Cours 1 RDM
Cours 1 RDM
Cours 1 RDM
GONNET_2003
SOMMAIRE
1. Essais mécaniques
On distingue essentiellement deux types d’essais mécaniques :
F les essais destructifs sur éprouvette : la pièce est détruite pendant l’essai ;
F les essais non-destructifs : la pièce n’est pas détruite. Ces essais sont utilisés sur les pièces complexes,
chères et difficiles à réaliser, mais également pour valider une hypothèse de travail ou un modèle d’étude.
Nous allons voir dans ce qui suit un certain nombre d’essais mécaniques, destructifs ou non. L’essai de
traction sera quant à lui plus particulièrement détaillé, puisque c’est l’essai le plus couramment rencontré.
Vous aurez d’ailleurs la joie immense (si, si…) de réaliser un essai de traction lors de l’une des séances de
Travaux Pratiques.
Rm
Le graphe ci-dessus représente la courbe classique (conventionnelle) de traction d’un matériau ductile :
Zone de déformation plastique AE : on distingue encore trois zones BC, CD et DE. Dans la zone BC,
parfaitement plastique, la contrainte reste constante et l’allongement se poursuit jusqu’en C. Entre C et D,
zone d’écrouissage, le matériau subit un changement de structure qui accroît sa résistance. Le point D, auquel
correspond la résistance maximale Rm, marque la fin de cette zone. Enfin, entre D et E, l’éprouvette subit
une striction amenant une diminution de la section avec étranglement. La rupture se produit au point E, auquel
correspond la résistance à la rupture Rr.
Remarque : la courbe en trait discontinu correspond à la courbe de traction vraie. A quoi correspond-elle ?
Vous pouvez déjà commencer à y réfléchir pour préparer la séance de Travaux Pratiques sur la machine de
traction. Indices : que se passe-t-il (d’autre) lorsque l’éprouvette s’allonge ? Qu’enregistre la machine de
traction ? Nota Bene : vous avez le droit d’appeler un ami...
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1.9 Photoélasticimétrie
1.11 Radiographie
1.12 Ultrasons
TRACTION
SOMMAIRE
1. DEFINITION............................................................................................................................................................................................4
2. EFFORT NORMAL N ...........................................................................................................................................................................5
3. CONTRAINTE NORMALE σ ............................................................................................................................................................6
4. CONDITION DE RESISTANCE........................................................................................................................................................7
5. DEFORMATIONS ..................................................................................................................................................................................7
5.1 A LLONGEMENTS................................................................................................................................................................................. 7
5.2 CONTRACTION LATERALE – COEFFICIENT DE POISSON ν............................................................................................................ 8
6. RELATION CONTRAINTES - DEFORMATIONS .....................................................................................................................9
6.1 LOI DE HOOKE .................................................................................................................................................................................... 9
6.2 EXEMPLES DE VALEURS DE MODULE D’YOUNG ............................................................................................................................ 9
6.3 ESSAI DE TRACTION......................................................................................................................................................................... 10
7. CONCENTRATION DE CONTRAINTES ....................................................................................................................................10
8. CONTRAINTES DANS UNE SECTION INCLINEE................................................................................................................13
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1. Définition
Une poutre droite est sollicitée en traction chaque r r
fois que les actions à ses extrémités (A et B) se réduisent à
r r −F F
deux forces égales et opposées ( F et − F ), de direction la Lm
ligne moyenne (Lm).
A B
Exemple : les deux figures ci-dessous représentent une potence murale à flèche triangulée, utilisée en
manutention pour lever et déplacer des charges.
Tirant 2
D
Poutre-rail 3
B
Palan 4
Fût pivotant 1
Cette potence se compose d’un palan 4, d’une poutre rail 3, d’un fût pivotant 1 et d’un tirant 2. Le tirant 2 est
r r
soumis à une sollicitation de traction : il est soumis à l’action des deux forces B3 2 et D1 2 , égales et
opposées, de direction BD, d’intensité maximale 6 200 N (intensité atteinte lorsque le palan est à l’extrême
droite.
2. Effort normal N
Faisons une coupure fictive r
dans la poutre précédente (section
−F r
droite S, située à une distance x du G Lm F
point A) entre les deux extrémités A
et B, de façon à faire apparaître les A B
efforts intérieurs dans la poutre.
x
Cette coupure S divise la poutre en
r r ∆f1
deux tronçons AG et GB.
