Citoyen du monde… Ce sont les mots pour définir DOUZI. Mère algérienne, père marocain, résidant belge, voyageur infatigable… DOUZI est comme sa musique, itinérante.
Entre la chaleur des sons du Maghreb et l'efficacité des rythmes pop et électro, entre les mélodies du Sud et les ambiances du Nord, DOUZI ne choisit pas: il inclue, il intègre, il enrichit.
Entouré de ses 6 frères et sœurs, dès l'âge de 3 ans, le petit DOUZI fredonne déjà des chansons, et à 5 ans à peine, il interprète publiquement sa première chanson composée par son frère Kader - ancien chanteur de Raï, auteur-compositeur et pièce maitresse de sa carrière - à l'occasion d’une émission de télévision à Rabat. La chanson s'appelle « La lilharb » , c'est-à-dire « Non à la guerre »… mais immédiatement, c'est un "Oui" au succès.
Pendant un certain temps, DOUZI hésitera entre la voie du dessin - dans lequel il excelle - et celle de la musique. L'année 1993 signera son choix, quand dans le cadre de la « Fête de la jeunesse », organisée par la station radio d'Oujda (Maroc), DOUZI reçoit son premier diplôme de mérite… alors qu'il était le plus jeune chanteur de la compétition.
Dès lors, la machine est lancée et DOUZI devient l’enfant prodige du Raï. DOUZI grandit, et son talent avec lui.
En 1994, Douzi a 8 ans lorsqu'il enregistre son premier album « Goulou Imumti tjini » , (Maman reviens à moi) . L’œuvre fait fondre les cœurs, surtout celui des mères de famille. Le résultat: Plus de 700,000 exemplaires vendus au Maroc
Depuis, une dizaine d’albums ont suivi. Chanteur de Raï prodige, il n'a cessé d'ouvrir les horizons de cette musique en chantant aussi bien en français, arabe, anglais, turque, espagnol ou hindi; et créant de ce fait son nouveau style de musique.
Malgré son jeune âge, la carrière de DOUZI s'étend déjà sur trois décennies, et autant de prix et reconnaissances internationales: