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EPIGRAPHIQUE

"Si le savoir est le pouvoir, l'apprentissage est un super pouvoir"


Jim Kwik
0. INTRODUCTION

0.1 MISE EN CONTEXTE

Partant des observations quotidiennes, on se rend compte que la perte de la


monnaie et partant celle du pouvoir d’achat ne fait qu’aggraver les conditions de
la vie des habitants considérés isolement mais affecte l’économie dans son
ensemble (McCandeless et Weber, 1995 Les répercussions de l’inflation sur
l’activité économique ont occasionné un foisonnement des débats et les résultats
parfois contradictoires dans la littérature théorique et empirique. Les effets de
l’inflation notamment l’incertitude sur les gestions politiques
macroéconomiques dans les pays en développement constituent un sujet
d’actualité largement débattu dans la littérature récente portant sur les politiques
de stabilisation.
Les défaillances relatives à l’indexation demeurent le
soubassement de l’incertitude de l’inflation. Celle-ci rend toute prévision
difficile. En effet, les agents économiques qui épargnent pour leur retraite ne
pourront pas anticiper le montant qu’ils doivent mettre de côté. De même, les
entreprises qui empruntent de l’argent ne pourront pas anticiper le prix qu’il le
convient de faire payer en échange des biens qu’elles produisent. Les entreprises
seront également affectées lorsqu’elles devront décider des hausses à inclure
dans les contrats salariaux pluriannuels, afin de bien refléter le taux d’inflation
anticipé. Ainsi, si une entreprise estime que les prix qu’elle peut pratiquer
augmentent moins rapidement que ce qui était prévu dans les contrats salariaux,
elle en subira les conséquences en tant qu’employeur (Stiglitz et al.2007).
Ainsi donc, à l’heure actuelle, l’inflation est en train de
s’aggraver au rythme d’inquiéter le monde entier. L’inflation est donc un
fameux problème qui intéresse tout le monde. De la ménagère au fonctionnaire,
tout le monde y est confronté dans la vie de chaque jour, plus particulièrement
pour ce qui est des prix des produits de première nécessité (aliment,
habillement,).
Cette étude s’avère importante, d’une part, par la gravité que
revêtent les tensions inflationnistes en RDC actuellement et, d’autre part, par le
fait que l’inflation est un processus qui mérite d’être étudié au fil du temps de
sauver l’agent économique congolais qui ne cesse de perdre son pouvoir d’achat.
De plus, ce sujet nous parait d’une importance capitale dans la mesure où le
dépistage de l’incidence du processus inflationniste sur la croissance
économique est d’une utilité inégalable et permet de guider les décideurs en
matière de politiques économiques.
Cependant, les économistes entretiennent un débat
contradictoire autour de notion d’inflation. Certains la considèrent comme un
mal à combattre vigoureusement au moment où d’autres trouvent en elle,
quelque chose de normal pouvant même être source de croissance économique.
A cet effet, Denis Clerg (1984) nous dit : « … l’inflation n’a
pas que des inconvénients.
Dans le cas du Japon et de la France, elle a
incontestablement aidé à financer l’accumulation du capital, donc à accélérer le
rythme de croissance, au moins jusqu’au début des années soixante – dix… ».Et
plus loin, le même auteur ajoute : « … dans les faits, tous les pays ont accepté
l’idée de vivre avec l’inflation. Leur seul problème est de contenir, de
l’empêcher de déraper au-delà d’un certain rythme… ». par ailleurs, d’autres
reconnaissent que la réduction du salaire réel suite à l’augmentation des prix
peut, toutes choses restant égales par ailleurs, permettre de relancer le niveau de
l’investissement et, par conséquent, le niveau de l’activité.
C’est le cas d’Edmond MALINVAUD (1986) qui nous dit :
«… selon les uns, comprimer les salaires réels serait indispensable pour
favoriser l’investissement faute duquel il ne pourrait exister à l’avenir des
capacités de production suffisantes pour permettre le plein emploi … ».
Toutefois, il précise que pour lui, les taux de salaire doivent être à un niveau
approprié c’est-à-dire ni trop haut ni trop bas.
Contrairement à Pierre Fortin, qui pense que l’inflation est
nuisible à la croissance. Il soutient sa thèse à la crise pétrolière de 1973, qui a
tiré son origine de l’explosion des prix des matières premières, plus précisément
le pétrole.
0.2 Problématique

Le conflit en Ukraine démultiplie la dynamique


inflationniste déjà enclenchée en 2021. L’économie française commençait à se
relever de la crise de la covid-19 ce qui créait une tension sur le prix.
La guerre a déjà provoqué des chocs économiques et
financiers d’une ampleur considérable particulière sur les marchés de matières
premières, où les prix du pétrole, du gaz et du blé ont grimpé en flèche. Les
variations des prix des matières premières et les fluctuations des marchés
financiers observées depuis l’éclatement de la guerre pourraient se traduisent, si
elles s’inscrivaient dans la durée par la réduction de la croissance PIB mondial
de plus de 1 point de pourcentage.
Ce qu’il faut seulement savoir aujourd’hui, est que les
questions relatives à l’inflation elle-même ainsi qu’à son impact sur la
croissance économique des pays sous-développés comme la RDC prend de plus
en plus une place de choix dans les politiques d’assainissement de ces
économies.

C’est au regard de ce qui précède, que nous nous sommes


intéressés à l’incidence de l’inflation sur la croissance économique dans le
contexte congolais, et c’est la raison pour laquelle ce travail va s’évertuer à
répondre aux questions subsidiaires suivantes :
• Comment est-ce que l’inflation et la croissance économique
ont évolué durant la période sous étude en RDC ?
• L’inflation influe-t-elle de manière positive ou négative sur la
croissance économique ?
Dans les lignes qui suivent nous nous attèlerons de répondre
à ces questions susmentionnées, mais avant cela, nous relevons les objectifs
poursuivis dans cette étude.
03. Hypothèses
Les hypothèses sont considérées comme des réponses
provisoires au questionnement autour duquel se structure la problématique et
lesquelles seront dans le corps du travail, infirmées ou confirmées. Cela étant,
toute recherche scientifique doit comporter au moins une hypothèse minimale.
Pour REZSOHAZY R, l’hypothèse cherche à établir une version provisoire du
problème soulevé en évoquant la relation surprisse entre les faits sociaux dont
le rapport constitue le problème et en indiquant la nature de rapport.
En scrutant la littérature existante, nous avançons les
hypothèses suivantes :
• H1 : Le problème de la hausse chronique des prix est une
entrave importante à la croissance économique en RDC.
• H2 : Durant la période de sous étude l’inflation et la
croissance économique ont évolué de la manière inverse en RDC.

0.4. Objectifs
0.4.1 Objectif général

Partant des observations des hausses prix continue des prix


durables et continue qui admettent des conséquences au sein d’une économie,
c’est ce qui nous a incité de mener cette étude enfin de comprendre si l’inflation
impact négativement la croissance économique en RDC, et voir les
conséquences que ce phénomène admettrait au sein de l’économie congolaise
dans ce cas-ci, ainsi que de mettre en évidence des mesures que devraient
prendre les autorités pour lutter contre ce phénomène.

0.4.2 Objectif spécifique

• Identifier les sources de l’inflation au sein de l’économie en RDC ;


• Présenter les effets liés à ce phénomène inflationniste ;

• Présenter des suggestions pour lutter contre l’inflation en RDC et


assurer une croissance économique continue.

