Jean Meyer (acteur)

acteur, metteur en scène et réalisateur français
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Jean Meyer est un acteur, metteur en scène et réalisateur français, né le 11 juin 1914 à Paris 15e et mort le à Neuilly-sur-Seine.

Jean Meyer
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Fonction
Sociétaire de la Comédie-Française
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Naissance
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Biographie

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Jeunesse et débuts

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Jean Léon André Meyer est né le dans une famille d'artisans boulangers qui, au début des années 1920, est installée à Créteil dans la banlieue parisienne. Très jeune, il a le goût du théâtre et veut être comédien, bien que dans son milieu rien ne le prédispose à faire du théâtre, il persistera jusqu'à la fin de son adolescence ; c'est une véritable vocation[pas clair]. Ses parents le soutiendront sans faillir dans sa passion.

Son besoin de voir jouer la comédie le poussera souvent vers Paris pour assister à des représentations théâtrales gratuites. C'est après l'une d'elles qu'il décide de devenir comédien et d'entrer à la Comédie-Française.

En attendant, en 1931, âgé de 17 ans, il devient employé de banque à Saint-Germain-en-Laye. Cette même année, il se présente au concours d'entrée du Conservatoire national supérieur d'art dramatique de Paris. Il est recalé, et se retrouve chômeur car, certain d'être reçu, il avait imprudemment quitté son emploi. Il subit un second échec l'année suivante. La troisième tentative sera la bonne, en 1934 il est enfin reçu après avoir, pendant deux ans travaillé avec Jeanne Delvair, l'épouse de Georges Le Roy, qui comme son mari est sociétaire de la Comédie-Française.

Le Conservatoire

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À la rentrée de 1934, il entre dans la classe de Louis Jouvet, qui, lui aussi mais comme professeur, débute au Conservatoire. Comme tous les élèves, parallèlement aux cours de Louis Jouvet il poursuit son apprentissage de futur comédien en jouant de petits rôles à la Comédie-Française, mais aussi dans d'autres théâtres parisiens, comme les Gobelins, ou chez de grands comédiens comme Georges Pitoëff et bien sûr à l'Athénée qui est, à cette époque, le théâtre de Jouvet, dans de petites pièces qui passent en lever de rideau des grandes pièces du répertoire dans lesquelles jouait Louis Jouvet. Il jouera aussi dans des écoles de Paris et de la banlieue parisienne, etc.

Début , après trois années de Conservatoire, il est reçu à l'examen de sortie (il présenta une scène de Knock de Jules Romains) et prépara le concours d'entrée à la Comédie-Française. Conseillé par son maître Louis Jouvet il présenta en théâtre classique le personnage de Pancrace et en théâtre moderne Le Chant du cygne de Tchekhov. Reçu, il est engagé le comme pensionnaire par Édouard Bourdet, Administrateur général du Théâtre-Français.

La Comédie-Française

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Engagé le , il restera 22 ans à la Comédie-Française dont il démissionnera le .

  • Il est pensionnaire en
  • Sociétaire le
  • Sociétaire honoraire en 1960
  • Doyen des sociétaires honoraires le

Sa carrière à la Comédie-Française débute dans cette période trouble de l'avant-guerre.

Ses débuts officiels de pensionnaire ont lieu en  ; il y joue à cette occasion son premier grand rôle: celui d'Harpagon dans l'Avare de Molière. Dix huit mois après son entrée à la Comédie française, Marie Bell, le voyant très intéressé par la mise en scène, lui obtient de monter sa première pièce, Le Médecin malgré lui de Molière avec Fernand Ledoux dans Géronte et Pierre Dux dans Sganarelle. Dès lors à partir de cette période il commence à se partager entre jouer et mettre en scène, voire les deux ensemble. Il sera amené au cours de sa carrière à rencontrer et à travailler avec les plus grands auteurs français (André Gide, Jean Cocteau, François Mauriac, Jules Romains, etc.), ainsi qu'avec les plus grands comédiens ou comédiennes du XXe siècle.

Il est difficile de citer toutes les pièces que Jean Meyer a jouées ou a montées pendant les vingt-deux ans où il sera à la Comédie-Française tant le nombre en est grand. Il jouera plus de deux cents rôles, dont plus de cinquante dans l'œuvre de Molière, qui est son auteur de prédilection ; où il a pratiquement tout joué et tout mis en scène. Il montera plus de deux cents pièces tant à la Comédie-Française, que dans d'autres théâtres de province. S'ajouteront les mises en scène et les rôles joués à l'étranger, et plus tard dans d'autres théâtres dont il aura la direction.

