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CONTENU DU COURS

MTIC 5.1: GENERALITES SUR LES BASES DE DONNEES

MTIC 5.2 : STRUCTURE D’UNE BASE DE DONNEES RELATIONNELLES

MTIC 5.3 : LES REQUETES

MTIC 5.4 : LES FORMULAIRES

MTIC 5.5. : LES ETATS

MTIC 5.6 : INTELLIGENCE ARTIFICIELLE

MTIC 5.7 : APPRENTISSAGE AUTOMATIQUE


MTIC 5.1: GENERALITES SUR LES BASES DE DONNEES

1.1. INTRODUCTION

La multiplication des fichiers entrainait la redondance des


données, ce qui rendait difficile les mises à jour. D’où l’idée d’intégration
et de partage des données. Les usages de bases de données (BD ou BDD)
se sont aujourd’hui généralisés pour entrer dans tous les secteurs de
l’entreprise, depuis les petites bases utilisées par quelques personnes
dans un service pour des besoins de gestion de données locales, jusqu’aux
bases qui gèrent de façon centralisée des données partagées par tous les
acteurs de l’entreprise.

L’accroissement de l’utilisation du numérique comme outil de


manipulation de toutes données (bureautique, informatique applicative,
etc.) et comme outil d’extension des moyens de communication (réseaux)
ainsi que les évolutions technologiques (puissance des PC, Internet, etc.)
ont rendu indispensable, mais aussi complexifié la problématique des
Bases de Données.

1.2. CONCEPTS DE BASES

Une donnée peut être considérée comme étant un élément


fondamental sur lequel se bâtit un raisonnement, une recherche, une
étude ou une œuvre. Ainsi, une donnée est rarement utilisée d’une
manière isolée.

Une donnée, regroupée avec d’autres, rattachées à un


contexte et éventuellement transformées donnent naissance à une
information. l

On appelle base de données (BDD), en anglais Data base


(DB), un ensemble structuré et organisé permettant le stockage de
grandes quantités d’informations afin de faciliter l’exploitation (ajout,
mise à jour, recherche de données).
Une base de données informatisée est un ensemble
structuré de données enregistrées sur des supports accessibles par
l’ordinateur, représentant des informations du monde réel et pouvant être
interrogés et mises à jour par une communauté d’utilisateur.

Une base de données peut être :


- locale quand elle est utilisée sur une machine par un utilisateur ;
- repartie quand les informations sont stockées sur des machines
distantes (serveurs) et accessibles par réseau.

1.3. TYPES DE BASE DE DONNEES

a) Modèle hiérarchique

Le seul type de lien possible dans ce modèle est le lien père-fils (ou 1 : n).
Une base de données se présente ainsi comme un arbre ordonné dont les
sommets sont les objets est les arcs sont les liens. Un objet peut avoir
plusieurs fils, mais un fils ne peut avoir qu’un seul père.

b) Modèle réseau

Une base de données réseau se présente comme un graphe, ou réseau


(d’où le nom du modèle). Dans ce graphe les objets sont reliés entre eux à
l’aide de pointeurs logiques. Tous les types de liens sont possibles,
notamment les liens (n : n)

c) Modèle orientée objet

Cette typologie de base de données est en cours d’élaboration. Elle est


focalisée sur la base de données des objets en tant que concept de
programmation qui va permettre de simplifier la création de logiciels.

d) Modèle relationnel

Le principe de base du modèle relationnel consiste à représenter


aussi bien les objets que les liens à l’aide d’une structure appelé
« table ».

Une table est une structure tabulaire dont les colonnes,


appelées aussi attributs, correspondent aux caractéristiques de l’objet.

Ce modèle est aujourd’hui celui le plus utilisé. C’est le cas de


SGBD Microsoft office Access.
1.4. CARACTERISTIQUES D’UNE BASE DE DONNEES

Voici les caractéristiques d’une bonne base de données :

a)L’exhaustivité : implique que l’on dispose de toutes les


informations relatives au sujet donné

b)La non redondance : implique l’unicité des informations dans la


base de données. On essaie ainsi d’éviter la duplication (répétition)
des données car cela pose des problèmes de cohérence lors des
mises à jour (modification) de ces données.

c) La structure : implique l’adaptation du mode de stockage des


renseignements aux traitements qui les exploiterons et les mettrons à
jour, ainsi qu’au coût de stockage de ces renseignements dans
l’ordinateur.