0.5. Méthodologie

Par méthode (scientifique), nous pouvons entendre une démarche (ou


un procédé) régulière, explicite et reproductible en vue d’atteindre quelque
chose de matériel ou de conceptuel. Nous retiendrons avec Pinto et Grawitz que
la méthode est l’ensemble des opérations intellectuelles par lesquelles une
discipline cherche à atteindre qu’elle poursuit ou en démontre la vérité Et pour
bien mener notre étude, nous avons jeté notre dévolu sur la méthode
quantitative. Il est évident que seule la méthode est incapable de cerner ce
phénomène si complexe (incidence de l’inflation sur la croissance économique).
Voilà pourquoi il va de soi que nous recourions aux techniques qui sont les
moyens par lesquels le chercheur accède à l’information.
La méthode descriptive : est celle qui nous permet à élaborer, analyser et à
traiter nos différentes données par le biais des tableaux et de graphiques.
La méthode par observation empirique : est celle qui nous permet d’observer les
faits réels que traverse la RDC au quotidien à l’aide des analyses
mathématiques.
La méthode comparative : est l’une de méthode qui s’avère également
importante lors des analyses des données, celle-ci nous permet de comparer les
différents résultats, en fin d’aboutir aux résultats poursuivis.
Ainsi donc, dans le cas d’espèce, La technique documentaire : cette technique
nous permettra de scruter divers documents en rapport avec notre sujet en vue
d’avoir les informations quant à ce. Il sera donc question de recourir aux
ouvrages, revues scientifiques, travaux scientifiques, articles, etc.

0.6. Choix et intérêt du sujet

Partant des observations, nous nous sommes rendu compte


que les fluctuations sur les économies des pays en voie de développement
prennent de plus en plus le devant. Le phénomène inflationniste est celui qui fait
couler l’économie beaucoup d’encres et de salive à l’heure actuelle, et il est en
train de s’aggraver au rythme d’inquiéter le monde entier, il est donc un fameux
problème qui intéresse tout le monde.
Le choix d’un tel sujet a été fait par l’observation de la
gravité que revêt la tension inflationniste en RDC en l’heure actuel, d’autre part,
par l’effet que l’inflation est donc un processus qui mérite être étudier dans le
temps enfin de sauver les agents économiques en RDC qui n’arrivent à ajustés
leurs demandes contre les offres. De plus, ce sujet nous parait d’une importance
capitale dans la mesure où le dépistage de l’impact du phénomène inflationniste
sur l’évolution de l’activité économique et d’une utilité inégalable et permettre
de guider les décideurs en matière des politiques en leurs montrant les lignes
majeures qui leurs permettraient de contrôler l’inflation et de stimuler la
croissance économique.

0.7. Délimitation spatio-temporelle


Les données collectées dans ce travail concernent la période
allant de 2011 à 2020, et notre champ d’investigation c’est la République
Démocratique du Congo.

0.8. Canevas
Hormis l’introduction et la conclusion générale, notre travail
est scindé en trois chapitres.
Le premier est consacré à l’exposée théorique relative à
l’inflation et à la croissance économique.
Le second porte quant à lui à l’évolution de l’activité
économique en RDC et l’analyse de l’impact de l’inflation sur la croissance
économique en RDC à un horizon temporelle allant de 2011 considérée comme
année de base à 2020 comme année finale.
Le troisième pour, sa part, présente, discute, et donne des
implications et les limitations de résultats.

CHAPITRE I : CADRE THEORIQUE ET CONCEPTUEL

Dans les soucis de comprendre les explications sur des théories


liées à nos deux phénomènes qui cadrent avec notre travail, nous voici sur un
chapitre qui nous aidera à bien saisir les termes

SECTION 1 : INFLATION

1.1 Définition
DENIS CLERG (1984). Definit comme étant une hausse
généralisée et cumulative des prix nominaux .De ce fait, il importe de souligner
qu’une hausse des prix limitée à une catégorie des biens ou limitée dans le temps
n’est forcément pas qualifiée d’effet inflationniste
L’inflation ne se rapporte donc pas à des variations des prix
relatifs, mais à des variations des prix absolus, c’est-à-dire ; la variation des prix
nominaux.
Beaucoup d’économistes auteurs s’accordent pour dire
qu’on on peut que parler de l’inflation s’il agit d’une hausse des prix qui
généralise tous les biens sur les marchés et cette hausse généralisée des prix doit
être continue dans le temps.

1.2. Régime d’inflation


Ce point nous aidera à définir l’ensemble des termes qui
expliquent des différentes formes des phénomènes inflationnistes. Nous
parlerons brièvement de la déflation, désinflation, stagflation, l’inflation
rampante ou graduel, l’inflation galopante ou classique et hyperinflation.
1.2.1 La déflation
La déflation explique une baisse généralisée des prix, c’est
cas contraire de l’inflation comme désigne la variation positive des prix, alors on
parlera de l’inflation négative. Une fois cette variation est négative, celle-ci
explique la déflation.
1.2.2 La désinflation
C’est lorsqu’il y a baisse de TI, ceci explique dans le cas où
le taux reste néanmoins positif malgré sa baisse, soit dans le cas où on constate
une réduction des TI.
1.2.3 La stagflation
Est une situation économique qui explique une faible
activité économique caractérisée par une forte inflation et chômage.
1.2.4 L’inflation rampante
C’est une phase dans laquelle le niveau général des prix
croit de façon lente mais persistante, ceci ne fait qu’accroitre mais à un rythme
particulier et apaisé, elle se caractérise par un taux d’inflation qui ne dépasse pas
1% à 3%.
1.2.5 L’inflation galopante ou classique
On parle de l’inflation se manifeste par une considérable du
pouvoir d’achat de la monnaie, c’est ce qui, à la long pousse les agents
économiques à retirer leur confiance en cette monnaie. Cette monnaie peut par
conséquent cesser d’être un moyen de paiement.
1.2.6 L’hyper inflation
Est une situation extrême, elle concerne des périodes où le
taux mensuel d’inflation peut dépasser 50%
La hausse des prix est si forte qu’elle ne mesure pas en taux
annuel, mais plutôt mensuel, voire même journalier. Elle survient en général en
cas de crise profonde (par exemple après une guerre).

