salarier
Étymologie
modifierVerbe
modifiersalarier \sa.la.ʁje\ transitif 1er groupe (voir la conjugaison)
- Rétribuer par le salaire qui est dû.
La Constitution impose à l'État l'obligation de salarier les ministres des cultes, mais elle ne fait aucune distinction entre eux et ne détermine d'ailleurs le traitement d'aucun. Si le gouvernement alloue aux membres du haut clergé des traitements supérieurs à ceux du clergé subalterne, c'est qu'il le veut bien.
— (P.-A.-F. Gérard, L'insurrection du clergé catholique : Moyens de le faire rentrer dans l'ordre, Bruxelles, chez J. Rozez, 1879, p. 21)Quant à l’hôpital, il a tellement peu assimilé qu’il salarie les médecins hospitalo-universitaires que ce qu’il leur verse n’a pas le statut de salaire, mais d’indemnité.
— (Daniel Wallach, Numerus clausus : Pourquoi la France va manquer de médecins, 2011)
Dérivés
modifierTraductions
modifierPrononciation
modifier- France (Lyon) : écouter « salarier [sa.la.ʁje] »
- Somain (France) : écouter « salarier [Prononciation ?] »
Anagrammes
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Références
modifier- ↑ « salarier », dans TLFi, Le Trésor de la langue française informatisé, 1971–1994 → consulter cet ouvrage
Forme de verbe
modifiersalarier \zalaˈʁiːɐ̯\
- Deuxième personne du singulier de l’impératif présent de salarieren.