1.5. ELEMENTS D’UNE BDD

Voici les éléments essentiels d’une base de données :


- Les tables ou les entités ;
- Les formulaires ;
- Les requêtes ;
- Les états ;
- Les macros ou les codes VBA (Visuel Basic for Application) ;
- Les modules.

1.6. OPERATIONS SUR LES DONNEES

Il existe 4 opérations classiques (ou requêtes) :


- La création (ou insertion) ;
- La modification ( ou mise à jour) :
- La destruction( ou suppression) ;
- La recherche.

1.7. SYSTEMES DE GESTION DE BASE DE DONNEES

a) Définition
Un Système de Gestion de Base de Données, en sigle SGBD,
est un logiciel qui permet de décrire, modifier, interroger et administrer
les données d’une base de données.
Il se comprend comme un logiciel gestionnaire et
l’autorisateur d’accès à une base de données.
Il héberge généralement plusieurs bases de données, qui sont
destinées à des logiciels ou des thématiques différentes.

b) Principes de fonctionnement

Dans un SGBD, une fois la base de données spécifiée, on peut y insérer


des données, les récupérer, les modifier voire les détruire. Les données
peuvent être manipulées non seulement par un Langage (spécifique) de
Manipulation des Données (LMD) mais aussi par des langages de
programmation classiques.

c) Exemples de SGBD

Il existe plusieurs SGBD, notamment :

- ACCESS : plate-forme Windows, mode client/serveur, licence


commerciale ;
- SQL SERVER : plate-formes Windows et Linux, mode client/serveur,
licence commerciale ;
- ORALE : plate-formes Windows et Linux, mode client/serveur, licence
commerciale ;
- SYBASE : plate-formes Windows et Linux, mode client/serveur,
licence commerciale ;
- POSTGRESQL : plate-formes Windows et Linux, mode client/serveur,
licence libre ;
- MYSQL : plate-formes Windows et Linux, mode client/serveur ;
licence libre ;
- etc.

d) Les fonctions ou objectifs de SGBD

Les principaux objectifs fixés aux SGBD sont les suivants :

 Indépendance physique : la façon dont les données sont définies


(définition de données) doit être indépendante des structures de
stockage utilisées.
 Indépendance logique : un même ensemble de données peut être
vu différemment par des utilisateurs déférents toutes ces visions
personnelles des données doivent être intégrées dans une vision
globale
 Accès aux données : Cela aux données se fait par l’intermédiaire
d’un Langage de Manipulation de Données (LMD).

 Administration centralisée des données (Intégration) : Toutes


les données sont administrées de façon centralisées dans un
réservoir unique commun à toutes les applications.

 Non redondance des données : Afin d’éviter les problèmes lors


des mises à jour, chaque donnée ne doit être présentée qu’une
seule fois dans la base.

 Cohérence des données : Les données sont soumises à un


certain nombre de contraintes qui définissent un état cohérent
de la BDD. Elles doivent pouvoir être exprimées simplement et
vérifiées automatiquement à chaque insertion, modification ou
suppression des données. Les contraintes d’intégrité sont décrites
dans le Langage de Description de Données (LDD).

 Partage des données : il s’agit de permettre à plusieurs


utilisateurs d’accéder aux mêmes données au même moment de
manière transparente. Si ce problème est simple à résoudre quand
il s’agit uniquement d’interrogations (requêtes), cela ne l’est
plus quand il s’agit de modifications dans un contexte
multiutilisateurs car il faut : permettre à deux (ou plus) utilisateurs
de modifier la même donnée « en même temps » et assurer un
résultat d’interrogation cohérent pour un utilisateur consultant une
table pendant qu’un autre la modifie.

 Sécurité des données : les données doivent pouvoir être


protégées contre les accès non autorisés. Pour cela, il faut pouvoir
associer à chaque utilisateur des droits d’accès aux données.