En 1940, après la défaite et l'armistice, il est sollicité afin d'organiser une représentation pour les prisonniers français. Il y réussit non sans difficulté, car la guerre a éparpillé les comédiens dans toute la France. Après l'armistice en 1940 les théâtres rouvrent, et malgré l'occupation la vie reprend. Peu de temps après il joue avec Fernand Ledoux et André Brunot dans Vingt neuf degrés à l'ombre, d’Eugène Labiche. La même année Jacques Copeau reprend un de ses succès : Le Paquebot Tenacity de Charles Vildrac, J. Meyer y tient le rôle d'un marin britannique.

À cette période troublée, la Comédie-Française connaîtra une certaine instabilité due aux changements répétés de ses administrateurs. De 1940 à 1947 il lui en faudra sept avant de retrouver son équilibre alors que dix avaient suffi pour la gérer pendant un siècle.

Par la suite les rôles ainsi que les mises en scène vont s'enchaîner. En 1941 il montera, entre autres, La Poudre aux yeux d'Eugène Labiche ; en 1942 il mettra en scène au théâtre Montparnasse La Célestine de Fernando de Rojas, avec Marcelle Géniat ; en 1943 il assurera la mise en scène du Bourgeois gentilhomme de Molière pour l'entrée de Raimu à la Comédie-Française. Le succès sera immense et la pièce est jouée plusieurs mois ; puis toujours en 1943 Le Chevalier à la mode de Dancourt ; en 1944 Le Malade imaginaire de Molière; la même année Barberine d'Alfred de Musset, etc.

C'est en cette année 1944, qu'il est nommé directeur artistique du Centre d'art dramatique situé 21 rue Blanche à Paris. Le Centre a été transféré à Lyon en 1997.

En 1945 la guerre tire à sa fin et la Comédie-Française va jouer en Allemagne des classiques du répertoire, notamment Les Fourberies de Scapin à Constance et à Stuttgart, devant la 1re Armée française. La même année il monte, notamment, L'École des maris de Molière.

Dans l’année 1946, il mettra en scène et jouera le rôle de Figaro dans Le Mariage de Figaro de Beaumarchais; il montera Le Voyage de monsieur Perrichon de Labiche et Édouard Martin, Le Tourbillon de Bernard Zimmer, etc. En 1947 il montera entre autres, la pièce de Théodore Barrière et Lambert Thiboust Les Jocrisses de L’Amour.

En 1947, il montera, entre autres, la pièce de François Mauriac Passage du malin avec Marie Bell et André Brûlé ; il assurera la mise en scène de la pièce de Prosper Mérimée Les Espagnols en Danemark, ainsi que Le Malade imaginaire et Monsieur de Pourceaugnac de Molière ; en 1949, celles de L'Avare de Molière et Jeanne la Folle de François Aman-Jean, etc.

À la demande d’André Gide, il mettra en scène en 1950 Les Caves du Vatican. Il s’y distribuera dans le rôle de Protos, Jeanne Moreau y jouera "la petite prostituée", en remplacement de Marie Bell (la pièce sera jouée 80 fois) ; en 1951 il jouera le rôle de Vatelin dans Le Dindon de Feydeau (immense succès) ; la même année il monte Donogoo de Jules Romains ; puis en 1952 Six personnages en quête d'auteur de Luigi Pirandello; en 1953 il montera une pièce de Jules Romains Monsieur le Trouhadec saisi par la débauche ; il fera débuter Françoise Fabian en 1954 dans la pièce de Raymond Castans Le Pirate ; la même année, au théâtre Antoine, il mettra en scène La main passe de Georges Feydeau.

En 1955 il est nommé professeur au conservatoire, Annie Girardot sera l’une de ses élèves.

En cette même année de 1955, au théâtre Antoine, il monte Nekrassov de Jean-Paul Sartre; (la pièce la plus pénible que j’ai eu à réaliser dira-t-il !) ; toujours la même année, à la Comédie-Française, il met en scène, entre autres, Les Femmes savantes et L'Amour médecin de Molière et se distribue dans cette dernière pièce, puis toujours la même année, il monte Le Barbier de Séville de Beaumarchais où il joue le rôle de Bazile ; en 1956, de nouveau au théâtre Antoine, il monte L’Ombre de Julien Green; la même année, à la Comédie-Française, il met en scène Coriolan de Shakespeare pour les débuts de Paul Meurisse, ainsi que La Machine à écrire de Jean Cocteau avec Robert Hirsch et Annie Girardot ; il y joue le rôle de Fred, le policier. Il doit faire face aux suites de la mise à la retraite qu'il a orchestrée de la "vieille garde" des Comédiens-Français, Jean Yonnel, Beatrice Bretty, Vera Korene, Germaine Rouer et aux remous qu'elle provoque. On l'attaque alors fréquemment pour lui reprocher son excès d'emprise sur la troupe de la Comédie-Française, dont il dirige la plupart des activités salle Richelieu et salle Luxembourg.