1.3. Mesure d’inflation


La question qui se pose dans ce point est de savoir la
manière dont se mesure l’inflation. La mesure de l’inflation est relativement
complexe et malgré son défaut et ses insuffisances l’indice de prix reste le seul
et unique indicateur qui serve de mesure au phénomène inflationniste. L’indice
de prix à la consommation résume dans un chiffre unique l’évolution de
l’ensemble des prix des biens et services consommés par la population sur
territoire d’un pays donné. Pour se faire il se base sur un ensemble représentatif
appelé panier de la ménagère qui englobe les biens et services selon leur nature
en se référant sur un échantillon de chaque panier.
1.3.1 Causes d’inflation
Les causes de l’inflation au sein d’une économie peuvent
être expliquées de plusieurs façons, mais nous retiendrons les trois plus grandes
lignes à base de ce phénomène au sein d’une économie.
1.3.2 L’inflation monétaire
Pour les économistes monétaristes, eux disent la monnaie
n’est qu’un voile, elle n’a pas seulement d’influence sur le revenu réel de
l’économie, elle influence également le niveau de prix. En partant de ces idées
monétariste on trouve la théorie quantitative de la monnaie sa formulation la
plus courante est l’égalité suivante ; M×P= P×T
M : Désigne la masse ;
V : Désigne la vitesse de circulation de la monnaie,
P : Désigne le niveau général de prix
T : Désigne les volumes des transactions à exécuter
On a donc une égalité entre la quantité de la monnaie en
circulation (M×V) et la valeur globale des échanges (P×T), à vitesse de
circulation de la monnaie constante augmentation de la m asse supérieure à
celle de la production réelle se traduira pour une hausse de l’ensemble de prix.
1.3.3 L’inflation par excès de la demande
Dans cette ligne on explique le phénomène inflationniste par
un excès durable de la demande réelle par rapport à l’offre réel. Cette analyse
d’excès de la demande a été défendue par Keynes. L’augmentation de la
demande peut provenir de l’accroissement des dépenses publics ou de l’entré
des revenus supplémentaire sur territoire (excèdent de la balance commerciale et
entré de capitaux). Elle peut également être due par l’accroissement des
dépenses de consommation de ménage, du fait de l’apparition du nouveau
produit, d’une modification de système de prix relatifs, d’un enrichissement des
certaines catégories sociales leur permettant d’avoir accès à des nouveaux biens,
d’un changement dans les anticipations (prix, revenu, rémunération, de
l’épargne)
1.3.4 L’inflation par les couts :
L’inflation par les couts est celle qui concerne
l’accroissement de rémunération des facteurs de productions supérieures à leur
niveau de productivité. L’augmentation de rémunération des facteurs induit les
entreprises à augmenter les prix des produits qu’elles émettent sur le marché.
L’augmentation excessive de rémunération des facteurs provient de la
croissance des salaires, des charges sociales etc.
1.3.5 Conséquences de l’inflation
Cette sous-section a pour vocation de montrer ce que
l’inflation peut apporter dans une économie. Nous tenons à signifier que ce
phénomène l’inflationniste admet deux conséquences à savoir ; positifs et
négatifs.
1.3.6 Effets positifs de l’inflation au sein d’une
économie :
Si l’inflation n’est pas un phénomène entièrement négatif
par exemple, on peut penser qu’en période d’inflation, les ménages anticipent
les hausses futures des prix. Ils vont se procurer plus des biens sur le marché à
titre d’anticipation que les monnaies détiennent risque à subir la dépréciation.
Grace à cette anticipation des hausses future des prix bien sur les marchés que,
les biens couteront plus chers les ménages se mettent à plus consommer et c’est
ce qui induit et encourage demande des biens et services. Mais surtout l’inflation
diminue également les poids réel des dettes détenues par les agents économique.
1.3.7 Effets négatifs de l’inflation
L’inflation admet plus d’effets négatifs au sein d’une
économie
En ce qui concerne l’effet négatif ciblé est celui qui
correspond d’abord à la diminution de pouvoir d’achat de la monnaie (on peut
dire dans une certaine mesure de la dépréciation de la monnaie au niveau
interne). Comme on sait que la monnaie détienne un pouvoir d’acquérir les
quantités des biens la hausse des prix induira à la diminution de de la quantité
que permet d’acquérir cette monnaie.

1.3. 7 Quelques théories sur l’inflation

Cette sous-section nous est réservée pour voir les différentes


contributions des auteurs et leurs considérations vis-à-vis de phénomène
inflationniste.
1.3.7.1 JOHN MAYARD KEYNES

Selon J.M Keynes l’explication de force inflationniste


institutionnelle (déséquilibre entre le flux monétaire et flux réel) et l’inflation
par la demande, demeurent deux situations distinctes, Keynes s’est beaucoup
consacré à la résorption du premier type d’inflation. C’est ce qui lui portait le
plus. J.M Keynes était conscient de l’instabilité à la hausse des prix dans un
cadre institutionnelle où le plein emploi est une politique gouvernementale
assuré en partie.
1 .3.7.2 JEAN BAUDOIN

Jean Baudoin qui était un observateur de la vie économique


et sociale à très tôt identifié les liens entre la monnaie et l’inflation au XVI
Siècle en France.
En (1953 – 1956), il a souligné que la responsabilité de
l’afflux de métaux précieux, notamment d’argent en provenance des biens
nouvelles colonies américaine, l’Espagne et Portugal, dans l’envolée des prix
subissait l’Europe tout entière à cette époque de 1576 cela a amené Baudoin à
dire « les prix élevés que nous observons de nos jours sont dus à environ
quatre cinq causes et les principales est presque la seule (à la quelle personne ne
fait allusion jusqu’à présent ), c’est l’abondance d’or et d’argent
(Supplément aux six livres de la République 1576).De
même chaque découverte d’une nouvelle monnaie en Autriche en Allemagne par
exemple, est suivie d’une pousse qui toute fois ne portait pas encore le nom.
Donc la consommation nécessaire de l’inflation reste une cause de la masse
monétaire, et beaucoup d’autres observateurs entre autre ;les physiocrates,
François Quesnay, Togo, notamment l’un des classiques Adam Smith, puis au
début de XIX e siècle, David Riccardo théorisent pleinement la relation causale
entre quantité de monnaie en circulation : les émissions massives de papier
monnaie pour financer les guerres apparaissent alors comme étant, de toutes
évidence responsable des très fortes hausse des prix observé .

SECTION 2 : CROISSANCE ECONOMIQUE


Cette deuxième section du chapitre premier est celle qui
nous aidera de mettre en évidence de la différente expression et théorie sur la
croissance économique.

2 .1 Définition de la croissance économique

La croissance économique quantifie la variation de


production dans une économie durant un laps de temps donné cette variation
positive se mesure grâce à l’évolution annuelle d’un indicateur : PIB
François Perroux définit la croissance économique comme
étant un processus continu et soutenu d’élévation du Produit réel d’une
économie dans le temps. La croissance économique est considérée comme étant
une augmentation soutenue de la richesse pendant une ou plusieurs périodes.

2.2 Mesure de la croissance économique

La croissance économique est généralement mesurée par


l’utilisation de l’indicateur économique dont le plus courant est le produit
intérieur Brut. Ce dernier offre une certaine mesure quantitative du volume de la
production.
En effet le PIB est un indicateur très utilisé qui mesure le
niveau de production d’un pays, il est défini comme la valeur totale de
production interne de biens et services dans un cours d’une année par les agents
résident à l’intérieur d’un territoire national.
Le PIB est également un agrégat de de comptes nationaux
obtenus en additionnant les grandeurs les grandeurs économique mesurées par la
catégorie des agents (ménage, entreprise, administration publique). Ne font
partie du PIB que les biens et services finaux, c’est-à-dire les valeurs ajoutées ou
soit les biens et services de consommation et les d’équipement, les biens
intermédiaire de production étant exclus si cette croissance intéresse le niveau
de vie d’un pays ici on parlera de PIB par habitat, celui-ci s’obtient par le
rapport de PIB réel sur la démographie d’un état considéré.