 Resistance aux pannes : Que se passe-t-il si une panne survient


au milieu d’une modification, si certains fichiers contenant les
données deviennent illisibles ? Il faut pouvoir récupérer une base
dans un état sain. Ainsi, après une panne intervenant au milieu
d’une modification deux solutions sont possibles :
- soit récupérer les données dans l’état dans lequel elles étaient
avant la modification ;
- soit terminé l’opération interrompue.

1.8. CREATION DE LA BASE DE DONNEES ACCESS

Démarche a suivre :
- Lancer le Microsoft Access ;
- Cliquer sur base de données du bureau vide ;
- Nommer la base de données ;
- Choisir le répertoire où sera stockée la base de données ;
- Cliquer sur créer pour valider l’opération
MTIC5.2 : STRUCTURE D’UNE BASE DE DONNEES RELATIONNELLES

Une BDD relationnelle est composée essentiellement de :


- Tables
- Colonnes
- Lignes
- Clés primaires
- Clés étrangères
- Contraintes d’intégrité

Ce chapitre est consacré à l’étude de ces concepts et aux deux


formalismes utilisés pour représenter la structure d’une base de données.

2.1. UNE TABLE

Une table est un objet de base de données qui permet de stocker


des données sur un sujet donné. C’est un ensemble de données relatives à
un même sujet (entité) et structurées sous forme de tableau.

Comme l’indique la figure ci -bas, une table est composée


horizontalement d’un ensemble de lignes et verticalement d’un ensemble
de colonnes : les colonnes dérivent les propriétés relatives au sujet
représenté par la table et les lignes correspondent aux occurrences du
sujet.

Colonnes

No Nom Prénom Age Téléphone


1 Lokoka François 18 0813300413

2 Tangabo Jérémie 18 0834360516 Ligne


s
3 Shukuru Francine 18 0856562514

4 Seba Germaine 18 0825469531

2.2. UNE COLONNE


Dans une table, une colonne correspond à une propriété ou un
attribut élémentaire de l’objet décrit par cette table.

Une colonne est décrite par :

 Un nom : c’est le nom de la colonne.

 Un type de données : c’est le type de données prises par cette


colonne. Les types de données les plus connus sont : numérique,
texte, date, booléen. Certains SGBD supportent des types de
données multimédias dont les images, le son et la vidéo.

 Une taille éventuelle : indique la longueur maximale que peut


prendre la colonne.

 Un indicateur de présence obligatoire : indique si cette colonne


doit être toujours renseignée ou peut être vide dans certains cas.
Lors que la colonne n’est pas renseignée, on dit qu’elle
contient une valeur nulle. Il est à noter que la valeur nulle est
différente de zéro pour les colonnes de type numérique et de la
chaine vide pour les chaines de caractères.

 Une valeur par défaut éventuelle : permet d’attribuer par défaut


une valeur par défaut lorsqu’au aucune valeur n’a été à cette
colonne. Dans certains cas, une colonne peut être soumise a
certaines règles telles que : les valeurs attribuées à cette colonne
doivent être inferieures à une certaine valeur ; supérieures à une
certaine valeur ou comprise entre deux valeurs.

2.3. UNE LIGNE

Une ligne correspond à une occurrence du sujet représente par la


table. On dit aussi qu’elle correspond à un objet du monde réel.

Un autre terme utilisé également pour désigner une ligne est


celui de l’ « enregistrement » ou de « n-uplet ».

Une table est initialement vide lorsqu’elle est crée, c’est-


à-dire qu’elle ne contient aucune ligne. L’exploitation d’une table
consiste à y insérer de nouvelles lignes, à modifier certaines lignes ou à
consulter certains linges en fonction de critères bien déterminés.
2.4. CLE PRIMAIRE

La clé primaire d’une table est une colonne permettant d’identifier de


façon unique chaque ligne de la table. Autrement dit, la connaissance
de la valeur de la clé primaire permet de connaitre sans aucune ambiguïté
les valeurs des autres colonnes de la table.

Exemple : Dans la table Article, la colonne « code article » peut être


utilisée comme clé primaire, car la codification des articles est faite de
telle sorte qu’on ne peut pas avoir deux articles qui ont le même code.
Connaissant le code article, on peut déterminer de façon unique sa
désignation, son pris unitaire et sa quantité en stock.

