Full Introduction To Java Programming Comprehensive Version 10th Edition Liang Solutions Manual All Chapters
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Starting Out With C++ From Control Structures To Objects
7th Edition Gaddis Solutions Manual
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Management 9th Edition Kinicki Solutions Manual
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Student Name: __________________
Class and Section __________________
Total Points (10 pts) __________________
Due: September 8, 2010 before the class
Problem Description:
Define the Circle2D class that contains:
• Two double data fields named x and y that specify the
center of the circle with get methods.
• A data field radius with a get method.
• A no-arg constructor that creates a default circle
with (0, 0) for (x, y) and 1 for radius.
• A constructor that creates a circle with the specified
x, y, and radius.
• A method getArea() that returns the area of the
circle.
• A method getPerimeter() that returns the perimeter of
the circle.
• A method contains(double x, double y) that returns
true if the specified point (x, y) is inside this
circle. See Figure 10.14(a).
• A method contains(Circle2D circle) that returns true
if the specified circle is inside this circle. See
Figure 10.14(b).
• A method overlaps(Circle2D circle) that returns true
if the specified circle overlaps with this circle. See
the figure below.
Figure
(a) A point is inside the circle. (b) A circle is
inside another circle. (c) A circle overlaps another
circle.
Design:
Draw the UML class diagram here
Circle2D
Coding: (Copy and Paste Source Code here. Format your code using Courier 10pts)
class Circle2D {
// Implement your class here
}
2
Submit the following items:
1. Print this Word file and Submit to me before the class on the due day.
2. Compile, Run, and Submit to LiveLab (you must submit the program regardless
whether it complete or incomplete, correct or incorrect)
3
Solution Code:
class Circle2D {
private double x, y;
private double radius;
public Circle2D() {
x = 0;
y = 0;
radius = 1;
}
4
return radius * radius * Math.PI;
}
5
Exploring the Variety of Random
Documents with Different Content
Espèces. Espèces.
11 Salsolacées 13 27 Valérianées 5
12 Paronychiées 12 28 Primulacées 4
13 Liliacées 12 29 Convolvulacées 4
14 Cistinées 10 30 Plumbaginées 4
15 Cypéracées 9 31 Conifères 4
16 Géraniacées 8
Sur les 579 espèces de la région, 418 n’ont pas été vues par
nous dans la région littorale, 373 n’ont pas été observées dans la
région méditerranéenne intérieure. — Sur les 70 espèces spéciales,
12 seulement nous paraissent propres à la région ; 4 lui sont
communes avec la région littorale et 18 avec la région
méditerranéenne intérieure.
Si l’on fait la somme des espèces appartenant aux diverses
parties du bassin méditerranéen, on voit que cette somme est de
320 ; si l’on y ajoute les 158 espèces d’Europe, on obtient le total de
478, tandis que les autres éléments de la végétation sont
représentés par 101.
L’examen de la statistique botanique comparée de la région des
hauts-plateaux, démontre que cette région est très distincte de la
région littorale, tandis que sa végétation participe à la fois aux
caractères des régions méditerranéenne intérieure, montagneuse et
saharienne. Les flores européenne et méditerranéenne y sont
représentées par les quatre cinquièmes des espèces ; les influences
qui se produisent selon la latitude sont démontrées par
l’accroissement notable du nombre des espèces espagnoles et
orientales et par la présence de 18 espèces qui se trouvent à la fois
en Espagne et en Orient ; les nombres des espèces vivaces et
annuelles sont déjà presque égaux. — Les cultures de l’ensemble de
la région des hauts-plateaux, sont presque exclusivement celles de
l’Europe tempérée[41] ; toutefois dans le voisinage de la région
saharienne elles pourraient être plus méridionales.
RÉGION MONTAGNEUSE.
