302 (lire en ligne).
- T. XVIII. Fel-For. - 1922, pp. 324-327 (lire en ligne).
- Grand armorial de France (1934-1952)
- [PDF] vol. 2, p.16, « De La Baume de Montrevel ».
- [PDF] vol. 2, p.191, « Le Borgne de Boigne ».
- vol. 4, p. 27, no 15731 ([PDF] lire en ligne) ».
- vol. 4, p. 31, no 15767 ([PDF] lire en ligne).
- vol. 4, pp. 68, no 16309 ([PDF] lire en ligne).
- vol. 4, p. 134, no 17252, « de Genève-Lullin » ([PDF] lire en ligne).
- vol. 4, p. 143, no 17371, « De Gerbais-Sonnaz » ([PDF] lire en ligne).
- vol. 4, p. 154, no 17524, « De Gilly » ([PDF] lire en ligne).
- vol. 4, p. 155, no 17530, « De Gingins » ([PDF] lire en ligne).
- vol. 4, p. 223, no 18096, « De Grailly », no 18097, comtes de Foix ([PDF] lire en ligne).
- vol. 4, p. 223, no 18250, « Greyfié de Bellecombe » ([PDF] lire en ligne).
- vol. 4, p. 230, no 18338, « De Grolée » et no 18339, Branche de Viriville ([PDF] lire en ligne).
- vol. 4, p. 254, no 18725, « Guillet » ([PDF] lire en ligne).
- vol. 7, p. 384.
- vol. 5, p. 183-184, no 25337, « D'Orlier de Saint-Innocent » ([PDF] lire en ligne).
- vol. 6, p.48.
Autres références
- AdS, p. Tome 1, IX, 1938 - Article Léon Menabrea, "De la marche des études historiques en Savoie et en Piémont, depuis le XIVe siècle jusqu'à nos jours, et des développements dont ces études seraient encore susceptibles", p. 348 (lire en ligne).
- Bernard Demotz, Le comté de Savoie du XIe au XVe siècle : Pouvoir, château et État au Moyen Âge, Genève, Slatkine, , 496 p. (ISBN 978-2-05-101676-6), p. 239-260.
- Grillet, p. Tome 3 - p.28.
- Louis Comby, Histoire des Savoyards, éd. Nathan, Coll. Dossiers de l’Histoire, , 157 p. (ISSN 0154-9499).
- Christian Sorrel, Histoire de la Savoie en images : images, récits, Montmélian, La Fontaine de Siloé, Collection « Les Savoisiennes », , 461 p. (ISBN 978-2-84206-347-4, BNF 40949269), p. 218-219.
- Maurienne, p. 247, observable sur la façade de la chapelle Saint-Antoine à Saint-Jean-de-Maurienne.
- Léon Menabrea, Des origines féodales dans les Alpes occidentales, Imprimerie royale, , 596 p. (lire en ligne), p. 327.
- Maurice Antoine Durandard de Aigueblanche (ca1840-1900), « Notice historique sur la famille de Lalée de la Tournette, et notamment sur Louis et Abel père et fils, ambassadeurs du Duc de Savoie, en Suisse, au XVIIe siècle, lieutenants généraux d'artillerie », Congrès des sociétés savantes de Savoie, Chambéry, , p. 151-157 (ttps://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5425077m/f185.image.r).
- Asnières de Veigy, Greyfié de Bellecombe et Regat 2024, vol.II.
- Jean-Louis Grillet, Dictionnaire historique, littéraire et statistique des départements du Mont-Blanc et du Léman, contenant l'histoire ancienne et moderne de la Savoie, vol. 3, t. 2, Chambéry, J.F. Puthod, , p. 254. (lire en ligne)
- Gabriel Pérouse, Les environs de Chambéry : Guide historique et archéologique, La Fontaine de Siloé, coll. « Le Champ régional », , 389 p. (ISBN 978-2-908697-47-6), p. 101.
- SSHA, p. Tome XLV - 1907 - p.45.
- Jean-Louis Grillet, Histoire de la ville de La Roche : contenant les principaux événements arrivés depuis sa fondation en l'an 1000 jusqu'à présent, Annecy, impr. de L. Thésio, par A. Arestan et E. Pelloux (réimpr. 1867) (1re éd. 1790) (lire en ligne), p. 162-165.
- Louis Blondel, Châteaux de l'ancien diocèse de Genève, vol. 7, Société d'histoire et d'archéologie de Genève (réimpr. 1978) (1re éd. 1956), 486 p., p. 66.
- AS, p. Volume 43-44 - 1925 - p.240.
- Faucigny, p. 365.
- Guy Gavard, Histoire d'Annemasse et des communes voisines : les relations avec Genève de l'époque romaine à l'an 2000, Montmélian, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Savoisiennes », , 439 p. (ISBN 978-2-84206-342-9, BNF 40960007, lire en ligne), p. 59.
- Conférence de Pierre Brugnon, « Moines et seigneurs et paysans d’Arvillard. Vers un long Moyen Age savoyard (XIe – XVIIIe siècle) » à la Société savoisienne d'histoire et d'archéologie, du 31 janvier 2018 (lire en ligne).