2.3 Déterminant de la croissance économique


La croissance économique a plusieurs type des
déterminants qui peuvent être ; la richesse naturelle, environnement, extérieur,
population, innovation, et les concepts qui ne concernent pas seulement le
progrès technique, l’investissement et connaissance. Les principaux travaux
Xavier i martin, économiste espagnol spécialiste de la croissance confirme que,
il n’existe pas un seul déterminant simple de la croissance économique c’est ce
qui serait détaillé dans les points suivants .
2.3.1 L’investissement
Au niveau national, l’investissement correspond à un
accroissement des moyens de production. Parce qu’il accroit la capacité
productive de l’économie, il est la première source ou facteur de production dont
incluent aussi bien le capital physique (machine, équipement, logistique, etc.
…), le capital humain (main d’œuvre qualité disponible).
On distingue l’investissement net de l’investissement brut,
ce dernier inclut les amortissements de remplacement qui permettant de
renouvellement de l’outil de production et il est net lorsque ce niveau de
production est diminué des amortissements, l’investissement brut donne
l’investissement net à l’aide d’augmentation des amortissements.
Pour le même volume d’investissement, la composition du
montant global peut varier aux décompositions différentes des investissements
en autre tous les investissements privés comme public ne sont pas également
efficace du point de vue de leur aptitude d’accroitre les possibilités de
production .il importe de faire marque que l’investissement accroit la capacité de
production d’une économie, autrement dit il entraine une croissance potentielle.
La réalisation effective de la croissance économique demeure dépendante d’une
bonne allocation des dépenses d’investissement vers les secteurs de l’économie
identifiés comme étant porteurs de croissance, la croissance économique n’est
pas donc un résultat mécanique de l’investissement ou l’accumulation du
capital. L’investissement est certes une condition nécessaire, mais non suffisante
de la croissance économique
2.3.2 Les infrastructures et l’état du marché
C’est sur base du marché que les entreprises arrivent à
écouter leurs produits et services, et ils se font du profits, la décision d’investir
résulte souvent d’une analyse (cout avantage) c’est-à-dire ; lorsque ce que
espèrent les entreprises s’avèrent supérieurs au cout d’installation de
l’investissement, celui-ci devient alors envisageable, lorsqu’un pays est doté
d’infrastructure importante celui-ci réduit totalement pour les entrepreneurs les
couts de leur investissement et améliorer le rapport de leur investissement. C’est
ce qui rend le pays attrayant pour investir.
La taille et le fonctionnement du marché affectent
également des entrepreneurs dans les mesures où ils influencent leur décision de
production. En outre, si les prix pratiqués sur le marché ne sont pas intéressant à
leurs yeux ils peuvent se désengager des activités de production avec toutes les
conséquences qui peuvent s’en suivre : ralentissement de la croissance et hausse
du taux de chômage.

2.3.3 Les progrès technique

Il est le fait que l’augmentation de la production se réalise


lorsque les facteurs des productions demeurent constants. En effet le progrès
technique est souvent induit par l’innovation, la capacité d’offrir des
opportunités d’investissement, sont ceux qui permettent l’accumulation des
qualifications tout en favorisant les transferts de technologie et une utilisation
plus efficace de cet investissement

2.3.4 L’environnement

Toute activité économique s’exerce dans un environnement


institutionnel donné. Ce dernier la détermine à bien des égards pour un étranger,
investir dans un pays revient dans une certaine mesure à livrer les
investissements réalisés aux autorités de ce pays.
2.4 Quelques théories sur la croissance économique

2.4.1 L’école classique :

La plupart des économistes de l’école classique, écrivant


pourtant au commencement de la révolution industrielle, ne pensaient qu’aucune
croissance économique ne pouvait être durable, car toute productivité devait
selon eux inexorablement converger vers un état stationnaire. C’est le cas de
David Riccardo pour qui l’état stationnaire était les produits de rendement
décroissant de terre cultivable, ou encore Thomas Malthus qui le fait à son
principe de population, mais aussi pour John Stuart Mill.

Toutefois, Adam Smith à travers son étude des effets de la


productivité induite par le développement de la division du travail, laissait
entrevoir la possibilité d’une croissance interrompu. Et jean Baptiste Say
écrivait « remarquez en outre qu’il est possible d’assigner une limite à la
puissance qui résulte l’homme de la capacité à former des capitaux ; car les
capitaux amasser avec le temps, l’épargne et son industrie n’ont point de bornes.
2.4.2Schumpeter à l’origine de la croissance et cycles

Nikolaï Kondratiev est l’un de premier économiste à


montrer l’existence de cycle longues 50 ans, et Joseph Schumpeter développe la
première théorie de la croissance sur un long période. Il considère que
l’innovation portée par les entrepreneurs constitue la force motrice de la
croissance il étudie en particulier le rôle de l’entrepreneur dans la théorie
d’évolution économique en 1913.
Théorie du Model de Solow Swan :

Robert Solow propose un model néoclassique de la


croissance. Ce model repose essentiellement sur l’hypothèse d’une productivité
marginale décroissant du capital dans la fonction de production. Le model est dit
néoclassique au sens où les facteurs de production sont utilisés des manières
efficaces et rémunérés à leur productivité marginale. Solow montre que cette
économie tende vers un état stationnaire. Dans ce model la croissance ne peut
pas provenir du progrès techniques.

Section 3 : Revue de la littérature empirique

3.1 Milton Friedman


Fondateur de l’école de Chicago (1912-2006), il a reçu le prix Nobel
d’économie en 1976 pour « ses découvertes dans le champ de l’analyse de
consommation, de l’histoire et de la théorie monétaire et pour sa démonstration
de la complexité des politiques de stabilisation monétaire ». Il est le père de
courant monétariste et a notamment réactivé la théorie quantitative de la
monnaie. Selon celle-ci, c’est l’augmentation de la masse monétaire qui est la
cause unique de la hausse des prix : « l’inflation est toujours et partout un
phénomène monétaire en ce sens qu’elle est et qu’elle ne peut être générée que
par une augmentation de la quantité de monnaie plus rapide que celle de
production », écrit-il en 1970. Son analyse s’inscrit dans un contexte de cette
époque marquée par une forte inflation occidentale. Il a expliqué la croissance
faible et inflation forte au quel sont confrontées les pays occidentaux dans les
années 1970.

3.2 Barro (1995)


Il a recherché le lien entre l’inflation et la croissance économique en utilisant un
grand échantillon comportant plus de 100 pays de 1960 à 1990. Ses résultats
empiriques ont montré qu’il existe une relation significativement négative entre
l’inflation et la croissance économique si certaines caractéristiques des pays
(l’éducation, le taux de fécondité, etc…) sont maintenues constantes. Plus
spécifiquement, une hausse de 10(%) de l’inflation par an réduit le taux de
croissance réel par tête de 0,2 à 0,3 points par an. En d’autres mots, son analyse
empirique suppose que la relation estimée entre l’inflation et la croissance
économique est négative quand certains instruments raisonnables sont
considérés dans la méthode statistique.

3.3 Malla (1997)


Il a conduit une analyse empirique utilisant un petit échantillon de pays d’Asie
et appartenant à l’organisation de coopération et de développement Economique
(OCDE) séparément. Après avoir contrôlé les facteurs travail et capital, les
résultats estimés suggèrent que pour les pays de l’OCDE il existe une relation
négative et statiquement significative entre l’inflation et la croissance
économique.
CHAPIPITRE II : L’EVOLUTIONDE L’ACTIVITE
ECONOMIQUE EN RDC

Ce chapitre représente en tout l’objet de notre travail. C’est


de l’analyse et l’observation qui nous aideront à dégager les idées pour répondre
si le taux d’inflation est celui qui est au centre des fluctuations observées au
niveau de l’activité économique en RDC.

SECTION 1 PRESENTATION DU CADRE DE L’ETUDE

1.1 SITUATION GEOGRAPHIQUE DE LA RDC

La tranche de l’Afrique de qui constitue le Congo Kinshasa


concerne les quelques 2.345.410 km² qui s’étendent entre 5°2´ de la latitude
Nord et le 13°15´ de latitude sud ; en longitude Est de Greenwich, elle va de
12°15 à 31°15´.

Cette position la place exactement au cœur du continent de part et


d’autre de l’Equateur.