−F G
N G
∆f n
A
r r ∆f 2
−N G
F
A
Si on isole le tronçon AG, la résultante des actions ∆f 1 , ∆f 2 , …, ∆f n qui s’exercent en chaque point
r
de la coupure par le tronçon GB se réduit au seul effort normal N en G (centre de gravité de la section S).
r r
N = ∆f1 + ∆f 2 + ... + ∆f n = F (direction AGB)
On a donc N =F ∀x
r
D1 2 G r
N
x
3. Contrainte normale σ
Divisons la section S précédente en n petites surfaces élémentaires ∆S 1 , ∆S 2 , …, ∆S n telles que :
∆S = ∆S 1 + ∆S 2 + ... + ∆S n
Chaque élément de surface supporte un effort de traction ∆f 1 , ∆f 2 , …, ∆f n parallèle à la ligne moyenne AB.
Contrainte
normale
uniforme
∆f1
∆S1 M1
M1 σ1 M1
∆S 2 M2 ∆f 2 M2 σ2 M2
σ=
N
∆S n Mn
Mn σn Mn S
∆f n
Si M1 , M1 , M1 , sont les centres des petites surfaces ∆S, en chaque point, la contrainte σ est définie comme la
limite du rapport de ∆f sur ∆S lorsque ∆S tend vers 0 :
∆f ∆f ∆f
σ 1 = lim 1 ; σ 2 = lim 2 ; … ; σ n = lim n
∆S 1 →0 ∆S ∆S 2 →0 ∆S ∆S n →0 ∆S
1 2 n
Contrainte normale uniforme : dans le cas général, et sauf cas particulier de concentrations de contraintes,
on admettra que toutes les contraintes précédentes sont identiques.
On dit qu'il y a répartition uniforme des contraintes dans la section droite S. Il en résulte que :
N
σ =
S
r D1 2 = 6 200 daN
D1 2 φd π × 202
S= = 314 mm2
4
N D1 2 62 000
σ = = = = 197 N .mm− 2
S S 314
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4. Condition de résistance
Pour des conditions de sécurité liées à l’usage de l’appareil, la contrainte σ précédemment
déterminée doit rester inférieure à une contrainte limite admissible, appelée résistance pratique à
l’extension Rpe.
La résistance pratique Rpe est fixée par des normes ou par le constructeur. Dans le cas général, Rpe
est définie à partir de la limite élastique Re du matériau, déterminée par l’essai de traction.
N Re
σ Maxi = ≤ Rpe =
S s
Exemple : reprenons le cas du tirant. Si on impose une contrainte admissible de 100 MPa, déterminons le
diamètre d minimal pour la construction de celui-ci, ainsi que le coefficient de sécurité adopté. Rappel :
effort N = 62 000 N.
N 62 000
v Détermination du diamètre d : σ Maxi = = ≤ 100 d’où d ≥ 28.1 mm
S π d2
4
Re Re 300
Rpe = ou s= = =3
s Rpe 100
5. DEFORMATIONS
5.1 Allongements
L0 ∆L
L0 : longueur initiale de la poutre
L : longueur finale de la poutre A0 (S) B0
∆L : allongement total de la poutre
x0 : longueur initiale du tronçon x0 ∆x
x : longueur finale du tronçon
∆x : allongement du tronçon A (S) B
r r
−F x F
L
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L’expérimentation montre que les allongements sont proportionnels aux longueurs initiales. L’allongement
relatif (déformation ε) traduit cette propriété :
∆L ∆x
ε= =
L0 x0
Exemple : reprenons le cas du tirant. Sous charge, le tirant s’allonge de 4 mm. Déterminons la déformation ε
et l’allongement d’un tronçon de longueur 1m.
2 800 mm 4
∆x ∆x
D0 B0
∆x 1 000 mm ∆x ∆x
∆x x
r r
D1 2 ∆x B3 2
D B
2 804 mm
∆x ∆x
∆x
4
v Déformation ε : ε = = 0.00143
2 800
∆x
v Allongement : ε = = 0.00143 d’où ∆ x = 0.00143 × 1000 = 1.43 mm
1 000
On a donc x = 1 001.43 mm
∆d
2 ∆d ∆L
εd = et εL =
d0 L0
A d0 B0 d B
r r εd
−F F alors ν =−
εL
∆d
2 L0 ∆L
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σ =Eε
Remarques : le module d’élasticité longitudinale E est une caractéristique (propriété mécanique intrinsèque)
du matériau. La loi de Hooke est à la RDM ce que la loi d’Ohm est à l’électricité.
