Catherine Zeta-Jones
Catherine Zeta-Jones[N 1] (prononcé en anglais : /ˈkæθ(ə)ɹɪn ˈziːtə d͡ʒəʊnz/)[N 2], née le à Swansea (pays de Galles), est une actrice et chanteuse[N 3] britannique.
Nom de naissance | Catherine Zeta Jones |
---|---|
Naissance |
Swansea (pays de Galles, Royaume-Uni) |
Nationalité | Britannique |
Profession |
Actrice Chanteuse |
Films notables | voir Filmographie |
Séries notables |
The Darling Buds of May Feud (saison 1) |
Site internet | Site officiel de l'actrice |
Elle débute sur scène dans les années 1980, puis elle obtient son premier rôle au cinéma dans Les Mille et Une Nuits () de Philippe de Broca[1]. Elle poursuit ensuite sa carrière à la télévision, notamment avec la série The Darling Buds of May ( - ), qui la fait connaître en Grande-Bretagne[2]. Mais c’est en , avec son interprétation d'Elena de la Vega dans Le Masque de Zorro de Martin Campbell, qu’elle devient mondialement connue[3].
Sa polyvalence lui permet de s'illustrer dans plusieurs productions à gros budget, dans lesquelles elle s'impose comme une figure du cinéma des années 2000[4],[5]. Son rôle dans le thriller Traffic () de Steven Soderbergh lui offre sa première nomination aux Golden Globes[6]. En , elle remporte l'Oscar de la meilleure actrice dans un second rôle pour son interprétation de Velma Kelly dans Chicago () de Rob Marshall, obtenant ainsi la consécration de la profession[7]. En , ses débuts à Broadway dans A Little Night Music ( - ) sont salués par l'octroi du Tony Award de la meilleure actrice dans une comédie musicale[8]. À partir du milieu des années 2010, elle délaisse le cinéma au profit d’un retour à la télévision. Depuis 2022, elle prête ses traits à la matriarche de la famille Addams, Morticia Addams, dans la série Mercredi.
Par ailleurs, l'actrice a souvent collaboré avec des réalisateurs de renommée mondiale comme Martin Campbell, Stephen Frears, Steven Soderbergh, Steven Spielberg, les frères Coen et Tim Burton[N 4] pour ne citer qu’eux. À l'écran, elle est connue pour avoir donné la réplique à Antonio Banderas, George Clooney, Brad Pitt, Tom Hanks ou encore Tom Cruise.
En parallèle de sa carrière d'actrice, elle est engagée dans des actions philanthropiques et a reçu plusieurs distinctions pour ses contributions aux domaines artistique et caritatif[9],[10]. Depuis , elle est l'épouse de l'acteur américain Michael Douglas avec lequel elle a deux enfants.
Biographie
modifierJeunesse et formation
modifierCatherine Zeta-Jones naît le à Swansea, au sein du pays de Galles méridional[11]. Elle est la fille de David James Jones[12], confiseur de métier[13]; et de Patricia Fair[14], une couturière d'origine irlandaise et de confession catholique[15]. Elle est ainsi prénommée en hommage à ses grands-mères Catherine Fair (du côté maternel)[16],[17] et Zeta Jones (du côté paternel), à qui elle doit son deuxième prénom qu'elle ajoute à son nom de scène[18],[19]. Deuxième d'une fratrie de trois enfants, elle grandit dans le quartier de Mumbles et décrit son éducation comme « stricte », avec une mère « sévère mais gentille »[20],[21]. Son frère aîné, David Jones (né en ), est responsable de développement dans le cinéma et son frère cadet, Lyndon Jones (né en ), est producteur pour la société Milkwood Films[22],[23],[24].
C'est parce qu'elle est une enfant hyperactive que ses parents l'inscrivent à des cours de danse à la Hazel Johnson School of Dance dès l'âge de quatre ans[A 1],[25]. Elle y rencontre brièvement la célèbre chanteuse Shirley Bassey[26]. À l’âge de neuf ans, elle est choisie pour jouer July, l’une des orphelines de la comédie musicale Annie, qui est jouée dans le West End de Londres[27]. Deux ans plus tard, elle décroche le rôle principal de cette même comédie musicale, qui est cette fois jouée au Grand Théâtre de Swansea[13]. Au début de son adolescence, ses capacités en danse lui permettent de devenir championne nationale de claquettes[4],[28]. S'ensuivent plusieurs participations dans d'autres productions théâtrales. En , elle retrouve le West End et devient Tallulah, le personnage féminin principal de la pièce de théâtre Bugsy Malone[A 2],[29].
Durant sa jeunesse, ses parents gagnent 100 000 livres sterling à un jeu d'argent (le Bingo), leur permettant notamment de financer les études de leur fille[30],[31]. C'est ainsi que Catherine Zeta-Jones est scolarisée à la Dumbarton House School, une école privée de Swansea, mais elle prend la décision de la quitter avant d’obtenir son O-level, soit avant d’obtenir un diplôme lui permettant d’aller en classe de première[32].
Ensuite, elle part étudier dans une école d’arts à Chiswick, à l’ouest de Londres, où elle reste trois ans[4]. Elle est alors engagée pour faire partie de la troupe de The Pajama Game[27]. L'actrice se confiera plus tard sur cette période de sa vie[25] : « Je faisais la queue pour les auditions, puis je changeais de costume ou je mettais un justaucorps différent et j'auditionnais à nouveau. Cela me prenait peut-être deux essais, mais j'ai toujours eu le rôle. J'ai compris ce qu'ils voulaient »[C 1].
En , sa carrière au théâtre prend une autre tournure par un coup de hasard. Alors qu'elle sert de doublure dans la comédie musicale 42nd Street, Catherine Zeta-Jones remplace au pied levé l'actrice principale qui est tombée malade[27],[33]. Elle se voit ainsi propulsée en haut de l'affiche[34]. Le producteur est tellement impressionné qu’il lui offre définitivement le rôle-titre pour les représentations suivantes[33] : « Il se trouve que David Merrick, le dieu de Broadway […] faisait le tour du monde pour voir si ses productions étaient à la hauteur. J'ai donc été choisie pour le rôle principal, et je l'ai joué pendant deux ans »[C 2]. À cette occasion, elle fait la rencontre du chanteur Freddie Mercury, qui vient l'encourager régulièrement, et lui donne comme conseil « Garde juste ta tête sur tes épaules »[35]. En , elle s'illustre dans le rôle de Mae Jones dans Street Scene, un opéra de Kurt Weill, qu'elle joue avec l'English National Opera[36].
Carrière
modifierRévélation et premiers succès (années 1990)
modifierElle fait ses débuts au cinéma en dans l'insuccès Les Mille et Une Nuits de Philippe de Broca, où elle incarne Shéhérazade auprès de Gérard Jugnot et Thierry Lhermitte[1],[38]. Mais c'est en , avec son rôle de Mariette Larkin dans The Darling Buds of May, une adaptation télévisée d'un des romans de H. E. Bates, qu'elle commence à se faire un nom[2]. Cette série, pour laquelle elle est choisie parmi trois cents autres prétendantes pour le rôle, est à cette époque en tête des audiences télévisuelles britanniques[39],[A 3].
L'actrice part ensuite pour Los Angeles afin de percer à Hollywood[4]. Elle tourne sa première production internationale, Christophe Colomb : La Découverte, sous la direction de John Glen en , dans laquelle elle côtoie Marlon Brando et Tom Selleck[40]. Elle fait par la suite plusieurs apparitions dans des seconds rôles, notamment dans Les Aventures du jeune Indiana Jones () pour la télévision. Au cinéma, elle s'illustre aussi en tant que femme vénale, prête à tout pour devenir Duchesse, dans le film Grandeur et Descendance () ; une prestation qualifiée de « très amusante » par le New York Times[41]. En , Catherine Zeta-Jones est d'abord la vedette d'une adaptation télévisuelle du roman Le Retour au pays natal de Thomas Hardy[42], puis dans celle du roman The Cinder Path de Catherine Cookson[A 4].
Elle tient ensuite le rôle-titre d'un téléfilm sur Catherine la Grande diffusé en . Dans sa critique pour le journal Variety, Lisa Nesselson trouve que l'actrice « communique une certaine grâce et une énergie à ce personnage de souveraine en devenir »[43]. La même année, elle seconde Ewan McGregor et Sean Pertwee dans Blue Juice (), une production estampillée comme le premier film de surf britannique[44].
En , elle joue les antagonistes dans Le Fantôme du Bengale, un film d'action réalisé par Simon Wincer. Ce dernier est un flop à sa sortie mais finit avec le temps par acquérir le statut de film culte[45]. Une critique de Variety considère notamment la comédienne comme « remarquable » dans son rôle[46]. Catherine Zeta-Jones tourne ensuite en dans un téléfilm retraçant le naufrage du Titanic, aux côtés de George C. Scott, Peter Gallagher et Tim Curry. Elle est alors repérée par Steven Spielberg, intéressé par sa prestation[4],[16].
En effet, croyant au potentiel de l'actrice, il propose son nom au réalisateur Martin Campbell pour incarner le rôle féminin principal de sa prochaine production, Le Masque de Zorro ()[A 5],[47]. Aux côtés des acteurs Antonio Banderas et Anthony Hopkins, avec qui elle partage l'affiche, elle prépare son rôle au Mexique sous la supervision du maître d'armes Bob Anderson qui la forme aux scènes de combat[48]. Avec des recettes mondiales de près de 250 000 000 de dollars, ce film lui offre son premier succès au box-office et fait d'elle une actrice mondialement connue[3],[49]. La journaliste Janet Maslin du New York Times apprécie sa prestation et déclare que « Mme Zeta-Jones fait de son premier grand rôle au cinéma un moment inoubliable »[50]. Sa performance est saluée par deux nominations lors des MTV Movie Awards en . L'actrice reviendra plus tard sur ses débuts aux États-Unis[27] :
« Je suis en quelque sorte venue à Hollywood pour être une star de cinéma. Mais c'est vrai, je n'ai pas fait la version du Titanic de James Cameron, […]. Je me suis tout de même lancée dans cette aventure en me disant qu'au final j'aurais au moins quelque chose d'américain à mon actif, où je parle avec un accent américain. Mais ce fut un catalyseur qui a changé mon parcours, parce que Steven Spielberg m'a vu dedans et m'a demandé de faire un bout d'essai pour Zorro[C 3]. »
— Catherine Zeta-Jones
Forte de cette nouvelle notoriété, elle devient une actrice demandée, comme en témoignent ses confessions dans le quotidien The Daily Mirror : « Il y avait des moments où je ne voyais même pas un script pendant des mois. Maintenant, j'en reçois et ils me disent : Oh, au fait, tu es en compétition avec Julia Roberts et Nicole Kidman »[51]. Elle enchaîne donc les tournages et c'est ainsi qu'en , Catherine Zeta-Jones est à l’affiche de deux longs métrages. Le premier est le film de casse Haute Voltige, réalisé par Jon Amiel – présenté hors compétition au festival de Cannes 1999 – et pour lequel elle se glisse dans la peau d'une employée d'une compagnie d'assurance. Elle partage alors l'affiche avec Sean Connery et négocie un cachet de 5 000 000 de dollars[52]. Pour les besoins de cette production, elle réalise la plupart des cascades sans doublure[5]. Son succès grandissant, elle est primée lors de la ShoWest Convention par la National Association of Theatre Owners (Association nationale des propriétaires de salles de spectacle)[53]. Son deuxième film à l'affiche est Hantise, un film d’horreur mis en scène par Jan de Bont. Malgré un succès commercial correct[54], il subit un échec critique[55],[56]. « Zeta-Jones semble être moins une actrice qu'un joli visage, et elle n'est même pas intéressante dans ce registre » peut-on lire dans les colonnes du San Francisco Chronicle à la sortie du film[57].
Consécration (années 2000)
modifierL’année marque un tournant dans sa carrière, mais également dans sa vie personnelle. Avec le thriller choral Traffic, qu’elle tourne enceinte de son premier enfant d'avec Michael Douglas, sous la direction de Steven Soderbergh, l’actrice est particulièrement plébiscitée par la critique[58]. Edward Guthmann du San Francisco Chronicle écrit à propos de sa prestation qu'elle se « démarque dans ce rôle d'épouse privilégiée devenue maman lion »[59]. Catherine Zeta-Jones se montre très investie dans ce projet et suggère au réalisateur de faire réécrire le scénario afin que celui-ci prenne en compte sa grossesse[60],[61],[62]. Bien qu’elle échappe à la nomination aux Oscars[58], elle est nommée pour plusieurs prix, notamment lors des Golden Globes 2001[6]. Avec ses partenaires du film, elle remporte le SAG Award de la meilleure distribution[63]. On la voit ensuite chez Stephen Frears pour le film indépendant High Fidelity, qui est très bien reçu par la critique[64].
En , elle joue de son image de nouvelle star dans la comédie satirique Couple de stars – qui la voit jouer Gwen Harrison, une actrice narcissique – dans laquelle elle donne la réplique à Julia Roberts et John Cusack. Avec presque 140 000 000 de dollars générés au box-office international, le film obtient un certain succès commercial[65]. Dans sa critique, Roger Ebert se montre négatif envers cette production mais salue les acteurs et trouve Zeta-Jones « froide et manipulatrice » dans son rôle[66]. Elle intègre au même moment la liste des actrices les mieux payées du cinéma[67].
Désireuse de jouer dans une comédie musicale[N 5], elle se voit offrir par le producteur Martin Richards un rôle dans Chicago ()[A 6], adapté de la comédie musicale homonyme par le réalisateur Rob Marshall, et qui fait l'ouverture de la Berlinale 2003[68],[69]. Initialement approchée pour jouer le rôle de Roxie Hart, l'actrice insiste pour incarner celui de Velma Kelly à cause de la célèbre chanson All That Jazz[70]. Pour mieux se glisser dans la peau de son personnage, elle entame un long processus de préparation, travaillant jusqu’à quatorze heures par jour pendant deux mois avant le début du tournage[71]. Elle s'évertue particulièrement à transmettre à l'écran la « flamboyance » et le « désespoir » que demande le personnage[72]. Le film est celui de la consécration pour Catherine Zeta-Jones, le critique David Edelstein du magazine Slate écrivant : « Zeta-Jones a une confiance incandescente à vous en faire perdre la tête »[73]. Lors de la 75e cérémonie des Oscars le , Chicago décroche six Oscars, notamment celui du meilleur film[74]. La comédienne, alors enceinte de son deuxième enfant, est quant à elle primée avec celui du meilleur second rôle féminin, qu'elle reçoit des mains de Sean Connery, son partenaire de Haute Voltige[75]. Elle gagne aussi le SAG Award de la meilleure actrice dans un second rôle[76], celui de la meilleure distribution[76] ou encore le BAFTA de la meilleure actrice dans un second rôle[77].
Son nouveau statut de star oscarisée lui permet de tourner sous la direction d'autres grands cinéastes. En effet, Joel et Ethan Coen lui confient le rôle féminin principal de la comédie loufoque Intolérable Cruauté (). Ce rôle de femme fatale lui permet de partager l'affiche d'égal à égal avec George Clooney. La critique applaudit cette guerre des sexes au vitriol[A 7],[78],[79], qui est présentée à la Mostra de Venise 2003[80] et qui fonctionne bien au box-office international[81]. Parallèlement, elle s’essaye au film d'animation en prêtant sa voix au personnage de Marina dans Sinbad : La Légende des sept mers, œuvre à laquelle participent également Brad Pitt et Michelle Pfeiffer. Lors de la promotion, elle déclare avoir été attirée par ce projet afin de permettre à ses enfants, alors en bas âge, de pouvoir « l'entendre dans un film »[82].