Par le cours du Congo, de l’Ubangi puis Mbomu, elle fait ainsi


frontière au Nord-Ouest avec la République du Congo/Brazza, au Nord avec la
République Centre Africaine, puis avec le Soudan du moins dans l’angle Nord-
Est. A l’Est, la frontière serre de près l’axe tectonique des Grands Lacs. Cet axe
démarque le Congo de l’Ouganda par le lac Albert, la Semliki, le Ruwenzori et
le lac Edouard. Il le sépare du Rwanda par le lac Kivu, puis du Burundi par la
Ruzizi et le Nord du lac Tanganyika. Avec la Tanzanie la frontière passe par les
600 km du Tanganyika, lac qui a donné son nom à l’ancienne colonie allemande
devenue territoire sous mandat au sein de l’administration coloniale anglaise.

Au Sud la République Démocratique du Congo fait frontière vers l’Est


avec la Zambie, la frontière qui suit la ligne de partage des eaux Congo
Zambèze avec l’Angola, la limite des frontières est particulièrement
embrouillée : le cours de Kasaï sur 400 km, une ligne suivant à peu près le 8 e
parallèle joignant le Kasaï au Kwango, le cours du Kwango sur 300 km et enfin,
le parallèle de Matadi qui rejoint l’estuaire du fleuve Congo. La frontière
occidentale est assurée par le mince littoral du pays sur l’Océan Atlantique, puis
l’outre-Congo que constitue la République du Congo/Brazza. Sa position à
cheval sur l’équateur, alliée à des conditions orographiques parfois particulières
à certains endroits, lui confère une variété de climat de l’écosystème qui se
traduit par une diversité floristique et faunique. Nous sommes doté des
ressources naturelles exceptionnelles, outre notre richesse en minerais (cobalt et
cuivre notamment), notre pays dispose d’un grand potentiel hydroélectrique, des
vastes terres arabes, d’une formidable biodiversiverté et abrite . Cependant
malgré ce que nous possédons, la pauvreté est très rependue sur notre état. Le
pays se situe au troisième rang mondial pour le nombre le plus pauvre. Soit 60
million des personnes, vivent avec moins de 1,90 dollars par jour (niveau fixe
comme seuil de pauvreté international).

1 .2 SITUATION ADMINISTRATIVE DE LA RDC

Administrativement, le pays comprend 26 provinces (y compris la ville de


Kinshasa, capitale du pays et sièges des institutions nationales).ces dernières se
distinguent aussi par leurs potentialités biologiques variées entrainant des
problèmes spécifique de gestion.

SECTION 2 : L’EVOLUTION DE L’INFLATON EN RDC

En vue d’apporter la lumière au niveau de la situation


économique que traverses la RDC, il sied d’étudier l’évolution de l’inflation en
RDC qui nous serait nécessaire dans l’analyse de son impact sur l’évolution de
l’activité économique congolaise. C’est dans cette section que nous allons
posséder par l’étude de l’une des variables monétaires qui est le taux de change,
nous le supposons être à la base des processus inflationniste en RDC. L’analyse
descriptive du taux d’inflation mensuel s’avère nécessaire.
2.1 Le taux de change

Le taux de change est l’une des variables monétaire qui a


une relation directe entre avec l’inflation au sein d’une économie. Le taux de
change représente un prix qui est dérivé à la confrontation des offres et des
demandes des devises. Le taux de change représente deux régimes qui peuvent
flottant. Il est un régime fixe lorsque les autorités monétaires déterminent dans
un tel système un taux fixe encore appelé parité. Qui est défini par apport à un
étalon de référence et s’applique sur la conversion de la monnaie nationale en
une devise étrangère. Et le régime flottant dans un tel système les cours se
déterminent librement sur le marché d’échange. Ce variable nous serait utile en
titre de vérification si le taux de change est celui qui fait naissance au
phénomène inflationniste au sein de notre économie. Dans l’annexe tableau N° 1
nous avons représenté un tableau qui synthétise l’évolution et la variation du
taux de change de 2011 à 2020.
Apres l’observation des données dans les annexes
observations qui représentent l’évolution et la variation du taux d’échange en
RDC, il s’observe que l’année 2012 le franc congolais a connu une dépréciation
de 0,477, en 2013 l’observation à la hausse est restée constante, en 2014 nous
avons constaté un taux encaissé en baisse, auquel le taux de change est passé de
925,50 en 2013 pour 924,51 en 2014. en 2015, 2016,2017, 2018, la variation à
la hausse de prix est parfaitement continue. En 2019 il y’a eu une baisse du taux
de change et 2020, le taux de change était stabilisé.

2.2. Evolution du taux d’inflation en RDC


Cette sous-section nous sert d’une grande utilité en
analysant la contribution de l’inflation par mois en RDC, et nous permettrai de
déduire le taux d’inflation par an. C’est à partir des résultats qui nous serons
dégagé ici que nous allons nous baser pour répondre à la question qui nous
traverse l’esprit, de savoir si le taux d’inflation impact négativement à la
croissance économique en RDC.
Apres l’observation et analyse du taux d’inflation par mois
aux annexes dans notre tableau n° 2 nous avons réalisé l’évolution de taux
d’inflation par mois. Le représente la situation aux quelle l’inflation a évoluée
durant 10 ans d’années.
En 2011 la RDC a vécu une inflation à deux chiffres de
14,49% qui est une situation pour une économie donnée, en 2012, et 2013 nous
avons encaissé un taux d’inflation négatif de -8,87% et de -4,54%. Cette
situation a légèrement crue en 2014 à 0,17%. En 2015 il s’observe d’une
diminution de -0,25%. En 2016 et 2017 la variation a eu une tendance à la
hausse est cette hausse restée constante, c’est en 2018 que nous observons une
réduction importante de -31,81% du taux d’inflation. Nous avons observés et
analysé l’évolution du taux d’inflation durant 10 ans d’années. Nous allons
procéder à l’analyse comparative des variations du taux de change contre le taux
d’inflation, car cette comparaison nous aidera à constater si le taux de change est
une variable monétaire qui admet l’inflation en RDC.
GRAPHIQUE 1 : TAUX DE CHANGE

GRAPHYQUE 2 : TAUX D’INFLATION


Il ressort de ce graphique que, le taux de change en RDC n’admet pas totalement
et proportionnellement l’inflation.
Une variation positive du taux de change est liée à une
diminution du taux d’inflation soit une augmentation de celui-ci.
Il s’observe que de 2011 à 2015 la diminution du taux de
change est lié à une augmentation du taux d’inflation. Ce qui explique que
l’appréciation de la monnaie local a comme conséquence augmentation de
l’indice du taux d’inflation. De 2016 à 2017 l’augmentation du taux de change
influence directement la variation positive du taux d’inflation mais non
proportionnellement. En 2018 le taux de change a connu une diminution et le
taux d’inflation a connu une légère augmentation. En 2019 il y a eu la variation
négative entre le taux de change et celui de l’inflation mais non
proportionnellement. En 2O20 le taux de change impact le taux d’inflation
positivement.
SECTION 3 : EVOLUTION DU PIB EN RDC

La Quintessence de cette section serait de mettre en


évidence les procédures de la croissance économique en se basant sur les
différents secteurs d’activité
3.1 Les secteurs économiques

Le secteur économique est un ensemble d’activités


économique ayant des traits similaires. C’est également une subdivision de
l’économie, en termes macroéconomique regroupant l’activité de l’entreprise
qui appartiennent à une même catégorie. Traditionnellement la répartition de
l’ensemble d’activité économique se fait en trois grands secteurs économiques
(primaire, secondaire et tertiaire).

