Ziya Hurşit Bey (1892 – July 14, 1926) was one of the first Grand National Assembly of Turkey deputies. He was executed in 1926 for attempting to assassinate Mustafa Kemal.
Ziya Hurşit was born in the town of Çamlıhemşin of Rize Province in 1892. He was a member of Kürdoğlu family. He was educated on ship construction and radio in Gdańsk, Germany. He participated in Erzurum Congress as Trabzon delegate. He fought in Turkish War of Independence as a volunteer. He took part in the 1st Grand National Assembly of Turkey as Lazistan deputy. He had been a member of Yozgat Independence Court for a period of time. However, his views differed from Mustafa Kemal's. He was unable to be elected as deputy to the 2nd Assembly.
On June 16, 1926, he was arrested for planning an assassination against Mustafa Kemal in İzmir. According to evidence, those who acted with Ziya Hurşit, including Gürcü Yusuf, Laz İsmail, and Çopur Hilmi, planned to shoot Mustafa Kemal dead in front of Kemeraltı prison. Ziya Hurşit and his accomplices, taking advantage of chaos caused, would embark on the boat of the Cretan Şevki Bey, which was waiting in the dock, by a car waiting in the Yemiş bazaar and flee to Chios. However, at the last moment, as a consequence of Şevki Bey's confession and incriminating of the others, Ziya Hurşit and his friends were captured. It was understood that behind the assassination was a group in the Progressive Republican Party, an opposition party in the Turkish parliament. The party was closed down. Ziya Hurşit and his accomplices were sentenced to death, and on July 14, 1926, he was executed with 13 other men, including Laz İsmail, Gürcü Yusuf, Çopur Hilmi, Şükrü Bey, "Ayıcı" Arif, and İsmail Canbulat.
J'écris sur ce que j'endure
Les petites morts, sur les blessure
J'écris ma peur
Mon manque d'amour
J'écris du coeur
Mais c'est toujours
Sur ce que je n'ai pas pu dire
Pas pu vivre, pas su retenir
J'écris en vers
Et contre tous
C'est toujours l'enfer
Qui me pousse
A jeter l'encre sur le papier
La faute sur ceux qui m'ont laissée
Ecrire, c'est toujours reculer
L'instant où tout s'est écroulé
On n'écrit pas
Sur ce qu'on aime
Sur ce qui ne pose pas
Problème
Voilà pourquoi
Je n'écris pas
Sur toi
Rassure-toi
J'écris sur ce qui me blesse
La liste des forces qu'il me reste
Mes kilomètres de vis manquée
De mal en prose, de vers brisés
J'écris comme on miaule sous la lune
Dans la nuit, je trempe ma plume
J'écris l'abcès
J'écris l'absent
J'écris la pluie
Pas le beau temps
J'écris ce qui ne se dit pas
Sur les murs, j'écris sur les toits
Ecrire, c'est toujours revenir
A ceux qui nous ont fait partir
On n'écrit pas qu'on manque de rien
Qu'on est heureux, que tout va bien
Voilà pourquoi
Je n'écris pas
Sur toi
Rassure-toi
J'écris quand j'ai mal aux autres
Quand ma peine ressemble à la votre
Quand le monde me fait le gros dos
Je lui fais porter le chapeau
J'écris le blues indélébile
Ça me paraît moins difficile
De dire à tous plutôt qu'à un
Et d'avoir le mot de la fin
Il faut qu'elle soit partie déjà
Pour écrire " ne me quitte pas "
Qu'ils ne vivent plus sous le même toit
Pour qu'il vienne lui dire qu'il s'en va
On n'écrit pas la chance qu'on a
Pas de chanson d'amour quand on en a
Voilà pourquoi, mon amour
Je n'écris rien
Sur toi
Rassure-toi