En 1957 à la Comédie-Française il met en scène et joue dans Domino de Marcel Achard; en 1958 Les Trente Millions de Gladiator de Labiche et Philippe Gille, ainsi que L'École des maris de Molière; du même auteur il montera à la fin de 1959, sa dernière pièce à la Comédie-Française: L'École des femmes, où il joue Arnolphe, avec Danièle Ajoret dans le rôle d’Agnès.

C’est à cette période qu’il réalisera deux films, tirés du répertoire classique, pour le cinéma : en 1958, Le Bourgeois gentilhomme de Molière où il se distribuera, avec Louis Seigner, Jacques Charon, Robert Manuel, Micheline Boudet, et en 1959 Le Mariage de Figaro de Beaumarchais.

À la fin de l’année 1959, il démissionne et demande sa mise à la retraite, quittant la Comédie-Française, notamment pour protester contre la décision d'André Malraux de retirer la Salle Luxembourg (Odéon) à la Comédie-Française pour l'attribuer à Jean-Louis Barrault. Il est nommé sociétaire honoraire et ne reviendra jamais travailler dans la Maison de Molière.

Après la Comédie-Française

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Ayant démissionné de la Comédie-Française Jean Meyer devient en 1960 directeur artistique du Palais-Royal, tout en demeurant professeur au Conservatoire de la rue Blanche. Il continue toujours à monter et à jouer dans différents théâtres parisiens ou de province. En 1960, il monte, entre autres, au Théâtre du Palais-Royal Crime parfait; Noix de coco, La Fleur des pois d'Édouard Bourdet, où il met en scène Raymond Souplex, Madeleine Robinson, Victor Francen et Françoise Fabian. Il crée en 1962 sa première pièce, Mic-Mac. Pour la télévision, en 1962 il met en scène Le Tartuffe ou l'Imposteur de Molière, pièce dans laquelle il joue Orgon.

Théâtre Michel

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En 1964 il devient codirecteur du Théâtre Michel, théâtre non subventionné, où il connaît au départ beaucoup de difficultés qui l’amèneront parfois à fermer momentanément son théâtre. Il y montera, entre autres, en 1966, Les Trois mariages de Mélanie, avec notamment Anny Duperey à ses débuts.

Mais la pièce la plus importante qu’il aura à monter dans ce théâtre, La Ville dont le prince est un enfant, il la devra à Henry de Montherlant qui la lui proposera (sa demande était un don, dira Jean Meyer) en 1967. Celui-ci la lui avait refusée en 1960 et en 1962, mais il l’avait aussi refusée à la Comédie-Française prétextant que la salle ne s’y prêtait pas. Par contre, la salle du théâtre Michel avait paru lui convenir. Montherlant étant un peu superstitieux, il restait à savoir quand la pièce pourrait être créée. Ce dernier tenait à la même date de création que La Reine morte et Port Royal qui avaient été créées un 8 décembre[1]. Il fut donc décidé que la serait retenue.

La pièce sera créée avec Paul Guers dans le rôle de l'abbé de Prats et Didier Haudepin dans celui de Sevrais. Jean Deschamps a pour sa part créé le rôle du supérieur. Ce sera un grand succès, la pièce sera jouée 1200 fois, uniquement à Paris[2]. Les événements de mai 1968 obligeront à fermer le théâtre, mais mi-juin, à sa réouverture, la pièce connaîtra le même succès.

En 1964, et alors que le théâtre Michel se trouvait au creux de la vague, Charles Gantillon directeur du Théâtre des Célestins de Lyon, l’avait invité pour jouer dans son théâtre le rôle d’Arnolphe dans L'École des femmes de Molière. Quatre années plus tard, le , à la suite du décès de celui-ci survenu à la fin de , Jean Meyer est nommé avec Albert Husson codirecteur de ce théâtre.