Dans Le Terminal (), film d’ouverture de la Mostra de Venise 2004, elle est dirigée par le réalisateur Steven Spielberg[83]. Pour cette comédie dramatique dans laquelle elle évolue aux côtés de Tom Hanks, elle joue de nouveau de sa séduction en incarnant une hôtesse de l'air faisant la rencontre d'un immigré ayant élu domicile dans un aéroport. Le succès commercial est une nouvelle fois au rendez-vous, avec plus de 218 000 000 de dollars générés au box-office[84]. Le critique Anthony Oliver Scott regrette toutefois qu'elle soit utilisée « pour son apparence plutôt que pour son sens de l'autodérision qui est pourtant sa force en tant qu'actrice comique »[85].
En fin d’année, elle retrouve ensuite Soderbergh pour Ocean's Twelve (), deuxième opus de la trilogie initiée en . Elle joue le rôle d'Isabel Lahiri, une inspectrice coriace d'Europol. Cette participation est couronnée de succès au box-office puisque le film réalise presque trois millions d’entrées dans l'Hexagone et engendre des recettes mondiales de plus de 360 000 000 de dollars[86],[87]. Pour Paul Clinton de CNN, le sex appeal que dégage la comédienne est l'un des points forts du film[88]. À cette période, elle confirme qu'elle fait partie, selon le magazine Forbes, des actrices les mieux payées à Hollywood avec 18 000 000 de dollars engrangés sur un an[89].
En , elle retrouve l’acteur espagnol Antonio Banderas et le cinéaste Martin Campbell pour la suite des aventures de Zorro, avec La Légende de Zorro. Pour ce film, elle reçoit un salaire estimé à 10 000 000 de dollars[90]. Le long métrage déçoit la critique, bien que l'alchimie du couple qu'elle forme avec Antonio Banderas soit saluée[91],[92], et réalise un score plutôt faible au box-office[93],[94]. Sa prestation lui vaut néanmoins une nomination aux People's Choice Awards. Cette même année, elle reçoit le prix de la « Femme de l'Année » remis par l'association Hasty Pudding Theatricals de l'université Harvard[95].
À la suite de ce semi-échec, la comédienne retrouve le chemin des tournages pour deux films, sortis tous deux en . On la voit d’abord dans Le Goût de la vie, une comédie romantique où elle incarne une cheffe de haute cuisine. Pour préparer son rôle, elle travaille comme serveuse dans un restaurant new-yorkais et suit également des cours de cuisine avec son partenaire Aaron Eckhart[96],[97]. Ce long métrage rapporte presque 100 000 000 de dollars de recettes mondiales[98]. Bien qu'il n'ait pas apprécié le film, le critique Roger Ebert qualifie Catherine Zeta-Jones de « convaincante »[99].
La même année, on la retrouve avec Guy Pearce à l'affiche de la romance fantastique Au-delà de l'illusion, présentée au festival international du film de Toronto. Dans cette œuvre, librement inspirée de la vie de l'illusionniste Harry Houdini, elle campe le rôle de Mary McGregor, une femme dotée de supposés dons de voyance[100].
Après ce film, elle entre en négociation avec Rob Marshall, qui rêve de la diriger à nouveau, pour faire partie de la distribution de Nine ()[101]. L'actrice, souhaitant un rôle plus conséquent, lui propose de développer son personnage[102]. Elle quitte finalement le projet au profit de Nicole Kidman, n'arrivant pas à s'entendre avec le réalisateur[A 8]. En , elle n'est donc à l'affiche que d'un seul film, une comédie romantique intitulée Mon babysitter, dans laquelle elle côtoie Justin Bartha. Cette œuvre légère, signée du réalisateur Bart Freundlich, la fait se glisser dans la peau d'une divorcée qui refait sa vie avec le babysitter de ses enfants. Le distributeur américain du film fait cependant faillite et le film ne sort que dans les salles étrangères, où il connait un succès très modéré[103].
Fin , l'actrice retourne vers ses premières amours, le chant et la danse, le genre qui lui a valu les honneurs, mais cette fois sur la scène de Broadway[104]. Aux côtés d'Angela Lansbury, elle est dirigée par le metteur en scène Trevor Nunn dans la comédie musicale A Little Night Music, dans laquelle elle prête ses traits au personnage de Desiree Armfeldt, une actrice autrefois très prisée mais désormais sur la sellette. Elle explique avoir été attirée par les complexités de cette pièce et son absence d’artifice[25] : « Il n'y a pas de mains jazzy, pas de high kicks, pas de bas résille. […] Il faut creuser, creuser et creuser davantage »[C 4]. Son interprétation lui vaut le Tony Award de la meilleure actrice dans une comédie musicale[105], ainsi qu'un prix aux Drama Desk Awards[106] et aux Outer Critics Circle Awards[107], après avoir été très largement saluée par la critique[108],[109],[110].
Seconds rôles et retour à la télévision (années 2010)
modifierEn , Catherine Zeta-Jones est distinguée par la reine Élisabeth II comme Commandeur de l'Empire britannique (CBE) en remerciement de ses services rendus à l’art dramatique et de ses engagements caritatifs[111]. Le prince Charles lui remet en personne sa décoration le à Buckingham Palace en présence de son époux Michael Douglas et de ses deux enfants[112].
À la même période, elle est approchée par les dirigeants de la Weinstein Company pour incarner Vivien Leigh dans le film My Week With Marilyn (). Elle finit par décliner l'offre, préférant passer son temps aux côtés de son époux, alors atteint d'un cancer[113],[114]. Elle révèle par la suite sa bipolarité[115] et décide de s'éloigner des plateaux de cinéma[116],[117],[118], confiant que « [ses] priorités ont considérablement changé »[117].
En , après trois ans d'absence cinématographique, l'actrice revient avec trois films, uniquement pour des rôles féminins secondaires. Sans même avoir lu le scénario, elle accepte tout d'abord de participer à Rock Forever, une comédie musicale réalisée par Adam Shankman[119]. Elle y campe le rôle fictif de la première dame de Los Angeles, s'inspirant de la femme politique Michele Bachmann[120]. Le film ne rencontre le succès escompté ni auprès de la presse[121] ni auprès des spectateurs[122],[123]. Elle enchaîne avec la comédie romantique Love Coach de Gabriele Muccino, où elle incarne une ex-présentatrice de télévision, devenue mère au foyer. Le film obtient des critiques défavorables[124]. Le sort réservé à Lady Vegas : Les Mémoires d'une joueuse, œuvre pour laquelle elle retrouve Bruce Willis et le cinéaste Stephen Frears, est similaire, le film passant inaperçu[125].
Catherine Zeta-Jones consacre l'année à des films dramatiques, notamment avec le polar Broken City d'Allen Hughes, aux côtés des stars Mark Wahlberg et Russell Crowe. Une fois encore, le film déçoit la critique[126]. Todd McCarthy du magazine The Hollywood Reporter salue toutefois son interprétation : « Zeta-Jones est la classe incarnée »[127].
C'est finalement sa troisième collaboration avec le réalisateur Steven Soderbergh, le thriller psychologique Effets secondaires, qui lui permet de renouer avec un projet de premier ordre. Présenté à la Berlinale 2013, le long métrage est reçu avec des critiques positives[128] et fonctionne correctement au box-office[129]. Ce rôle de psychiatre vénéneuse se distingue de ses dernières partitions et lui permet de proposer un aspect plus sombre de l'image séductrice qui l'avait menée au sommet[130].
L'actrice conclut l'année en participant au blockbuster Red 2, la suite de la comédie d'action à succès Red (), où elle retrouve pour la troisième fois Bruce Willis, mais également Anthony Hopkins pour la seconde fois (15 ans après Le Masque de Zorro). Elle y joue Katya Petrokovich, une agent double travaillant pour les services secrets russes. Cette comédie, qui joue de l'âge légèrement avancé de ses acteurs, ne convainc pas vraiment la critique[131] et rapporte un peu moins que le premier opus[132]. Dans sa critique pour The Hollywood Reporter, Justin Lowe juge positivement sa prestation et déclare qu'elle « réussit bien à faire ressortir le mélange de séduction et de menace de Katja »[133].
Catherine Zeta-Jones se fait ensuite de nouveau discrète, préférant passer du temps avec ses enfants, comme elle l'a confié au journal Daily Telegraph[134] : « Donc si je dois quitter ma famille pendant un certain temps, il vaut mieux que ce soit pour un rôle que je n'ai jamais joué avant, avec des gens formidables. Il vaut mieux que ce soit amusant. Sinon, pour être honnête avec vous, je préfère rester chez moi »[C 5].
Après une nouvelle pause de trois ans, elle retrouve le chemin des plateaux de cinéma pour la comédie britannique La British Compagnie (), réalisée par Oliver Parker[135],[136]. Elle y campe le rôle de Rose Winters, une journaliste chargée d’écrire un article sur les exploits d’un petit groupe de soldats. Cette dernière connaît un certain succès dans les salles britanniques[137], mais sort directement en DVD dans l'Hexagone[138]. Catherine Bray de Variety se montre critique envers cette production qu'elle qualifie de « résurrection grinçante » et trouve l'actrice « sous-utilisée »[139]. Après ce film, la comédienne amorce un retour à la télévision.
C’est ainsi qu’en , vingt-et-un ans après son dernier rôle pour le petit écran, l'actrice fait son retour en incarnant Olivia de Havilland dans la série télévisée d'anthologie Feud créée par Ryan Murphy[140]. Elle travaille son rôle en écoutant notamment les anecdotes de son beau-père Kirk Douglas sur sa vie d'acteur durant l'âge d'or de Hollywood[141],[142]. Cette dernière est très favorablement accueillie par la critique et reçoit quatre nominations lors des Golden Globes 2018[143]. La comédienne évolue par ailleurs aux côtés des actrices Jessica Lange et Susan Sarandon. Sonia Saraiya de Variety estime que Zeta-Jones apporte « le meilleur tournant de la série »[144] et Dominic Patten de Deadline Hollywood trouve qu’elle est « merveilleusement bien choisie » pour le rôle[145].
Toujours à la télévision, Catherine Zeta-Jones incarne en le rôle de Griselda Blanco, qu'elle convoite depuis [146],[147], dans un téléfilm intitulé La Reine des cartels[148]. Durant la promotion, elle confie avoir voulu jouer cette partition pour le courage de son personnage et sa capacité à se démarquer dans un monde dominé par les hommes[149]. Son interprétation est accueillie sévèrement par Hanh Nguyen d'Indiewire qui juge qu'elle « n'est pas seulement peu convaincante, elle est extravagante »[150]. En fin d’année, elle s'illustre comme premier rôle d'une série télévisée développée par Facebook Watch, la comédie noire et satirique Queen America, qui s’intéresse aux coulisses des concours de beauté[151]. Pour mieux se plonger dans la peau de son personnage, qui souffre de boulimie, la comédienne s'est servie de ses souvenirs de jeunesse[152]. Dans une critique positive, Jen Chaney de Vulture écrit que « Zeta-Jones est toujours à son meilleur niveau quand elle est fougueuse, et ce rôle lui donne de nombreuses opportunités de le montrer »[153].
Progression télévisuelle (années 2020)
modifierL'actrice, qui confie être devenue sélective dans ses choix de rôle[154], rejoint ensuite la distribution de la dernière saison de la série policière Prodigal Son (), diffusée en France sur TF1, face au « Chirurgien » joué par Michael Sheen[155]. Elle prête ses traits au Dr Vivian Capshaw, une médecin légiste qui cache de lourds secrets[156]. La nature sombre de ce personnage l'a intriguée : « Personnellement, je suis toujours attirée par le côté le plus sombre de la nature humaine. J'ai pu inculquer ça en elle »[157]. Elle révèle aussi avoir été attirée par ce projet afin de pouvoir jouer aux côtés de Michael Sheen, avec qui elle souhaitait travailler depuis des années[158].
Fin , elle apparaît dans deux nouvelles séries télévisées. Dans un premier temps, elle incarne en tant qu'actrice invitée la matriarche gothique de la famille Addams, Morticia Addams, dans Mercredi – produite pour la plateforme Netflix – où elle est notamment dirigée par le cinéaste Tim Burton[159]. Sa transformation en ce personnage iconique, qu'elle décrit comme « une figure féminine absolument mythique »[160], l'a laissée avec « la chair de poule et les larmes aux yeux »[161]. Pour cette prestation, elle reçoit des critiques globalement positives[162],[163], notamment de la part de Josh Stephenson de Metro UK qui la trouve « brillante »[164]. Dans un avis plus nuancé, le magazine Empire considère sa Morticia « fidèlement interprétée » avant de préciser qu'elle « ne se glisse pas aussi magnifiquement qu'Anjelica Huston » dans le rôle[165]. Sa performance lui vaut d'être nommée lors de la 51e cérémonie des Saturn Awards comme meilleure artiste invitée[166].
Elle part ensuite à la chasse au trésor pour les besoins de la série Trésors perdus : le secret de Moctezuma ( - ), dérivée de la franchise cinématographique Benjamin Gates, produite pour la plateforme Disney+[167]. Dans cette production, elle campe le rôle de la grande méchante, Billie Pearce, une antiquaire malveillante[168],[169]. Pour cette série, elle reçoit une nomination aux Emmy Awards[170].
Vie privée
modifierAprès avoir fréquenté l'acteur Angus Macfadyen[171], Catherine Zeta-Jones rencontre l'acteur américain Michael Douglas, de 25 ans son aîné, au festival du cinéma américain de Deauville en [172]. Il lui déclare sa flamme dès le premier soir en lui affirmant « Je veux être le père de vos enfants »[173],[174],[175]. Le couple se fiance par la suite à Aspen au Colorado lors du Nouvel an en [176]; puis se marie le au Plaza Hotel de New York en présence de plus de 250 invités dont Sharon Stone, Jack Nicholson, Brad Pitt et Bonnie Tyler qui assure d'ailleurs le spectacle musical[N 6],[177],[178]. Sa robe de mariée est créée par le couturier français Christian Lacroix[179] et le coût du mariage s'est élevé à 1 500 000 dollars[180]. Ils ont deux enfants : Dylan Michael Douglas (né le )[181] et Carys Zeta Douglas (née le )[182].
En , après avoir été harcelé pendant des mois via des lettres et coups de fil anonymes, le couple assigne en justice Dawnette Knight, que l'enquête de police révèle être l'auteure des faits. La prévenue souhaitait notamment « découper en morceaux Catherine Zeta-Jones pour la donner à manger à ses chiens »[183]. À la suite d'un procès médiatisé, Dawnette Knight est condamnée à une peine de trois ans de prison[184].
En , Catherine Zeta-Jones déclare qu'elle est atteinte d'une maniaco-dépression, également appelée trouble bipolaire[185]. Le , son manager annonce qu'elle a subi un traitement de cinq jours dans la clinique spécialisée de Silver Hill Hospital à New Canaan (Connecticut)[115]. Elle est alors l'une des premières personnalités à révéler ouvertement sa bipolarité[186]. Bien qu'elle n'ait initialement pas voulu que sa maladie soit connue de tous, elle déclare « qu'en rendant cela public j'espère que les autres malades sauront que c'est contrôlable »[187]. En , l'actrice se fait de nouveau hospitaliser pour un traitement préventif de 30 jours[188].
En , après des mois de rumeurs, les agents de Michael Douglas et Catherine Zeta-Jones annoncent que le couple souhaite faire une pause et se séparer quelque temps pour « travailler sur leur mariage »[189]. En , après avoir été aperçus à de nombreuses reprises ensemble, une rumeur circule selon laquelle les deux époux voudraient renouveler leurs vœux de mariage[190]. En juin de la même année, réconciliée avec son époux, elle célèbre la Bar Mitzvah de son fils Dylan à Jérusalem[191].
Durant les années 2000, elle réside en famille à Warwick dans les Bermudes avant de déménager dans la région de New York en [192]. À partir de , le couple habite dans un manoir au sein du comté de Westchester, ancienne propriété de Charles Lewis Tiffany, qu'ils ont acquis pour 4 500 000 dollars[193],[194], après avoir vécu pendant plusieurs années à Bedford[195]. Ils mettent en vente leur demeure en pour 12 000 000 de dollars, souhaitant passer plus de temps en Europe[196].
