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Enseignement supérieur Après la nomination de Patrick Hetzel, les universités d’Alsace dans l’attente

Les deux présidents des universités alsaciennes attendent du nouveau ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche qu’il poursuive les chantiers de sa prédécesseure quand le Snesup-FSU s’inquiète surtout de ses positions « conservatrices et illibérales ».
C.C. - 23 sept. 2024 à 19:18 | mis à jour le 25 sept. 2024 à 14:57 - Temps de lecture :
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Dans les deux universités alsaciennes, la rentrée a bien eu lieu, avec ou sans ministre.  Photo Jean-François Frey
Dans les deux universités alsaciennes, la rentrée a bien eu lieu, avec ou sans ministre.  Photo Jean-François Frey

Le nouveau ministre alsacien de l’Enseignement supérieur et de la Recherche Patrick Hetzel , qui succède à Sylvie Retailleau, était « à la manœuvre » lors de la mise en place de la Loi relative aux libertés et aux responsabilités des universités (LRU) à partir de 2009. Il était alors directeur général de l’enseignement supérieur et de l’insertion professionnelle (DGESIP) comme s’en souviennent Michel Deneken et Pierre-Alain Muller, les deux présidents d’universités en Alsace. Le site de Strasbourg était alors « en fusion », se souvient Michel Deneken. « Nous étions les premiers. Patrick Hetzel a pris le dossier en main avec un soutien très positif. C’est un bosseur qui ne se paye pas de mots, un homme qui a de grandes qualités d’écoute, qui est dans l’accompagnement et le respect. » « C’est quelqu’un du métier », enchaîne Pierre-Alain...

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