Exemple : reprenons le cas du tirant. (d = 28 mm, σ = 100 MPa, E = 200 GPa, L = 2.8 m). Déterminons
l’allongement du tirant :
∆L σ 100
ε = = = = 0.0005
L E 200 000
7. Concentration de contraintes
Lorsque les poutres étudiées présentent de brusques variations de sections (trous, gorges,
épaulements…), la relation σ = N S n’est plus applicable. En effet, au voisinage du changement de section, la
répartition des contraintes n’est plus uniforme et présente des extremums. Le maximum est atteint pour les
points situés à proximité des variations : on dit qu’il y a concentration de contraintes en ces points. La valeur
de la contrainte est alors donnée par :
F N
σ Maxi = K t ⋅ σ 0 avec σ0 = =
S S
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5 (S)
r r
F φ 30 φ 20 F
3 141 daN 3 141 daN
r=5
(S) (S)
r r
F F
3 141 daN 3 141 daN
σ 0 = 100 MPa σ Maxi = 150 MPa
F 31 410 F 31 410
σ0 = = = 100 N .mm− 2 σ0 = = = 100 N .mm− 2
S π × 20 2 S π × 20 2
4 4
σ Maxi = K t ⋅ σ 0
r D
= 0.25 et = 1 .5
d d
Conclusion : la contrainte est maximale à la périphérie de (S), pour le diamètre de 20 et a pour valeur
σ Maxi = 150 N .mm −2
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r r
t Efforts
t r
r intérieurs
n
n Nα
A α B A α
r G r r G r r
−F F −F RG = F
Coupure oblique Tα
Contraintes
Effort normal Nα
r
N α = RG cos α = F cos α
r
A σn
Effort tangentiel Tα
−F
Tα = RG sin α = F sin α
r r
L’équilibre statique du tronçon AG montre que les efforts intérieurs se réduisent à RG = F au point G,
r r r
barycentre de la section inclinée. La projection de RG sur n et t donne respectivement l’effort normal N α
et l’effort tranchant Tα dans la coupure.
r
t r
n
cosα = 0
σα F
σ0 =
α S0
r
M σn
τ0 = 0
τα S0
r
Les contraintes σ n dans la section sont identiques en tout point et parallèles à l’axe (ligne moyenne) de la
r r r
poutre. La projection de σ n sur n et t donne respectivement la contrainte normale à la coupure σ α et la
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Nα Nα F
σα = = cos α = cos 2 α = σ 0 cos 2 α
S S0 S0
Tα F sin α cos α
τα = = = σ 0 sin α cos α
S S0
Remarque : lorsque les matériaux ont une résistance au cisaillement plus faible, la rupture par traction ou
compression se produit dans un plan incliné à 45°, plan où les contraintes de cisaillement τ α sont maximales.
En revanche, si la résistance à la traction est proportionnellement plus faible, la rupture se produit dans une
section droite (α = 0).
r r
−F
90°
F
Cassures types
45°
CISAILLEMENT
SOMMAIRE
1. Définition - Exemples
Exemple 1 : une superbe cisaille hydraulique
est utilisée pour couper des ronds, fers et
plats de petites dimensions.
r r 5
Les efforts de cisaillement A1 3 et B2 3
exercés par les lames sont perpendiculaires à 4
la poutre 3. Le cisaillement de la poutre se 1
traduit par le glissement de la section droite
S1 par rapport à la section droite S2 qui lui A 3
est directement en contact.
2
B
0
r
Lame 1 S1 A1 3
B
3
r
Lame 2 B2 3 S2
r r
A1 3 = − B2 3 Glissement de S2/S1
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r C C
L’assemblage supporte une charge F suivant son
axe de symétrie. Les deux faces collées ABCD et
A’B’C’D’ sont soumises à un cisaillement de même B B’ D B B’
nature que celui de l’exemple 1.
A A’ A A’
2 3
Joints collés
2. Effort tranchant T
Pour l’exemple du paragraphe précédent, les actions exercées par S2 sur S1 sont schématisées par un
r r r
infinité de forces élémentaires ∆f 1 , ∆f 2 , …, ∆f n qui agissent respectivement sur les surfaces élémentaires
∆S 1 , ∆S 2 , …, ∆S n telles que : S = ∆S1 + ∆S 2 + ... + ∆S n
r r
A1 3 A1 3
A A
r r
∆f 2 ∆f n r
T
r G
∆f1
B S1
r r
La résultante T des forces élémentaires s’applique au point G, barycentre de la section droite S1 . T est
r
égale et opposée à A1 3 (Principe Fondamental de la Statique) :
r r r r r
T = ∆f 1 + ∆f 2 + ... + ∆f n = − A1 3 = effort tranchant
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F
T= = 100 daN B B’
2 r r
r T G G’ T
T s’applique aux centres de gravité des surfaces ABCD et A’B’C’D’, respectivement
A A’
G et G’.
3. Contrainte de cisaillement τ
∆S 1 , ∆S 2 , …, ∆S n , en chaque point, la
Si M1 , M2 , …, Mn sont les centres des surfaces élémentaires
contrainte tangentielle τ est définie comme la limite du rapport ∆f sur ∆S lorsque ∆S tend vers 0 :
∆f1 ∆f 2 ∆f n
{ ∆S
τ 1 = lim ; { ∆S
τ 2 = lim ; ... ; { ∆S
τ n = lim
∆S 1 →0 1 ∆S 2 → 0 2 ∆S n → 0 n
Remarque : τ 1 , τ 2 , …, τ n sont contenues dans le plan de la section droite, contrairement aux contraintes
normales σ (cas de la traction uniaxiale) qui lui sont perpendiculaires.
T
τ =
S
F 100 000
La contrainte tangentielle est alors : τ = = ≈ 51 N .mm− 2
S 1 965
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T Re g
τ = ≤ τ adm ou Rpg avec τ adm = Rpg =
S s
Remarque : Reg et Rg sont des données obtenues par essais mécaniques sur les matériaux. Pour la plupart
des métaux et alliages, en première approximation :
Rr Re
Rg ≈ et Reg ≈
2 2
Exemple : reprenons l’exemple 2 avec AB = A’B’ = 30 mm et BC = B’C’ = 100 mm. Si la contrainte admissible au
cisaillement dans le joint collé est de 900 kPa, déterminons la charge F maximale supportable :
F
L’effort tranchant vaut : T=
2
T F F
La contrainte de cisaillement s’exprime par : τ = = = ≤ 0.9 N .mm− 2
S 2 S 2 × 3 000
D’où F ≤ 5 400 N
r
A1 3
S2
Ÿ S1
Ÿ
r γ
B2 3
Remarque : comme dans le cas de la sollicitation de traction, il existe des déformations élastiques (exemple
du bloc élastomère) et des déforma tions plastiques (exemple de la poutre cisaillée).
τ = Gγ
Remarque : cette dernière relation est analogue à la loi de Hooke (vu en traction) σ = E ε , avec G
constante caractéristique du matériau au même titre que le module d’Young E (pour les métaux, G ≈ 0.4 E ).
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E
G=
2 (1 + ν )
avec E le module d’élasticité longitudinale (ou module d’Young en N.mm-2 )
G le module d’élasticité transversale (ou module de Coulomb en N.mm-2 )
ν le coefficient de Poisson (sans unité)
T T 1 000
Contrainte de cisaillement τ : τ = = = = 0.2 N .mm − 2
S c × b 50 ×100
τ 0 .2
Angle de glissement γ : γ = = = 0.25 rad = 14.3°
G 0 .8
TORSION
SOMMAIRE
1. Définition - Exemples
Une poutre droite est sollicitée en torsion chaque fois que les actions aux extrémités (A et B) se réduisent à
deux couples M et –M égaux et opposés d’axe la ligne moyenne Lm.
-M r
−M
B ou B
A A r
M
M
200
M = F.A
r
F
A B
r
−F
MB = - MA B
MA
MB = F.A = 24 Nm
A
200
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α αx
= = θ = angle unitaire de torsion
L X
α AB 14.6
θ = = = 0.073°.mm −1
LAB 200
−1 73 π
ou encore θ = 73°.m = = 1.274 rad .m −1
180
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-M (S) Tronçon 1
A G
-M (S) Ÿ Ÿ
MT
A G B
Ÿ Ÿ Ÿ
Tronçon 2
(S)
x M
-MT
G B
Ÿ Ÿ
Tronçon 1 Tronçon 2
M
L’étude de l’équilibre de l’un ou l’autre tronçon montre que les actions de cohésion se réduisent à un couple de
torsion MT d’axe la ligne moyenne (x), tel que :
MT = M
Remarque : dans le cas de la torsion, tous les autres efforts intérieurs sont nuls (N = T = Mf = 0).
C
τ =Gθρ
M
Ÿ τM = G θ ρ
ρ = GM
ŸG τ : contrainte (MPa)
θ : angle unitaire de torsion (rad.mm-1 )
ρ : rayon GM (mm)
D Coupure (S)
G : module d’élasticité transversal (MPa)
Section droite
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Remarque : tous les points situés sur un même cercle de centre G et de rayon ρ ont même contrainte. Les
contraintes sont maximales à la périphérie :
-2
Molybdène G = 117 000 daN.mm
-2
Aciers au carbone 79 300 daN.mm
-2
Aciers inox 73 100 daN.mm
-2
Nickel 48 300 daN.mm
-2
Béryllium + Cuivre 48 300 daN.mm
-2
Cuivre 44 700 daN.mm
-2
Fontes 41 400 daN.mm
-2
Bronze et Laitons 40 100 daN.mm
-2
Titane 36 000 daN.mm
-2
Aluminium et Alliages 26 200 daN.mm
-2
Verre 18 200 daN.mm
-2
Magnésium 16 500 daN.mm
-2
Plomb 13 100 daN.mm
-2
Béton 9 650 daN.mm
-2
Sapin rouge (fibres) 4 140 daN.mm
-2
Polyéthylène 138 à 378 daN.mm
-2
Caoutchouc 4.1 à 7.6 daN.mm
73 π
θ = 73°.m −1 = = 1.27 rad .m −1 = 0.00127 rad .mm −1
180
5. Relation entre MT et θ
En chaque point M de la coupure s’exerce, pour l’élément de surface ∆S autour de M, une force élémentaire
r
∆f = τ ⋅ ∆S dont la direction est perpendiculaire à GM.