Interrogée en par Andy Cohen dans son émission Watch What Happens Live, diffusée sur la chaîne Bravo, Catherine Zeta-Jones se déclare royaliste[197]. Elle réaffirme ses convictions à la suite de la mort de la reine Élisabeth II en , se disant « royaliste convaincue » et « très fière de [son] héritage »[198],[199].
Image publique
modifierJeu d'actrice
modifierAu début de sa carrière, elle est perçue par la critique comme une actrice dont le principal attrait repose sur son apparence physique[25],[57], avant d'être appréciée par la suite pour sa polyvalence[4],[58],[59]. Le critique Roger Ebert la voit comme une interprète de la trempe d'Ava Gardner et de Deborah Kerr[200]; et Sean Connery, avec qui elle a joué dans Haute Voltige, la décrit comme une « professionnelle incroyable »[5]. De même pour Anthony Hopkins, avec qui elle a tourné deux fois, qui la compare à Audrey Hepburn et Lana Turner et la présente comme « une actrice passionnée »[201].
Catherine Zeta-Jones, qui a joué aussi bien sur les planches qu'au cinéma et à la télévision, se considère davantage comme « une actrice de théâtre que de cinéma ou de télévision »[C 6],[154]. Elle affectionne particulièrement les comédies musicales[72] et considère qu'elle n'est pas née à la bonne époque[27] : « Toute ma vie je me suis dit que j'étais née à la mauvaise période. J'aurais dû danser avec Gene Kelly. J'aurais dû travailler avec Fred [Astaire]. J'aurais dû être avec Judy [Garland]. Ces jours sont révolus »[C 7].
Elle cite à plusieurs reprises Anne Bancroft comme une source d'inspiration dans son parcours d'actrice[202],[203] et regrette qu'il n'y ait pas plus de rôles pour les actrices de plus de 40 ans[204] : « Ce n'est pas qu'il n'y a pas de belles histoires à raconter sur les femmes quadragénaires, c'est juste que les grands patrons de Hollywood ont le sentiment que la population des cinéphiles est moins intéressée »[C 8].
En , interrogée sur sa vision de l'industrie du divertissement, elle déclare[205] : « Le cinéma d'aujourd'hui est concurrentiel, laborieux, un combat permanent pour s'améliorer. Ce n'est pas glamour »[C 9].
Médiatisation
modifierConsidérée comme l'une des personnalités les plus glamours de Hollywood[173],[206],[207], Catherine Zeta-Jones fait souvent la couverture de magazines comme Allure[208], Vanity Fair[209], People[210] ou encore Vogue[211] depuis les années 1990. Le journal Daily Telegraph la décrit en comme « l'ultime autodidacte » qui a « constamment pris des décisions audacieuses »[C 10],[13]. En , le magazine Vogue loue son attitude « cool et qu'on ne peut imiter »[212].
Les films qu'elle tourne à la fin des années 1990 renvoient au public une image d'elle plutôt séductrice[5]. En , elle figure pour la première fois dans le classement annuel des plus belles femmes du monde établi par le magazine américain People. Elle figurera par ailleurs dans ce classement à cinq reprises (respectivement en , , , et ), dont une fois comme plus belle femme du monde en [213],[214]. En , c'est au tour du magazine Esquire de la consacrer comme plus belle femme du monde[215].
En , la version américaine du magazine Glamour la récompense du prix Killer Talent Award lors de son gala annuel des Women of the Year Awards[216]. Trois ans plus tard, elle est considérée selon un sondage effectué auprès de plus de huit-mille personnes dans le monde, comme étant internationalement la plus belle femme, toutes générations confondues, juste devant la française Brigitte Bardot[217]. Malgré cette médiatisation, Zeta-Jones admet, quant à elle, qu'elle ne se considère pas comme « une grande beauté »[116],[218].
L'actrice n'est pas non plus exempte de critiques. Elle est sujette à plusieurs reprises à des parodies, comme par Chris Rock lors des Oscars 2005[A 9],[A 10]. Dawn French et Jennifer Saunders l'ont aussi parodiée dans un des numéros de leur émission French and Saunders à cause de son accent gallois[A 11]. Par ailleurs, elle est accusée en par l'association PETA de « crime contre la mode » et se voit décerner le prix de « la personnalité la plus mal habillée »[219].
Catherine Zeta-Jones est aussi connue pour contrôler son image. Fin , elle attaque en justice le magazine Hello! et lui réclame 2 000 000 de livres sterling pour avoir divulgué dans la presse, sans son autorisation, des photos de son mariage[220]. L'actrice et son époux gagnent leur procès en [221],[A 12]. La même année, elle fait annuler via ses avocats la publication d'une biographie sur sa vie, qu'elle n'a pas autorisée, écrite par Cliff Goodwin[222]. Par ailleurs, fin , elle menace la société de cosmétiques Caudalie d'une action en justice après que cette dernière a « utilisé son nom sans son accord »[223].
Dans la culture populaire
modifierDe par sa notoriété dans les années 2000, elle a vu son nom être utilisé au cinéma et à la télévision dans plusieurs œuvres de fiction. À cet effet, une partie de l’intrigue de Thank You for Smoking () est centrée sur la production d’un film avec Catherine Zeta-Jones et Brad Pitt en vedettes[224],[225]. Dans l’épisode 7 de la saison 22 de la série Les Simpson, Marge, qui se plaint de son fournisseur d’accès à Internet, réplique « Je l’ai acheté parce que Catherine Zeta-Jones me l’a conseillé. Quelle idiote je fais ! »[226]. Elle est aussi citée dans l’épisode 7 de la saison 2 de The Office sous le nom de Catherine Zeta-Scarn[227]. La série Workaholics fait également référence à l’actrice dans l’épisode 3 de sa première saison lorsque le personnage joué par Adam DeVine entonne « Catherine Zeta-Jones she dips beneath lasers »[228]. Dans le domaine musical, elle est mentionnée dans le single Plain Jane du rappeur ASAP Ferg, chanté en duo avec Nicki Minaj[229].
En outre, Catherine Zeta-Jones prête parfois son image pour des publicités télévisées, comme pour Alfa Romeo[230],[231], Elizabeth Arden (en)[232], LUX[233],[234] ou encore pour l'opérateur T-Mobile[235],[236]; ce dernier contrat signé en faisant d'elle la célébrité la mieux payée par une marque en son temps[237].
Plus rarement, l'actrice accepte de se mettre en scène bien qu'elle se décrive elle-même comme « timide en société »[238]. Aux côtés de son époux, elle est en la maîtresse de cérémonie du concert du prix Nobel de la paix à Oslo[239]. Sur la scène des Oscars en , aux côtés de la chanteuse et actrice Queen Latifah, elle chante I Move On, une chanson extraite du film Chicago[240]. Elle réitère l'expérience dix ans plus tard lors de la 85e cérémonie des Oscars, le temps d'un hommage rendu aux films musicaux de la dernière décennie, en interprétant la chanson All That Jazz devant près de quarante millions de téléspectateurs[241],[242]. Elle qualifie cette expérience de « terrifiante »[243]. L'année suivante, Catherine Zeta-Jones participe à l'émission Jimmy Kimmel Live! en se mettant en scène dans un clip parodique intitulé David After Dentist et diffusé juste après les Oscars. Elle y incarne le personnage de Tooth Fairy, aux côtés des acteurs Samuel L. Jackson, Joseph Gordon-Levitt et Seth Rogen[244].
Engagements et autres activités
modifierCatherine Zeta-Jones est connue pour soutenir de nombreuses œuvres caritatives. En , elle vend aux enchères une de ses tenues du film Le Masque de Zorro pour lever des fonds dans le but de venir en aide aux victimes du SIDA en Afrique[245]. En , elle devient l’ambassadrice du National Society for the Prevention of Cruelty to Children et lance dans la foulée le Full Stop appeal au pays de Galles pour sensibiliser la population sur la maltraitance faite aux enfants[246],[247]. Sur ce même registre, elle contribue au financement des recherches pour retrouver le corps d'April Jones (en), une fillette de cinq ans disparue en [248]. Dans le domaine du cinéma, elle est la fondatrice de A Fine Romance, un programme caritatif annuel qui aide à collecter des fonds pour le MPTF (en)[249].
En , l'actrice participe à une levée de fonds au profit des victimes des ouragans Harvey et Irma survenus en septembre de la même année[250]. Cet événement, auquel assistent également d'autres célébrités comme Leonardo DiCaprio ou Jamie Foxx, permet de récolter 44 000 000 de dollars au profit des victimes[251]. Catherine Zeta-Jones a également offert son soutien à d'autres organismes de bienfaisance pour les enfants tels que le Centre international pour enfants disparus et sexuellement exploités, ainsi que le Noah’s Ark Appeal (un hôpital gallois)[252].
Outre son métier d’actrice, Zeta-Jones entame une courte carrière dans la chanson au début des années 1990. En , elle prête sa voix à l'un des personnages du récit musical Jeff Wayne's Musical Version of Spartacus, retraçant l'histoire du gladiateur Spartacus[253]. Trois ans plus tard, elle sort son premier single, In the Arms of Love. Elle a aussi chanté True Love Ways, un duo avec David Essex[254]. Elle poursuit également une carrière dans l’entrepreneuriat. En effet, passionnée de décoration d'intérieur et d'architecture depuis son enfance, la comédienne lance en sa propre marque de linges et d'accessoires de maison sous la dénomination Casa Zeta-Jones, en partenariat avec QVC[255]. Son entreprise comprend également une collection de prêt-à-porter et une ligne de maquillage[256]. En , sa marque est récompensée par la PETA pour ses engagements végans[257].
Théâtre
modifierNote : À noter que la pièce Au bois lacté a fait l'objet d'une représentation unique en sous la direction d'Anthony Hopkins. Cette dernière avait été filmée pour la télévision mais elle n'a jamais été diffusée[A 13]. La pièce The Children's Monologues a, quant à elle, fait l'objet d'une seule représentation mise en scène par Danny Boyle[258].
- 1979 : Annie, d'après le comic strip Little Orphan Annie d'Harold Gray, comédie musicale jouée au Victoria Palace Theatre : July[27]
- 1981 : Annie, comédie musicale jouée au Grand Théâtre de Swansea : Annie[13]
- 1983 : Bugsy Malone, d'après le film du même nom d'Alan Parker, pièce jouée au Her Majesty's Theatre : Tallulah[29]
- 1985 - 1986 : The Pajama Game, d'après le livre 7½ Cents de Richard Pike Bissell, pièce jouée au Haymarket Theatre : Chorus girl[27]
- 1987 - 1989 : 42nd Street, pièce de Michael Stewart et Mark Bramble, jouée au Théâtre de Drury Lane : Peggy Sawyer[34]
- 1989 : Street Scene, opéra de Kurt Weill, joué au Coliseum Theatre : Mae Jones[36]
- 1992 : Au bois lacté, pièce radiographique de Dylan Thomas, jouée à l'Associated Independent Recording : Une voix[A 14]
- 2009 - 2010 : A Little Night Music, comédie musicale de Stephen Sondheim, jouée au Walter Kerr Theatre : Desiree Armfeldt[105]
- 2017 : The Children's Monologues (en), pièce jouée au Carnegie Hall : Une fille obsédée par les maths[258]
Filmographie
modifierSauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par le site IMDb.
Cinéma
modifierAnnées 1990
modifier- 1990 : Les Mille et Une Nuits de Philippe de Broca : Shéhérazade
- 1992 : Christophe Colomb : La Découverte (Christopher Columbus: The Discovery) de John Glen : Beatriz Enríquez de Arana
- 1993 : Grandeur et Descendance (Splitting Heirs) de Robert Young : Kitty
- 1995 : Blue Juice (en) de Carl Prechezer : Chloe
- 1996 : Le Fantôme du Bengale (The Phantom) de Simon Wincer : Sala
- 1998 : Le Masque de Zorro (The Mask of Zorro) de Martin Campbell : Elena de la Vega
- 1999 : Haute Voltige (Entrapment) de Jon Amiel : Virginia Baker
- 1999 : Hantise (The Haunting) de Jan de Bont : Theo
Années 2000
modifier- 2000 : High Fidelity de Stephen Frears : Charlie Nicholson
- 2000 : Traffic de Steven Soderbergh : Helena Ayala
- 2001 : Couple de stars (America's Sweethearts) de Joe Roth : Gwen Harrison
- 2002 : Chicago de Rob Marshall : Velma Kelly
- 2003 : Sinbad : La Légende des sept mers (Sinbad: Legend of the Seven Seas) de Patrick Gilmore et Tim Johnson : Marina (voix uniquement)
- 2003 : Intolérable Cruauté (Intolerable Cruelty) de Joel et Ethan Coen : Marilyn Rexroth
- 2004 : Le Terminal (The Terminal) de Steven Spielberg : Amelia Warren
- 2004 : Ocean's Twelve de Steven Soderbergh : Isabel Lahiri
- 2005 : La Légende de Zorro (The Legend of Zorro) de Martin Campbell : Elena de la Vega
- 2007 : Le Goût de la vie (No Reservations) de Scott Hicks : Kate Armstrong
- 2007 : Au-delà de l'illusion (Death Defying Acts) de Gillian Armstrong : Mary McGarvie
- 2009 : Mon babysitter (The Rebound) de Bart Freundlich : Sandy
Années 2010
modifier- 2012 : Rock Forever (Rock of Ages) d'Adam Shankman : Patricia Whitmore
- 2012 : Lady Vegas : Les Mémoires d'une joueuse (Lay the Favorite) de Stephen Frears : Tulip Heimowitz
- 2012 : Love Coach (Playing for Keeps) de Gabriele Muccino : Denise
- 2013 : Broken City (Broken City) d'Allen Hughes : Cathleen Hostetler
- 2013 : Effets secondaires (Side Effects) de Steven Soderbergh : Dr Victoria Siebert
- 2013 : Red 2 (Red 2) de Dean Parisot : Katya Petrokovich
- 2016 : La British Compagnie (Dad's Army) d'Oliver Parker : Rose Winters
Télévision
modifier- 1991 - 1993 : The Darling Buds of May de Rodney Bennett et Gareth Davies : Mariette Larkin (série télévisée, 18 épisodes)
- 1991 : The Play on One (en) de Nick Hamm : Chirsty (saison 4, épisode 5)
- 1992 : Coup de foudre d'Édouard Molinaro : inconnu (saison 3, épisode 5)
- 1993 : Les Aventures du jeune Indiana Jones (The Young Indiana Jones Chronicles) de Simon Wincer : Maya (saison 2, épisode 21)
- 1994 : The Return of the Native (en) de Jack Gold : Eustacia Vye (téléfilm)
- 1994 : The Cinder Path (en) de Simon Langton : Victoria Chapman (mini-série, 3 épisodes)
- 1995 : Catherine la Grande (en) (Catherine the Great) de Marvin J. Chomsky et John Goldsmith : Catherine II de Russie (téléfilm)
- 1996 : Le Titanic (Titanic) de Robert Lieberman : Isabella Paradine (téléfilm)
- 2005 : Saturday Night Live de Lorne Michaels : elle-même (saison 31, épisode 3)
- 2014 : Jimmy Kimmel Live! de Zack Bornstein : Tooth Fairy (saison 12, épisode 60)
- 2017 : Feud de Ryan Murphy : Olivia de Havilland (série télévisée, 6 épisodes)
- 2018 : La Reine des cartels (Cocaine Godmother) de Guillermo Navarro : Griselda Blanco (téléfilm)
- 2018 - 2019 : Queen America de Meaghan Oppenheimer : Vicki Ellis (série télévisée, 10 épisodes)
- 2021 : Prodigal Son de Chris Fedak et Sam Sklave : Dr Vivian Capshaw (série télévisée, 7 épisodes)
- depuis 2022 : Mercredi (Wednesday) d'Alfred Gough et Miles Millar : Morticia Addams (série télévisée, 2 épisodes)
- 2022 - 2023 : Trésors perdus : le secret de Moctezuma (National Treasure : Edge of History) de Cormac et Marianne Wibberley : Billie Pearce (série télévisée, 10 épisodes)
Discographie
modifierCatherine Zeta-Jones entame une brève carrière de chanteuse dans les années 1990 qui comprend les singles suivants[259] :
- 1992 : For All Time
- 1995 :
- In the Arms of Love
- I Can't Help Myself
- True Love Ways (duo avec David Essex)
Elle a également enregistré les chansons de plusieurs bandes originales[260],[261],[262] :
- Chicago (2002) :
- Overture/All That Jazz
- Cell Block Tango
- I Can't Do It Alone
- Class[N 7]
- Nowadays/Hot Honey Rag
- I Move On
- All That Jazz[N 8] (reprise)
- Rock Forever (2012)
- Hit Me with Your Best Shot (reprise de Pat Benatar)
- We're Not Gonna Take It (reprise de Twisted Sister)
Distinctions
modifierSauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par le site IMDb.