La région montagneuse[42], ainsi que nous l’avons dit plus haut,
est représentée dans ce rapport surtout par les montagnes des
environs de Batna, par celles d’une grande partie de la chaîne de
l’Aurès, ainsi que par les vallées qui en dépendent. — Ces
montagnes présentent des massifs d’une altitude déjà considérable,
dont les principaux sont : aux environs de Batna, le Djebel Tougour
(2,086 mètres), et dans la chaîne de l’Aurès, le Djebel Mahmel
(2,306 mètres), et le Djebel Cheliah (2,312 mètres) ; le sommet de
cette dernière montagne, d’après les évaluations les plus probables,
est le point le plus élevé de l’Algérie. Les versants dirigés vers le sud
sont généralement escarpés, peu boisés ou complétement
dépourvus de bois, ceux du nord, à pentes ordinairement moins
rapides, sont au contraire pour la plupart couverts de forêts qui, par
la beauté des arbres qui les constituent, peuvent être comparés à
celles de l’Europe centrale. Le sol des montagnes est généralement
sec et ne présente quelque humidité que dans les parties argilo-
schisteuses qu’on rencontre surtout à leur base ; dans ces parties
plus fraîches, se trouvent souvent réunies un grand nombre des
plantes caractéristiques de la région ; la sécheresse générale du sol
paraît tenir à la nature même des roches qui sont surtout des
calcaires et des grès difficilement désagrégeables. — La neige, qui
en hiver couvre la plus grande partie des montagnes, ne persiste pas
habituellement, même sur les plus hautes sommités, au delà du
mois de mai ; ce n’est que dans de vastes excavations des pentes
septentrionales (Djebel Mahmel) où la neige s’accumule qu’elle peut
persister. — La partie supérieure des montagnes est dépourvue de
sources ou n’en présente habituellement que de trop peu
abondantes pour donner naissance à de véritables ruisseaux ; les
ravins sont pour la plupart à sec pendant une grande partie de
l’année ; les vallées au contraire sont souvent arrosées par des cours
d’eau assez considérables pour fertiliser par des dérivations des
cultures étendues.
La région montagneuse peut être partagée en trois zones
principales :
1o Zone inférieure. Cette zone est caractérisée par l’Olivier (Olea
Europæa), le Micocoulier (Celtis australis), et par une végétation et
des cultures méditerranéennes ; sa limite d’altitude étant d’environ
1,000 mètres, elle n’est guère représentée dans le pays que nous
avons parcouru que par la partie inférieure de la vallée de l’Oued
Abdi, car partout ailleurs elle est presque entièrement exclue par
l’altitude même des hauts-plateaux.
2o Zone moyenne. Cette zone est caractérisée par les bois de
Chênes-verts (Quercus Ilex et var. Ballota) ; l’Olivier n’y existe plus
qu’à l’état de buisson. La limite supérieure de la zone est environ à
l’altitude de 1,600 mètres.
3o Zone supérieure. — Cette zone est caractérisée surtout par les
forêts de Cèdres ; sa partie supérieure souvent déboisée, rappelle
les caractères de la végétation alpestre par la présence de plantes
vivaces disposées en touffes compactes.
Nous avons donné dans la relation du voyage assez de détails sur
la composition des diverses forêts de la région montagneuse pour ne
pas devoir y insister ici. — Le nombre des principales espèces
arborescentes est de 15 environ ; ce sont, en les classant d’après
leur ordre approximatif d’altitude : l’Olivier (Olea Europæa), le
Micocoulier (Celtis australis), le Pistacia Atlantica, les Genévriers
(Juniperus Phœnicea et Oxycedrus), le Pin d’Alep (Pinus Halepensis),
l’Orme (Ulmus campestris), l’Amandier (Amygdalus communis), une
espèce nouvelle de Frêne (Fraxinus dimorpha), les Chênes-verts
(Quercus Ilex et var. Ballota), le Juniperus thurifera, le Houx (Ilex
Aquifolium), l’Érable de Montpellier (Acer Monspessulanum), le Cèdre
(Cedrus Libani var. Atlantica), et l’If (Taxus baccata). — A la zone
inférieure appartiennent l’Olea europæa, le Celtis australis, le
Pistacia Atlantica qui s’avance un peu au delà de la limite inférieure
de la zone moyenne, et le Juniperus Phœnicea, que l’on retrouve
également dans cette dernière zone. — A la zone moyenne
appartiennent le Juniperus Oxycedrus et le Pinus Halepensis, qui
peuvent exister également dans la zone inférieure, et
exceptionnellement dans la zone supérieure ; l’Ulmus campestris, qui
croît aussi dans les montagnes basses et les vallées du littoral ;
l’Amygdalus communis, que dans la province de l’ouest nous avons
observé à une altitude beaucoup plus faible ; le Fraxinus dimorpha,
qui peut descendre jusque dans la région des hauts-plateaux, et qui
empiète aussi quelquefois sur la zone supérieure, où il ne se
présente plus que sous forme de buisson ; l’Acer Monspessulanum,
qui croît également dans la zone supérieure, où, sur les hautes
sommités, il est réduit à l’état de buisson rabougri ; et le Quercus
Ilex, caractéristique de la zone dans la contrée que nous avons
parcourue. — A la zone supérieure appartiennent le Juniperus
thurifera, dont l’altitude nous paraît comprise entre 1,600 et 1,800
mètres ; le Taxus baccata, dont l’altitude inférieure nous a paru être
de 1,800 mètres, et qui atteint la limite de la partie boisée ; et le
Cedrus Libani var. Atlantica, qui caractérise essentiellement la zone.
