Shere Khan /ˈʃɪər ˈkɑːn/ (Hindi: शेर खान) is a fictional tiger who appears in two of Rudyard Kipling's Jungle Book stories featuring Mowgli and their adaptations. The word Shere (or "shir") translates as "tiger" or "lion" in Persian, Urdu, and Punjabi, and Khan translates as "sovereign," "king", or "military leader", in a number of languages influenced by the Mongols, including Pashto.
Despite being born with a crippled leg and derisively nicknamed Lungri (The Lame One) by his mother, Shere Khan is arrogant and regards himself as the rightful lord of the jungle. The only creature who looks up to him is Tabaqui, the cowardly, despised golden jackal.
In "Mowgli's Brothers", Shere Khan's failed attempt to hunt humans causes a human "cub" to stray from his parents. When Shere Khan discovers the infant, it has been adopted by Indian wolves, Raksha and Father Wolf, who have named the child Mowgli. However, Mowgli is accepted into Akela's wolf pack and is protected by Bagheera and Baloo. Furious at losing his kill, the tiger swears that the boy will be his some day. While Mowgli is growing up, Shere Khan infiltrates the wolf pack, by promising the younger wolves rich rewards, once Akela is deposed. When the young wolves manoeuvre Akela into missing his kill, the pack council meets to expel him. Shere Khan threatens to take over their hunting territory if the wolves do not give him Mowgli. Having been warned by Bagheera, Mowgli attacks Shere Khan and his allies with a burning branch and drives them away. Akela leaves the pack to become a lone hunter. Mowgli returns to the human village, but swears that he will return one day with Shere Khan's skin.
Shir Khan, Sher Khan, or Shere Khan, may refer to:
{Refrain:}
On joue dans un chambaras
La fierté, la loi
Tue, comme un bon vieux colosawa
La main sur le katana
Même si la peur m'assaille
Je partirai comme un samourai
(bis)
Oh, qu'est-ce que tu as à me regarder?
Qui, moi?
Toujours vif, comme au premier jour de cour
Où tour à tour les mecs te matent
Claque pas de genoux
T'es viré de la cour
Tenir le coup, regard froid
Fais pas le tocard
L'œil au beurre noir
Faut mieux le faire que l'avoir
Dès le plus jeune âge engrainé
A évoluer dans une meute où les l'ego
Se fait les dents sur les colliers d'à-côté
Où les réputations se font et se défont
Où les moins costauds enjambent les ponts
Où se défoncent sans modération
En guerre permanente avec les autres
Les bandes se forment
On comprend vite que l'on est plus fort avec ses potes
En somme, voici venir l'âge béni
Où tu te crois homme, mais t'es qu'un con
Et il y a qu'à toi qu'on l'a pas dit
Les autres jouent les caïds pour une bille
Puis une fille, les poils s'hérissent
Les temps engraissent
On tape pour des peccadilles
Evite les yeux, on doit pas voir quand ça va mal
La moindre faille physique ou mentale
L'issue peut être fatale
On grandit au milieu des rônins
Chacun sa barque pourrie
Sur sa mer de merde
Chacun sa voix, sa vie
Devant l'adversité, les coudes se soudent
On pousse un kiai de toute sa taille
Prêt à mourir comme un samurai
{au Refrain}
Les temps passent
A grandi entre le fer et la soie
La soie, c'est avec le fer qu'il l'a acquise
Aux prises avec la pression
La presse relate ses actions
La prison souvent remplace le paxon
Le ponpon s'agite au-dessus de nos têtes
Chacun le veut pour lui
Un billet pour le manège
Gratuit, verrouillé
La nuit les lampadaires se morphent en mecs
Une seule quête, les pépètes
Quand t'as les sous tu drives une 7-20
Et tu touches des seins
On lutte
Souvent on butte sur le pied du voisin
Espace restreint
On gueule souvent, on en vient aux mains
Pour tout et rien
Ça finit devant témoins
Et va savoir combien de temps on peut rester sans voir les siens
Comprends bien
C'est une réalité, pas une BD
Les sens toujours éveillés
Eviter les embûches
Les femmes risquées
Les boîtes piégées
Les gens ont changé
La rue est mal fréquentée
Surtout sors pas sans tes papiers
Ça peut gâcher la soirée
J'ai combattu
J'ai eu mon heure, mon jour
Je verse un verset pour ceux qui attendent leur tour
Et ceux qui ne rigoleront plus
On baissera pas les bras
On n'est pas né pour ça
Même vaincu, on se jettera dans la bataille
Pour l'honneur, comme un samourai