Remarque :

 Chaque table doit comporte une et une seule clé primaire.

 Dans certains cas, dans une même table, on peut avoir deux ou
plusieurs colonnes qui peuvent jouer le rôle de clé primaire. Dans ce
cas, on doit choisir une parmi toutes ces colonnes.

Par exemple, dans table article si on suppose que la désignation est


unique pour tous les articles, nous pouvons utiliser comme clé primaire,
indifféremment, le code ou la désignation de l’article

 La colonne qui constitue la clé primaire est obligatoire.

 Pour distinguer une colonne qui fait partie de la clé primaire des
autres colonnes, on la souligne ou on la met en gras.
2.5. LIENS ENTRE TABLES

La clé étrangère d’une table est la colonne représentant une


clé primaire dans l’autre table. Ce qui veut dire qu’un lien entre deux
tables A et B est représenté par l’ajout dans la table B d’une novelle
colonne correspondant à la clé de la table A. cette nouvelle colonne est
appelée clé étrangère.

Un lien entre deux tables est orienté : il part de la table


contenant la clé étrangère vers la table contenant la clé primaire. La table
cible (celle contant la clé primaire) s’appelle table mère et la table
source (celle contenant la clé étrangère) s’appelle table fille. On dit que
la table fille se réfère a la table mère.

Table mère
Clé
primaire Table fille
Clé Clé
primaire étrangèr
e
MTIC 5.3 : LES REQUETES

3.1. DEFINITION ET ROLE

Les requêtes permettent d’interroger les informations contenus dans les


champs d’une ou pours tables

3.2. LES DIFFERENTS TYPES DE REQUETES.

a) La requête sélection

Ce type de requête permet de sélectionner des enregistrement,


de calculs et de faire des regroupements. La requête Sélection est le type
de requête le plus courant. Elle affiche les résultats sous forme d’une
feuille de données.

b) La requête d’analyse croisée

Cette requête présente ses résultats sous forme de tableau de


type Excel. Elle s’applique a une table comportant au mois deux colonnes
et possèdent des caractéristiques particulières.

c) La requête de Création de table

Cette requête crée une table à partir des données qu’elle a


extraites dans une ou plusieurs autres tables. Elle crée une nouvelle table
reprenant totalement ou partiellement les données d’autres tables. Ainsi,
elle permet de sauvegarder le résultat d’une interrogation dans une table
résultante
.
d) La requête Mise en jour

Cette requête modifie le contenu d’un ou plusieurs champs d’une


ou plusieurs tables. C’est le moyen le plus efficace pour mettre à jour un
grand nombre d’enregistrements en une seul opération.

Utilisez une requête Mise à jour lors que vous devez supprimer
des champs dans des enregistrements d’une ou plusieurs tables.

e) La requête Ajout :

Cette requête ajoute les données qu’elle extraites à la fin d’une


table déjà existante et permet d’insérer des enregistrements d’une table
d’une table no 2 dans une table n o 1. L’opération ne peut se faire que si les
deux tables ont au moins un champ commun ( même nom, même type de
données).

f) La requête Suppression

Cette requête supprime un ou plusieurs enregistrements dans


une ou plusieurs tables.

3.3. MODES d’AFFICHAGE

Avant d’exécuter la requête, fermez les tables qu’elle concerne


( pour fermer une table : faites un clic droit sur son onglet > Fermer ).
C’est nécessaire pour l’exécution de nombre de requêtes.

Passage du mode Création au mode Feuille de données, et


inversement.

Dans la mesure où la requête est créée et modifiable en mode Création,


et que son résultat est affiché en mode Feuille de données, il est
important de savoir passer d’un mode à l’autre.
Il existe plusieurs méthodes pour passer d’un mode affichage à l’autre.
Avec les icones de la barre d’état sur la barre d’état (en bas) , à droite,
cliquez sur :

 Le premier bouton, dont l’icone représente une feuille de


données

 Ou bien sur le bouton dont l’icone comporte une équerre

 Ouvrez l’onglet Accueil ; cliquez sur la partie supérieure du


bouton Affichage. On retrouve les icones précédentes : la
représentation d’une feuille de données pour le mode Feuille de
données et celle d’une équerre pour le mode Création.