- Eugène Burnier, La Chartreuse de Saint-Hugon en Savoie, Impr. F. Puthod, 1869, 567 pages, p. 80.
- Raoul Naz, « La garde et l'avouerie des monastères en Savoie (1167-1596) », Revue savoisienne, no 108, , p. 130, note n°10 (lire en ligne).
- Tarentaise, p. 86.
- Chablais, p. 294, 1138, acte de donation pour la fondation de la Chartreuse de Vallon, à Bellevaux.
- Félix Bernard, Les Origines féodales en Savoie-Dauphiné : la vie et les rapports sociaux d'alors, Imprimerie Guirimand, , 596 p., p. 62_63.
- Christian Regat et François Aubert, Châteaux de Haute-Savoie : Chablais, Faucigny, Genevois, Cabèdita, , 193 p. (ISBN 978-2-88295-117-5), p. 33.
- Maurienne, p. 280.
- Michèle Brocard, Lucien Lagier-Bruno et André Palluel-Guillard, Histoire des communes savoyardes, vol. 1 : Chambéry et ses environs. Le Petit Bugey, Roanne, Éditions Horvath, , 475 p. (ISBN 978-2-7171-0229-1), p. 337-339. ([PDF] lire en ligne)
- Bernard Demotz, Le comté de Savoie du XIe au XVe siècle : Pouvoir, château et État au Moyen Âge, Genève, Slatkine, , 496 p. (ISBN 978-2-05-101676-6), p. 592.
- Joseph Garin, Le Beaufortain : une belle vallée de Savoie : guide historique et touristique illustre, Montmélian, La Fontaine de Siloé (réimpr. 1996) (1re éd. 1939), 287 p. (ISBN 978-2-84206-020-6, BNF 36162018), p. 117 et suivantes.
- Bernard Andenmatten, « Blonay, de » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne, version du .
- Chablais, p. 257.
- Paul Guichonnet, Mémoires et document : Histoire d'Arthaz-Pont-Notre-Dame, t. 92-93, Académie salésienne, , 319 p. (lire en ligne), p. 96.
- Joseph Garin, Histoire féodale des seigneurs de Briançon, Savoie (996-1530), t. XII, Besançon, Imprimerie de l'Est, coll. « Recueil des mémoires et documents de l'Académie de la Val d'Isère », (lire en ligne), notamment page 84-85.
- Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 257 (lire en ligne).
- Jacqueline Roubert, « La seigneurie des Archevêques Comtes de Tarentaise du Xe au XVIe siècle », Mémoires de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie, impr. Chatelain (Chambéry), no 6, tome 5, , p. 65, 94, 149-150 (lire en ligne).
- Bernard Demotz, Le comté de Savoie du XIe au XVe siècle : Pouvoir, château et État au Moyen Âge, Genève, Slatkine, , 496 p. (ISBN 978-2-05-101676-6), p. 112.
- Félix Bernard, Le pays de Montmayeur : sa vallée du Coisin et le Bondeloge, Imprimerie Allier, , 214 p., p. 104.
- Jean Nicolas, La Savoie au XVIIIe siècle : Noblesse et Bourgeoisie, La Fontaine de Siloé, coll. « Le Champ régional », , 1242 p. (ISBN 978-2-84206-222-4), p. 514.
- Asnières de Veigy, Greyfié de Bellecombe et Regat 2020, vol.I.
- Louis Blondel, Châteaux de l'ancien diocèse de Genève, vol. 7, Société d'histoire et d'archéologie de Genève (réimpr. 1978) (1re éd. 1956), 486 p., p. 400.
- Samuel Guichenon, Histoire généalogique de la Royale Maison de Savoie..., chez Jean-Michel Briolo, (lire en ligne), p. 183.
- Jean-Paul Bergeri, Histoire de Moûtiers. Capitale de la Tarentaise, Montmélian, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Savoisiennes », 503 p. (ISBN 978-2-84206-341-2, BNF 41004872), p. 204.
- Maurienne, p. 76.
- Blanc 2005, p. 351.
- D'après les auteurs suivants : Menestrier, Besson, Della Chiesa, cités par Foras.
- Aix, p. 289 ([PDF] lire en ligne).
- Gabriel Pérouse, Les environs de Chambéry : Guide historique et archéologique, La Fontaine de Siloé, coll. « Le Champ régional », , 389 p. (ISBN 978-2-908697-47-6), p. 94-95.
- Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 257 (lire en ligne).
- Paul Guichonnet, Mémoires et document : Histoire d'Arthaz-Pont-Notre-Dame, t. 92-93, Académie salésienne, , 319 p. (lire en ligne), p. 92.
- Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 159-160 (lire en ligne).
- Paul Guichonnet, Mémoires et document : Histoire d'Arthaz-Pont-Notre-Dame, t. 92-93, Académie salésienne, , 319 p. (lire en ligne), p. 94-95.
- Faucigny, p. 338.