-M -M
MT τ=ρGθ
G G
Ÿ Ÿ
∆S
M
Section (S)
Le moment de torsion MT est égal au moment résultant en G de toutes les forces élémentaires ∆f de la
section (S).
( )
M T = ∑ M G ∆f = ∑ ∆f ⋅ ρ =∑ τ ρ ∆S =∑ G θ ρ 2 ∆S
(S ) (S ) (S ) (S )
= Gθ ∑
( )
S
ρ 2
∆S = G θ ∫( ) ρ
S
2
dS
= G θ I0
I0 =
π d4 φd
I0 =
(
π D4 − d 4 )
32 32
φd φD
π d 4 π 74
Moment polaire de la section droite : I0 = = = 235.7 mm4
32 32
MT 24.103
Angle unitaire de torsion : θ = = = 0.00127 rad .mm−1
G I 0 80 000 × 235.7
6. Relation entre τ et MT
τ MT
A partir des relations τ = G θ ρ et MT = G θ I0 on peut écrire : Gθ = =
ρ I0
MT
On obtient ainsi : τ = ρ
I0
24 000
I 0 = 235.7 mm 4 et τ = ρ = 102 ρ N .mm − 2
235.7
MT MT Re g
τ Maxi = ρ Maxi = ≤ Rpg avec ρ Maxi = V et Rpg =
I0 I0 s
V
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Re
Pour les métaux Re g ≈
2
I0
est le module de torsion (mm3 )
V
V=d/2 V=D/2
I0 π d 3
=
φd (
I 0 π D4 − d 4
=
)
V 16 V 16 D
φd φD
24 000 24 000
Contrainte tangentielle maximale : τ Maxi = = ≤ Rpg = 200 N .mm − 2
I0 π d3
V 16
d’où on tire d ≥ 8.5 mm
8. Concentration de contraintes
Lorsque les arbres étudiés présentent de brusques variations de section (gorge, épaulement, trou de
perçage…), les relations précédentes ne sont plus applicables. Au voisinage du changement de section, la
répartition des contraintes est modifiée, τMaxi est supérieure à τ calculée : on dit alors qu’il y a concentration
de contraintes.
MT
τ Maxi = Kts ⋅ τ 0 avec τ0 =
I0
V
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-1
400 N.m
A
A-A -2 A-A -2
τ0 = 75.4 N.mm τ0 = 106 N.mm
G d=
D=
φ 36 r=3 Ÿ φ 30
A
Sans concentration Avec concentration
de contraintes de contraintes
r 3 D 36
Déterminons Kts : = = 0.1 et = = 1 .2
d 30 d 30
MT M × 16 400 000 × 16
Contrainte τ0 = = T 3 = = 75.45 N .mm− 2
0 πd π 30
3
I
V
FLEXION
SOMMAIRE
A y
Fy
Appui simple
A
x
A y
Fy
Pivot
A
Fx x
A y
MA Fy
Encastrement
A
Fx x
1.5 m 3m 900 N
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r r r r r
A0 / 1 + B2 / 1 + P = 0 P 900 N
r
( ) ( ) ()
r r r
M A A0 /1 + M A B2 /1 + M A P = 0 A
B2 / 1
− A0 / 1 + B2 /1 − 900 = 0 (1) r B C
A0 / 1
A0 / 1 × 0 + B2 /1 × 1.5 − 900 × 3 = 0 ( 2)
L’équation (2) donne B2 / 1 = 2 700 N (et orientée effectivement comme sur le schéma, vers le haut).
En injectant B2 / 1 = 2 700 N dans (1), on trouve A0 / 1 = 1800 N (orientée effectivement comme sur le
schéma, vers le bas).
Remarque 1 : dans la plupart des schématisations, la poutre est modélisée par sa ligne moyenne.
Remarque 2 : les poutres sont identifiées à partir des charges extérieures appliquées :
F1 F2
Poutre simple sur deux appuis avec charges
concentrées F1 et F2
q2
q1
Poutre simple sur deux appuis avec charges
réparties q1 et q2
q(x)
Poutre encastrée avec charge répartie q(x)
linéairement croissante
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2. Efforts intérieurs
Dans le cas de la flexion, les efforts intérieurs dans n’importe quelle section droite se réduisent à un effort
tranchant T (perpendiculaire à la ligne moyenne) et à un moment fléchissant Mf (perpendiculaire à la ligne
moyenne et à T).
y r r y r
F1 F3 F1 −Mf
x
G G
• ‚ •
A B A x
r r r
F2 F2 −T
Coupure fictive
x x
Pour faire apparaître les efforts intérieurs, on effectue une coupure fictive à la distance x de l’origine A. En
isolant le tronçon 1, on obtient l’effort tranchant T et le moment fléchissant Mf (on obtient en fait
respectivement –T et –M f, voir Cours « Torseur de Cohésion »).
r
T = somme vectorielle de toutes les forces extérieures transversales situées à gauche de la section fictive =
(r r
F1 + F2 )
M f = moment résultant en G de toutes les actions extérieures situées à gauche de la section fictive =
( ) ( )
r r
M G F1 + M G F2
Remarque : le cas M f ≠ 0 avec T = 0 correspond à de la flexion pure, alors que le cas M f ≠ 0 avec T ≠ 0
correspond à de la flexion simple.