 Faites un clic droit sur l’onglet de la requête, choisissez le


mode souhaité.
MTIC5.4 : LES FORMULAIRES

4.1. DEFINITION

Un formulaire set à servir, à consulter et modifier le contenu


d’une table ou de plusieurs tables liées, enregistrement par
enregistrement.

4.2. ROLE

Le formulaire permet d’afficher les données des enregistrements,


les champs étant disposés à l’écran selon vos souhaits, de vérifier les
valeurs saisies, de créer des champs calculés de réclamer des totaux
d’incorporer des graphiques, de mettre en valeur les données avec des
polices spéciales, des couleurs, etc.

4.3. SOUS FORMULAIRE

Un sous-formulaire est un formulaire inséré dans un autre


formulaire. Le formulaire de base est appelé formulaire principal, tandis
que le formulaire qui est inclus dans le formulaire est appelé sous-
formulaire. Une combinaison formulaire/ sous-formulaire est parfois
appelée formulaire hiérarchie ou formulaire père/ fils.

Les sous-formulaires sont particulièrement efficaces lorsque


vous voulez afficher des données de tables ou de requêtes ayant une
relation un- à plusieurs. Une relation un-à-plusieurs est une association
entre deux tables dans laquelle la valeur du ou des champs
correspondants de nombreux enregistrements de la table liée.

Par exemple, vous pouvez créer un formulaire qui affiche les


données des employés et contient uns sous-formulaire qui affiche les
commandes de chaque employé. Les données de la table Employées sont
côté « un » de la relation. Les données de la table commandes sont le côté
« plusieurs » de la relation : chaque employé peut avoir plusieurs
commandes.

4.4. TYPES DE FORMULAIRE

Microsoft Access propose plusieurs types de formulaire que vous pouvez


créer. Dans la liste suivante on va essayer de grouper le maximum des
types présent dans Access.
 Formulaire détaillé : un formulaire Access vide qui affiche des
informations sur un enregistrement à la fois.

 Formulaire de plusieurs éléments : également appelé


formulaire continu. Il affiche des informations à partir de
plusieurs enregistrements à al fois. Ressemble à une feuille de
données, mais vous donne davantage de contrôle sur des éléments
tels que texte, mise en forme , en ajoutant des graphiques , les
boutons et autres contrôles.

 Formulaire double affichage : affiche simultanément les données


dabs le mode formulaire et en mode feuille de données. Cette
option est utile lorsque vous avez besoin d’afficher ses grandes
quantités de données, mais seulement vous avez besoin de modifier
un enregistrement à la fois.

 Formulaire de navigation : un formulaire contenant un contrôle


de Navigation. Formulaire de Navigation sont particulièrement
importants pour naviguer dans votre base de données.

4.5. PARTIES D’UN FORMULAIRE

Par défaut, un formulaire est constitué de trois sections :


- L’en-tête de formulaire
- La section Détail
- Le pied formulaire

Chaque élément inséré dans un formulaire est appelé contrôle.

4.6. MODES D’AFICHAGE

Il existe plusieurs méthodes pour passer d’un mode d’affichage à l’autre.


Avec les icones de la barre d’état (en bas) , à droite, cliquez sur :

 Le mode création permet de modifier la structure du formulaire


A parti du volet de navigation, faites un clic droit sur le nom du
formulaire à modifier puis cliquer sur l’option Mode Création.

 A partir de la fenêtre du formulaire affiché en mode Formulaire ou


en mode Page, ouvrez la liste du bouton Affichage de l’onglet
Accueil puis cliquez sur l’option Mode Création ou cliquez sur le
bouton ode Création visible à droite dans la barre d’état.
 Les boutons Affichage de l’onglet Accueil et mode Formulaire
de la barre d’état permettent d’accéder de nouveau ai mode
Formulaire.
Outre la fenêtre du formulaire , il est possible que le volet contenant
la liste des champs ou la feuille des propriétés du formulaire soit
visible à l’écran.

Pour afficher ou masquer la feuille des propriétés, dans l’onglet


Création, cliquer sur le bouton Feuille de propriétés du groupe Outils
ou appuyer sur la touche F4.
Pour afficher ou masquer le volet de la liste de champs, dans
l’onglet Création, cliquer sur le bouton Ajouter des chaps existants
du groupe Outils.
MTIC5.5. : LES ETATS

5.1. DEFINITION

Un état est une représentation des enregistrements de la base


de données qui est mise sur papier.

5.2. ROLE

Il a pour rôle de mettre en forme et de synthétiser les


informations de votre base de données Microsoft Access.

5.3. METHODE DE CREATION

Démarche à suivre

- Cliquer :
 Sur l’onglet « créer » pour afficher les objets et leurs modes
de création ;
 Sur « Assistant états » du groupe « Etats » pour afficher la
boite de dialogue assistant état ;

- Sectionner :
 La tale (requête) concernée à partir de la liste déroulante
tables/requêtes ;
 Les champs de la zone de liste « champs disponibles »pour les
faire passer dans la zone de liste « champs sélectionnés »
ou sur le bouton >> pour faire passer tous les champs ;

- Cliquer :
 « sur le bouton « suivant » pour afficher les options de niveau
de regroupement des données ;
 Sur l’un champ « décennie » du volet gauche pour le faire
passer dans le volet droit comme 1er niveau de
regroupement ;
 Pour définir les options de trie et de synthèse des données ;
 Définir les options d’affichage ( disposition + orientation).

- Cliquer :
 sur bouton « Suivant » pour enregistrer l’état sous un nom
et choisir le mode d’affichage ;
 sur bouton « Terminer » pour fermer la boite de dialogue «
Assistant état »
5.4. ELEMENTS D’UN ETAT

Par défaut, l’état affiche trois sections :

- La section « Détail »
- La section « En-tête de page »
- La section « Pied de Page »

Pour afficher les « en-tête et Pied » d’état,


- Cliquer sur le menu « Affichage »
- Cliquer sur la commande « En-tête et Pied de rapport » ou « En-tête
et Pied d’état » suivant votre version d’Access.

5.5. MODE D’AFFICHAGE

Access propose quatre modes d’affichage d’un état, chacun permettant


d’effectuer une tâche différente, à savoir :
a. Mode Etat : montre les données de l état sans aucune mise en
forme, ce qui vous permet de le parcourir sans être distrait par le
formatage.

b. Mode Aperçu avant impression : présente toutes les pages


de l’état telles qu’elles seront imprimées.

c. Mode Page : permet d’afficher et d’éditer rapidement la


structure et le style d’un état.

d. Mode création : présente un quadrillage constitué de petits


points espacés qui simplifient l’alignement des éléments. Ce
mode divise les informations en sections, comme les sections En-
tête d’état et Pied d’état.
MTIC 5.6 : INTELLIGENCE ARTIFICIELLE

6.1. NOTION

L’Intelligence Artificielle signifie la simulation des


comportements humains. Dans son contexte informatique, c’est réagir
comme l’homme alors que la solution algorithmique n’est pas connue et
n’existe pas.

Le but de l’I.A. est de faire en sorte que une machine se


comporte comme l’homme, c’est-à-dire :
- Capte des informations avec l’équivalent de tout ou partie de nos
cinq sens ;
- Soit capable de raisonner et s’adapter à une situation nouvelle et
soit capable d’agir et de communiquer en conséquence.

Notons que :
 En I.A., il est utile de distinguer 2 types des machines : Robot et
automate fréquemment utilisées en robotique. Ces machines sont
généralement appelés robot.
- Machine capable d’accomplir plusieurs tâches humaines,
munies de capteurs Robot.
- Machine capable d’accomplir une ou plusieurs tâches
humaines de manière périodique ou séquentielle : Automate.

 la Robotique est définie comme la sous-branche de l’informatique


qui recouvre des techniques permettant la conception et la
réalisation des machines automatiques ou des robots.
 Un robot est un dispositif mécatronique conçu pour accomplir
automatiquement des taches imitant ou reproduisant, dans un
domaine précis, des actions humaines.

6.2. DOMAINE D’APPLICATIONS DE L’I.A.

Notons que l’I.A. se développe en parallèle avec le calcul numérique. Elle


attaque les secteurs d’applications réputées difficiles ou impossibles à
résoudre par le calcul numérique, entre autres :
- Le calcul formel (la vision, analyse de texte, analyse d’images,….) ;
- La robotique ;
- Les machines autonomes ;
- La démonstration de théorèmes ;
- Les jeux ;
- etc.