— L’Ilex Aquifolium que nous n’avons pas observé dans notre
voyage, mais qui nous a été indiqué comme formant un bois d’une
certaine étendue dans les montagnes au nord-ouest de Batna, paraît
intermédiaire entre les zones moyenne et supérieure ; dans le
Djurdjura nous l’avons trouvé en assez grande abondance à la limite
des deux zones. — Le Pyrus longipes, qui n’est représenté que par
un petit nombre d’individus dans les bois des environs de Batna,
paraît devoir être rapporté à la zone moyenne. — Le Lonicera
arborea, dont il n’a été observé qu’un seul pied au Djebel Tougour,
s’y rencontre à une altitude d’environ 1,800 mètres. — Le Chêne-
Zéan (Quercus Mirbeckii DR.) a été observé dans les montagnes de
l’Aurès par M. le capitaine Payen, mais nous ne l’y avons pas
rencontré ; il est commun, au contraire, dans le massif de l’Atlas
près de Blidah, dans l’Ouarensenis, dans le Djurdjura et aux environs
de Bône.
Le Cèdre (Cedrus Libani Barrel. ; Pinus Cedrus L.), qui, dans la
province de Constantine, forme presque exclusivement la végétation
forestière de la zone montagneuse supérieure, occupe une surface
de plusieurs milliers d’hectares. Il existe également sur d’autres
points de l’Algérie : on le rencontre dans la chaîne du Djurdjura,
mais, dans ces montagnes plus abruptes, il n’y a que quelques
pentes favorables à son développement ; une forêt de Cèdres d’une
certaine étendue couvre la partie supérieure de la montagne d’Aïn-
Telazit au-dessus de Blidah ; c’est surtout dans la magnifique forêt
de Teniet-el-Haad que le Cèdre atteint les dimensions les plus
considérables. — Cet arbre, qui, d’après les faits historiques, paraît
avoir couvert les sommités du Liban, n’y est plus, au dire de tous les
voyageurs, représenté que par un petit nombre d’individus de
grande dimension, généralement mutilés et quelques centaines de
jeunes pieds ; dans la chaîne du Taurus, il forme des massifs
importants. Nous réunissons dans nos indications de géographie
botanique le Cèdre d’Algérie et le Cèdre du Liban, que nous
considérons comme appartenant à une même espèce. Le Cèdre
d’Algérie (Cedrus Atlantica Manetti ; Pinus Atlantica Endl.) ne diffère,
en effet, du Cèdre du Liban (Cedrus Libani Barrel., Loud. ; Pinus
Cedrus L., Endl.) que par les feuilles ordinairement plus courtes.
Quant à la forme et au volume des cônes, ils ne fournissent aucun
caractère distinctif ; pour nous, le Cèdre d’Algérie ne serait donc
qu’une variété du Cèdre du Liban, dont nous avons reçu des
échantillons authentiques du Liban et du Taurus ; notre manière de
voir est confirmée par l’opinion de MM. Antoine et Kotschy, qui
rapportent également comme variété au Cèdre du Liban le Cèdre
d’Algérie, nous avons vu des échantillons de cette variété recueillis
dans le Taurus par MM. Kotschy et Balansa. — Le Cèdre d’Algérie se
présente sous deux formes : l’une, la plus répandue, est caractérisée
par des feuilles plus courtes, généralement arquées et presque
conniventes, et surtout par leur teinte glauque-argentée (Cedrus
argentea V. Renou Ann. forest. III, 2, pl. 2) ; l’autre, est caractérisée
par les feuilles un peu plus longues, généralement droites,
divergentes et vertes (Cedrus Libani V. Renou, loc. cit., pl. 1).
L’étude des Cèdres dans les diverses forêts de l’Algérie nous a
amené à ne considérer les C. Libani et argentea V. Renou, que
comme des modifications ou sous-variétés dues à des circonstances
locales : en effet, généralement, les jeunes arbres et les individus
abrités offrent des feuilles vertes et droites, tandis qu’elles sont au
contraire glauques et conniventes chez les arbres adultes et exposés
à l’influence des vents et de la chaleur ; nous devons ajouter que
quelquefois nous avons trouvé les deux sortes de feuilles réunies sur
un même pied. Sous l’influence des conditions locales que nous
venons de signaler, le Cèdre se présente sous deux aspects très
différents : pendant sa jeunesse ou dans les ravins, il affecte
souvent la forme pyramidale, tandis que sur les versants il se
couronne plus communément, et s’étale en parasol. Le Pinus
Halepensis, qui s’est également offert à nous sous ces deux états,
démontre encore le peu d’importance qu’il faut y attacher.