- Paul Guichonnet, Mémoires et document : Histoire d'Arthaz-Pont-Notre-Dame, t. 92-93, Académie salésienne, , 319 p. (lire en ligne), p. 93-94.
- Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 169 (lire en ligne).
- Benoît de Diesbach Belleroche, Dictionnaire des familles nobles subsistantes de Suisse, Fribourg, Intermède Belleroche, , 171 p., G (lire en ligne).
- Asnières de Veigy et Greyfié de Bellecombe 2020, vol.I.
- Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 171 (lire en ligne).
- Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 171-172 (lire en ligne).
- Joseph Garin, Le Beaufortain : une belle vallée de Savoie : guide historique et touristique illustre, Montmélian, La Fontaine de Siloé (réimpr. 1996) (1re éd. 1939), 287 p. (ISBN 978-2-84206-020-6, BNF 36162018, lire en ligne), p. 53-54.
- Jean Baptiste L'Hermite de Soliers, La Ligurie française, (lire en ligne)
- Saturnin Truchet, Saint-Jean de Maurienne au XVIe siècle, Chambéry, Imprimerie savoisienne, (lire en ligne), p. 312-313.
- Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé, (réimpr. 2004, 2021) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne), p. 161.
- Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé, (réimpr. 2004, 2021) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne), p. 43.
- Maurienne, p. 316.
- Bernard Demotz, Le comté de Savoie du XIe au XVe siècle : Pouvoir, château et État au Moyen Âge, Genève, Slatkine, , 496 p. (ISBN 978-2-05-101676-6), p. 413-414.
- SHAM, p. 1894 - p. 166
- Michèle Brocard, Maurice Messiez-Poche, Pierre Dompnier, Histoire des communes savoyardes : La Maurienne - Chamoux - La Rochette (vol. 3), Roanne, Éditions Horvath, , 558 p. (ISBN 978-2-7171-0289-5), p. 117, 123, 474. ([PDF] lire en ligne)
- Léon Buffet, Ugine, notes d'histoire, Annecy, Mémoires & documents publiés par l'Académie salésienne, (OCLC 1178470778, lire en ligne), p. 293-298, 371-372.
- AC, p. 1963.
- Chablais, p. 375.
- Joseph Hubert Willems, H Lamant, J -Y Conan, Armorial français. Ou Répertoire alphabétique de tous les blasons et notices des familles nobles, patriciennes et bourgeoises de France, Imprimé sur les presses G. Lelotte, v.9, 1976, p. 189.
- Jean-Baptiste Rietstap, Armorial général, précédé d'un dictionnaire des termes du blason, Gouda, G. B. van Goor Zonen, 1884, p. 751 ([lire en ligne]).
- « La famille Bardy, de Samoëns », Révue savoisienne, Annecy, , p. 6 (lire en ligne).
- Jean Brunier, Petite et grande histoire de Mercury, La Fontaine de Siloé, , 255 p. (ISBN 978-2-84206-106-7), p. 65, 218 (65, « Seigneurs et château de Gémilly », 218, « Blason des Gémilly »).
- Christian Regat et François Aubert, Châteaux de Haute-Savoie : Chablais, Faucigny, Genevois, Cabèdita, , 193 p. (ISBN 978-2-88295-117-5), p. 158.
- Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes : Le Faucigny, Roanne, Éditions Horvath, , 619 p. (ISBN 2-7171-0159-4), p. 538.
- Recueil des mémoires et documents de l'Académie de la Val d'Isère, 1938, p. 183.
- Marius Hudry, Histoire des communes savoyardes : Albertville et son arrondissement (vol. 4), Roanne, Éditions Horvath, , 444 p. (ISBN 978-2-7171-0263-5), p. 267.
- Ansgar Wildermann / FP, « Gingins, de » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne, version du .
- Bernard Andenmatten, « Grailly (Grilly), de » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne, version du .
- Jacques Lovie, La Savoie dans la vie française de 1860 à 1875, Paris, Presses universitaires de France, , 632 p., p. 17.
- Nicolas Carrier, La vie montagnarde en Faucigny à la fin du Moyen Âge : Économie et société (fin XIIIe début XIVe siècle), L'Harmattan, coll. « Logiques historiques », , 620 p. (ISBN 978-2-7475-1592-4), p. 31.
- Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 290-293 (lire en ligne).
- Paul Guichonnet, Mémoires et document : Histoire d'Arthaz-Pont-Notre-Dame, t. 92-93, Académie salésienne, , 319 p. (lire en ligne), p. 89.
- Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 302-303 (lire en ligne).
- Guy Gavard (préf. Paul Guichonnet), Histoire d'Annemasse et des communes voisines : les relations avec Genève de l'époque romaine à l'an 2000, Montmélian, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Savoisiennes », , 439 p. (ISBN 978-2-84206-342-9, BNF 40960007), p. 111.
- Faucigny, p. 130.
- Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Jean-Bernard Challamel, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes. Le Genevois et Lac d'Annecy (Tome III), Roanne, Éditions Horvath, , 422 p. (ISBN 2-7171-0200-0), p. 423-426, « Hauteville-sur-Fier (Hauteville de Rumilly) ».