6.3. CARACTERISTIQUES DE L’I.A.

a. Comportement rationnel

Le processus de l’I.A. réalise de projets où il cherche à établir des


comportements, qui chercher à infliger un objectif, qui définit les
comportements réels d’une personne.

b. Capacité de réaction

Le projet peut réagir selon les programmes et les éléments


d’actions intégrés dans le logiciel ; cela le permet de répondre à un acte
selon sa condition préalablement établie.

c. Apprentissage

Certaines systèmes ont réussi à développer des processus dans


lesquels l’I.A a la capacité d’apprendre de certaines situations, créant en
lui une mémoire rémanente ; la où l’information est reçue et en observant
une situation similaire, il réagit comme s’il pensait seul.

d. Résolution des problèmes

Lorsque les calculatrices sont apparues sur le marché commun


dans les années 80 ; on a constate qu’elles résolvaient les problèmes très
rapidement. Ce processus de résolution des problèmes s’est rapidement
développé et évolué jusqu’atteindre les systèmes de l’I.A. actuel ; ils sont
exécutés immédiatement, non seulement pour résoudre une opération
mathématique, mais aussi pour apporter des réponses à des problèmes
plus complexes.

e. Perception sensorielle

L’environnement des systèmes a développé des capteurs très


fragiles et sensibles que nous permette de réagir aux sens des gens. En ce
sens, les programmes sont capables de percevoir et de palper les
altérations auditives, visuelles et tactiles, créant une action immédiate en
fonction de la condition préétablie.
f. Capacité de gestion

C’est une condition qui fonction aujourd’hui de manière plus


rapide. L’intelligence artificielle développe des structures où ils peuvent
apprendre à gérer des aspects liés aux situations, le même processus
permet de générer un comportement.

6.4. TYPES D’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE

1. Faible

Est-ce Intelligence Artificielle où les aspects liés à l’équipement


et aux processus des systèmes sont pris en compte, où le raisonnement
peut être simulé ; ils n’agissent qu’intelligemment. De cette manière, le
développement d’un équipement informatique conscient n’est réalisé que
lorsqu’un programme sert à simuler un processus de pensée, très similaire
à ceux de l’être humain.

2. Forte

On considère que le système où l’ordinateur a la capacité d’avoir


un esprit et des pensées, de cette manière le système analyse les
situations et les capacités humaines, offrant des réponses à certaines
éléments qui sont introduits. L’idées est de construire un ordinateur qui
puisse avoir toutes les capacités humaines ensemble.

6.5. SYSTEME EXPERT

Un système expert est un logiciel informatique permettant de


simuler l’inférence logique, en implémentant les mécanismes d’induction
et de déduction.
MTIC 5.7 : APPRENTISSAGE AUTOMATIQUE

7.1. L’apprentissage automatique

L’apprentissage automatique (en anglais « machine


learning » littérairement « apprentissage machine ») ou
apprentissage artificiel ou apprentissage statistique est un champ
d’étude de l’intelligence artificielle qui se fonde sur des approches
mathématiques et statistiques pour donner aux ordinateurs la capacité
d’apprendre à partir de données, c’est-a-dire d’améliorer leurs
performances à résoudre des tâches sans être explicitement programmés
pour chacune.
Plus largement, il concerne la conception, l’analyse,
l’optimisation, le développement et l’implémentation de telles méthodes.
On parle d’apprentissage statistique car l’apprentissage consiste à
créer un modèle dont l’erreur statistique moyenne est plus faible possible.

7.2. Le e-learning

C’est un type de formation en ligne et à distance qui utilisé


Internet et les nouvelles technologies digitales ; dans le but d’améliorer les
processus d’apprentissage. Ce type d’enseignement permet aux
apprenants de pouvoir se former à distance quand ils souhaitent et
d’avoir accès à différents contenus pédagogiques 24 h/24h, 7j/7j et peu
importe le lieu où ils se trouvent. Ils peuvent ainsi se former dans le
domaine qui les intéresse, et ce, toujours à leur rythme.

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