Dans la relation de notre voyage, nous avons donné sur la
composition des broussailles et des pâturages, ainsi que sur les
cultures de la région, des détails qui nous dispensent d’y revenir ici.
Nous n’indiquerons pas les espèces caractéristiques de la région,
car il suffit de consulter nos notes sur les montagnes de Batna, de
Lambèse, de la vallée de l’Oued Abdi, et en particulier sur les Djebel
Tougour, Itche-Ali, Mahmel et Cheliah, qui ont été étudiés d’une
manière spéciale, pour se faire une idée de la nature de la
végétation et des ressources forestières et agricoles de la région
(voir spécialement les listes des plantes observées dans les bois de
Lambèse, aux Djebel Tougour, Mahmel et Cheliah).
Le nombre total des espèces et des principales variétés est de
674.
Sous le rapport de leur durée, elles peuvent être partagées en
deux groupes, dont l’inégalité est en sens inverse de celle qui se
présente dans les autres régions ; en effet, le nombre des espèces
annuelles ou bisannuelles n’est que de 238, tandis que celui des
espèces vivaces est au contraire de 436. — Parmi les espèces
vivaces, 85 sont frutescentes ou ligneuses ; le nombre des espèces
réellement arborescentes est de 17 ; les détails que nous avons
donnés plus haut sur leur distribution dans la région où les forêts
tiennent une si large place nous dispensent d’en répéter ici
l’énumération. — La relation de notre voyage fournit des
renseignements suffisants sur les arbres introduits dans la région
(voir la partie de cette relation concernant les jardins et les vergers
de la partie inférieure de l’Oued Abdi et les cultures des environs de
Batna et de Lambèse).
Si l’on considère les plantes de la région montagneuse au point
de vue de leur classification en familles naturelles, on trouve que le
nombre des Dicotylédones est de 569, et celui des Monocotylédones
de 105. — Les familles principales rangées d’après leur importance
relative dans la région, donnent le tableau suivant :
Espèces. Espèces.
1 Composées 98 18 Conifères 8
2 Légumineuses 68 19 Valérianées 7
3 Graminées 64 20 Cypéracées 7
4 Crucifères 46 21 Fumariacées 6
5 Ombellifères 37 22 Rhamnées 6
6 Labiées 31 23 Papavéracées 5
7 Rosacées 26 24 Campanulacées 5
8 Caryophyllées 23 25 Primulacées 5
9 Scrophularinées 22 26 Plantaginées 5
10 Rubiacées 19 27 Polygonées 5
11 Renonculacées 16 28 Daphnoïdées 5
12 Borraginées 14 29 Orchidées 5
13 Liliacées 14 30 Dipsacées 4
14 Paronychiées 13 31 Convolvulacées 4
15 Cistinées 12 32 Salsolacées 4
16 Géraniacées 10 33 Joncées 4
17 Crassulacées 8
Sur les 674 espèces de la région, 533 n’ont pas été vues par
nous dans la région littorale, 492 n’ont pas été observées dans la
région méditerranéenne intérieure, 320 n’ont pas été rencontrées
sur les hauts-plateaux. — Sur les 85 espèces spéciales, 36 sont
propres à la région, 4 seulement lui sont communes avec la région
littorale, 16 avec la région méditerranéenne intérieure, et 41 avec la
région des hauts-plateaux.
Si l’on fait la somme des espèces appartenant aux diverses
parties du bassin méditerranéen, on voit que cette somme est de
329 ; si l’on y ajoute les 228 espèces d’Europe, on obtient le total de
557, tandis que les autres éléments de la végétation sont
représentes par 117.
L’examen de la statistique botanique comparée de la région
montagneuse démontre que cette région, tout en présentant
d’étroites affinités avec les hauts-plateaux, en est suffisamment
distincte par le nombre des espèces qui lui sont propres, et par la
végétation forestière qui y est très largement représentée, tandis
que les hauts-plateaux sont presque dépourvus d’arbres. — Le
nombre des espèces européennes est plus considérable dans la
région montagneuse que dans aucune des autres régions ; celui des
espèces méditerranéennes y est au contraire relativement moindre.
Les affinités avec le centre de l’Europe sont encore attestées par la
prédominance du nombre des espèces vivaces sur celui des espèces
annuelles. — Les influences qui se produisent selon la latitude sont
démontrées par la présence de 46 espèces espagnoles, celle de 25
espèces orientales, et de 20 espèces qui se trouvent à la fois en
Espagne et en Orient. — Les cultures de cette région prise dans son
ensemble sont nécessairement celles de l’Europe centrale ; mais la
région montagneuse inférieure, participant au caractère des régions
voisines, présente au moins en partie les ressources agricoles de ces
régions elles-mêmes.