- Paul Lullin et Charles Le Fort, Régeste genevois ou Répertoire chronologique et analytique des documents imprimés relatifs à l'histoire de la ville et du diocèse de Genève avant l'année 1312, Société d'histoire et d'archéologie de Genève, , 542 p. (lire en ligne), p. 498.
- François Mugnier, « Nicod de Menthon », Mémoires et documents publiés par la Société savoisienne d'histoire et d'archéologie, 2e série, t. 7, , p. 107-108 (lire en ligne).
- Jacques Augustin Galiffe, Notices généalogiques sur les familles genevoises : depuis les premiers temps, jusqu'à nos jours (vol. 3 suite et fin), J. Barbezat, (lire en ligne), p. 277-279.
- Fiche sur le site de l'Abbaye d'Aulps.
- Chablais, p. 300.
- Louis Blondel, Châteaux de l'ancien diocèse de Genève, vol. 7, Société d'histoire et d'archéologie de Genève (réimpr. 1978) (1re éd. 1956), 486 p., p. 176.
- Marc de Seyssel-Cressieu, La maison de Seyssel : La maison de Seyssel : ses origines, sa généalogie, son histoire : d'après les documents originaux, t. 2, Grenoble, Allier Frère, , 569 p. (lire en ligne), p. 407.
- Aix, p. 140.
- Jacques Augustin Galiffe, Notices généalogiques sur les familles genevoises : depuis les premiers temps, jusqu'à nos jours (vol. 5), J. Barbezat, (lire en ligne), p. 1-109.
- Faucigny, p. 273.
- Adolphe Gros, Histoire de la Maurienne. T. I, Des origines au XIVe siècle, , 333 p. (lire en ligne), p. 199.
- Raymond Oursel, Les chemins du sacré : L'art sacré en Savoie, Montmélian, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Savoisiennes », , 393 p. (ISBN 978-2-84206-350-4, BNF 41413867), p. 71.
- Léon Menabrea, Des origines féodales dans les Alpes occidentales, Imprimerie royale, , 596 p., p. 377.
- Faucigny, p. 326.
- Laurent Perrillat, L'apanage de Genevois aux XVIe et XVIIe siècles : pouvoirs, institutions, société, vol. 113, Académie salésienne, , 1070 p. (ISBN 978-2-901102-21-2, lire en ligne), p. 616.
- Michel Germain, Personnages illustres des Savoie : "de viris illustribus", Lyon, Autre Vue, , 619 p. (ISBN 978-2-915688-15-3, BNF 41276536), p. 354.
- Lucien Guy, « Les anciens châteaux du Faucigny », Mémoires & documents, vol. 47, , p. 190-192 (lire en ligne).
- Enciclopedia storico-nobiliare italiana : famiglie nobili e titolate viventi riconosciute dal governo d'Italia compresi, Forni, 1968, p. 376.
- Brigitte Alzieu, Éveline Alzieu-Martin, Val d'Isère Jadis et Naguère, Montmélian, La Fontaine de Siloé, coll. « la Chronique de l'Autrefois », , 207 p. (ISBN 978-2-84206-204-0), p. 49.
- Pierre Bozon, Le Pays des Villards en Maurienne, Éditions des "Cahiers de l'Alpe", , 291 p., p. 127.
- Mémoires de l'Académie de Savoie, 1903, p. 682.
- Maurienne, p. 110.
- Bernard Demotz, Le comté de Savoie du XIe au XVe siècle : Pouvoir, château et État au Moyen Âge, Genève, Slatkine, , 496 p. (ISBN 978-2-05-101676-6), p. 220.
- Joseph Rochette et René Blanc, Saint-Rémy-de-Maurienne : Village aux mille sources, La Fontaine de Siloé, coll. « Savoie vivante », , 217 p. (ISBN 978-2-84206-054-1), p. 104-105.
- Christian Sorrel, Histoire de la Savoie en images : images, récits, Montmélian, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Savoisiennes », , 461 p. (ISBN 978-2-84206-347-4, BNF 40949269), p. 220-221.
- Maurienne, p. 135.
- Maurienne, p. 231.
- Paul Guichonnet, Nouvelle encyclopédie de la Haute-Savoie : Hier et aujourd'hui, Montmélian, La Fontaine de Siloé, , 399 p. (ISBN 978-2-84206-374-0, BNF 41173998), p. 139.
- « Des noms et des hommes : aujourd'hui les Métral », Le Dauphiné libéré, . Voir aussi le Site consacré à la famille Métral.
- p. 382.
- Georges Chapier, Châteaux Savoyards : Faucigny, Chablais, Tarentaise, Maurienne, Savoie propre, Genevois, La Découvrance, coll. « L'amateur Averti », , 410 p. (ISBN 978-2-84265-326-2), p. 131.
- D.L. Galbreath, « Les armoiries des Miolans-Urtières en Savoie », Archives héraldiques suisses, no 61, , p. 26-31 (lire en ligne).