Catherine Zeta-Jones obtient la reconnaissance de ses pairs au cinéma avec un Oscar gagné en . Sept ans plus tard, son travail au théâtre est récompensé par un prestigieux Tony Award[105].
Parmi ses autres récompenses, elle compte trois SAG Awards (sur trois nominations) ainsi que deux Critics' Choice Movie Awards (sur trois nominations) et un BAFTA Award (sur une nomination). Au cours de sa carrière, elle a en outre été nommée deux fois aux Golden Globes, deux fois aux Saturn Awards et une fois aux Emmy Awards.
Pour « services rendus au cinéma et [ses] engagements humanitaires », elle est élevée par la reine Élisabeth II au titre de Commandeur de l'Empire britannique (CBE) en [9],[111].
- Récompenses
- Blockbuster Entertainment Awards : révélation féminine préférée pour Le Masque de Zorro
- Prix du cinéma européen 1999 : prix du public de la meilleure actrice pour Haute Voltige
- ShoWest Convention : meilleur second rôle féminin de l'année
- Blockbuster Entertainment Awards : actrice préférée dans un film d'action pour Haute Voltige
- SAG Awards 2001 : meilleure distribution pour Traffic[N 9]
- BAFTA Awards 2003 : meilleure actrice dans un second rôle pour Chicago
- OFTA Awards 2003 : meilleure chanson pour Chicago (Cell Block Tango)[N 10]
- Critics' Choice Movie Awards 2003 :
- meilleure actrice dans un second rôle pour Chicago
- meilleure distribution pour Chicago[N 11]
- Evening Standard British Film Awards : meilleure actrice dans un second rôle pour Chicago
- Oscars 2003 : meilleure actrice dans un second rôle pour Chicago
- Phoenix Film Critics Society Awards : meilleure actrice dans un second rôle pour Chicago
- SAG Awards 2003 :
- meilleure actrice dans un second rôle pour Chicago
- meilleure distribution pour Chicago[N 11]
- ShoWest Convention : meilleur second rôle féminin de l'année
- Tony Awards 2010 : meilleure actrice dans une comédie musicale pour A Little Night Music
- Drama Desk Awards : meilleure actrice dans une comédie musicale pour A Little Night Music[106]
- Outer Critics Circle Awards : meilleure actrice dans une comédie musicale pour A Little Night Music[107]
- Gold Derby Awards : meilleure actrice dans un second rôle de la décennie pour Chicago (3e place)
- Nominations
- MTV Movie Awards :
- meilleure performance féminine exceptionnelle pour Le Masque de Zorro
- meilleur baiser pour Le Masque de Zorro[N 12]
- Saturn Awards 1999 : meilleure actrice pour Le Masque de Zorro
- Blockbuster Entertainment Awards : actrice préférée dans un film d'horreur pour Hantise
- Blockbuster Entertainment Awards : actrice dans un second rôle préférée dans un film dramatique pour Traffic
- Chicago Film Critics Association Awards 2001 : meilleure actrice dans un second rôle pour Traffic
- Dallas-Fort Worth Film Critics Association Awards : meilleure actrice dans un second rôle pour Traffic
- Golden Globes 2001 : meilleure actrice dans un second rôle pour Traffic
- Empire Awards 2002 : meilleure actrice britannique pour Traffic
- Boston Society of Film Critics Awards 2002 : meilleur second rôle féminin dans un film musical pour Chicago
- UFCA Awards : meilleure actrice dans un second rôle pour Chicago
- Golden Schmoes Awards : meilleure actrice dans un second rôle pour Chicago
- Online Film Critics Society Awards : meilleure actrice dans un second rôle dans un film musical pour Chicago
- Phoenix Film Critics Society Awards : meilleure distribution dans un film musical pour Chicago[N 13]
- Dallas-Fort Worth Film Critics Association Awards : meilleure actrice dans un second rôle dans un film musical pour Chicago
- OFTA Awards 2003 :
- Golden Globes 2003 : meilleure actrice dans un film musical ou une comédie pour Chicago
- Gold Derby Awards :
- meilleure actrice dans un second rôle pour Chicago
- meilleure distribution pour Chicago[N 13]
- Critics' Choice Movie Awards 2005 : meilleure distribution pour Ocean's Twelve[N 17]
- NRJ Ciné Awards : actrice la plus glamour
- People's Choice Awards : meilleure actrice dans un film d'action pour La Légende de Zorro
- National Film Awards 2017 (en) : Global Contribution to motion picture pour l'ensemble de sa carrière
- Women's Image Awards : meilleure actrice dans une mini-série ou un téléfilm pour La Reine des cartels
- HCA TV Awards : meilleure actrice dans une série dramatique pour Prodigal Son
- Astra Creative Arts TV Awards 2023 : meilleure actrice invitée dans une série comique pour Mercredi
- Children's and Family Emmy Awards 2023 : meilleur second rôle dans un programme pour enfants ou adolescents pour Trésors perdus : le secret de Moctezuma
- Saturn Awards 2024 : meilleure artiste invitée pour Mercredi
- Autres
- En , elle est récompensée du prix de la « Femme de l'Année » par l'Hasty Pudding Theatricals[95].
- En , elle est nommée Commandeur de l'Empire britannique (CBE)[111].
- En , elle reçoit les Clés de la ville de Swansea (distinction honorifique municipale)[263].
Voix francophones
modifierAu début de sa carrière et jusqu'à la fin des années 1990, Catherine Zeta-Jones est doublée en France de manière non régulière par plusieurs actrices de doublage. Ainsi, Sabine Haudepin la double dans Les Mille et Une Nuits[264], Virginie Ledieu dans Christophe Colomb : La Découverte[264], Dominique Chauby dans Grandeur et descendance[264], Juliette Degenne dans Le Fantôme du Bengale[264], Nathalie Régnier dans Le Titanic[264], Pascale Vital dans Hantise[264] et Marie-Laure Dougnac dans Haute Voltige[264].
À partir de , respectivement avec Catherine la Grande (en) et Blue Juice (en), Rafaèle Moutier et Marjorie Frantz entament leur travail de doublage de l'actrice[264],[265]. Elles deviennent ses voix les plus régulières dans les années 2000, la doublant par alternance, avec une prépondérance pour Rafaèle Moutier (treize doublages)[264],[265]. À titre exceptionnel, Zeta-Jones est cependant doublée par Catherine Hamilty dans Couple de stars[264], Monica Bellucci dans Sinbad : La Légende des sept mers[264], Sandrine Versele dans Au-delà de l'illusion[264] et Catherine Wilkening dans Lady Vegas : Les Mémoires d'une joueuse[264].
En version québécoise, l'actrice est principalement doublée par Élise Bertrand[266] et plus rarement par Isabelle Leyrolles[266], qui la double dans Le Masque de Zorro et Trafic[266],[N 18]. Marie-Andrée Corneille l'a doublée dans Le Fantôme du Bengale[266].
- En France
|
|
- Au Québec[N 19]
|
Notes et références
modifier- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Catherine Zeta-Jones » (voir la liste des auteurs).
Notes
modifier- Son nom de naissance s'écrit sans tiret, Zeta étant en réalité son deuxième prénom.
- Prononciation en anglais britannique retranscrite selon la norme API.
- Voir la section Discographie.
- Tim Burton l'a dirigée dans la série télévisée Mercredi (2022) produite pour Netflix.
- Avant Chicago (2002), Catherine Zeta-Jones avait auditionné pour tenir le rôle de Satine dans Moulin Rouge (2001) mais le réalisateur Baz Luhrmann lui a préféré Nicole Kidman.
(en-US) Eila Mell, Casting Might-Have-Beens - A Film by Film Directory of Actors Considered for Roles Given to Others, Jefferson, éd. McFarland, Incorporated, Publishers, , 350 p. (ISBN 978-1-4766-0976-8), p. 167. - Bonnie Tyler est mariée à Robert Sullivan, l'un des cousins du père de Catherine Zeta-Jones.
(en-GB) Richard Barber, « Bonnie Tyler: Singer is still top of the pops and madly in love after five decades », sur Daily Express, (consulté le ). - Cette chanson a été filmée pour le long métrage mais fut ensuite coupée au montage. La scène fut plus tard introduite dans la version DVD du film ainsi que dans l’album et fut pour la première fois révélée au public lors d’une émission télévisée sur la chaîne américaine NBC en .
(en-US) Billboard Staff, « It is safe to say that “Chicago” will be a brisk », sur Billboard, (consulté le ). - L'American Film Institute a classé cette chanson à la 98e place de son classement AFI's 100 Years... 100 Songs, qui regroupe les plus grandes chansons du cinéma américain.
(en-US) « AFI's 100 YEARS...100 SONGS », sur American Film Institute, (consulté le ). - Prix partagé avec Steven Bauer, Benjamin Bratt, James Brolin, Don Cheadle, Erika Christensen, Clifton Collins Jr., Benicio del Toro, Michael Douglas, Miguel Ferrer, Albert Finney, Topher Grace, Luis Guzmán, Amy Irving, Tomás Milián, D. W. Moffett, Dennis Quaid, Peter Riegert et Jacob Vargas.
- Prix partagé avec John Kander, Fred Ebb, Susan Misner, Denise Faye, Deidre Goodwin, Ekaterina Chtchelkanova et Mýa.
- Prix partagé avec Mýa, Christine Baranski, Ekaterina Chtchelkanova, Taye Diggs, Denise Faye, Colm Feore, Richard Gere, Deidre Goodwin, Queen Latifah, Lucy Liu, Susan Misner, John C. Reilly, Dominic West et Renée Zellweger.
- Nomination partagée avec Antonio Banderas.
- Nomination partagée avec Mýa, Christine Baranski, Ekaterina Chtchelkanova, Taye Diggs, Denise Faye, Colm Feore, Richard Gere, Deidre Goodwin, Queen Latifah, Lucy Liu, Susan Misner, John C. Reilly, Dominic West et Renée Zellweger.
- Nomination partagée avec John Kander, Fred Ebb et Renée Zellweger.
- Nomination partagée avec John Kander et Fred Ebb.
- Nomination partagée avec John Kander, Fred Ebb, Richard Gere et Renée Zellweger.
- Nomination partagée avec Don Cheadle, George Clooney, Matt Damon, Andy García, Bernie Mac, Brad Pitt et Julia Roberts.
- Indique le titre québécois du film.
- La liste indique les titres québécois.
- Le doublage québécois a été conservé lors de la sortie DVD zone 2 du film en France.
Citations originales
modifier- Citation originale : « I would queue up for auditions and then change my costume or put on a different leotard and audition again. It might take me two tries, but I always got the job. I figured out what they wanted. ».
- Citation originale : « I did “42nd Street” after that. I was a chorus girl, and I was second understudy in the West End. And then I got on. The girl, I believe, was on holiday, and I was thrown on. David Merrick, the Broadway god, happened to be watching that show—he used to go around the world watching his shows to see if they were up to scratch. So I got cast in the lead role, and I played it for two years. ».
- Citation originale : « I went, Well, I kind of came to Hollywood to be a movie star. But all right, I’m not doing the James Cameron version, so I guess I’ll do the TV version of it. I went into that going, O.K., at least I’ll have an American piece of something where I’m speaking with an American accent. But it was a catalyst that changed my course over here, because Steven Spielberg saw me in it and asked me to screen-test for “Zorro.” ».
- Citation originale : « There's no jazzy hands, no high kicks, no fishnet stockings,... It's not one of those shows where you can dig about three inches and come out the other end. You can keep digging and digging and digging ».
- Citation originale : « So if I'm going to leave my family for any length of time it had better be for a role that I haven't played before, with great people. It had better be fun. Otherwise, to be honest with you, I would prefer to stay at home. ».
- Citation originale : « Mais je me sens encore plus actrice des planches, que de cinéma. ».
- Citation originale : « Yes. All my life I was thinking, Ah, I’m born in the wrong era. I should have been dancing with Gene Kelly. I should have been with Fred [Astaire]. I would have been with Judy [Garland]. ».
- Citation originale : « It’s not that there aren’t great stories to be told about women in their 40s, its just that the big bosses in Hollywood feel that the demographic of moviegoers are less interested. ».
- Citation originale : « Today moviemaking’s competitive, hardworking, a constant battle to step up. It’s not glamorous. ».
- Citation originale : « the ultimate self-made success [...] constantly made bold decisions. ».
Références bibliographiques
modifier- (en-US) Mike Sager, CZJ, New York City, Esquire, , 134 p. (ISSN 0014-0791), p. 76.
- (en-US) Tonne Goodman et Alexandra Kotur, Jazz Babies : On the Set of Chicago with Catherine Zeta-Jones & Renée Zellweger, New York, Vogue, , 498 p. (ISSN 0014-5270), p. 442.
- (en-GB) Marcia Butzel et Ana Lopez, Mediating the National, Abingdon-on-Thames, éd. Taylor & Francis, , 136 p. (ISBN 978-3-7186-0570-5), p. 33.
- (en) Alan Goble, The Complete Index to Literary Sources in Film, Berlin, éd. Walter de Gruyter, , 1039 p. (ISBN 978-3-11-095194-3), p. 93.
- Laurent Cotillon, Zézette épouse Z ?, Clichy, Ciné Live, , 130 p. (ISSN 1969-9441), p. 52.
- (en-US) Steven Priggé, Movie Moguls Speak - Interviews with Top Film Producers, Jefferson, éd. McFarland, Incorporated, Publishers, , 221 p. (ISBN 978-0-7864-1929-6), p. 42 à 49.
- (en-US) David Thomson, The New Biographical Dictionary Of Film, 5th edition, New-York, éd Little, Brown and Company, , 976 p. (ISBN 978-0-7481-0850-3, lire en ligne).
- Marie Lerault, Nicole Kidman, Paris, éd. Nouveau Monde Éditions, , 220 p. (ISBN 978-2-3809-4133-3, lire en ligne).
- (en-US) Vince Horiuchi, If they give Oscars for boring, this year's broadcast wins big, Salt Lake City, The Salt Lake Tribune, (ISSN 0746-3502), p. C7.
- (en) Richard Crouse, Reel Winners - Movie Award Trivia, Toronto, éd. Dundurn Press, , 280 p. (ISBN 978-1-7707-0199-1), p. 220.
- (en-GB) Jacky Hyams, Jennifer Saunders - The Unauthorised Biography of the Absolutely Fabulous Star, Londres, éd. Metro Publishing, , 250 p. (ISBN 978-1-7821-9084-4, lire en ligne).
- Jean-Claude Sergeant, Les médias britanniques, Paris, éd. Ophrys, , 351 p. (ISBN 978-2-8412-0104-4), p. 274.