3. Diagrammes
Les valeurs de l’effort tranchant T et du moment fléchissant Mf varient avec la position x de la coupure
fictive. Les diagrammes de t et Mf (graphes mathématiques de type (x, y)) permettent de décrire les
variations de ces deux grandeurs et ainsi repérer les maximums à prendre en compte lors des claculs des
contraintes.
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MfAC MfDB
MfCD
x
Mf
-(T+dT)
x dx
dx
L’étude de l’équilibre du tronçon de largeur dx appartenant à la poutre, compte tenu des charges indiquées,
donne :
dM f
= − q (x ) et
dT
= −T
dx dx
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B C A
x
L/2 L/2
L/2 L/2
Ax = 0 Ax = 0
Ay − 1000 = 0 → Ay = 1000 N
1000 × 2 − M + M A = 0 M A = −1000 Nm y
Ay
F M
v Etude du tronçon BC : 0 ≤ x ≤1m Ax
C A
B
Effort tranchant : MA x
TBC = − F = −1000 N
Moment fléchissant : L/2 L/2
M fBC = F × x = 1000 x Nm
T
v Etude du tronçon CA : 1≤ x ≤ 2 m
v Diagrammes : ci-contre.
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4. Charges réparties
Les charges réparties ont pour origine les actions de pesanteur et des actions de contact diverses (vent,
neige, pression d’un fluide…). Elles peuvent être uniformes ou variables.
y
En projection sur y : Ay + By − q L = 0 avec Ay = By du fait
A B
de la symétrie.
x
q L 400 × 4
D’où Ay = By = = = 800 N
2 2 L=4m
v Effort tranchant : -1
400 N.m By
Ay
TAB = Ay − q x = 400 (2 − x )
v Moment fléchissant :
= 200 x (x − 4)
x
M fAB = − Ay × x + q x × T 800 N
2
v Diagrammes : ci-contre.
d M fAB d [200 x ( x − 4 )]
= = 400 (x − 2 ) Mf
dx dx
qB = 0
q (x ) q A
v Charge répartie : = B A
x L x
q (x) =
qA 1 500
d’où x= x = 500 x Nm L=3m
L 3
1500 × 3 qA = 1 500 N
R= = 2 250 N (aire du triangle)
2 y
q(x) Ay
Ay = R = 2 250 N
L 3
M A = − R × = −2 250 × = −2 250 Nm
2
T = -250 x
3 3
500 x × x 2 250 Nm
TBA = − = −250 x 2 N (triangle) Mf
2
v Moment fléchissant :
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5. Contraintes de flexion
En flexion, les contraintes normales σ sont généralement prépondérantes devant les contraintes de
cisaillement τ.
Mf 14 400 000
Contraintes : σ= y= y = 2 y MPa
Iz 72.10 6
Mf
σ Maxi = ≤ Rpe
Maxi
(I z V)
avec V = y Maxi
I z V le module de flexion
Rpe la résistance pratique (rappel : Rpe = Re s avec Re la limite élastique et s le coefficient d
sécurité adopté)
Exemple : une poutre de pont roulant (profilé IPE) est soumise aux charges indiquées sur la figure ci-dessous
(cas le plus défavorables). Le moment fléchissant maximum est obtenu au milieu de la poutre et a pour valeur
110 kNm (vous auriez pu le déterminer facilement, mais là n’est pas le problème). Si on impose une contrainte
admissible de 100 MPa, déterminons le profilé pouvant convenir pour construire l’appareil.
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A B h
2m 2m
a
1 000 daN
Mf b
Profilé IPE
Mf Maxi = 10 kNm
(mm)
h b a e S m
Le tableau de dimensions nous donne le profilé IPE de 160 pour lequel (Iz V ) =109 cm 3 .