- Grillet, p. Tome 3 - p.38.
- René Aubert de Vertot, Histoire des chevaliers hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, appelez depuis chevaliers de Rhodes, et aujourd’hui chevaliers de Malte, Paris, Rolin, 1726, 4 vol, t. IV, p. 44.
- Louis Blondel, Châteaux de l'ancien diocèse de Genève, vol. 7, Société d'histoire et d'archéologie de Genève (réimpr. 1978) (1re éd. 1956), 486 p., p. 163.
- Henri Voiron, À Bloye, autrefois : monographie d'une paroisse et commune de l'Avant-pays savoyard, Montmélian, La Fontaine de Siloé, , 255 p. (ISBN 978-2-84206-333-7, BNF 40246091), p. 25.
- [PDF] Bernard Hauert, « Le château de Montfort », sur site de La Salévienne - la-salevienne.org, (consulté en ), p. 36.
- Mémoires et documents de Société savoisienne d'histoire et d'archéologie, 1878, p. 322.
- Genevois, p. 186.
- Mémoires et documents, de Société savoisienne d'histoire et d'archéologie, 1894, p. 33.
- Travaux de la Société d'histoire et d'archéologie de Maurienne, 1978, p. 81.
- Michel Germain, Personnages illustres des Savoie : "de viris illustribus", Lyon, Autre Vue, , 619 p. (ISBN 978-2-915688-15-3, BNF 41276536), p. 399.
- Bernard Demotz, Le comté de Savoie du XIe au XVe siècle : Pouvoir, château et État au Moyen Âge, Genève, Slatkine, , 496 p. (ISBN 978-2-05-101676-6), p. 369.
- Mémoires et documents (Volume 34) de la Société savoisienne d'histoire et d'archéologie, 1895, p. 283.
- Chablais, p. 259.
- Lucien Guy, « Les anciens châteaux du Faucigny - Château de Chuet (section) », Mémoires & documents, vol. 47, , p. 155, généalogie de la branche cadette de Bonneville (lire en ligne).
- François de Mouxy de Loche, Histoire d'Aix-les-Bains, Chambéry, Imprimerie savoisienne, , p. 241 ou encore précisé dans Jean Aubert et Pierre Dumas, Catalogue des collections du Musée de Chambéry : sculptures, XIe – XXe siècles, Chambéry, Musée de Chambéry, , p. 20.
- Aix, p. 93.
- Gabriel Pérouse, Les environs de Chambéry : Guide historique et archéologique, La Fontaine de Siloé, coll. « Le Champ régional », , 389 p. (ISBN 978-2-908697-47-6), p. 114.
- Mémoires et documents de l'Académie Chablaisienne, 1955, p. 33.
- Ghislain Garlatti, Histoire des Marches : à l'ombre du Granier, chronique d'un village de Savoie, Montmélian, La Fontaine de Siloé, , 157 p. (ISBN 978-2-84206-343-6, BNF 41023791), p. 45.
- John Baud, Armorial du Chablais, Thonon-les-Bains / Genève, Académie chablaisienne / Slatkine reprints, , 274 p. (ISBN 978-2-05-101288-1).
- Michèle Brocard, Lucien Lagier-Bruno, André Palluel-Guillard, Histoire des communes savoyardes : Aix-les-Bains et ses environs - Les Bauges - La Chartreuse - La Combe de Savoie - Montmélian (vol. 2), Roanne, Éditions Horvath, , 463 p. (ISBN 978-2-7171-0310-6), p. 203. ([PDF]lire en ligne)
- Fabienne Abetel-Béguelin, « de La Palud » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne, version du .
- SSHA, p. Volume 39 - 1900 - p. XXXVIII.
- Paul Guichonnet, Mémoires et document : Histoire d'Arthaz-Pont-Notre-Dame, t. 92-93, Académie salésienne, , 319 p. (lire en ligne), p. 90-91.
- Louis Blondel, Châteaux de l'ancien diocèse de Genève, vol. 7, Société d'histoire et d'archéologie de Genève, , 486 p., p. 131.
- Paul Guichonnet, Les monts en feu : la guerre en Faucigny, 1793, Académie salésienne, , 368 p. (ISBN 978-2-901102-11-3), p. 42.
- Georges Chapier, Châteaux Savoyards : Faucigny, Chablais, Tarentaise, Maurienne, Savoie propre, Genevois, La Découvrance, coll. « L'amateur Averti », , 410 p. (ISBN 978-2-84265-326-2), p. 390.
- Gabriel Pérouse, Les environs de Chambéry : Guide historique et archéologique, La Fontaine de Siloé, coll. « Le Champ régional », , 389 p. (ISBN 978-2-908697-47-6), p. 43.
- Joseph Rochette et René Blanc, Saint-Rémy-de-Maurienne : Village aux mille sources, La Fontaine de Siloé, coll. « Savoie vivante », , 217 p. (ISBN 978-2-84206-054-1, présentation en ligne), p. 117.
- Maurienne, p. 290 (lire en ligne).
- Maurienne, p. 255 (lire en ligne).