- (en-GB) Jackie Hayden, A Map of Love: Around Wales with Dylan Thomas, Aberteifi, éd. Iconau, , 180 p. (ISBN 978-1-9074-7604-4, lire en ligne).
- (en-US) Margot Dougherty, Scene Steamer, Los Angeles, Los Angeles Magazine, , 180 p. (ISSN 1522-9149), p. 42.
Autres références
modifier- Elodie Bardinet, « Quand Catherine Zeta-Jones, 20 ans, donnait la réplique à Gérard Jugnot », sur Première.fr, (consulté le ) « Huit ans avant Le Masque de Zorro, la jeune comédienne démarrait au cinéma dans un film français. ».
- Clément Cuyer, « Catherine Zeta-Jones a 50 ans : saviez-vous qu’elle avait débuté aux côtés de Gérard Jugnot et Thierry Lhermitte ? », sur Allociné.fr, (consulté le ) « Catherine Zeta-Jones se révélera aux yeux du grand public avec la série The Darling Buds of May. ».
- (en-GB) Harriet Marsden, « How Darling Buds of May unleashed hell on Catherine Zeta-Jones », sur The Daily Telegraph, (consulté le ).
- (en-GB) The Editors of Encyclopedia Britannica, « Catherine Zeta-Jones Biography, Movies, & Facts », sur Encyclopedia Britannica, (consulté le ).
- La Rédaction, « Haute Voltige : Catherine Zeta-Jones sexy et athlétique face à Sean Connery », sur Première.fr, (consulté le ).
- (en-US) « 'Gladiator,' 'Traffic' Lead Golden Globe Nominations », sur ABC News, (consulté le ).
- (en) Correspondent, « Catherine Zeta-Jones remembers her Oscar performances », sur The Daily Guardian, (consulté le ).
- (en-GB) « Catherine Zeta Jones wins Tony Award », sur BBC.com, (consulté le ).
- (en-GB) « Catherine Zeta Jones receives CBE from Prince Charles », sur BBC.com, (consulté le ) « The 41-year-old Oscar-winner was recognised for services to the film industry and to charity in last year's Queen's Birthday Honours. ».
- (en-US) La Rédaction, « LA Mission gala honors actress Catherine Zeta-Jones », sur Fox 11 Log Angeles, (consulté le ) « Actress Catherine Zeta-Jones is an Oscar winner married to Hollywood Royalty, and supports a long list of charitable causes. Tonight she was honored for her philanthropy, and it definitely runs in the family! ».
- (en-GB) Ainhoa Barcelona, « Catherine Zeta-Jones and lookalike dad pose for rare family photo », sur Hello!, (consulté le ) « Catherine and Michael also own a home in Swansea where the actress was born and often take their children to Wales on holiday. ».
- (en-GB) « Catherine Zeta Jones: a profile », sur The Daily Telegraph, (consulté le ).
- (en-GB) Sheila Johnston, « Catherine Zeta-Jones: the evergreen girl of the valleys », sur The Daily Telegraph, (consulté le ).
- (en-GB) Daniel Sperling, « Zeta-Jones “wont leave Douglas again” », Digital Spy, (consulté le ) « […] Zeta-Jones's mother Patricia Fair. ».
- (en-GB) WalesOnline, « Zeta in religion muddle », sur Wales Online, (consulté le ) « The Oscar-winning actress's family on her mother's side are Catholics […]. ».
- (en-GB) Guy Adams, « Catherine Zeta-Jones: Darling bud with a steely core », sur Independent.co.uk, The Independant, (consulté le ).
- (en-GB) Ginger Strejcek, « Catherine the Great », sur Season Magazine Online, (consulté le ) « Catherine, named for her maternal grandmother Catherine Fair and her paternal grandmother Zeta Jones (Zeta was the name of a ship that her great-grandfather had sailed on). ».
- Pierre-Yves Paque, « Catherine Zeta-Jones: "On ne me prend plus pour une ingénue" », sur L'Avenir, (consulté le ) « Zeta étant le surnom de sa grand-mère à qui elle voulait rendre hommage via son nom de scène. ».
- (en-GB) Richard Smith, « Catherine Zeta-Jones' tears for grandmother at funeral », sur The Daily Mirror, (consulté le ) « Grandmother Zeta was named after a copper ship which sailed from Swansea to the US in the 19th century and Catherine was also given the name. ».
- (en-GB) Ryan O'Neill, « Catherine Zeta-Jones has shared a stunning throwback picture and people are loving it », sur Wales Online, (consulté le ) « The Hollywood A-lister, who was born in Swansea and raised in Mumbles […]. ».
- (en-GB) Kathryn Williams, « Catherine Zeta-Jones says she's living in an 'empty nest' as she encourages her children to pursue their acting dreams », sur Wales Online, (consulté le ) « Strict, but not too strict - for her, it was about manners. She was a disciplinarian but kind. ».
- (en-US) « Catherine Zeta-Jones bio », sur IMDb.com (consulté le ) « Her brothers are David Jones (born 1967), a development executive, and Lyndon Jones (born 1972), who works at her production company. ».
- (en-GB) Matthew Moore, « Catherine Zeta-Jones' son reduced to tears by incredible family surprise », sur Hello!, (consulté le ) « Lyndon is Catherine's younger brother, but he's not her only sibling, as she also has an older brother, David. ».
- (en-US) People Staff, « Becoming ... Catherine Zeta-Jones », sur People.com, (consulté le ) « Zeta-Jones has a close relationship with her brothers David, 36, and Lyndon, 32 […], who both work for her production company, Milkwood Films. ».
- (en-US) Charles McGrath, « Send in the Song-and-Dance Gal », sur New York Times, (consulté le ).
- (en-GB) « Shirley Bassey: 'I taught Catherine Zeta-Jones to dance' », sur BBC.com, (consulté le ).
- (en-US) Rachel Syme, « Catherine Zeta-Jones Is Enjoying Herself », sur New Yorker.com, (consulté le ).
- (en-GB) Rick Fulton, « The Frog Princess », sur Daily Record, (consulté le ).
- (en-GB) Richard Barber, « The Queen Book of Condolence Bugsy's back! 50 years since the film Bugsy Malone returns to the stage », sur Daily Express, (consulté le ) « Catherine Zeta- Jones was in the 1983 West End production directed by Micky Dolenz (of The Monkees). ».
- (en-US) Maria Ward, « 5 Things You Didn’t Know About Catherine Zeta-Jones », sur Vogue.com, (consulté le ) « After Zeta-Jones’s parents won big in a bingo competition, they enrolled her in dance lessons. ».
- (en-GB) Laura Pullman, « Interview: Catherine Zeta-Jones on sticking by her husband Michael Douglas and why life is a beauty contest », sur The Times, (consulté le ).
- (en-GB) Matt Roper, « Catherine Zeta-Jones describes her bonding with Welsh "brother" Michael Sheen », sur The Daily Mirror, (consulté le ) « Catherine was raised in Swansea – where she was sent to the private Dumbarton House School. ».
- La Rédaction, « Comédie musicale : y'a de la joie dans la 42nd Street », sur Paris Match.com, (consulté le ) « La réalité a rattrapé la fiction: Catherine a dû, un soir, remplacer la vraie vedette du show. Un producteur présent dans la salle l'a repérée. Vous connaissez la suite... ».
- (en-GB) « Catherine Zeta-Jones dazzles on the red carpet in a chic cream tuxedo », The Daily Telegraph, (lire en ligne, consulté le ) « In 1987, at 17, Catherine Zeta Jones landed the lead in 42nd Street. ».
- (en-US) Annie Martin, « Catherine Zeta-Jones recalls meeting Freddie Mercury as a teen », sur UPI, (consulté le ) « "He said, 'Good luck, kid.' And then he said, 'Just keep your head on your shoulders.'" ».
- (en-GB) « Catherine Zeta Jones biography », sur BBC.co.uk, (consulté le ) « She also played Mae Jones in Kurt Weill's opera Street Scene in 1989, working with English National Opera at the London Coliseum. ».
- (en-US) Dana Kennedy, « Catherine Zeta Jones has arrived, but don't make a big deal about it », sur USA Weekend, (consulté le ) « "Literally, with one hour of television my life completely changed," she says. "I couldn't go anywhere." ».
- (en-GB) La Rédaction, « Philippe de Broca », sur The Daily Telegraph, (consulté le ).
- (en-GB) « The Darling Buds of May and Kent », sur Greatbritishlife.co.uk, (consulté le ) « More than 300 actresses were auditioned with no one coming close to H.E. Bates’ description. Finally, with filming due to start, Catherine Zeta Jones was spotted appearing in 42nd Street at the Drury Lane Theatre in London and the rest is history. ».
- Bertrand Guyard, « Nigel Terry, le roi Arthur d'Excalibur est mort », sur Le Figaro.fr, (consulté le ) « On le retrouve en 1992, au côté de Marlon Brando et Catherine Zeta-Jones dans Christophe Colomb: la Découverte de John Glen. ».
- (en-US) Vincent Canby, « Review/Film; Trying to Kill One's Way To a Title », sur New York Times, (consulté le ) « Very funny, too, is Catherine Zeta Jones, a new, sultrily beautiful young Welsh actress, who appears as a woman willing do anything to become a duchess. ».
- (en-US) Ken Tucker, « The Return of The Native », sur Entertainment Weekly, (consulté le ).
- (en-US) Lisa Nesselson, « Catherine the Great », sur Variety, (consulté le ) « Zeta Jones, […], imparts a certain grace and resolve to her sovereign-in-the-making […]. ».
- (en-US) Brendan Kelly, « Blue Juice », sur Variety, (consulté le ) « Absolutely charming, unabashedly offbeat "Blue Juice" is a quirky comedy billed as Britain's first surf pic. ».
- (en-US) Liz Smith, « 'PHANTOM' OF CINEMA RETURNS », sur Nypost.com, (consulté le ) « But he did have a nifty cult success with the comic-book-themed 1996 movie “The Phantom.” ».
- (en-US) Variety Staff, « The Phantom », sur Variety, (consulté le ) « The standouts here are Remar, Zeta Jones and, especially, Williams. ».
- (en-GB) Jennifer Ferrise, « Catherine Zeta-Jones Still Has Her Sword and Spurs From' Zorro' », sur InStyle.com, (consulté le ) « I came here to film a TV version of Titanic, and when it aired on CBS, Steven Spielberg happened to see it and invited me to fly to Mexico to audition for The Mask of Zorro. ».
- (en-US) Richard Cohen, « En Garde! The Master Who Puts the Swords in the Hands of the Stars », sur New York Times, (consulté le ) « […] and tutored Sir Anthony Hopkins, Antonio Banderas and Catherine Zeta-Jones for The Mask of Zorro. ».
- « Le Masque de Zorro : critique de cape et d'épée », sur Écran Large.com, (consulté le ) « Gros carton en 1998 (plus de 250 millions au box-office, pour un budget officiel de 95), le film porté par Antonio Banderas et Catherine Zeta-Jones est donc bien connu. ».
- (en-US) Janet Maslin, « 'The Mask of Zorro': The Cunning Fox Is Back », sur New York Times, (consulté le ) « Ms. Zeta-Jones makes her first major film role one to remember. ».
- (en-GB) « Catherine Zeta Jones Interview: I Used to Be Just a Pretty Face with a Big Bust Now I Fight for Roles with Nicole Kidman; How TV'S Darling Bud Bloomed in Hollywood », sur The Daily Mirror, (consulté le ) « There were times when I wouldn't even see a script for months. "Now I'm getting scripts and they say to me: 'Oh, by the way, you are up against Julia Roberts and Nicole Kidman'" ».
- (en-GB) La Rédaction, « Face of the Day: Catherine Zeta Jones », sur The Herald, (consulté le ) « Such was the brouhaha surrounding her sizzling performance, she was able to negotiate $5m to star alongside Connery in Entrapment. ».
- (en-US) Ruthe Stein, « Star Gazing At ShoWest », sur San Francisco Chronicle, (consulté le ) « Sean Connery and Catherine Zeta-Jones, co-stars in "Entrapment," a romantic caper opening in May, both received awards at ShoWest, the convention of theater owners that ended Thursday. ».
- (en-US) « The Haunting », sur Box Office Mojo (consulté le ).
- Olivier Père, « Hantise », sur Les Inrocks.com, (consulté le ) « Pas effrayant une seconde, Hantise est en revanche un monument d’ennui et un authentique navet. ».
- (en-GB) J.B., « The haunting of Shirley Jackson », sur The Economist, (consulté le ) « “The Haunting” (1999), Jan de Bont’s retelling of “The Haunting of Hill House”, was even worse, seeing Lili Taylor, Catherine Zeta-Jones and Liam Neeson pestered by poorly rendered CGI ghosts. ».
- (en-US) Mick LaSalle, « `The Haunting' Is Pretty Stupid », sur San Francisco Chronicle, (consulté le ) « Zeta-Jones seems less an actress and more a pretty face, and not an interesting one at that. ».
- (en-GB) « Zeta Jones' many talents », sur BBC.co.uk, (consulté le ) « Critics felt Zeta Jones was robbed of a Best Actress nomination at the Oscars for her role in the acclaimed Traffic in 2000, in which she starred alongside her husband Michael Douglas. ».
- (en-US) Edward Guthmann, « Moving 'Traffic' / Soderbergh's riveting thriller lays open America's anti-drug campaign », sur San Francisco Chronicle, (consulté le ) « Zeta-Jones is another standout as a privileged wife turned mama lion. ».
- (en-US) Jake Dee, « Traffic: 10 Behind-The-Scenes Facts About The Making Of The Steven Soderbergh Movie », sur Screen Rant, (consulté le ) « Catherine Zeta-Jones was pregnant with co-star and soon-to-be husband Michael Douglas's baby. As such, the script was reworked to accommodate her pregnancy. ».
- Julie Esquirol, « Cinéma : Sept anecdotes que vous devez connaître sur les coulisses de « Traffic » de Steven Soderbergh », sur Vanity Fair, (consulté le ) « Le personnage d’Helena Alaya n’était pas supposé attendre un enfant dans le scénario original. Ce détail a été rajouté lorsque son interprète, Catherine Zeta-Jones, a annoncé sa grossesse à Steven Soderbergh. ».
- (en) Paul Fischer, « Catherine Zeta-Jones for “Traffic” », sur Dark Horizons.com, (consulté le ) « “I really wanted to do it and work with him, so I suggested playing it pregnant, because it would give the character a vulnerability and would also up the stakes for her”. ».
- (en-US) Susan King, « Benicio Del Toro, Julia Roberts Win SAG Awards », sur Los Angeles Times, (consulté le ) « “Traffic” also picked up the SAG Award for best cast in a theatrical motion picture. ».
- (en-US) « High Fidelity Reviews », sur Rotten Tomatoes (consulté le ) « Critics consensus : The deft hand of director Stephen Frears and strong performances by the ensemble cast combine to tell an entertaining story with a rock-solid soundtrack. ».
- (en-US) « America's Sweethearts », sur Box Office Mojo (consulté le ).
- (en-US) Roger Ebert, « America's Sweethearts », sur Roger Ebert.com, (consulté le ) « Catherine Zeta-Jones is chilly and manipulative ».
- (en-GB) La Rédaction, « Witherspoon heads for the big time », sur The Guardian, (consulté le ) « Although $8m seems small fry compared with the salaries of Julia Roberts and Catherine Zeta Jones ».
- (en-US) Mick LaSalle, « That's showbiz / 'Chicago' sparkles with sexy women, jazz energy and spectacular numbers », sur San Francisco Chronicle, (consulté le ).
- La Rédaction, « Ouverture ce soir du 53e Festival de Berlin », sur Les Échos, (consulté le ) « C'est avec « Chicago », formidable comédie musicale américaine (hors compétition) de Rob Marshall, avec Catherine Zeta-Jones, Renee Zellwegger et Richard Gere, que s'ouvre ce soir le 53e Festival international du film de Berlin, placé sous le signe de la tolérance. ».