RÉGION SAHARIENNE.
Payen del. N. Rémond imp. r. des Noyers, 65, Paris. Jacobs sc.
(Agrandissement)
NOTES :
[1] Depuis le voyage qui fait l’objet du présent rapport, nous avons,
en 1854, grâce à la bienveillante protection du Ministère de la Guerre,
exploré les montagnes de l’Ouarsenis, de Teniet-el-Haad, du petit
Atlas, et surtout les montagnes les plus élevées de la partie
occidentale de la chaîne du Djurdjura, à la suite de l’expédition dirigée
par M. le Gouverneur général, et sous l’appui d’un détachement de
troupes indigènes commandé par M. le capitaine Beauprêtre. — Pour
pouvoir compléter le rapport que nous avons déjà publié sur la
province d’Oran en l’étendant à la région saharienne, ainsi que pour
étudier la végétation de la province d’Alger dans ses diverses régions
naturelles, et en faire l’objet d’un travail parallèle à celui que nous
publions sur la province de Constantine, il nous reste à explorer, dans
les provinces de l’Ouest et du Centre, les points extrêmes de
l’occupation française, la région des hauts-plateaux de la province
d’Alger, ainsi que les montagnes situées à la limite du Sahara. Un
quatrième voyage que nous nous proposons d’entreprendre cette
année nous mettra à même de réaliser le projet que nous indiquons,
et de recueillir en même temps des documents qui nous permettront
de donner à la publication de la Flore d’Algérie une nouvelle
impulsion. En effet, par ces explorations, les diverses régions
naturelles de chaque province se trouvant suffisamment connues,
nous serons à même de publier un Catalogue raisonné de la Flore
d’Algérie, catalogue indispensable pour diriger les recherches des
botanistes qui s’occupent de l’exploration du pays, et qui ne sera pas
moins utile aux auteurs eux-mêmes de la Flore d’Algérie en servant de
cadre à la rédaction d’un ouvrage aussi étendu.
[2] Toutes les plantes que nous avons recueillies dans nos voyages, et
qui ne se trouvent pas encore au Muséum dans l’herbier spécial
d’Algérie, dont M. Ad. Brongniart a bien voulu nous confier le
classement, seront ajoutées par nous à cette importante et riche
collection.
[3] Voyez, dans le présent rapport les articles sur les cultures des
environs de Philippeville, de Constantine, de Batna, et de la vallée de
l’Oued Abdi, ainsi que les considérations agricoles, tirées de la
géographie botanique, et consignées dans le résumé. — Voyez
également, dans le Bulletin de la Société Botanique de France, t. II, p.
36 et 599, les notes sur la culture du Dattier, et les autres cultures
des oasis des Ziban, par MM. E. Cosson et P. Jamin.
[4] Voyez l’article déjà cité : Notes sur la culture du Dattier.
[5] Rapport sur un voyage botanique en Algérie d’Oran au Chott El-
Chergui (Ann. sc. nat., 3e sér., XIX, 83, et 4e sér., I, 220).
[6] Le nom des espèces qui n’ont encore été observées qu’en Algérie
ou dans les deux États voisins, Maroc et Tunis, est précédé du signe
*.
[7] La vallée de Bou-Merzoug, d’après les Annales de la Colonisation
algérienne, contiendrait plus de 20,000 hectares, qui, pour être mis
en culture, n’auraient besoin que de quelques travaux de
dessèchement.
[8] La végétation arborescente n’est guère représentée, dans la partie
de la vallée du haut Rummel voisine de la ville, que par le Laurier-
Rose qui couvre les bords des ruisseaux, et qui fournit à la ville son
principal combustible, en attendant que la viabilité des routes mette à
bas prix à sa disposition les richesses forestières de la région
montagneuse.
[9] Nous avons groupé dans cette liste les plantes qui croissent, à
diverses localités, dans les décombres et les lieux vagues qui
avoisinent la ville.
[10] On a dû remarquer qu’un assez grand nombre d’espèces se
trouvent, sur le versant occidental de la montagne de Sidi-Mecid, à la
fois dans les pâturages et dans les moissons. Ce fait s’explique
facilement par le mode de culture des Arabes : les mêmes terrains ne
sont cultivés par eux que d’une manière intermittente et
incomplétement défrichés ; généralement ils respectent les touffes de
broussailles et de plantes vivaces qu’ils contournent par le sillon de la
charrue ; ces touffes forment ensuite des espèces d’îlots au milieu
des champs. De cette culture encore toute primitive, il résulte
nécessairement que les plantes des terrains cultivés peuvent se
retrouver dans les pâturages, et celles des terrains incultes dans les
moissons.