10 000 000
σ Maxi ' = = 91.74 MPa
109 000
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σ Maxi = K f . σ 0
r 5 D 60
= = 0 .1 et = = 1 .2 Mf Mf
d 50 d 50
Mf 122 700
σ0 = = = 10 daN .mm− 2
( I z V ) 12 272
TQ b h2
τ = avec Q = y A S A = − y 2 h/2 yA
Iz b 2 4 y
τMaxi
z G
et τ la contrainte de cisaillement à la distance y h/2
(MPa)
Q le moment statique de l’aire hachurée S A (mm3 )
T l’effort tranchant (N) b
Allure des contraintes τ
I le moment quadratique de la section S par
rapport à (G, z) (mm4 )
3 T T h2
τ Maxi = =
2 S 8 Iz
Elle est de 50% plus grande que la contrainte moyenne de cisaillement T/S définie dans le cas du cisaillement
pur.
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Q=
3
(
2 2
r − y2 )32
r
y
z
4T 2 4T
τ = r − y2
2
; τ Maxi =
3 π r 3S
A
2T
Pour un tube mince : τ Maxi ≈
S
5.4.4 Exemple y
150
Un profilé est réalisé à partir de trois plats rectangulaires
d’épaisseur 30 mm, collés ensembles en A et B. Si l’effort tranchant
30
est T = 13.5 kN, déterminer les contraintes de cisaillement dans les A
Ÿ
joints collés. On donne I z = 43,7.106 mm4 . z
ŸG 120
v Contraintes en A : 30
102.45
Ÿ
yA = distance entre (G, z) et le barycentre de la surface SA. B 30
v Contraintes en B : Ÿ 30
yA =
62.55
yB = distance entre (G, z) et le barycentre de la surface SB.
ŸG
z bA = 30
QB = S B y B = (90 × 30) × 87.45 = 236115 mm3
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v Remarque : I z = I z1 + I z 2 + I z 3 z
ŸG
yB = bb = 30
150 × 303
I z1 = + (150 × 30) × 62.552 = 17,95.10 6 mm4 87.45
12 Ÿ 30
90 × 303 SB
+ (90 × 30) × 87.452 = 20,85.106 mm4
90
I z2 =
12
30 × 903
I z3 = + (30 × 90) ×12.545 2 = 4,88.10 6 mm4
12
6. Déformations en flexion
Dans ce qui précède, on s’est intéressé au poutres fléchies et à leur dimensionnement d’un point de vue de
résistance sous charge. Nous allons voir à présent l’aspect déformation. En particulier, la détermination de la
flèche maximale (et de sa valeur admissible) est l’un des éléments fondamentaux de la conception des
poutres.
Ÿ
Conditions aux limites : les conditions yA = 0, yB = 0 et y’I = 0, Mf
appelées conditions aux limites, sont des éléments connus de la
déformée. Ces éléments sont imposés par les appuis A et B ou Ÿ
par la forme de la déformée.
M f = − E I y''
Remarque : les constantes d’intégration successives sont calculées à partir des conditions aux limites
imposées par la position et la nature des appuis, ou encore par la forme générale de la déformée.
A A
v y’ A = 0 v yA = 0 v yA = 0
v yA = 0
6.2.2 Exemple
Considérons la poutre ci-contre, de longueur L = 4 m,
soumise à une charge ponctuelle en son milieu. P = 1 000 daN
L’étude statique permet de déterminer les actions des A B
appuis sur la poutre :
C
P 2m
A=B = = 500 daN 2m
2
Mf
Moments fléchissants :
x
v pour 0 ≤ x≤ 2m
y Mf Maxi = -10 kNm
P
M f AC = − x = −500 x A B
2
x
v pour 2 ≤ x≤ 4m C
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L
x + P x − = 500 ( x − 4)
P
M f BC = −
2 2
P P
On a donc − E I y AC ' ' = − x ou encore E I y AC ' ' = x
2 2
P x2
La première intégration donne : E I y AC ' = + C1 (1)
4
P x3
La seconde intégration donne : E I y AC = + C1 x + C2 (2)
12
P × (L 2 )
2
P L2
v et y’C = 0 au point C (x = L/2) : l’équation (1) donne C1 = − =−
4 16
P 2 L2 P x3 L2
Finalement : y AC ' = x − et y AC = − x
4E I 4 4E I 3 4
P L3
Flèche : la flèche maximale est obtenue pour x = L/2 : f Maxi = yC = −
48 E I
TRAVAUX DIRIGES
Bon courage…
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GENERALITES
SOMMAIRE
r NE M TE 0 0
R E
{ℑ coh }E = r = T yE M fyE = − 1000 0 en N et Nm
T
E E ( x,y,z )
M fzE ( x , y , z ) E 0 1500 ( x , y , z)
M
E zE
r NG M TG 0 0
RG
{ℑ coh }G = r = T yG M fyG = 2000 0 en N et Nm
T
G G ( x , y , z)
M fzG ( x , y , z ) G 0 1000 ( x, y , z )
M
G zG
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r NO M TO 0 1000 z
RO
{ℑcoh }O = r = TyO M fyO = 0 3000
M O ( x, y , z) T
O M fzO ( x , y, z ) O − 1000 0 ( x , y , z)
O zO O
en N et Nm y
r NG M TG 0 1000
RG
{ℑ coh }G = r = T yG M fyG = 0 1000 en N et Nm
T
G G ( x,y,z )
M fzG ( x , y , z) G − 1000 0 ( x , y , z)
M
G zG
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r
F
G
3m
2m
TRACTION
SOMMAIRE
Le diamètre initial de l’éprouvette est de 17.68 mm, le diamètre ultime de 16.41 mm, la longueur testée de 25
mm et la longueur ultime de 26.75 mm.