- (en-US) « Chicago Trivia », sur IMDb.com (consulté le ) « Zeta-Jones, though not familiar with the original show, did know that the character of Velma Kelly sang the song "All That Jazz". She only wanted to play that role because she wanted to sing that song. ».
- « Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Chicago" et de son tournage ! », sur Allociné.fr, (consulté le ) « Tous les acteurs ont suivi deux mois de répétitions intensives, travaillant jusqu'à quatorze heures par jour. ».
- (en-US) Andrew Gans, « DIVA TALK: A Chat with "Chicago" Film's Velma Kelly, Catherine Zeta-Jones », sur Playbill, (consulté le ) « So that was one of the biggest challenges just to nail her — her flamboyance, her desperation to keep her celebrity-dom, her success, and then the rise and fall of Velma in a way. ».
- (en-US) David Edelstein, « Cell Block Tango », sur Slate, (consulté le ) « Zeta-Jones has a smoldering confidence that takes your mind off ».
- (en-US) Andrew Gans et Robert Simonson, « "Chicago" Wins Oscar for Best Picture », sur Playbill, (consulté le ) « "Chicago" won the Oscar for Best Picture of the year at the 75th Anniversary Academy Awards, which were presented live from Hollywood's Kodak Theatre on March 23. ».
- Yoann Sardet et Clément Cuyer, « Retour sur les Oscars 2003, minute par minute !!! », sur Allociné.fr, (consulté le ) « Elle reçoit son Oscar des mains de Sean Connery, son partenaire de Haute Voltige. ».
- (en-US) Andrew Gans, « “Chicago” Film Nabs Three Top Prizes at 9th Annual SAG Awards », sur Playbill, (consulté le ).
- (en-GB) « Zeta Jones wins Bafta », sur BBC.co.uk, (consulté le ) « Catherine Zeta Jones was centre-stage at the Bafta awards on Sunday evening when she won the Best Supporting Actress award for the musical film Chicago. ».
- (en-GB) Damon Wise, « Intolerable Cruelty Review », sur Empire, (consulté le ) « The Coens' first mainstream romantic comedy is a superb hijacking of an ailing art form - short, sharp and frequently laugh-out-loud hilarious. ».
- La Rédaction, « "Intolérable cruauté" : guerre des sexes à Beverly Hills », sur Le Monde, (consulté le ) « Joel Coen met en scène le face-à-face irrévérencieux et drolatique de deux représentants cyniques de l'"American way of life", un ténor du barreau charmeur et une dévoreuse de riches maris. ».
- « A Venise, la Mostra fête ses soixante ans », sur La Dépêche.fr, (consulté le ) « La comédie sexy des frères Coen, « Intolerable cruelty », avec George Clooney et Catherine Zeta-Jones, voisine, au programme du Lido [...]. ».
- (en) « Intolerable Cruelty », sur The-Numbers.fr (consulté le ).
- (en-GB) « Catherine Zeta Jones interview: Sinbad: Legend Of The Seven Seas (2003) », sur BBC.co.uk, (consulté le ) « I thought this would be a great opportunity for my son to hear me and get a sense of me on film and that I'm a different character. ».
- La Rédaction, « "Terminal" : le nouveau Spielberg ouvrira Venise », sur Allociné.fr, (consulté le ) « La comédie "Terminal" de Steven Spielberg avec Tom Hanks et Catherine Zeta-Jones ouvrira la 61e Mostra de Venise en septembre prochain. ».
- (en-US) « The Terminal », sur Box Office Mojo (consulté le ).
- (en-US) Anthony Oliver Scott, « FILM REVIEW; An Émigré's Paradise Lost and Found », sur New York Times, (consulté le ) « Ms. Zeta-Jones is as spirited and lovely as ever, but the movie is content to use her for her looks rather than for the arch, self-mocking wit that is her secret weapon as a comic actress. ».
- « Ocean's Twelve », sur Jpbox-office.com (consulté le ).
- La Rédaction, « Ocean's Twelve ou l'art de faire un cinéma de faussaire avec des stars [critique] », sur Première.fr, (consulté le ) « Au box-office, Ocean's Twelve a réalisé un joli braquage : 362,7 millions de billets verts ont été amassés par ce film. ».
- (en-US) Paul Clinton, « Review: 'Ocean's Twelve' high-spirited fun », sur CNN, (consulté le ) « The sexually charged actress dominates the screen every time she takes a breath. ».
- (en-US) « The Best Paid Actresses », sur Forbes.com, (consulté le ).
- (en-US) Daily Dish, « 'Jealous' Catherine Zeta-Jones leaves talent agent; Diana Ross convicted of DUI; P. Diddy wants J.Lo back? », sur San Francisco Chronicle, (consulté le ) « He just got her $10 million for 'Zorro II.' ».
- Alain Grasset, « Zorro fait le bonheur de Catherine Zeta-Jones », sur Le Parisien.fr, (consulté le ) « Leur complicité crève à nouveau l'écran dans cette production de Steven Spielberg, à l'affiche de 600 salles. ».
- Nicolas Jouenne, « La Légende de Zorro : Zorro divorce », sur Le Figaro.fr, (consulté le ) « Le véritable atout de ce film, somme toute assez sympathique, reste le couple formé par Antonio Banderas (Femmes au bord de la crise de nerfs, Desperado) et Catherine Zeta-Jones (Intolérable Cruauté). ».
- (en-US) « The Legend of Zorro », sur Box Office Mojo (consulté le ).
- (en-US) « The Legend of Zorro Reviews », sur Rotten Tomatoes (consulté le ) « Critics consensus : Zorro can survive a lot of things, but it looks like he can't survive marriage. ».
- (en-US) CBS NEWS, « Zeta-Jones Sings For Her Pudding », sur CBS News.com, (consulté le ) « Catherine Zeta-Jones sang a tune from the musical "Chicago" - with lyrics just for her - in earning her pudding pot and being crowned Hasty Pudding Theatrical's Woman of the Year. ».
- « Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Le Goût de la vie" et de son tournage ! », sur Allociné.fr, (consulté le ) « Catherine Zeta-Jones a été serveuse le temps d'une soirée au restaurant "Fiamma Osteria" à New York pour préparer son rôle. ».
- (en-US) Donna Freydkin, « Catherine Zeta-Jones makes 'No Reservations' », sur USA Today, (consulté le ) « To prep for the part, Zeta-Jones famously decided to wait tables for a night at Soho Italian restaurant Fiamma. ».
- (en) « No Reservations », sur The-Numbers.com (consulté le ).
- (en-US) Roger Ebert, « Check, please! », sur Roger Ebert.com, (consulté le ) « Zeta-Jones is convincing as a short-tempered chef ».
- (en) Kaleem Aftab, « Death Defying Acts », sur The National, (consulté le ) « His love interest is Catherine Zeta-Jones, who plays the Edinburgh lass Mary McGarvie, a psychic or con artist, depending on how you look at it. ».
- (en-GB) Staff and agencies, « In brief: Zeta-Jones, Cruz and Cotillard touted for Nine », sur The Guardian, (consulté le ) « According to reports Catherine Zeta-Jones, Sophia Loren, Penelope Cruz and Javier Bardem are in talks. ».
- (en-US) Ernio Hernandez, « Marshall's "Nine" Film May Lose Its Muse, Catherine Zeta-Jones », sur Playbill, (consulté le ) « An unnamed source told the New York daily that the Academy Award-winning actress had asked director Marshall to enlarge her role in the ensemble piece; director Marshall reportedly declined. ».
- (en-US) « The Rebound box-office », sur Box Office Mojo (consulté le ).
- (en-US) Tanner Stransky, « Catherine Zeta-Jones chats with EW about starring in Broadway's 'A Little Night Music' », sur Entertainment Weekly, (consulté le ).
- JD, « Scarlett Johansson et Catherine Zeta-Jones primées aux Molière US », sur Allociné.fr, (consulté le ) « Catherine Zeta-Jones a décroché celui de la Meilleure actrice dans une comédie musicale pour son rôle dans A Little Night Music, un spectacle inspiré de Sourires d'une nuit d'été de Bergman. ».
- (en) ANI, « Catherine Zeta-Jones accepts top honours at Drama Desk Awards », sur DNA India, (consulté le ) « The stunner shared her Best Actress in a Musical title with Memphis star Montego Glover at the Drama Desk ceremony. ».
- (en-GB) « Catherine Zeta Jones is backing a winner », sur Daily Express, (consulté le ) « It looks like all the hard work has been worth it – she tied with Broadway rival Montego Glover for the Outer Critics Circle Outstanding Actress In A Musical gong. ».
- (en-GB) Anita Singh, « Catherine Zeta Jones on Broadway: US critics give rave reviews for A Little Night Music », sur The Daily Telegraph, (consulté le ) « "Luminous", "mesmerising" and "drop-dead gorgeous" were just some of the superlatives which greeted her performance as Desiree Armfeldt. ».
- (en-GB) Claire Prentice, « A Little Night Music at the Walter Kerr Theatre, review », sur The Daily Telegraph, (consulté le ) « A Little Night Music on Broadway is a thoroughly British affair as Catherine Zeta Jones makes a triumphant stage debut with Angela Lansbury. ».
- Renaud Machart, « "A Little Night Music" fait son retour à Broadway », sur Le Monde, (consulté le ) « La surprise ne vient pas d'Angela Lansbury, […], mais de Catherine Zeta-Jones, qui incarne Désirée Armfeldt, sa fille. La comédienne galloise, d'un parfait naturel et d'une présence gracieuse, chante avec une sensibilité poignante le tube de cette partition, la chanson Send in the Clowns, […]. ».
- « Royaume-Uni : Catherine Zeta-Jones décorée par la reine », sur Le Parisien.fr, (consulté le ) « Oscarisée pour sa performance de chanteuse de cabaret meurtrière dans le film « Chicago », Catherine Zeta-Jones, 40 ans, a été élevée au rang de Commandeur de l'Empire britannique (CBE) par la reine d'Angleterre Elizabeth II en reconnaissance de ses services rendus au cinéma. ».
- (en-GB) « Catherine Zeta Jones receives CBE from the Prince of Wales », sur The Daily Telegraph, (consulté le ) « Catherine Zeta Jones appeared every inch the Hollywood star as she arrived at Buckingham Palace to receive her CBE from the Prince of Wales. ».
- « Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "My Week with Marilyn" et de son tournage ! », sur Allociné.fr, (consulté le ) « Avant d'attribuer le rôle à Julia Ormond, la production du film a proposé le personnage de Vivien Leigh à Catherine Zeta-Jones. ».
- (en) SheSaid Contributor, « Catherine Zeta-Jones Refuses Work To Be With Michael Douglas », sur Shesaid.com, (consulté le ) « Catherine Zeta-Jones has turned down a role in a new Marilyn Monroe movie so she can be with her sick husband Michael Douglas. ».
- AFP, « Maniaco-dépression : Zeta-Jones traitée », sur Le Figaro.fr, Le Figaro.fr, (consulté le ).
- (en-GB) Celia Walden, « Catherine Zeta-Jones on 25 years of marriage: ‘It’s impossible for there not to be ups and downs’ », sur The Daily Telegraph, (consulté le ).
- (en-GB) Debbie McQuoid, « 'Just Call me Cath" », sur Stylist, (consulté le ).
- Nathalie Chuc, « 2012, l'année Catherine Zeta-Jones ? », sur Le Figaro.fr, (consulté le ) « De l'annonce du diagnostic, en août 2010, à celle de la guérison, en janvier 2011, l'actrice, mère de leurs deux enfants, a mis sa carrière entre parenthèses. ».
- « Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Rock Forever" et de son tournage ! », sur Allociné.fr, (consulté le ) « C'est sans même avoir lu le scénario que Catherine Zeta-Jones a accepté de jouer le rôle de Patricia Whitmore, la femme du maire et méchante du film. ».
- (en-US) Caitlin McDevitt, « Zeta-Jones channels Bachmann in new flick », sur Politico, (consulté le ) « Actress Catherine Zeta-Jones says she looked to Rep. Michele Bachmann to fine-tune her part in the new movie “Rock of Ages.” ».
- (en-GB) Peter Bradshaw, « Rock of Ages – review », sur The Guardian, (consulté le ).
- « Rock Forever », sur Jpbox-office.com (consulté le ).
- Assma Maad, « Tom Cruise, le flop de Rock Forever au box-office US », sur Le Figaro.fr, (consulté le ).
- (en-US) Roger Ebert, « Chasing skirts is no longer his goal », sur Roger Ebert.com, (consulté le ).
- « Catherine Zeta-Jones : Sa biographie », sur Allociné.fr (consulté le ) « […] puis rejoint la même année Stephen Frears dans le très mal reçu Lady Vegas - Les Mémoires d'une joueuse, où elle joue la femme d'un parieur professionnel interprété par Bruce Willis. ».
- (en-GB) Xan Brooks, « Broken City – review », sur The Guardian, (consulté le ) « Allen Hughes's Manhattan thriller is a facsimile of a hundred better crime movies. ».
- (en-US) Todd McCarthy, « Broken City: Film Review », sur The Hollywood Reporter, (consulté le ) « Zeta-Jones looks like class itself ».
- (en-GB) Peter Bradshaw, « Side Effects – review », sur The Guardian, (consulté le ) « Steven Soderbergh bids farewell to cinema in style – with a gripping psychological thriller about big pharma and mental health that cruelly leaves you craving one last fix. ».
- (en-US) « Side Effects box-office », sur Box Office Mojo (consulté le ).
- (en-US) Peter Travers, « Side Effects », sur Rolling Stone, (consulté le ) « And Catherine Zeta-Jones, as the shrink Emily bonded with before Dr. Banks, is ... well, let’s start with dynamite. ».
- Julien Welter, « RED 2 », sur L'Express.fr, (consulté le ).
- (en-US) « RED 2 box-office », sur Box Office Mojo (consulté le ).
- (en-US) Justin Lowe, « Red 2: Film Review », sur The Hollywood Reporter, (consulté le ) « Zeta-Jones nicely pulls off Russian spy Katja’s mix of allure and menace ».
- (en-GB) Hannah Marriott, « Catherine Zeta Jones: 'I torture my husband' », sur The Daily Telegraph, (consulté le ).
- (en-GB) Ben Child, « She's in the army now: Catherine Zeta-Jones joins cast of Dad's Army film », sur The Guardian, (consulté le ).
- (en-GB) Rob Driscoll, « Catherine Zeta-Jones on teaching husband Michael Douglas about British TV classic Dad's Army », sur Wales Online, (consulté le ).
- (en-US) « Dad's Army box-office », sur Box Office Mojo (consulté le ).
- « La British Compagnie », sur Allociné.fr (consulté le ) « Date de sortie : 17 juillet 2016 en VOD ».
- (en-US) Catherine Bray, « Film Review: ‘Dad’s Army’ », sur Variety, (consulté le ) « Catherine Zeta-Jones hits the required single note with some spirit, but is generally underused. ».
- (en-US) Kate Stanhope, « Catherine Zeta-Jones Joins Ryan Murphy's FX Drama 'Feud' », sur The Hollywood Reporter, (consulté le ).
- (en-US) Nivea Serrao, « Catherine Zeta-Jones Reveals What Kirk Douglas Really Thought of Joan Crawford », sur People.com, (consulté le ) « When Catherine Zeta-Jones was doing research for her part on Feud: Bette and Joan, she had an excellent resource she could call on for advice: her father-in-law Kirk Douglas. ».
- (en-GB) David Frawley, « Catherine Zeta-Jones hits the red carpet for launch of show about bitter Hollywood rivalry », sur The Daily Mirror, (consulté le ) « Catherine revealed she asked her father-in-law, Kirk Douglas, for advice when she took on the role, set in Tinseltown's golden age. ».