[11] Les abréviations ab. et tr. ab. indiquent que la plante est
abondante ou très abondante à la localité.
[12] Nous avons, dans cette liste, fait suivre de la lettre M. le nom des
plantes qui se rencontrent surtout dans les moissons.
[13] Nous avons, dans cette liste, désigné le Djebel Itche-Ali par
l’abréviation Itch. et les bois des environs de Lambèse par L.
[14] Dans les listes, le nom des espèces qui n’ont encore été observées
qu’en Algérie ou dans les deux États voisins, Maroc et Tunis, est
précédé du signe (*). — La rareté ou la vulgarité des espèces est
indiquée, quand il y a lieu, par les abréviations C., R., etc., auxquelles
nous avons attribué leur valeur habituelle. — Les abréviations ab. et
tr. ab. indiquent que la plante est abondante ou très abondante à la
localité citée.
Les abréviations dont nous nous sommes servi pour désigner la
distribution géographique générale des espèces sont celles qui sont
généralement adoptées : Æg. = Égypte. Am. Amérique. Arab. =
Arabie. As. = Asie. Austr. = austral. méridional. Bal. = îles Baléares.
Bor. = boréal, septentrional. B. sp. = Cap de Bonne Espérance. Can.
= Iles Canaries. Cauc. = Caucase. Centr. = central. Cors. = Ile de
Corse. Cret. = Ile de Crète. Cypr. = Ile de Chypre. Cyr. = Cyrenaïque.
Dalm. = Dalmatie. Eur. — Europe, indique que l’espèce est répandue
dans presque toute l’Europe. Gall. = France. Georg. = Géorgie. Gorg.
= Iles du Cap vert. Graec. = Grèce. Hisp. = Espagne. It. = Italie. Lus.
= Portugal. Lib. = Mont Liban. Mad. = Ile de Madère. Mar. = Maroc.
Med. = Méditerranée, indique que la plante est commune à plusieurs
points du bassin méditerranéen tant à l’ouest qu’à l’est. Med. occ. =
partie occidentale du bassin méditerranéen. Med. or. = partie
orientale du bassin méditerranéen. Melit. = Ile de Malte. Mesop. =
Mésopotamie. Natur. = naturalisé. Occ. = occidental. Or. = orient. or.
= oriental. Palæst. = Palestine. Pers. = Perse. Ross. = Russie. Rumel.
= Roumélie. Sard. = Ile de Sardaigne. Sib. = Sibérie. Sic. = Sicile.
Spont. = spontané. Syr. = Syrie. Tauri. = Crimée. Ting. = Tanger. Trip.
= Régence de Tripoli. Tun. = Régence de Tunis.
[15] Le Pêcher nous avait été indiqué, par quelques habitants, comme
croissant dans les montagnes de Batna ; mais il est probable que
cette indication est erronée, et n’est due qu’à une confusion avec le
Prunus prostrata, qui, en raison de la forme des feuilles et de la
couleur des fleurs, peut facilement être pris pour le Pêcher par des
observateurs non exercés. Une erreur du même genre avait été
commise pour le Prunus insititia, que l’on considérait comme le type
sauvage de l’Abricotier.
[16] Pour plus de brièveté, nous avons dans cette liste désigné le
versant oriental par la lettre E., et le versant septentrional par la lettre
N. ; les abréviations inf., moy., sup., placées à la suite de ces lettres
indiquent que la plante croît dans la partie inférieure, moyenne ou
supérieure de ces versants. — Par l’abréviation Pât. inf., nous avons
désigne les pâturages de la région montagneuse inférieure, à la base
orientale du Djebel Tougour, au voisinage de la maison des gardes
environ de 1200-1300 mètres d’altitude. — Par l’abréviation Pât. moy.,
nous avons désigné les pâturages de la région montagneuse moyenne
s’étendant de la base nord du Djebel Tougour à la base Djebel
Bordjem, environ à 1600 mètres d’altitude. — Par l’abréviation Roch.,
nous avons désigné la bande de rochers, à environ 1800 mètres
d’altitude, étendue de l’est à l’ouest, et coupant les versants est et
nord. — Par l’abréviation Somm., nous avons désigne la partie
culminante de la montagne au-dessus de 2000 mètres d’altitude. —
Par l’abréviation Bordj., nous avons désigné le versant méridional du
Djebel Bordjem dont la végétation ne diffère pas sensiblement de
celle du Djebel Tougour.
[17] Voyez la liste des plantes observées dans les bois des environs de
Lambèse.