• Secteur primaire :

Ce secteur concerne la collecte et l’explication des


ressources naturelles (matériaux, énergie, et certains aliments).
• Secteur secondaire :
Ce secteur concerne la production des industries qui font
des transformations des matières Premières
• Le secteur tertiaire :
Secteur regroupe les indusstries de services essentiellement
immatériel : conseil, assurance, intermédiation, formation, études et recherche,
administration, service à personne, sécurité, nettoyage etc…

GRAPHIQUE 3 : TAUX DE CROISSANCE


Il ressort de ce graphique que l’inflation n’impact pas
totalement et proportionnellement à la croissance économique. En effet on
remarque qu’une diminution du taux d’inflation est associée, soit une à une
augmentation du taux de croissance économique soit une diminution de celui-ci.
De 2011 à 2013 nous observons une diminution du taux
d’inflation qui est liée à l’augmentation du taux de croissance économique. De
2014 les deux variables ont évolués de la même direction à la hausse, mais non
proportionnellement. En 2015 et 2016 il y’a eu variation contraire de ce deux
phénomènes. En 2017 la situation observée en 2014 était également répété, en
2018, 2019,2020 l’augmentation de taux de croissance était continue avec
observation de baisse du taux d’inflation
Nous a observé si l’inflation impact directement à la
croissance économique, nous avons constaté que celui-ci n’impact pas
totalement. Nous restons encore incertain car l’approche classique contient des
imperfections auxquelles nous sommes censés de confronter toutes les
théoriques par l’analyse empirique pour mieux voir la relation entre ce deux
phénomènes, si la présence de l’inflation affecte parfaitement à la croissance
économique. Dans les lignes qui suivent nous allons passer à l’analyse
empirique entre l’inflation et la croissance économique en RDC, en cette phase
l’adoption d’un coefficient de relation s’avère nécessaire.

SECTION 4: ANALYSE EMPIRIQUE DE L’INFLATION ET LA


CROISSANCE ECONOMIQUE

Dans cette section nous analysons les statistiques prélevées


dans les sections précédentes entre les deux phénomènes. Nous allons posséder
également par une analyse mathématique pour voir et comprendre si l’inflation
et la croissance économique ont des relations en commun, c’est-à-dire voir
l’augmentation du taux d’inflation impact forcement à la croissance économique
en RDC.

4.1 Analyse Empirique de relation entre l’inflation et la croissance


économique
L’étude des phénomènes économiques porte sur la
vérification des théories déjà existantes sur chaque concept de la science
économique. Les théories économiques sont souvent incertaines, allant jusqu’à
des explications contradictoires. C’est pour cette raison qu’il s’avère toujours
indispensable sinon crucial de confronter les énoncés théoriques aux faits
observés. Le coefficient de bravais Person est outil à la disposition de l’analyse
empirique qui établit de relation existante entre deux variables qui lui permet de
confirmer les théories.
L’objet de cette sous-section du chapitre deuxième est de
mener une analyse empirique au moyen de séries chronologiques que constituent
les deux phénomènes qui sont : l’inflation et la croissance économique.
La spécification des variables comprendra d’une part la
variable dépendante (r) et de l’autre les variables indépendante (taux d’inflation
et de taux de croissance).

4 .1.1 Explication de variable dépendante

Deux variables peuvent être en relation entre elle. Si cette


relation se vérifie dans tous les cas, cette relation est stricte c’est-à-dire elle
constitue une loi. Mais si cette relation ne se vérifie que dans certains cas et pas
d’autres cas, elle ne peut être considérée comme une loi, mais comme une
corrélation. Lorsque cette relation concerne deux variables quantitatives au
quelle les variables se situent au tour de la droite ajustée, obtenue à partir de
l’équation linéaire on parle de la corrélation simple linéaire. C’est ce que nous
adoptons dans notre analyse le coefficient, qui établit le degré de corrélation
entre deux variables quantitative.

4.1.2Présentation du coefficient (r)


Le coefficient de corrélation r est une valeur sans unité
comprise entre -1 et 1.
Plus r est proche de Zéro, plus la relation linéaire n’est
faible.
Les valeurs positives r indiquent une corrélation positive,
c’est lorsque les valeurs des deux variables tendent à augmenter ensemble.
Les valeurs négatives de r indiquent une corrélation
négative lorsque les valeurs d’une variable tendent à augmenter et que les
valeurs de l’autre variable diminuent.
Les valeurs 1 et -1 représentent chacune les corrélations «
parfaites », positive et négative respectivement, Deux variables présentent une
corrélation parfaite évoluent ensemble à une vitesse fixe. On dit que la relation
est linéaire.
Le coefficient de relation simple et linéaire(r), mesure le
degré d’association entre deux variables reportées dans un nuage des points, tous
les points des données peuvent être reliés par une ligne droite.
Ui : variable représentative du taux d’inflation
Yi : variable représentative du taux de croissance économique
ῡ : moyenne arithmétique du taux d’inflation
Ῡ : moyenne arithmétique du taux de croissance économique
N : effectif de l’échantillon du taux d’inflation et de la croissance
économique
Vérification empirique de la relation entre le taux d’inflation et taux de
croissance.
Deux theories corrélation de distribution sont normalement distribuées
lorsque le coefficient de person découle d'une analyse non paramétrique pour la
distribution qui suit une loi normale.

Covariance Analysis: Ordinary


Date: 10/24/22 Time: 16:36

Sample: 2011 2020

Included observations: 10

Correlation
Probability TAUX_DE_CROISSANCE TAUX_D_INFLATION TAUX_DE_CHANGE
TAUX_DE_CROISSANCE 1.000000
-----

TAUX_D_INFLATION -0.633638 1.000000


0.0492 -----

TAUX_DE_CHANGE -0.871273 0.458879 1.000000


0.0010 0.1822 -----

Toute les variables sont normalement distribués en d'autre termes suit toute
une distribution gaussienne. en effet, les probabilité associés chacune de
statistiques sont supérieures à 0,05 donc recourir au coefficient de corrélation
de Pearson.
Variable Statistique JB Probabilité
Taux de croissance 1,084663 0,581391
Taux d’inflation 2,248621 0,324876
Taux de change 1115946 0 ,572368

Nous constatons que l’inflation et la croissance économique ont une relation


négative non parfaite, c’est-à-dire, les deux variables dont l’inflation et la
croissance économique évoluent au sens contraire.
En observant les points précédant dans l’approche classique
l’étude fait de niveau graphique nous avons constaté que l’augmentation du taux
d’inflation est liée soit une baisse du taux de croissance soit à une augmentation
de celui-ci.
Les observations empirique sur l’analyse de relation avec le
coefficient de corrélation r nous a fait comprendre que les deux phénomènes ont
une relation négative, qui explique d’une manière succincte que l’inflation
impact négativement sur la croissance économique. Toute chose restant égale
par ailleurs à chaque fois qu’il y’a l’évolution positive du taux d’inflation cela
impact négativement la croissance économique en RDC.
CHAPITRE III : DISCUSSIONS, IMPLICATIONS ET LIMITATIONS
DES RESULTATS