Le diamètre initial de l’éprouvette est de 17.82 mm, le diamètre ultime de 15.93 mm, la longueur testée de
250 mm et la longueur ultime de 316.5 mm.
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r r
−F F
50
70
tronçon 1 colle tronçon 2
F ≤ 82 250 N
S ≥ 5000 mm2
b ≈ 354 mm
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d ≈ 1596 mm
d = 20
r r
−F 30 mm
F
70 mm
r
Question 2.7.1 Déterminer la force d’extension maximale F que peut supporter la chaîne si le coefficient
de sécurité adopté est de 5.
Fusu = 79 168 N
CISAILLEMENT
SOMMAIRE
d1 ≥ 50.5 mm ; d 2 ≥ 35.7 mm
r
F
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τ = 1.33 MPa
B A,E
Réponse Question 3.3.2
σ = 4 MPa
TORSION
SOMMAIRE
Question 4.1.1 Déterminer les dimensions optimales des deux arbres et comparer alors les poids respectifs
des deux constructions.
poids arbre 2
d1 ≥ 21.67 mm ; D ≥ 25.83 mm ; r = = 0.51
poids arbre 1
Question 4.2.2 Déterminer l’angle de torsion d’une poutre du même matériau, de même diamètre et de
longueur 1.8 m, si elle supporte une contrainte de cisaillement maximale de 140 N.mm-2 .
G = 64 000 MPa
α = 18°
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r = 2 mm
FLEXION
SOMMAIRE
A = B = C = D = P = 10 000 N
B C A
x
Question 5.2.1 Déterminer les actions exercées par
l’encastrement sur la poutre au point A (on néglige le poids L/2 L/2
de la poutre) ;
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Ax = 0
Ay = 1 000 N
M A = −1 000 Nm
Question 5.3.3 Déterminer le moment fléchissant maxi, ainsi que l’abscisse du point correspondant.
Ay = By = 800 N
Ay = 2 250 N
M A = −2 250 Nm
250 3
TBA = −250 x 2 N et M fBA = − x Nm
3
L = 5 500
Question 5.5.3 Déterminer les expressions
littérales de l’effort tranchant et du moment
fléchissant entre C et D. Tracer les diagrammes respectifs ;
Question 5.5.4 Rechercher l’abscisse des points pour lesquels les moments fléchissants s’annulent.
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TBD = (− 50 000 x + 275 000 ) N ; M fBD = (25 000 x 2 − 275 000 x + 756 250) Nm
3.58
x=
1.92
Question 5.6.2 Déterminer les expressions littérales de l’effort tranchant et du moment fléchissant le long
de OC. Tracer les diagrammes respectifs ;
Question 5.6.3 Que deviennent les moments fléchissants maximaux lorsque a varie ? Quel est alors le cas le
plus défavorable pour le levage ?
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r
0.5 N.cm
-2
B F B
x 1 200
E- E
E E
A A
z x
Question 5.7.1 Déterminer F et les actions exercées sur le poteau par l’encastrement en A ;
Question 5.7.2 En déduire le moment fléchissant maximal dans le poteau AB et la contrainte maximale
correspondante.
F = 2 362.5 N
Ax = 2 362.5 N
Ay = 0
M A = −2835 Nm
M f AC Maxi = 80 000 Nm
IPER de 330
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C2 1 = 53 000 N
T ≤ 5040 N
20
300
Question 5.13.3 Calculer la flèche maximale. Application numérique : q = 250 daN.m-1 , I = 869 cm4 , L = 4 m, E
= 20 000 daN.mm-2 ;
A = B = 500 daN
y AB =
q
24 E I
(
2 L x 3 − x 4 + L3 x )
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5 q L4
f Maxi = −
384 E I
θ A = −0.22°
Question 5.14.3 Exprimer la flèche maximale (au point B) ainsi que la pente maximale au point B (θB) ;
A = 0
x
Ay = q L
2
M = q L
A 2
y AB =
q x2
24 E I
(
− x 2 + 4 L x − 6 L2 )
q L4 q L3
fB = − et θ B = −
8E I 6EI
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B
Question 5.15.2 A partir de quelles valeurs de h le 0.6
contact est-il possible ? (module d’élasticité 10
Contacts
longitudinale du laiton E = 100 GPa).