[18] Ces plantes européennes, de même que les espèces cultivées qui
réclament un terrain meuble, trouvent le principal obstacle à leur
développement dans l’efflorescence saline qui couvre le sol à sa
surface et se durcit dès qu’il commence à perdre son humidité. Pour
obvier dans la culture à cet inconvénient, il est utile, comme M. Jamin
nous l’a fait observer, de répandre du fumier sur le sol après qu’il a
reçu les façons convenables ; on pourrait obtenir un résultat plus
complet en superposant au fumier des débris herbacés, des
fragments de roseaux ou de feuilles de Dattier qui concourraient
efficacement à s’opposer à la dessiccation du terrain. Dans un grand
nombre de cas, ce dernier procédé serait même peut-être suffisant.
[19] Une grande partie des renseignements que nous publions sur
Biskra et ses environs sont dus à MM. Balansa et P. Jamin, qui ont bien
voulu, en outre, nous fournir tous les éléments de l’article sur Saada
et ses environs, localité que les circonstances ne nous ont pas permis
de visiter.
[20] Voyez dans le Bulletin de la Société Botanique de France, II, 38, le
tableau officiel des principales oasis des Ziban, et du nombre des
arbres qui les composent, qui nous a été communiqué par M. le
capitaine Seroka, chef du bureau arabe de Biskra.
[21] Voyez les Notes sur la culture du Dattier dans les oasis des Ziban,
que nous avons publiées conjointement avec M. P. Jamin, Bulletin de
la Société Botanique de France, II, 36.
[22] Voyez les Notes sur les cultures des oasis des Ziban, que nous
avons publiées conjointement avec M. P. Jamin, Bulletin de la Société
Botanique de France, II, 599.
[23] Les végétaux dont le nom est précédé du signe ( † ), dans cette
liste et dans les suivantes, sont ceux dont l’acclimatation n’est pas
encore assurée ou n’a donné jusqu’ici que des résultats peu
favorables.
[24] Nous devons à M. P. Jamin les renseignements que nous publions
sur les sources intermittentes qui avoisinent la fontaine d’Aïn-Oumach.
[25] Voyez, pour l’analyse des eaux de la Fontaine-chaude, Guyon,
Voyage aux Ziban, p. 265.
[26] Guyon, Voyage aux Ziban, p. 180. — Jules Duval, Tableau de
l’Algérie, p. 278.
[27] Pour plus de brièveté, nous avons dans cette liste désigné les
stations des espèces par les abréviations suivantes : All., alluvion,
c’est-à-dire terrains déposés par les eaux ou qui sont inondés pendant
la saison des pluies. — Cot., coteaux ou ondulations du sol très
arides, ne présentant généralement qu’un très petit nombre de
plantes annuelles, et des touffes espacées de plantes vivaces. —
Dépr., dépressions du sol, ordinairement argileuses et souvent salées,
où l’eau séjourne pendant plus ou moins longtemps dans la saison
des pluies. — Hum., lieux humides, bords des eaux. — Pl., plaine,
désignation générale dans laquelle nous avons compris les terrains
plats argilo-calcaires et souvent salés, qui constituent la plus grande
partie du Sahara aux environs de Biskra. — Rav., ravins,
ordinairement profonds, creusés par les ruisseaux, et à sec pendant la
plus grande partie de l’année. — Roch., rochers. — Sabl., sables. —
Sal., terrains salés.
[28] Nous avons, dans cette liste, désigné par All. les alluvions de
l’Oued Abdi ; par Roch. sup. les rochers de la portion de la montagne
qui domine le village ; par Roch. les rochers du versant de la même
montagne qui regarde la vallée de l’Oued Abdi.
[29] Dans cette liste, nous avons désigné par Plat. les plateaux entre
Beni-Souik et Ménah ; — par Rav. le ravin de l’Oued Bouzina ; — par
M. la vallée de Ménah proprement dite, à environ 900 mètres
d’altitude ; les plantes dont le nom est suivi de cette indication ont
été, pour la plupart, observées soit dans les cultures, soit au bord des
eaux ; — par Cot. les coteaux de la vallée.
[30] Dans cette liste, nous avons désigné par Cot. la partie pierreuse et
déboisée du coteau au-dessus du village de Chir ; — par Vall. la
portion de la vallée entre Chir et Haïdous.