- Marcel Gianada, « La famille noble de La Ravoire au service de l'Église », Vie religieuse en Savoie : mentalités, associations, no actes du XXXIe Congrès des sociétés savantes de Savoie, Annecy, 13-14 septembre 1986 - Académie salésienne, , p. 241-250 (lire en ligne).
- Archivum heraldicum, Société Suisse d'Héraldique, Volumes 60 à 61, p. 14.
- Félix Bernard, Les Origines féodales en Savoie-Dauphiné : la vie et les rapports sociaux d'alors, Imprimerie Guirimand, , 39 p., p. 248.
- Gabriel Pérouse, Les environs de Chambéry : Guide historique et archéologique, La Fontaine de Siloé, coll. « Le Champ régional », , 389 p. (ISBN 978-2-908697-47-6), p. 120.
- Félix Bernard, Les Origines féodales en Savoie-Dauphiné : la vie et les rapports sociaux d'alors, Imprimerie Guirimand, , 596 p., p. 248 ; Félix Bernard, Le pays de Montmayeur : sa vallée du Coisin et le Bondeloge, Imprimerie Allier, , 214 p., p. 27.
- L'Armorial historique de Bresse de Edmond Révérend du Mesnil et Philibert Collet (1878) indique d'azur, à la fasce d'or, accompagnée de deux étoiles de même en chef et d'un croissant aussi d'or en pointe.
- Christian Regat et François Aubert, Châteaux de Haute-Savoie : Chablais, Faucigny, Genevois, Cabèdita, , 193 p. (ISBN 978-2-88295-117-5), p. 51.
- Charles Socquet, Megève et son passé, France Couleur, , 380 p., p. 345.
- AS, p. Volumes 19 à 20 - 1806 - p. 83.
- AVI, p. Volume 3 - 1925 - p. 127.
- Faucigny, p. 400.
- Laurent Perrillat, L'apanage de Genevois aux XVIe et XVIIe siècles : pouvoirs, institutions, société, vol. 113, t. 2, Académie salésienne, , 1070 p. (lire en ligne), « Annexe n°4 : Listes des châtelains et fermiers de châtellenies de l'apanage aux XVIe et XVIIe siècles », p. 761.
- Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 619-623 (présentation en ligne).
- Claude Muller, Les mystères du Dauphiné, Éditions de Borée, , 423 p. (ISBN 978-2-84494-086-5), p. 254.
- Portrait de Charles de Rochette, Président du Sénat de Savoie, sur le site Joconde du Ministère de la Culture.
- Henri Voiron, À Bloye, autrefois : monographie d'une paroisse et commune de l'Avant-pays savoyard, Montmélian, La Fontaine de Siloé, coll. « Chronique de l'autrefois », , 255 p. (ISBN 978-2-84206-333-7, BNF 40246091), p. 31-32.
- Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 629 (présentation en ligne).
- François Coutin, Histoire d'Alby : Les Sept Châteaux — La Commune — La Paroisse, t. 45, Annecy, Impr. commerciale, coll. « Mémoires & documents de l'Académie salésienne », (lire en ligne), p. 62-66.
- François Coutin, Histoire d'Alby : Les Sept Châteaux — La Commune — La Paroisse, t. 45, Annecy, Impr. commerciale, coll. « Mémoires & documents de l'Académie salésienne », (lire en ligne), p. 66-68.
- Chablais, p. 315.
- Paul Guichonnet, Mémoires et document : Histoire d'Arthaz-Pont-Notre-Dame, t. 92-93, Académie salésienne, , 319 p. (lire en ligne), p. 90.
- A. Rouget, A. Vachez, Monuments historiques de France publiés par départements : Haute-Savoie, Lyon, Archives départementales de la Savoie, (lire en ligne), « 28. L'Échelle ».
- James Galiffe, Notices généalogiques sur les familles genevoises : depuis les premiers temps, jusqu'à nos jours (vol. 1), Genève, (lire en ligne), p. 172-174.
- Joseph Dessaix, « Vie politique et militaire du général Dessaix », p. 22 (lire en ligne), p. 441 (lire en ligne), publié dans les Mémoires de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie, troisième série, tome V, Impr. générale savoisienne, Chambéry, 1879.
- Joseph de Champeaux, Devises. cris de guerre, légendes, dictons, , p. 248.
- Jean Nicolas, La Savoie au XVIIIe siècle : Noblesse et bourgeoisie, La Fontaine de Siloé, , 1242 p. (ISBN 978-2-84206-222-4), p. 37.
- Martine Piguet, « Sallenove, de » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne, version du ..
- Roberto Biolzi, « Viry, de » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne, version du ..
- Louis Blondel, Châteaux de l'ancien diocèse de Genève, Genève, Société d'histoire et d'archéologie, , p. 71.
- Jean Brunier, Petite et grande histoire de Mercury, La Fontaine de Siloé, , 255 p. (ISBN 978-2-84206-106-7), p. 218, Article « Blason des Sallier de La Tour ».
- AVI, p. Volume 10 - 1938 - p.257.