SECTION 1 : Discussions
Il s'agit dans la présente section de discuter en ce qui concerne l'inflation et la
croissance économique en se basant sur nos résultats.
SelonJean pierre Patat: « sans l’inflation, pas de croissance ». L’inflation est
nécessaire car elle contribue à alléger les dettes des agents économiques, elle
diminue le cout réel de l’endettement en fonction ou différence entre le niveau
des taux d’intérêt nominaux et le niveau général des prix (relation évoquée
précédemment).Ainsi les ménages et les entreprises ont longtemps bénéficié de
taux d’intérêt réels faibles, voir négatifs. Ce qui a pu les amener à recourir
davantage aux crédits à la consommation (ménages) et à l’investissement
(entreprise, ménages) pour financer leurs achats. Elle améliore la rentabilité
financière des entreprises.
L’inflation entraine une baisse de pouvoir d’achat, elle pénalise la compétitive
d’une économie d’une économie et le commerce extérieur (les produits
importés peuvent devenir moins chers que les produits domestiques) elle
pénalise surtout l’épargne en entrainant une perte de valeur des sommes
épargnées et en diminuant le taux de rendement. Elle augmente le prix des biens
et services ainsi diminue votre pouvoir d’achat si vos revenu n’augmente pas
aussi vite. Elle perturbe la répartition macroéconomique des revenus.
Au départ nous avons posé la question si l’inflation influent positivement ou
négativement à la croissance économique, nous pouvons recourir à la littérature
empirique.
1.1 Milton Friedman: il a expliqué la croissance faible et une forte inflation
dans les pays occidentaux à 1970. il a appliqué la méthode quantitative pour
aboutir aux résultats.il a expliqué l'inflation et la croissance économique
n'évolue pas de la meme manière "stagflation" c'est à dire une forte inflation
entraine un taux de croissance faible, l'inflation enclave la croissance
économique. il a recommandé de lutter contre l'inflation, phénomène qu'il a jugé
dangereux et sans aucun bienfait à terme pour le fonctionnement de l'économie,
en reduisant la masse monétaire et en augmentant les taux d'interet tandis nous
avons appliqué la méthode descriptive, comparative, statistique nous avons
constanté l'inflation impacte négativement à la croissance économique c'est à
dire elle évolue au sens contraire avec la croisssance économique.
1.2 Barro: il a fait ses recherches pour savoir le lien qui existe entre l'inflation
et la croissance économique lors de ses recherches, il a utilisé la methode
quantitative à fin il a abouti à un résultat ;l'inflation et la croissance économique
ont une relation statistiquement négative tandis nous, nous avons procéder par
la méthode statistique, descriptive, comparative , nous avons trouve que
l'inflation et la croissance économique varie dans le sens inverse c-'est -a dire ils
ont une relation négative et cette négativité est significative.
1.3 Mallo: il a tiré une échantillon de pays d'Asie et appartenant à
l'organisation de coopération et de développement Economique , il a procédé
par la méthode quantitative à pour aboutir aux résultat " l'inflation et la
croissance ont une relation négative "alors que nous avons appliqué des méthode
statistique,descriptive, comparative nous avons trouvé une relation négativement
statistiquement significative, les deux évoluent au sens contraire.
Pour clor, nous pouvons dire l'inflation impact négativement à la croissance
économique, elle pénalise l'évolution de la croissance économique. c'est avec
l'aide de nos autorités que nous pouvons lutter contre l'inflation.
Nous sommes pas les premiers et der
niers à faire l'étude sur la croissance économique et l'inflation d'auteurs peuvent
utiliser d'autres auteurs peuvent utiliser leurs méthodes et modèles et aboutir aux
résultats qui seront contrairement de nous.
SECTION 2: implications
D'après nos analyses l'inflation et la croissance ont une relation statistiquement
significative et négative c'est à dire que l'inflation apporte des effets nefastes à la
croissance économique.
Mundell (1963) était l'un des premiers à formuler un mécanisme reliant
l'inflation à la croissance de la production hormis l'excès des demandes de
produit.
selon le modèle de Mundell, une hausse de l'inflation ou de l'inflation anticipée
réduit immédiatement la richesse des personnes. ces travaux partent du principe
que le taux de rendement de l'encaisse réelle de l'individu baisse. Pour
accumuler la richesse désirée, les agents épargnent plus en reportant leurs avoirs
, augmentant ainsi leur prix, ceci fait baisser le taux d'interet réel. De grandes
épargnent signifient une grande accumulation du capital et ainsi une croissance
de la production plus rapide.
Stockman (1981) a développé un modèle dans lequel une hausse du taux
d'inflation résulte d'un niveau bas l'ètat d'équilibre de la production et de baisse
du bien etre des agents économiques. Dans le modèle de Stockman, la monnaie
est un complèment du capital, comptable d'une relation négative entre le niveau
stable de la production et le taux d'inflation. Il a construit son argumentaire en
prenant en compte le fait que les entreprises augmentent leur encaisse en
finançant leur projet. parfois, l'encaisse fait directement partie de l'ensemble du
financement, alors qu'à d'autres moments,les banques exigent des équilibres de
compensation.
Cooley et Hansen (1989) étendent le mécanisme en considèrant
l'accumulation du capital. L'hypothèse principale est que le produit marginal du
capital est positivement lié à la quantité de travail. Alors, quand la quantité de
travail baisse en réponse à une hausse de l'inflation, le rendement du capital et
de la production baissent. Ils montrent que le niveau de la production baisse
permanemment quand l'inflation augmente.

SECTION 3: LIMITATION
cette section présente des lacunes que nous avons rencontré lors de la collecte
de données entre autres:
I Le temps: en ce qui concerne le temps, notre université ne dispose de moment
favorable pour effectuer des recherches, nous étions pénalisés à faire descente
sur terrain notre horraire ne nous a pas permis.

II Le finance: notre pays ne dispose pas des salaires pour les étudiants or ces
sont des moyens qui permettent à effectuer des recherches. Pour mener une
enquete cela coute tres cher, il faudra avoir des financement pour finance la
recherche, nous étions empeches au niveau de finance car les financement de
nos parents sont insufissant pour finance notre recherche. Pour faire les descente
sur terrain , il faudra avoir les moyens de transports or ils coutent cher.

III Méthode utilisée: nous avons collecté des données annuellement alors que les
autres c'est mensuellement compte tenu de leurs situation économique, nous
avons appliqué les méthode qui étaient abordable à notre niveau alors que les
autres ont appliqué des méthodes très approfondie. Dans notre pays données
CONCLUSION GENERALE
En entreprenant ce travail qui porte le titre « incidence de
l’inflation sur la croissance économique en RDC. Une vérification empirique à
l’aide des analyses statistiques, notre préoccupation était celle d’expliquer et de
comprendre la manière dont le phénomène inflationniste impact la croissance
économique en RDC et de proposer les lignes majeures de stimuler cette
croissance.
Au cours de la réalisation de notre travail nous avons
procédé à une analyse documentaire, la consultation d’ouvrages généraux, les
revues et mémoires nous a permis de dresser le plan de notre travail, et
également nous a aider dans le développement des théories et autres traits
marquant notre travail.
Pour arriver à notre objectif, notre travail est articulé en trois
chapitres. Nous avons d’abord jugé important d’interroger la littérature tout au
long du premier chapitre afin de mieux comprendre les notions d’inflation ainsi
que celle de la croissance économique; en suite nous avons analysé de manière
critique les travaux empiriques similaires menés par les autres chercheurs. Dans
ce chapitre, plusieurs conceptions théoriques des différents courants de pensées
économiques ont été confrontées.
Dans le deuxième chapitre, il s'agit de parler du cadre de
l'étude en l'occurence de la RDC. Nous avons procédé à une analyse de
l’évolution de l’inflation et la croissance économique,
Le troisième chapitre quant à lui était centré sur une
présentation de la situation économique en limite et les observations qui cadrent
avec des réalités sur les fluctuations de l'activité économique au de notre pays.
En définitive, à la lumière des constats fait le long de notre
travail, nous ne manquerions pas de formuler quelques suggestions pour
maitriser l’inflation et connaitre la croissance économique :
Au niveau monétaire, la réforme de la politique de change
dans l’économie s’avère important. L’instabilité du taux de change devrait être
remis en cause pour maitriser les tensions inflationnistes observées quelques
périodes qui impactent la croissance économique en RDC.
Au niveau structurel, le gouvernement devrait envisager des
réformes visant à transformer l’appareil productif national et à l’adapter aux
besoins contemporains en production et en consommation. Dans ce but, il
mettrait en place la politique de gros investissements directement productifs au
travers des entreprises productrices de biens marchands ou indirectement
productifs à l’occurrence les infrastructures publiques comme route, les écoles et
dispensaires. Dans cette même logique le gouvernement devrait investir
davantage en capital humain, en défense nationale et en sécurité publique.
A la fin de ce travail, nous ne prétendrons pas avoir épuisé
tous contours d’un sujet aussi vaste et pertinent qui s’étend sur une très longue
période. Les recherches ultérieures devraient tenir compte des éventuelles
lacunes, en élargissant le champ d’étude et en touchant les aspects du sujet dont
nous n’aurions pas pu faire une scène dans le présent travail.