[31] Nous avons dans cette liste, pour plus de brièveté, désigné par M.,
le Djebel Mahmel, et par G., le Djebel Groumbt-el-Dib ; les lettres n.
et s., placées à la suite des lettres qui représentent le nom de ces
montagnes indiquent qu’il s’agit de leurs versants nord ou sud ;
somm., placé de la même manière, indique leur sommet ; — Tl.
désigne le village de Télet ; Ch. inf. et Ch. sup. désignent les champs
qui sont sur la pente sud au-dessous ou au-dessus de Télet ; Tl. sup.
désigne les parties incultes du versant méridional au-dessus de Télet,
comprises environ entre 1500 et 2000 mètres d’altitude ; — Plat.
indique le plateau situé à environ 2000 mètres d’altitude à la base
méridionale des Djebel Mahmel et Groumbt-el-Dib ; — Fedj.
représente Fedj-Geurza, c’est-à-dire la partie supérieure de la vallée
de l’Oued Abdi, où ce cours d’eau prend sa source ; l’abréviation cot.,
placée à la suite de Fedj., indique les coteaux boisés qui limitent au
nord la vallée de Fedj-Geurza et se continuent avec la pente sud du
Djebel Mahmel.
[32] Voir Guyon, Voyage aux Ziban, p. 144.
[33] Nous désignons dans cette liste par Ch. les champs cultivés ; —
par Pât. les terrains en friche et les pâturages de la vallée de l’Oued
Essora, au-dessous d’Aïn-Turck, c’est-à-dire d’une portion de cette
vallée, à environ 1,200 mètres d’altitude.
[34] Le Pinus Halepensis est surtout exposé à cette dernière cause de
dépérissement, car son écorce, employée surtout pour la tannerie et
la préparation des outres, est un objet de commerce important avec
les tribus sahariennes.
[35] Le versant nord se divise naturellement en partie boisée et en
partie déboisée, la partie boisée vers Aïn-Turck, s’étend de la vallée de
l’Essora jusqu’à environ 250 mètres du sommet, c’est-à-dire d’environ
1200 jusqu’à 2150 mètres d’altitude. — Nous avons désigné le
versant nord par N. ; — F. inf. indique la partie inférieure de la forêt
qui s’étend depuis l’Oued Essora jusqu’à l’altitude d’Aïn-Turck, c’est-à-
dire une zone comprise entre 1200 et 1500 mètres d’altitude ; — F.
moy. indique la zone moyenne de la forêt comprise entre 1500 et
1800 mètres d’altitude ; — F. sup. indique la partie supérieure de la
forêt comprise environ entre 1800 et 2150 mètres d’altitude ; — par
l’abréviation Turck., nous avons désigné les environs d’Aïn-Turck ; —
Pât. sup. désigne les pâturages du pic principal ; — Somm. indique le
sommet de la montagne ; — S. désigne la partie supérieure de la
pente sud, que nous n’avons explorée qu’à quelques centaines de
mètres au-dessous du sommet ; — Pât. désigne les pâturages des
pics secondaires du Cheliah.
[36] Dans ce tableau, nous avons, pour plus de brièveté, désigné par
Const. la région méditerranéenne intérieure.
[37] Nous devons à MM. Durieu de Maisonneuve, Balansa et Choulette
de précieux renseignements sur la végétation de la région littorale.
[38] Consulter pour la région littorale, comme pour les suivantes, le
Tableau résumant pour chaque région ses principales affinités de
Géographie botanique.
[39] Nous devons à M. Durieu de Maisonneuve de nombreux
renseignements sur la végétation de la région méditerranéenne
intérieure. — M. de Marsilly a bien voulu nous communiquer les
résultats de ses herborisations aux environs de Constantine.
[40] MM. Balansa et du Colombier ont contribué à l’exploration de la
région des hauts-plateaux aux environs de Batna.
[41] Les observations météorologiques recueillies à Batna, sous la
direction de M. le général Desvaux, viennent confirmer les données
de la statistique botanique, en démontrant que le climat de la région
des hauts-plateaux de la province de Constantine présente de
grandes analogies avec celui des pays tempérés. Nous nous
bornerons à donner ici la moyenne des températures observées à
Batna en 1853.
° ° ° ° °
Janvier 31 3,71 8,60 8,76 12 0
Février 28 2,95 7,86 7,62 14 1
Mars 31 3,00 10,45 10,65 15 0
Avril 30 9,33 15,83 15,77 22 4
Mai 31 13,87 20,20 21,30 30 6
Juin 15 15,60 23,26 24,20 29 13
Juillet 31 23,68 30,70 33,35 37,30 18
Août 31 24,42 29,61 32,40 36 21
Septembre 30 19,38 24,10 25,48 33 13
Octobre 31 14,81 19,23 19,71 25 9
Novembre 30 8,23 12,73 15,42 20 2
Décembre 31 5,52 8,92 8,95 14 3
NOMBRE MOYENNE DES TEMPÉRATURES.
MAXIMUM MINIMUM
1853. — MOIS. des
observat. 8 h. matin. Midi. 5 h. soir. du mois. du mois.
° °
Année 350 37,30 0
° ° °
Moyennes de l’année 11,95 17,45 18,29
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