Théâtre des Célestins de Lyon

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Ensemble, ils monteront dans ce théâtre de Lyon des dizaines de spectacles, jusqu’à la mort d’Albert Husson en 1978, date à laquelle Jean Meyer en deviendra l’unique directeur, et continuera sur cette lancée. Durant cette période, seront montées des pièces où il se distribuera quelquefois. Il mettra en scène notamment : À quoi rêvent les jeunes filles de Musset ; Le Barbier de Séville ainsi que Le Mariage de Figaro de Beaumarchais ; Le Bourgeois gentilhomme et Le Misanthrope de Molière ; Le Voyage de monsieur Perrichon, et 29° à l’ombre de Labiche ; Le Marchand de Venise, et Macbeth de Shakespeare; Les Misérables de Paul Achard d'après Victor Hugo avec Jean Marais, (1976) ; La Dame de chez Maxim de Feydeau (1977). En 1980, L’Arlésienne d’Alphonse Daudet, où il joue avec Orane Demazis.

Le , dans ce théâtre, Jean Meyer avait créé sa cinquième pièce, Le Jour le plus court avec Jean-Marc Thibault, il récidiva en 1982 avec sa sixième création, L’Héritage, avec Patrick Préjean ; cette même année il se met en scène dans Mon père avait raison de Sacha Guitry; en 1983, il se distribuera dans Le Dindon de Feydeau avec Francis Perrin, etc.

Jean Meyer fera la connaissance de la comédienne Claude Jade en 1975, au moment où celle-ci joue au théâtre des Célestins, la pièce de Jean Giraudoux La guerre de Troie n'aura pas lieu, sur une mise en scène de Jacques Mauclair. Il souhaita travailler avec elle et l’engagea en 1977 pour jouer dans ce théâtre Port Royal, de Montherlant, où il incarne Péréfixe, l’archevêque de Paris ; puis en 1978 dans Intermezzo de Jean Giraudoux, où il interprète le rôle du droguiste.

Au Théâtre Marigny, cette même année, il montera dans le cadre de l’émission Au théâtre ce soir, Volpone de Jules Romains et Stefan Zweig d’après Ben Jonson, où il proposera à Claude Jade de jouer le rôle de Colomba ; pour sa part il se distribuera dans le rôle de Corbaccio.

En 1980, dans son théâtre des Célestins, il engage à nouveau Claude Jade pour jouer dans Britannicus de Racine, puis, trois années plus tard, dans Les Exilés de James Joyce (1983), et enfin, en 1984, dans Le Faiseur de Balzac où il joue M. Mercadet.

En 1985 Jean Meyer ne fut pas reconduit à la direction du Théâtre des Célestins (il a alors 71 ans). Il continuera à monter d’autres pièces comme Le Dindon de Feydeau, qu’il avait mis en scène le et qui sera jouée jusqu’au au Théâtre du Palais-Royal. Ensuite, il s'éloigna de la scène, non sans amertume, et il se consacra à l’écriture, son autre passion.

Il avait été élu le 2 décembre 1980 à l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon. Il est mort à Neuilly-sur-Seine le 8 janvier 2003[3].

Œuvres

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  • 1962 Mic Mac (comédie)
  • 1963 L'Âge idiot (comédie)
  • 1965 Le Vice dans la peau (comédie)
  • 1967 La courte paille (comédie)
  • 1972 Le Jour le plus court (comédie d’après Euripide)
  • 1982 L’Héritage (comédie d’après Maupassant)
  • 1996 Le Bourgeois Gentilhomme (d'après Molière)

Bibliographie

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Filmographie

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Jean Meyer a mis en scène et joué dans de nombreuses pièces de théâtre pour la télévision pour, notamment, Au théâtre ce soir :

Comédien

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Réalisateur

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Théâtre

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Comédien

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Autres théâtres

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Metteur en scène

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Autres théâtres

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Décorations

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Sources

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  • Place au théâtre, Jean Meyer - Édition du Fallois 1991
  • Baisers envolés. Souvenirs, Claude Jade - Édition Milan. 2004
  • INA

Notes et références

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  1. Successivement le 8 décembre 1942 et le 8 décembre 1954
  2. S’ajoutent en plus les représentations en province, avec les tournées Charles Baret (70/71) et à l’étranger
  3. Dominique Saint-Pierre, MEYER Jean (1914-2003), in Dominique Saint-Pierre (dir.), Dictionnaire historique des académiciens de Lyon 1700-2016, Lyon : Éditions de l'Académie (4, avenue Adolphe Max, 69005 Lyon), 2017 , p. 872 (ISBN 978-2-9559433-0-4).

Liens externes

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