- Tarentaise, p. 293.
- Faucigny, p. 208.
- SSHA, p. Volume 50 - 1911 - p.332.
- Bernard Demotz, 1000 ans d'histoire de la Savoie : La Maurienne, Cléopas, , 845 p. (ISBN 978-2-9522459-7-5), p. 49.
- Tarentaise, p. 292 [PDF] (lire en ligne).
- Bruno Galland, Les papes d'Avignon et la Maison de Savoie : 1309-1409, Collection de l'École française de Rome, 512 p. (ISBN 978-2-7283-0539-1), p. 62.
- Guichonnet85, p. 89-90.
- Matthieu de la Corbière, « Ternier (de) » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne, version du ..
- Joseph de Champeaux, Devises. cris de guerre, légendes, dictons, , p. 277.
- Pierre Duparc, Le comté de Genève, IXe – XVe siècle, t. XXXIX, Genève, Société d'histoire et d'archéologie de Genève, coll. « Mémoires et Documents » (réimpr. 1978) (1re éd. 1955), 616 p., p. 517 note de bas de page n°9.
- Guichonnet85, p. 91-92.
- Faucigny, p. 314.
- Louis Blondel, Châteaux de l'ancien diocèse de Genève, vol. 7, Société d'histoire et d'archéologie de Genève (réimpr. 1978) (1re éd. 1956), 486 p., p. 324.
- SSHA, p. Volume 33 - 1894 - p.60, note de bas de page.
- AdS, p. Tome I - 1953 - p.29, Il est fait mention en 1272 de Antelme de Verdon dit fils de Ogier de Chignin.
- Louis Blondel, Châteaux de l'ancien diocèse de Genève, vol. 7, Société d'histoire et d'archéologie de Genève (réimpr. 1978) (1re éd. 1956), 486 p., p. 71.
- Grillet, p. 435 et suivantes.
Voir aussi
Bibliographie
Armoriaux
- Thierry d'Asnières de Veigy et Damien Greyfié de Bellecombe, Armorial et nobiliaire de l'ancien duché de Savoie : ou état de la noblesse savoyarde subsistante, vol. 1, Rumilly, Association des Continuateurs de l'Armorial de Savoie, , 629 p. (ISBN 979-10-699-6074-9), p. 21 familles.
- Thierry d'Asnières de Veigy, Damien Greyfié de Bellecombe et Christian Regat, Armorial et nobiliaire de l'ancien duché de Savoie : ou état de la noblesse savoyarde subsistante, vol. 2, Rumilly, Association des Continuateurs de l'Armorial de Savoie, , 632 p. (ISBN 978-2-95903-850-1), p. 21 familles.
- André Borel d'Hauterive, Annuaire de la Noblesse de France et des Maisons souveraines, vol. 18e année, Grenoble, Allier Frères, (ISSN 2019-8086, lire en ligne), p. 373-388, « Nobiliaire de Savoie ».
- Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, t. 10, Évreux, impr. de C. Hérissey, 1903-1929 (lire en ligne).
- (it) Alessandro Franchi-Verney, Armerista delle famiglie nobili e titolate della Monarchia di Savoia (Savoia, Val d'Aosta, Piemonte, Liguria, contea di Nizza, Sardegna), Turin, Bocca, , XVI - 242 p. (lire en ligne) (Réédition 1929, 1985, 2010)
- (it) Francesco Agostino della Chiesa, Fiori di blasoneria per ornare la corona di Savoja, Turin, , 73 p. (lire en ligne)
- Amédée de Foras, continué par François-Clément de Mareschal de Luciane, Armorial et Nobiliaire de l'Ancien Duché de Savoie, vol. 5, Grenoble, Allier Frères, 1863-1910 (lire en ligne). Volumes consultables sur Gallica
- Volume 1 : Achard-Chevaliers de l'ordre de... (lire en ligne)
- Volume 2 : Chevelu (de)- Forestier (lire en ligne)
- Volume 3 : Fornerat - Menthonay (lire en ligne)
- Volume 4 : Merande-Portier de Mauriène
- Volume 5 : Portier de Rumilly - Vulliet
- Henri Jougla de Morenas et Raoul de Warren, Grand armorial de France : catalogue général des armoiries des familles nobles de France, comprenant les blasons des familles ayant possédé des charges dans le royaume et de celles ayant fait enregistrer leurs armoiries en 1696, de la noblesse de l'Empire, des anoblissements de la Restauration, donnant les tableaux généalogiques de familles confirmées dans leur noblesse entre 1660 et 1830 (sept volumes), Société du Grand armorial de France, 1934-1952 (BNF 34209165). L'ouvrage est composé de sept volumes répartis ainsi :
- A-Bataillon, t. 1 (lire en ligne)
- de la Batardie-Coëtlogat de Clegrio, t. 2 (lire en ligne)
- de Coëtlogon-de Fieubert, t. 3 (lire en ligne)
- des Fieux-de Martimprey, t. 4 (lire en ligne)
- Martin-de Richaud, t. 5 (lire en ligne)
- Richaudeau-Zylof de Steenbourg, t. 6 (lire en ligne)
- Supplément, t. 7 (lire en ligne)