ANNEXES

Tableau numéro 1 : de l’évolution et la variation en % du taux en RDC de


2011 à 2020

Années Evolution du taux de change Variation en %


2011 910,82 -
2012 915,17 0,477
2013 925,50 1,1286
2014 924,51 -0,1070
2015 927,92 0,3688
2016 1215,59 31,0016
2017 1591,91 30,9578
2018 1636,01 2,7703
2019 1644, 3 -0,5067
2020 0,98 99,9404
(Nous même à partir des rapports annuels de la BCC de
2011 à 2021)

Tableau numéro 2 : représentation de taux d’inflation mensuelle en RDC

Janvier
fevrierMars AvrilMai Juin JuilletAout septembre
Octobre
novembre
décembre

A
Année
2011 1,46 1,84 2,50 2,11 2,01 2,11 0,95 0,66 0,40 0,11 0,11 0,23
2012 4,25 0,11 0,24 0,15 0,13 0,11 0,10 0,17 0,10 0,04 0,12 0,11
2013 0,07 0,07 0,06 0,08 0,12 0,08 0,11 0,08 0,09 0,12 0,08 0,12
2014 0,15 0,11 0,09 0,09 0,12 0,07 0,13 0,09 0,12 0,11 0,08 0,09
2015 0,1 0,1 0,1 0,1 0,1 0,1 0 ,1 0,2 0,2 0,1 0,1 0,2
2016 0,10 0,12 0,15 0,18 0,19 0,91 2,01 0,67 0,62 2 ,04 4 ,10 12 ,07
2017 6,22 2,62 1,82 2,79 3,42 8,03 9,47 2,47 0,38 0,25 0,42 1,64
2018 1,55 0,79 0,55 1,22 1,56 0,58 0,18 0,17 0,10 0,23 0,21 0,32
2019 0,60 0,42 0,27 0,32 0,30 0,22 0,19 0,21 0,21 0,28 0,30 0,53
2020 0,69 0,45 3,06 4,76 1,54 2,22 3,52 0,70 0,32 0,46 0,57 0,77
(nous-même à partir du rapport de la BCC 2011 à 2020)
Tableau numéro 3 : synthèse l’évolution et la variation du taux d’inflation
annuel en RDC
Evolution du taux d’inflation annuelle Variation par apport à
années l’année t-1

14,49 -
2011
5,62 -8,87
2012
1,08 -4,54
2013
1,25 0,17
2014
1,5 -0 ,25
2015
23,1 21,6
2016
39,51 13,50
2017
7,7 -31,81
2018
2019 3,85 -3,85

2020 19,06 15,21

(nous-même à partir des rapports annuels de la BCC 2011 à 2020)

Tableau numéro 4 : présentation de l’évolution du PIB par le secteur


d’activité économique

201 201 201 201 201 201 201 201 2019 202
ANN 1 2 3 4 5 6 7 8 0
EES
secteur

3, O 3,2 5,5 2,1 0,7 2,0 4 ,7 7,1 1,7


SECTEUR 5,5
PRIMAIRE
Agriculture, 0 ,7 0,7 0,8 0,8 0,8 0,5 0,8 0,3 2,5 3,1
Foret, élevage,
chasse, et
pêche
4,8 2,3 2,4 4,7 1,3 0 ,2 1,2 4,4 0,3 2 ,7
Industrie
extractives
SECTEUR 0,8 1,2 1,8 1,1 1,2 0,4 1,3 0,7 9,8 4,9
SECONDAIR
E
Industrie 0,2 0,6 1,1 1,1 1,5 1,0 1,0 -0,1 6,1 7,2
manufacturier
Bâtiment et 0,6 0,6 0,6 0,0 -0,3 -0,7 0,2 0,8 1,6 0,1
Travaux public
Electricité et 0,0 0,0 0,1 0,0 0,0 0,1 0,1 0,0 1,5 1,5
gaz vapeur et
eau
SECTEUR 0,5 2,6 3,2 2,7 3,4 1,7 1,2 0,5 5,6 0,2
TERTIAIRE
Transports et 0,1 0,7 1,2 0,8 1,2 0,4 0,3 -0,2 O, 1,2
communicati 5
on
Commerce 0,1 1,6 1,2 0,7 1,5 0,9 0,7 0,3 4,0 3,3

Autres services 0,3 0,3 0,8 1,2 0,7 0,4 0,2 0,3 8,3 4,5

Taxe sur 0,2 0,3 0,4 0,2 0,2 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0
produit

( nous-même à partir du rapports annuels de la BCC de 2011 à 2020 )


Tableau numéro 5 : synthèse et présentation de taux
d’inflation et taux de croissance

Années 2011 201 201 201 201 201 2017 201 201 2020
2 3 4 5 6 8 9
Taux 14,4 5,62 1,08 1,25 1,5 23,1 39,5 7,7 3,85 19,0
d’inflatio 9 1 6
nX
Taux 6,5 7,2 8,5 8,9 7,7 2,5 3,2 4,1 4,6 -1,9
croissanc
eY
(nous-même à partir des rapports annuels de la BCC 2011 à 2020)

Tableau numéro 6 : Description empirique des données


du taux d’inflation et le taux de croissance économique

ANNEES Xi Yi XI Yi Xi² YI²


2011 14,49 6,5 94,185 209,9601 42,25
2012 5,62 7,2 40,464 31,5844 51,84
2013 1,08 8,5 9 ,18 1,1664 72,25
2014 1,25 8,9 11,125 1,5625 79,21
2015 1,5 7,7 11 ,55 2,25 59,29
2016 23,1 2,5 57,75 533,61 6,25
2017 39,51 3,2 126,432 1561,0401 10,24
2018 7,7 4,1 31 ,57 59,29 16,81
2019 3,85 4,6 17,71 14,8225 21,16
2020 19, O6 -1,9 -36,214 363,2836 3,61
TOTAL 117,16 51,3 363,752 2778,5696 362,91
(nous-même à partir des rapports annuels BCC 2011 à 2020)

Tableau numéro 7 : présentation de chaque indicateur


d’étude en valeur
N ῡ Ῡ ῡ2 Ῡ2 Nῡ-2 NῩ-2 NῡῩ
1 11,71 5,1 137,2646 26,316 1372,646 263,16 36123,80
0 6 3 56 9 56 9 23
(Nous-même à partir des rapports annuels BCC de 2011 à 2020)

BIBLIOGRAPHIE

1. Edmond Malinvaud, théories de l'année 70, le concept de croissance


inflation
2. Pierre FORTIN, la stagflation récente et le tiers- monde: une perspective
macroéconomique, institut québécois des hautes étude

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