Rétrospective des années 60 vues par le petit bout de la lorgnette, c’est-à-dire nos goûts personnels plutôt que les impositions de « l’Histoire ». Aujourd’hui : Scott 4, l’album avec lequel Scott Walker, le crooner venu de Mars, enterre définitivement son passé de chanteur à succès.
Plus grandiloquente que jamais, la musique du truculent Father John Misty atteint des sommets sur ce Mahashmashana. Art-pop, baroque et même indie-rock par bribes, ce dernier album est une pierre de plus dans le jardin d’un artiste passionnant.
Sorti par surprise ce vendredi, le nouvel album de Kendrick Lamar est un concentré de son année 2024 : on sort la sulfateuse pour régler ses comptes sur une ambiance West Coast brûlante. Plus brut que ses prédécesseurs mais pas moins fort pour autant.
Imaginons que vous sortiez d’un coma ayant duré 60 ans, et que vous ne connaissiez rien, mais alors, absolument rien à la musique du Sud des Etats-Unis… Eh bien, il existe désormais l’album parfait pour vous éduquer en 41 minutes : Saratoga, d’Eddie 9V !
Album annonciateur du post-punk, Talking Heads : 77 est réédité avec des bonus studio majoritairement déjà entendus et un live inédit au mythique CBGB. Une bonne porte d’entrée pour qui découvrirait l’album mais un intérêt débattable pour les fans.
Rétrospective des années 60 vues par le petit bout de la lorgnette, c’est-à-dire nos goûts personnels plutôt que les impositions de « l’Histoire ». Aujourd’hui : Arthur, le second grand concept album des Kinks des sixties.
Dans le massif de La Chartreuse résonne une synthé-oï à la camaraderie contagieuse. Le premier essai de No Filter, Sans Filtre, enchaîne dix récits remuants.
Avec son troisième album, le superbe Fools, l’américain John Roseboro continue d’explorer une matière Post-Bossa Nova suivant les pas d’un Luis Bonfá et s’inspirant peut-être des travaux les plus Pop de Jim O’Rourke.
Devenue l’une des poids lourds de la variété française en l’espace de deux albums, Clara Luciani signe un retour sous le signe de la maternité. Evènement qui exerce une influence majeure sur ce disque, plus rock et orchestré que ses prédécesseurs.
Après l’aventure I Am Kloot, le bassiste britannique Peter Alexander Jobson ose enfin révéler les chansons qu’il avait dans la tête depuis une vingtaine d’années. Burn The Ration Books Of Love est un disque brillant signé d’un singulier songwriter.
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