- (en) Melanie McFarland, « With “Feud: Bette and Joan,” a Hollywood rivalry for the ages becomes an epic TV experience », sur Salon.com, (consulté le ).
- (en-US) Sonia Saraiya, « TV Review: ‘Feud’ », sur Variety, (consulté le ) « […] and in the best turn in the show, Catherine Zeta-Jones as queenly Olivia de Havilland. ».
- (en-US) Dominic Patten, « ‘Feud: Bette & Joan’ Review: Jessica Lange & Susan Sarandon Kill In H’wood War Story », sur Deadline.com, (consulté le ) « […] is a wonderfully cast Catherine Zeta-Jones as Davis’ loyal pal and fellow two-time Oscar winner Olivia de Havilland. ».
- (en-US) Ross A. Lincoln, « The Godmother Changes Directors, Adds Alexa Demie; J.K. Simmons And Terry Bradshaw Are Bastards; Dave Franco Back For Neighbors 2 », sur Deadline.com, (consulté le ).
- (en) Kyle Munzenrieder, « Catherine Zeta-Jones and Jennifer Lopez Are Making Competing Movies About Cocaine Queen Giselda Blanco », sur W Magazine.com, (consulté le ).
- « Catherine Zeta-Jones va incarner une baronne de la drogue », sur 20 Minutes.fr, (consulté le ) « Catherine Zeta-Jones s’apprête à entrer dans la peau de Griselda Blanco. La chaîne Lifetime vient de donner le feu vert au réalisateur Guillermo Navarro pour qu’il se lance dans la réalisation de Cocaine Godmother. ».
- (en-US) Walter Scott, « Catherine Zeta-Jones on Playing a Drug Lord in Cocaine Godmother, Parenting and Hopes for 2018 », sur Parade Magazine, (consulté le ).
- (en-US) Hanh Nguyen, « ‘Cocaine Godmother’ Review: Brownface Casting Is Just One of Many Insults in This Schlocky ‘Narcos’ Knockoff », sur Indiewire, (consulté le ) « She’s not just unconvincing; she’s outlandish. ».
- Camille Vignes, « Catherine Zeta Jones (enfin) de retour dans Queen America, une série lancée sur la version Facebook de Netflix », sur Écran Large.com, (consulté le ) « Queen America, la nouvelle comédie Alethea Jones, débarque sur Facebook Watch d'ici la fin de l'année. Vicki Ellis, coach beauté la plus réputée de l'Oklahoma, est portée par une Catherine Zeta-Jones un brin tyrannique. ».
- (en-US) Russ Espinoza, « Catherine Zeta-Jones Muses On Starring In New Beauty Pageant Series 'Queen America' », sur Forbes.com, (consulté le ).
- (en-US) Jen Chaney, « Queen America Earns Half a Crown », sur Vulture, (consulté le ) « Zeta-Jones is always at her best when she’s fiery, and this part gives her plenty of opportunities to shift into beast mode. ».
- Juliette Michaud, « Catherine Zeta-Jones: « Je me sens encore plus actrice de théâtre que de cinéma ou de télévision » », sur Palace Scope.com, (consulté le ).
- Charles Martin, « Catherine Zeta-Jones rejoint la saison 2 de Prodigal Son », sur Première.fr, (consulté le ).
- (en-US) Pete Hammond, « Catherine Zeta-Jones Was Dying To Work With Fellow Wales Native Michael Sheen In Serial-Killer Drama ‘Prodigal Son’ – Contenders TV », sur Deadline.com, (consulté le ).
- (en-US) Kevin Jacobsen, « Catherine Zeta-Jones (‘Prodigal Son’) on indulging in her ‘darker side’ with Dr. Vivian Capshaw [EXCLUSIVE VIDEO INTERVIEW] », sur Gold Derby, (consulté le ) « “I personally always gravitate to the darker side of human nature,” says Zeta-Jones in an exclusive new interview for Gold Derby. “I could instill that in her […]”. ».
- (en-GB) Jessica Williams, « Catherine Zeta-Jones talks unexpected connection to Michael Sheen: 'Like a brother' », sur The Daily Express, (consulté le ) « Catherine admitted acting alongside her fellow Welshman was always on her bucket list of things she wanted to do. ».
- Elodie Bardinet, « Catherine Zeta-Jones va jouer Morticia Addams pour Tim Burton », sur Première.fr, (consulté le ).
- Alberto Sisí Sánchez, « Comment Catherine Zeta-Jones est entrée dans la peau de Morticia Addams », sur Vogue.com, (consulté le ).
- (en-US) Sydney Odman, « Jenna Ortega, ‘Wednesday’ Cast on Working With “Visionary” Director Tim Burton », sur The Hollywood Reporter, (consulté le ) « Zeta-Jones portrays the iconic Morticia Addams in the show — a transformation that left the actress with “goosebumps and a bit teary eyed” when she saw herself in the costume for the first time. ».
- (en-US) Jacob Sarkisian, « Catherine Zeta-Jones: An Emmy win for ‘Wednesday’ would bring her one award closer to EGOT », sur Gold Derby, (consulté le ) « Zeta-Jones leaves a big impression despite limited screen time — and this is something critics have praised her for. ».
- (en-US) Dave Nemetz, « Wednesday Review: Netflix's New Take on the Addams Family Isn't Altogether Ooky, But It's More Teen Than Scream », sur TVLine.com, (consulté le ) « Catherine Zeta-Jones is also exquisitely well-cast as Morticia ».
- (en-GB) Josh Stephenson, « Wednesday review: A mystery drama with just enough source material for Addams Family Fans », sur Metro UK, (consulté le ) « Catherine Zeta-Jones makes for a brilliant Morticia ».
- (en-GB) Dan Jolin, « Wednesday Review », sur Empire, (consulté le ) « [...] including her own long-shadow-casting mother Morticia (faithfully portrayed by Catherine Zeta-Jones, even if she doesn’t glide quite so magnificently as the films’ Anjelica Huston [...]. ».
- (en-US) Patrick Hipes, « ‘Avatar: The Way Of Water’, ‘Oppenheimer’, ‘Star Trek’ Series Lead Nominations For Genre-Focused Saturn Awards », sur Deadline.com, (consulté le ).
- (en-US) Nellie Andreeva, « Catherine Zeta-Jones To Star In ‘National Treasure’ Disney+ Series », sur Deadline.com, (consulté le ).
- (en) Eve Vawter, « ‘National Treasure: Edge of History,’ ‘Willow’ & More Disney+ Trailers From D23 Expo (VIDEOS) », sur TV Insider.com, (consulté le ) « Billie is described as “a badass billionaire, black-market antiquities expert, and treasure hunter who lives by her own code” ».
- (en-US) Grant Marek, « Easter egg in 'National Treasure' show raised my hopes for 'National Treasure 3' », sur San Francisco Chronicle, (consulté le ) « There’s also Catherine Zeta-Jones, who plays black market antiquities-dealing baddie Billie Pearce in a role reminiscent of Irina Spalko in “Indiana Jones 4” ».
- Jason Clark, « Disney Leads 2023 Children’s and Family Emmys With 93 Nominations », sur The Wrap, (consulté le ) « Tim Allen, Catherine Zeta-Jones and Gina Rodriguez are among the actors who received nods ».
- (en-GB) Finn Byrne, « ITV Dad's Army: Catherine Zeta-Jones' very famous exes from This Morning host to pop star before meeting Hollywood legend husband 25 years older », sur MyLondon.news, (consulté le ).
- Martine Robert, « A Deauville, le retour du cinéma sur les tapis rouges », sur Les Échos, (consulté le ) « Outre-Atlantique, les fans savent que l'histoire d'amour entre Michael Douglas et sa femme Catherine Zeta-Jones est née dans ce coin romantique de Normandie en 1998 ».
- AFP, « Michael Douglas révèle comment il a séduit Catherine Zeta-Jones », sur La Presse.ca, (consulté le ) « Pour séduire l'actrice galloise Catherine Zeta-Jones, considérée comme l'une des femmes les plus sexy de Hollywood, Michael Douglas a trouvé la formule magique: « Je veux être le père de vos enfants » ».
- Clément Mathieu, « Dans les archives de Match - Catherine Zeta-Jones et Michael Douglas en 2000 : "voici Dylan, notre bébé" », sur Paris Match.com, (consulté le ).
- (en-GB) Molly Pike, « Michael Douglas told Catherine Zeta-Jones he'd father her children on first date », sur The Daily Mirror, (consulté le ) « They sat down and had a drink, but he said he made a big mistake when he told her: "I'm gonna be the father of your children." ».
- (en-GB) Suzie Bakos, « Catherine Zeta-Jones and Michael Douglas return to spot where he proposed 16 years ago », sur Hello!, (consulté le ).
- (en-US) Amy Mackelden, « Catherine Zeta-Jones Reportedly Waited 20 Years to See Her Wedding Photos », sur Harper's Bazaar, (consulté le ) « The couple wed at the Plaza Hotel in New York, and the star-studded guest list included Sharon Stone, Jack Nicholson, and Brad Pitt. ».
- (en) AAP, « Bonnie fine replaying hits », sur The Age, (consulté le ) « Bonnie Tyler has sung her hit, Total Eclipse of the Heart, many times over the past 25 years, including once at karaoke and another time at Catherine Zeta-Jones' wedding. ».
- Philippe Noisette, « « La Vie parisienne » : Christian Lacroix en habits de metteur en scène », sur Les Échos, (consulté le ) « Christian Lacroix a néanmoins bel et bien accroché la lumière, entre une commande pour le mariage de Catherine Zeta-Jones et une apparition dans la série anglaise « Absolutely Fabulous ». ».
- Inès Ben Azouz, « Michael Douglas et Catherine Zeta-Jones : divorce en vue ? », sur Elle.fr, (consulté le ) « Petite piqûre de rappel : leur mariage qui a eu lieu le 18 novembre 2000 avait déjà coûté la coquette somme de 1,5 million de dollars. ».
- (en-GB) « Baby boy for Zeta Jones and Douglas », sur BBC.co.uk, (consulté le ) « Dylan Michael Douglas was born at the Cedars-Sinai Medical Centre in Beverly Hills, weighing 7lb 7oz at 0100 GMT on Wednesday. ».
- (en-GB) « Carys - a name rooted in love », sur BBC.co.uk, (consulté le ) « The couple's second child, Carys Zeta Douglas, was born weighing 6lbs 12oz (three kilograms) on Sunday morning in New Jersey, United States. ».
- Emilie Chan, « Quand l’admiration tourne à l’obsession : les stalkers de stars les plus fous », sur Marie France.fr, (consulté le ).
- (en-GB) « Three-year term for Zeta stalker », sur BBC.co.uk, (consulté le ) « A woman who threatened to cut actress Catherine Zeta Jones into pieces has been jailed for three years. ».
- (en-US) Lara Salahi, « Catherine Zeta-Jones Sheds Light on Bipolar II Disorder », sur ABC News, (consulté le ) « Zeta-Jones is 1 among 6 million who suffer from bipolar disorder. ».
- Isabelle Vatan, « Festival Pop & Psy : la pop culture, un excellent outil pour expliquer les troubles psychiques », sur Télérama, (consulté le ) « Aux États-Unis, l’actrice Catherine Zeta-Jones a fait figure de pionnière en révélant sa bipolarité en 2011. ».
- (en-GB) Melanie MacLeod, « Catherine Zeta-Jones' health condition she rarely talks about », sur Hello!, (consulté le ) « […] with my bipolar becoming public, I hope fellow sufferers will know it's controllable. ».
- (en-US) « Catherine Zeta-Jones checks into mental health facility », sur CBS News.com, CBS News, (consulté le ).
- (en-US) Allison Takeda, « Catherine Zeta-Jones, Michael Douglas "Taking Some Time Apart" », sur US Magazine.com, US Weekly, (consulté le ) « Catherine and Michael are taking some time apart to evaluate and work on their marriage ».
- (en-GB) Alistair McGeorge, « Michael Douglas and Catherine Zeta-Jones are reportedly planning to renew their wedding vows », sur The Daily Mirror, Mirror Online, (consulté le ).
- (en) « Michael Douglas, Catherine Zeta Jones in Israel for Son's Bar-mitzvah », sur Haaretz.com, Haaretz, (consulté le ).
- (en) Sarah Lagan, « Hollywood star Catherine Zeta-Jones says she felt at home in Bermuda », sur The Royal Gazette, (consulté le ) « The couple lived in a luxury home in Warwick between 2001 and 2009. ».
- (en-GB) Chloe Best, « Catherine Zeta-Jones and Michael Douglas' $4.7m home is a total paradise », sur Hello!, (consulté le ) « Architectural Digest reported that the actress bought it for £3.6million ($4.5million) in 2019, while the average New York house price is $652,012, meaning Catherine's abode is almost seven times more expensive! ».
- Emilie Cabot, « Catherine Zeta-Jones et Michael Douglas : les secrets de leur manoir sur l'Hudson », sur Paris Match.com, (consulté le ) « Avant d’être acquise pour 4,5 millions de dollars par le couple oscarisé, cette bâtisse de quatre niveaux baptisée « Longmeadow » et construite en 1929 fut la propriété de Charles Lewis Tiffany ».
- (en-GB) Robin Turner, « Catherine Zeta Jones and Michael Douglas put their New York mansion on the market for $8.1m », sur Wales Online, (consulté le ).
- Elisa Cantaux, « Au cœur du manoir à 12 millions de dollars de Catherine Zeta-Jones et Michael Douglas », sur Madame Figaro, (consulté le ) « Le couple d’acteurs a mis en vente, le 17 juin dernier, son manoir d’une valeur 12 millions de dollars, situé au nord de l’état de New York. ».
- (en-GB) Dailymail.com Reporter, « Catherine Zeta-Jones says she's a 'huge royalist' and discusses Queen Elizabeth encounter », sur Daily Mail.co.uk, (consulté le ).
- (en) Web Desk, « Catherine Zeta-Jones reveals Queen’s death felt like ‘loss of a real family member' », sur The News International, (consulté le ).
- (en-GB) Maanya Sachdeva, « Catherine Zeta-Jones says she was ‘really upset’ about Queen’s death », sur The Independent, (consulté le ).
- (en-US) Roger Ebert, « Intolerable Cruelty », sur Roger Ebert.com, (consulté le ) « The camera just stands there and gawks at Catherine Zeta-Jones, and so does George Clooney, and so do we. She goes on the list with Ava Gardner and Deborah Kerr. ».
- (en-US) Eric Gutierrez, « More Than Face Value », sur Los Angeles Times, (consulté le ) « […] Audrey Hepburn, […], Lana Turner, they all had that great style and poise. And Catherine’s got it. […] She’s a passionate actress ».
- Jean-Paul Chaillet, « Catherine Zeta-Jones les recettes du succès », sur Madame Figaro, (consulté le ).
- (en-GB) Andrew Pulver, « Catherine Zeta-Jones denounces ageism of Hollywood bosses », sur The Guardian, (consulté le ) « I wanted to be in film because I was brought up watching great performances by women in their 40s, in the 70s: Anne Bancroft, films like Alice Doesn’t Live Here Anymore, interesting roles for women, at a great age. ».
- (en) Luke Morgan Britton, « Catherine Zeta-Jones calls out ageism in Hollywood », sur NME.com, (consulté le ).
- (en-US) Cindy Adams, « Alfred Molina compares Hollywood to a vagina », sur Page Six, (consulté le ).
- (en-GB) Samantha Leathers, « Catherine Zeta-Jones fought against Darling Buds of May fame: 'People have the wrong idea' », sur Daily Express, (consulté le ) « The Welsh actress was now an established Hollywood star and borderline sex symbol ».
- (en-GB) Escher Walcott, « Christina Ricci steals the show at premiere of Neflix’s Addams Family spin-off show Wednesday », sur Evening Standard, (consulté le ) « Catherine Zeta-Jones, who plays Morticia Addams in the Netflix series following Carolyn Jones, looked ever the glamorous star as she wore a plunging, white fishtail gown. ».
- « Catherine Zeta-Jones pose nue pour Allure », sur Le Journal de Montréal, (consulté le ) « La comédienne a accepté de poser pour la première fois dans son plus simple appareil pour l'édition de mai du magazine américain Allure […]. ».
- La Rédaction, « Catherine Zeta-Jones en une d'un magazine avec sa fille Carys, son clone », sur Paris Match.com, (consulté le ) « Pour le numéro de septembre de l'édition espagnole de « Vanity Fair », Catherine Zeta-Jones et sa fille Carys sont réunies dans un sublime portrait. ».
- (en-US) People Staff, « Catherine Zeta-Jones: 'There Is No Need to Suffer Silently' », sur People.com, (consulté le ).
- (en-US) Janelle Okwodu, « Catherine Zeta-Jones Talks 30 Years of Gowns, Galas, and All That Jazz », sur Vogue.com, (consulté le ).
- (en-US) Liam Hess, « I Want What They Have: Catherine Zeta-Jones and Michael Douglas », sur Vogue.com, (consulté le ) « Zeta-Jones has always had that special, effortless kind of cool you simply cannot manufacture. ».
- (en-US) « Every Woman Who Has Been on the Cover of PEOPLE's Beautiful Issue: Then & Now », sur People.com (consulté le ).
- (en-US) « Who's been named People's "Most Beautiful"? », sur CBS News.com, (consulté le ) « A year after she and actor Michael Douglas tied the knot, Catherine Zeta-Jones topped People's "Most Beautiful" list in 2001 ».
- (en-GB) John Hiscock, « 'I owe it all to Zorro' », sur The Daily Telegraph, (consulté le ).
- (en-US) CBS NEWS.com, « Glamour Honors 12 », sur CBS News.com, (consulté le ) « Actress Catherine Zeta-Jones waves to the audience after accepting "The Killer Talent" award during the 16th Annual Glamour Magazine "Women of the Year" awards at Avery Fisher Hall Nov. 2, 2005, in New York. ».
- (en-GB) Elisa Roche, Showbusiness Editor, « Catherine Zeta Jones: officially the world's most beautiful woman », sur Daily Express, (consulté le ).
- (en-GB) Daniel Bird, « Catherine Zeta-Jones, 51, doesn't believe she's a 'great beauty' in candid revelation », sur The Daily Express, (consulté le ) « Personally, I would never consider myself a great beauty but my mother always told me to make the best of myself. ».
- La Rédaction, « Catherine Zeta-Jones accusée de « crime contre la mode » », sur Elle.fr, (consulté le ).
- (en-GB) Claire Cozens, « Zeta Jones free to sue Hello! », sur The Guardian, (consulté le ) « Catherine Zeta Jones and Michael Douglas are free to sue Hello! magazine for publishing unauthorised photos of their wedding after a landmark court ruling. ».
- (en-GB) Ciar Byrne, « Zeta Jones wins high court battle », sur The Guardian, (consulté le ) « Catherine Zeta Jones and Michael Douglas have won their landmark action against Hello! magazine, which published sneak photographs of their wedding ».
- (en-GB) « Zeta biography plans shelved », sur BBC.co.uk, (consulté le ) « An unauthorised biography of Swansea-born actress Catherine Zeta Jones has been scrapped after the publishers backed out following letters from her lawyers. ».
- « Zeta-Jones menace une société française », sur Allociné.fr, (consulté le ) « L'héroïne de Traffic et Haute Voltige menace la société française Caudalie, basée à Bordeaux, de l'attaquer en justice et de lui réclamer plus de 5 millions de dollars d'indemnités. ».
- (en-GB) Mark Kermode, « Thank You for Smoking », sur The Guardian, (consulté le ) « Nick's newest mission is to seal a deal putting cigs back into cinema, with plans for Brad Pitt and Catherine Zeta-Jones to blow zero-gravity smoke rings around their naked bodies in some seven-figure sci-fi product placement. ».
- (en-US) Peter Travers, « Thank You for Smoking », sur Rolling Stone, (consulté le ) « Superagent Jeff Megall (Rob Lowe is a hoot) tells Nick that for the right price — roughly half the film’s budget — he can have Brad Pitt and Catherine Zeta-Jones light up after sex even though they’re shooting a space epic. ».
- (en) « Catherine Zeta-Jones », sur Simpsonswiki.com, (consulté le ).
- (en-US) Helen Murphy, « Catherine Zeta-Jones Jokingly Shows Off Script Written by Michael Scott — and 'The Office' Alums Love It! », sur People.com, (consulté le ) « […] after Goldenface murders his wife Catherine Zeta-Scarn, a parody on Zeta-Jones. ».
- (en) Conner Schwerdtfeger, « The Workaholics Episode That Planted The Seed For Netflix's Game Over, Man! », sur Cinemablend.com, (consulté le ) « Specifically, it's the episode that sparked the famous "Catherine Zeta-Jones, she dips beneath the lasers". ».
- (en-US) Rachel George, « A$AP Ferg Drops ‘Plain Jane’ Remix with Nicki Minaj and Twitter Goes Insane », sur Billboard, (consulté le ) « She also name-drops a few actresses, such as Catherine Zeta-Jones ».
- (en-GB) Claire Cozens, « Malaysia outlaws 'insulting' Brad Pitt ads », sur The Guardian, (consulté le ) « Catherine Zeta-Jones has appeared in ads for Alfa Romeo cars in Asia ».
- Olivier De Bruyn, « Des stars bien carrossées », sur Les Échos, (consulté le ) « Alfa Romeo, une marque qui aime les femmes: sa précédente égérie se nommait Catherine Zeta-Jones. ».
- (en-GB) « Elizabeth Arden unveils Zeta-Jones ads », sur Campaignlive.co.uk, (consulté le ) « Zeta-Jones signed a four-year contract to become the new face and spokeswoman for the global cosmetics and fragrance house in April. ».
- La Rédaction, « VIDEO : Vous voulez voir Catherine Zeta Jones se laver les cheveux ? », sur Première.fr, (consulté le ) « […] elle fait dans le classe et l’élégant puisqu’elle est l’égérie de la marque de shampoing Lux et que, à cette occasion, elle vient de tourner un clip promotionnel très cinématographique. ».
- (en-US) Jonathan Cheng, « Unilever Goes Hollywood », sur The Wall Street Journal, (consulté le ) « Unilever's Asian arm is using a splashy Hollywood-style minifilm starring Catherine Zeta-Jones to sell an everyday product: shampoo. ».
- (en-US) « Catherine Zeta Jones' New T-Mobile Commercial », sur Extra TV.com, (consulté le ) « Catherine Zeta Jones is back in T-Mobile ads in order to help people save money on their wireless plans by giving "Mobile Makeovers" Check it out! ».
- (en-US) Andrew LaVallee, « T-Mobile Brings Catherine Zeta-Jones Back », sur The Wall Street Journal, (consulté le ) « T-Mobile is bringing back its former spokeswoman Catherine Zeta-Jones for a new, price-focused advertising campaign that starts during Wednesday night's "American Idol" finale. ».
- (en-US) CBS NEWS, « Commercial Success », sur CBS News.com, (consulté le ) « Catherine Zeta-Jones makes more money on commercials and ads than any other celebrity. ».
- (en-GB) Peter Sheridan, « Catherine Zeta-Jones: I am shy, quiet and insecure - but will prove doubters wrong », sur Daily Express, (consulté le ) « I’m very shy socially. Michael and i are home bodies – but i have a work ethic. ».
- (en) « Michael Douglas », sur The Community.com (consulté le ) « In 2003 he and Catherine Zeta Jones hosted the annual Nobel Peace Prize concert in Oslo, Norway, when Iranian human rights attorney Shirin Ebadi received the Nobel Peace Prize. ».
- (en-US) Ethan Shanfeld, « Catherine Zeta-Jones Relives Her Oscar Performances, Including Her Pregnant Duet With Queen Latifah », sur Variety, (consulté le ) « Singing the original song penned for the 2003 best picture winner “Chicago” with castmate Queen Latifah […] ».
- Raphaël Bosse-Platière, « Oscars 2013 : la musique au premier plan », sur Le Figaro.fr, (consulté le ).
- (en-US) Rick Kissell, « Oscars Top 40 Million, Surge in Demos », sur Variety.com, (consulté le ).
- Sonia Sarfati, « Catherine Zeta-Jones terrifiée par les Oscars », sur La Presse.ca, (consulté le ).
- (en-US) Stephanie Webber, « Jimmy Kimmel Live's 2014 "After the Oscars" Special: Meryl Streep, Catherine Zeta-Jones, and More to Make Cameos », sur US Magazine.com, (consulté le ) « As attested by exclusive photos, Us can confirm that Meryl Streep, Abbie Cornish, Catherine Zeta-Jones, Ben Kingsley, and Mandy Patinkin will all make cameos during the clip following the 86th Academy Awards. ».
- (en-GB) « Aids charity auctions Zeta Jones costume », sur BBC.co.uk, (consulté le ).
- (en-GB) « Zeta Jones is charity's ambassador », sur Evening Standard, (consulté le ) « The Oscar-winning star and mother-of-two will spearhead the charity's Full Stop appeal in her native Wales. ».
- (en-GB) « Jones and Douglas back children's charity », sur BBC.co.uk, (consulté le ).
- (en-GB) « Catherine Zeta Jones donates shoes to help April appeal », sur BBC.com, (consulté le ) « She kindly gave us the shoes which she wore for a premiere - these will be up for auction to help the April Jones fund ».
- (en-US) « A Fine Romance » Hollywood Loves Broadway », sur MPTF.com, (consulté le ).
- (en-GB) Amy Duncan, « Everything that happened at the hurricane relief telethon attended by the likes of Stevie Wonder, Reese Witherspoon and Leonardo DiCaprio », sur Metro, (consulté le ).
- (en-US) Lesley Messer et Mick Stingley, « 'Hand in Hand' telethon raises more than $44 million for hurricane survivors », sur ABC News, (consulté le ).
- (en-GB) « Catherine Zeta-Jones renames Children's Hospital for Wales », sur Itv.com, (consulté le ) « As patron of The Noah's Ark Appeal, the hospital’s official charity, the actress unveiled the hospital's new name - Noah's Ark Children's Hospital for Wales. ».
- (en-GB) John Patterson, « Nip it in the bud », sur The Guardian, (consulté le ).
- (en) All Music, « Catherine Zeta-Jones Biography », sur All Music.com (consulté le ).
- La Rédaction, « Catherine Zeta-Jones se met à la déco », sur 20 Minutes.fr, (consulté le ) « Catherine Zeta Jones a une vraie passion pour le design d’intérieur. C’est la raison pour laquelle l’actrice dévoilera prochainement sa propre collection d’objet déco, Casa Zeta-Jones, dès la rentrée sur la chaîne de télévision américaine QVC. ».
- La Rédaction, « Catherine Zeta-Jones, business star », sur La Presse.ca, (consulté le ).
- (en-GB) Ali Pantony, « PETA Fashion Awards 2020: Stella McCartney, Catherine Zeta-Jones and the Queen praised for their cruelty-free fashion », sur Glamour, (consulté le ) « […] while the 'Best Celebrity Collection' award went to Catherine Zeta-Jones and her collaboration with Butterfly Twists on a range of vegan shoes. ».
- (en-US) Franck Scheck, « Critic's Notebook: An All-Star Cast Performs 'The Children's Monologues' at Carnegie Hall », sur The Hollywood Reporter, (consulté le ) « Danny Boyle directed the one-night-only theatrical benefit with a starry cast that included Jessica Chastain, Anne Hathaway, Andrew Garfield, Catherine Zeta-Jones […]. ».
- (en-GB) Gemma Strong, « Catherine Zeta-Jones stuns with photo from her 1992 music video - fans go wild », sur Hello!, (consulté le ).
- (en-US) Billboard Staff, « Chicago », sur Billboard, (consulté le ).
- Classic 21, « Pat Benatar n’interprétera plus "Hit Me With Your Best Shot" en raison des tueries qui explosent en Amérique », sur RTBF.be, (consulté le ) « Elle est souvent diffusée dans des matchs sportifs aux Etats-Unis, et figure aussi dans le film Spring Fever de 1982, dans Rock of Ages (2012) lors d’une scène avec Catherine Zeta-Jones ».
- Phalène de La Valette, « Rock of Ages : Zeta-Jones reprend les Twisted Sister », sur Le Figaro.fr, (consulté le ).
- La Rédaction, « Catherine Zeta-Jones, honorée au Pays de Galles, fait la fierté de Michael Douglas », sur Paris Match.com, (consulté le ) « Originaire du Pays de Galles, l'actrice de bientôt 50 ans (elle les fêtera en septembre) était ainsi à Swansea, commune située sur la côte sud où elle est née et où elle a grandi, pour recevoir les clés de la ville. ».
- « Comédiennes ayant doublé Catherine Zeta-Jones en France », sur RS Doublage (consulté le ).
- « Zeta-Jones, Catherine », sur Allo Doublage (consulté le ).
- « Comédiennes ayant doublé Catherine Zeta-Jones au Québec », sur Doublage.qc.ca (consulté le ).
Annexes
modifierBibliographie
modifier- : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- Les ouvrages sont classés par ordre chronologique du plus ancien au plus récent.
Publications sur Catherine Zeta-Jones
modifier- (en-GB) Sandra Woodcock, Catherine Zeta-Jones, Londres, éd. Hodder & Stoughton, , 32 p. (ISBN 978-0-3408-4883-8),
- (en) Lillian Roman, Catherine Zeta-Jones 178 Success Facts - Everything you need to know about Catherine Zeta-Jones, Brisbane, éd. Emereo Publishing, , 241 p. (ISBN 978-1-4885-7199-2),
- (en) Viktoria Rossa, Catherine Zeta-Jones: History, Secrets, Success, Independently published, , 33 p. (ISBN 979-8-3525-9216-8).
Autres ouvrages sur le sujet
modifier- (en-US) James Ursini et Dominique Mainon, Femme Fatale - Cinema's Most Unforgettable Lethal Ladies, New York, éd. Limelight, , 393 p. (ISBN 978-0-8791-0725-3, lire en ligne),
- (en-US) James Egan, 1000 Facts about Actors Vol. 3, Raleigh, éd. Lulu Publishing, , 154 p. (ISBN 978-1-3267-9330-2), p. 14,
- (en-US) Roger L. Gordon, Supporting Actors in Motion Pictures, Pittsburgh, éd. Dorrance Publishing Company, , 366 p. (ISBN 978-1-4809-4499-2), p. 267.
Articles
modifier- Laurent Cotillon, Zézette épouse Z ?, Clichy, Ciné Live, , 130 p. (ISSN 1969-9441), p. 52-53 ,
- (en-US) Belinda Jones, Valley Girl, Londres, Empire, , 135 p. (ISSN 0957-4948), p. 130-135,
- (en-US) Tonne Goodman et Alexandra Kotur, Jazz Babies : On the Set of Chicago with Catherine Zeta-Jones & Renée Zellweger, New York, Vogue, , 498 p. (ISSN 0014-5270), p. 438-445 ,
- (en-US) Mike Sager, CZJ, New York City, Esquire, , 134 p. (ISSN 0014-0791), p. 72-77 ,
- Vincent Clarke, Catherine Zeta-Jones : Les vrais défis ? Surmonter ses propres barrières, Aéroports de Lyon, Fly'On Magazine, hiver 2012-2013, 50 p. (lire en ligne), p. 24-27.
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier
- (en) Site officiel
- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Ressources relatives à la musique :
- Ressources relatives au spectacle :
- Ressource relative aux beaux-arts :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la bande dessinée :
- Ressource relative à la mode :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- (en) Catherine Zeta-Jones sur BBC Wales