- Gustave de Rivoire de La Bâtie, L'armorial de Dauphiné : contenant les armoiries figurées de toutes les familles nobles & notables de cette province, accompagnées de notices généalogiques complétant jusqu'à nos jours les nobiliaires de Chorier et de Guy Allard, Lyon, impr. de L. Perrin, (lire en ligne)
Travaux des sociétés savantes de Savoie
- [AdS] Académie de Savoie, Mémoire, 1825 à nos jours
- [AF] Académie florimontane, La Revue savoisienne, 1851 à nos jours
- [SSHA] Société savoisienne d'histoire et d'archéologie, Mémoires et documents, 1856 à nos jours
- [SHAM] Société d'histoire et d'archéologie de Maurienne, Travaux, 1856 à nos jours
- [AVI] Académie de la Val d'Isère, Mémoires et documents, 1866 à nos jours
- [AS] Académie salésienne, Mémoires et documents, 1879 à nos jours
- [AC] Académie chablaisienne, Mémoires et documents, 1887 à nos jours
Travaux spécifiques
- Guido Castelnuovo, « Nobles des champs ou nobles de cour ? Princes et noblesse dans les chroniques savoyardes du XVe siècle », dans Marco Gentile, Pierre Savy, Noblesse et États princiers en Italie et en France au XVe siècle, Rome, École française de Rome, coll. « École française de Rome », , 420 p. (ISBN 978-2-7283-0839-2, lire en ligne [PDF]), chap. 416, p. 191-208.
- Collectif, Noblesse en Savoie, Chambéry, Société savoisienne d'histoire et d'archéologie, coll. « L'Histoire en Savoie », décembre 1998-mars 1999, 256 p., chap. 132-133.
- Marcel-Robert Sauthier, « Cent ans de recherches généalogiques en Savoie. L'Armorial et Nobiliaire de Savoie (1863-1963) », Revue Savoisienne, Annecy, Imprimerie de Louis Thésio, , p. 179-205 (lire en ligne).
Ouvrages sur les communes et les provinces
- Michèle Brocard, Lucien Lagier-Bruno et André Palluel-Guillard, Histoire des communes savoyardes, vol. 1 : Chambéry et ses environs. Le Petit Bugey, Roanne, Éditions Horvath, , 475 p. (ISBN 978-2-7171-0229-1).
- Michèle Brocard, Lucien Lagier-Bruno, André Palluel-Guillard, Histoire des communes savoyardes : Aix-les-Bains et ses environs - Les Bauges - La Chartreuse - La Combe de Savoie - Montmélian (vol. 2), Roanne, Éditions Horvath, , 463 p. (ISBN 978-2-7171-0310-6).
- Michèle Brocard, Maurice Messiez-Poche, Pierre Dompnier, Histoire des communes savoyardes : La Maurienne - Chamoux - La Rochette (vol. 3), Roanne, Éditions Horvath, , 558 p. (ISBN 978-2-7171-0289-5).
- Marius Hudry, Histoire des communes savoyardes : Albertville et son arrondissement (vol. 4), Roanne, Éditions Horvath, , 444 p. (ISBN 978-2-7171-0263-5).
- Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Histoire des communes savoyardes : Le Chablais, Roanne, Éditions Horvath, , 422 p. (ISBN 978-2-7171-0099-0).
- Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes : Le Faucigny, Roanne, Éditions Horvath, , 619 p. (ISBN 2-7171-0159-4).
- Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Jean-Bernard Challamel, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes. Le Genevois et Lac d'Annecy (Tome III), Roanne, Éditions Horvath, , 422 p. (ISBN 2-7171-0200-0).
- Jean-Louis Grillet, Dictionnaire historique, littéraire et statistique des départements du Mont-Blanc et du Léman, contenant l'histoire ancienne et moderne de la Savoie, vol. 3, t. 2, Chambéry, J.F. Puthod, .
Articles connexes
- Liste des familles subsistantes de la noblesse savoyarde
- Armorial de la maison de Savoie
- Armorial des communes de la Savoie
- Armorial des communes de la Haute-Savoie
- Armorial des familles du Dauphiné
- Armorial des familles de Bourgogne
- Armorial des familles de France
- Armorial de l'Italie
Liens externes
- « Tables onomastiques des six volumes de l'Armorial et nobiliaire de l'ancien duché de Savoie », sur le site www.savoieparis.org (Centre Généalogique Savoyard – Paris et Région Parisienne).
- (it) « Armorial du Duché de Savoie, appendix du Blasonario Subalpino », de Federico Bona (1999-2014) Blasonario subalpino.
- (en) Charles Cawley, « Savoy », sur fmg.ac/MedLands (Foundation for Medieval Genealogy) (consulté en ).
- Thierry d'Asnières de Veigy « Le fonds héraldique de l'Académie de Savoie, une source majeure pour la continuation de l'Armorial de Savoie » (lire en ligne, consulté en ) [PDF]
— Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie, ().