Toro may refer to:
There are many sushi and sashimi ingredients, some traditional and some contemporary.
Toro (登呂 遺跡, Toro iseki) is an archaeological site in Suruga Ward in Shizuoka City, 130 kilometres (81 mi) south of Tokyo, Japan. The remains there date to the 1st century CE, in the late Yayoi period, and was an administrative unit of the area. Discovered in 1943, it was excavated in 1947–48 and designated a Special Historic Site of Japan in 1952. Toro is also the name of the area surrounding it in the Japanese addressing system.
Toro is notable as the first archaeological site excavated in Japan in which remains of a 1st-century CE Yayoi-era wet-rice Paddy fields were found. The site was discovered in 1943 during construction work on a military munitions plant in World War II, and was excavated in 1947 and 1948. As well as the agricultural remains, archaeological findings included pit-houses, refuse pits, and raised-floor buildings. Many artifacts were also unearthed. The preservation at the Toro site was so complete that a large number of 2000-year-old wooden farming tools were excavated. The site was re-excavated from 1999–2004, during which time additional artifacts were uncovered.
Le jeune homme écrivait, penché sur l'écritoire
Éclairé de la rue par une aurore avare
Et les mots se suivaient comme le fil des ans
Sans jamais s'arrêter un instant
Le jeune écrivait, penché sur sa mémoire
Le visage éclairé d'une lueur d'espoir
Et les mots se posaient comme le font les flamants
Dans sa tête et sur le papier blanc
Et les mots se posaient comme le font les flamants
Sans jamais hésiter un instant
Et le monde tournait pourtant, et le monde tournait pourtant
Le bonhomme écrivait, penché sur l'écritoire
Le soleil en tombant désséchait l'encre noire
Mais les phrases coulaient comme autant de torrents
Sans jamais se tarir un instant
Le bonhomme écrivait, penché sur son histoire
Ses rêves d'autre vie, ses rêves d'autre gloire
Et les mots racontaient le fil d'un autre temps
Dans sa tête et sur le papier blanc
Et les mots racontaient le fil d'un autre temps
Sans jamais se tromper d'un instant
Et le monde tournait pourtant, et le monde tournait pourtant
Le vieil homme écoutait, courbé sur son grimoire
Le regard fatigué dans la pâleur du soir
Mais les mots se taisaient comme le font les tourments
Sans jamais disparaître vraiment
Puis enfin il dormait, tombé sur l'écritoire
Éclairé de la rue par une aurore avare
Et les mots s'envolaient comme le font les flamants
De sa tête et de son papier blanc
Et les mots s'envolaient comme le font les flamants
Sans qu'ils sachent ni pour qui, ni pour quand